Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Société - Page 914

  • Changer les regards posés sur les personnes porteuses de trisomie

    IMPRIMER

    selection_2011-06-17_23-08-16.jpgGénéthique.org réserve un large écho à la parution de "Supplément d'âme" (Amis d'Eléonore)

    L'hebdomadaire La Vie se fait l'écho de la parution du livre Supplément d'âme, édité par le Collectif Les Amis d'Éléonore dont l'ambition est de "changer les regards posés sur les personnes porteuses de trisomie".
    Lors de la révision de la loi de bioéthique en 2010 et 2011, le Collectif, regroupant une trentaine d'associations de familles de personnes trisomiques 21, s'était mobilisé pour faire entendre les voix de ces dernières et pour alerter sur les risques d'un dépistage généralisé de la trisomie 21 durant la grossesse (Cf. Synthèses de presse du 22/10/10 et du 21/03/11). Ce dépistage systématique tend en effet à donner aux couples attendant un enfant "une représentation horrible de la trisomie, loin de la réalité", expliquait alors Emmanuel Laloux, fondateur du collectif et président de l'association Down up.

    Lire la suite

  • Des vaccins contre la grossesse administés à des fillettes de dix ans en Afrique du Sud

    IMPRIMER

    "Là, ils sont allés trop loin.
    Et les silences de l'AFP…

    Les jeunes élèves d'une école primaire de Port Elizabeth, âgées de 10 à 13 ans, ont toutes reçu la semaine dernière par injection un contraceptif de longue durée, à l'issue d'ateliers de « planning familial » organisés à l'Emzomncane Primary. Leurs parents n'avaient pas donné leur consentement et n'avaient même pas été mis au courant, bien qu'une lettre leur ait été adressée pour les tenir au courant de la tenue des ateliers, sans précision de date..."

    C'est à lire sur le blog de Jeanne Smits

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique du 15 septembre

    IMPRIMER

    images (4).jpgBulletin de l'IEB - 15 septembre 2011

    Sommaire

  • Le patrimoine religieux objet de concupiscences socialistes ?

    IMPRIMER

    Ce Communiqué de presse émanant du PS, transmis par l'Attachée de presse du Groupe PS au Parlement wallon ; Parlement de la Communauté, n'est pas sans arrière-pensées :

    "La Présidente du groupe PS au Parlement wallon, Isabelle Simonis : "restaurons et réaffectons nos églises classées en Wallonie"

    Parmi les 2.800 biens classés en Wallonie, plus de 700 sont destinés à l'exercice d'un culte, avec les répercussions financières que l'on sait sur les pouvoirs publics tant régionaux que locaux. 380 églises sont classées comme monuments et 200 chapelles bénéficient de la même protection. Parmi ces 380 églises protégées, 38 sont sur la liste du Patrimoine exceptionnel de Wallonie.

    A côté de ces monuments faisant l'objet d'une mesure de protection, s'ajoutent les édifices non classés, afférents également au culte catholique, qui se chiffrent à plus de 1.900 en Wallonie. En vingt ans, 120 millions d'euros ont été investis dans ces monuments classés. Pour l'année 2010, près de 5 millions d'euros ont été exclusivement consacrés à la restauration des édifices classés ouverts au culte.

    Rien qu'en citant ces chiffres impressionnants, on comprend les enjeux majeurs qui se trouvent derrière l'entretien de ces biens. Comment les pouvoirs publics et les établissements cultuels vont-ils faire face aux coûts d'entretien et de grosses réparations de ces édifices ? Le tout dans un contexte de déclin des pratiques religieuses.

    Soucieuse du problème, la Présidente du groupe PS au Parlement Wallon, Isabelle Simonis, vient de déposer, avec le député wallon Daniel Senesael, une proposition de décret visant à réaliser un cadastre des monuments classés affectés à l'exercice d'un culte en Région wallonne. Le but : disposer d'une photographie de la situation existante et d'une base objective nécessaire à toute décision raisonnée, tant en termes de restauration que de réaffectation.

    Isabelle Simonis et Daniel Senesael considèrent que les biens classés doivent être évalués sur des critères liés à leur état de conservation ainsi qu'à leur taux de fréquentation. Ainsi, les autorités compétentes disposeront d'un outil de choix afin d'opérer une planification des travaux de conservation et de restauration et de mener une réflexion concertée sur le devenir des édifices relevant de l'exercice d'un culte. Il s'agit donc avant tout de mener une réflexion sur le devenir des édifices de culte et sur leur éventuelle nouvelle affectation, sans remettre en cause l'opportunité d'octroi des subsides qui est acquise, s'agissant de monuments classés."

  • " Présumé coupable " : une justice ubuesque

    IMPRIMER

    Presume-Coupable_fichefilm_imagesfilm.jpgSur Liberté Politique, 9 Septembre 2011 | Hélène Bodenez*, une analyse intitulée : "Présumé coupable: l'insoutenable légèreté de la justice"

     

    "Kafkaïen. L’erreur judiciaire que relate le film Présumé coupable de Vincent Garenq [1], récompensé par le Prix du meilleur film européen à la Mostra de Venise, montre ad nauseam le scandale de l’impossible acquittement que cherche pourtant un innocent acculé à prouver son innocence. Face à lui, un juge qui ne fait pas son travail de juge d’instruction, à savoir prouver la culpabilité de celui qu’il accuse. D’où le titre. Englué dans l’inflexibilité du jeune juge Burgaud (Raphaël Fernet) épris de son autorité, de sa fatuité cassante, Alain Marécaux se trouve un matin d’automne pris au piège d’une machine qui le broie sans pitié. L’huissier de justice qui avait prêté serment de la servir, elle la justice, est trahi par les siens.

    Lire la suite

  • L'irréversibilité, un mythe qui a du plomb dans l'aile...

    IMPRIMER

    Il y a une plus de trente ans, avec une délégation d'enseignants, nous avions rencontré le ministre en charge de l'Education nationale pour lui faire part de nos objections concernant l'instauration du "rénové". Il nous avait répondu que c'était "irréversible" et qu'il ne fallait pas rêver de "retour en arrière".

    Constatons que cette "culture de l'irréversibilité des choses" s'est installée dans les esprits et que beaucoup se sont résignés avec fatalisme à une évolution inéluctable qui serait imposée par un prétendu "sens de l'histoire".

    Il faut bien prendre acte aujourd'hui que ce mythe de l'irréversibilité a du plomb dans l'aile. Ainsi avons-nous vu s'effondrer l'idéologie qui prétendait incarner l'avenir de l'humanité en accomplissant les prédictions de Karl Marx. Dans le domaine pédagogique, les théories novatrices des années '70 et suivantes sont de plus en plus remises en question en raison de leurs résultats désatreux : méthode globale, constructivisme, bannissement des savoirs au profit des compétences... tout cela est aujourd'hui largement discuté et l'on s'en réjouit. Sur le terrain institutionnel belge, ceux qui considéraient comme inéluctable la marche vers le séparatisme peuvent aujourd'hui constater que le monde politique lui-même se refuse à commettre l'irréparable. Enfin, ceux qui pensaient que l'Eglise avait opéré un tournant décisif et consommé une rupture définitive avec l'avant-concile s'aperçoivent aujourd'hui que le souci de la continuité l'emporte sur la manie des expériences et des remises en question, que ce soit dans la liturgie ou dans la doctrine.

    Libérés de ce fatalisme de l'irréversibilité, nous pouvons nous aventurer dans des initiatives et des expériences sans exclure celles qui ont fait leurs preuves, y compris celles de la Tradition, et c'est vraiment libérateur!

  • Ouf ! et reprenons tous en choeur (Leterme y compris) : "Bloei, o land, in eendracht niet te breken..."

    IMPRIMER

    armoiries_royales.jpgSans être encore vraiment sortie de l'impasse, il semble que la Belgique ait évité la crise majeure et l'éclatement que d'aucuns jugeaient inéluctable. Tout n'est pas gagné comme vous le découvrirez dans la "presse généraliste", mais le pire a pu être évité cette nuit avec un nouveau compromis sur cette pomme de discorde que représente la scission de l'arrondissement de Hal Vilvorde : une scission que les partis flamands ont enfin obtenue tandis que les francophones se consolent avec diverses garanties qui leur ont été octroyées.

    Cela démontre que par delà les clivages lingistiques et communautaires et malgré les intérêts contradictoires des partis engagés dans la négociation, personne n'a voulu endosser la responsabilité de mettre fin à l'existence du pays et que l'on s'est rendu compte que l'on ne pouvait en courir le risque dans les circonstances que l'Europe traverse actuellement avec les menaces qui pèsent sur son économie et sa monnaie.

    Et pour ceux qui trouvent que le maintien de la Belgique est une mauvaise solution, la démonstration est faite qu'on n'en a pas de meilleure. Il reste maintenant à voir si nos tristes politiciens vont se mettre d'accord sur les autres points de la négociation mais il semble que le plus dur soit fait.

    Quant à nous qui sommes convaincus du bienfait que représente une Belgique solidaire et qui pensons que toutes ces réformes et tous ces compromis constituent un mauvais chemin qu'il faudra rebrousser tôt ou tard, il nous reste à travailler pour convaincre les citoyens lambda du bienfait que représente l'existence de la Belgique. Cela suppose qu'on apprenne à se rencontrer, à comprendre (au moins passivement) la langue de l'autre, à développer les complémentarités trans-linguistiques (scaldiennes à l'ouest, entre Liège, le Limbourg et Anvers par ailleurs, etc.).

    On peut rêver aussi d'un vrai fédéralisme qui ne soit pas un fédéralisme de division et de dissociation, mais d'un fédéralisme d'union entre une multiplicité d'entités fédérées comme dans tout état fédéral digne de ce nom : pourquoi pas un fédéralisme unissant des provinces, voire des arrondissements? Mais pour cela, il nous faudrait une autre classe politique, non pas constituée de gens qui défendent d'abord les intérêts de leurs partis respectifs, mais des gens capables de se hisser au niveau de l'intérêt commun et des conditions nécessaires au bien-être de tous les citoyens de "ce pays".

  • Refusons, sous le couvert de l'instauration d'un cours d'éducation sexuelle dans nos écoles, le dévoiement de nos enfants

    IMPRIMER

    C'est ici, dans la Libre : http://www.lalibre.be/actu/belgique/article/685106/imposer-des-cours-d-education-sexuelle-a-l-ecole.html et vous pouvez participer à un sondage sur le sujet. (Nos adversaires se sont déjà mobilisés de façon efficace.)

    Il faut bien se rendre compte que l'introduction de tels cours, imposés dans les écoles, constituerait un véritable endoctrinement de nos enfants, banalisant les pratiques sexuelles dès le plus jeune âge. On se rend compte, en lisant ce genre de littérature, qu'il ne s'agit évidemment pas d'éduquer à une vie affective et amoureuse dans le respect de son corps, du corps de l'autre, et en développant le sens des responsabilités. Il s'agit, au contraire, d'initier les jeunes à des pratiques sexuelles, à des techniques de contraception, etc., qui leur permettront de suivre leurs pulsions sans la moindre référence à des valeurs éthiques en vue de constituer des couples durables et des familles équilibrées. La masturbation, l'amour libre, les relations homosexuelles, le recours à l'avortement, ... tout cela fait partie de ce que ces centres de planning familial proposent aux jeunes dans le cadre des informations qu'ils diffusent, et l'on voit bien où ce laxisme généralisé conduit notre société.

    Enfin, il faut que soient respectés les choix éducatifs des familles et que l'on ne vienne pas torpiller à l'école les valeurs que les parents responsables s'efforcent de transmettre à leurs enfants.

  • Conférence à l'occasion du 30e anniversaire de l'encyclique 'Laborem exercens'

    IMPRIMER

    images.jpg"Le travail humain est une clé, et probablement la clé essentielle, de toute la question sociale, si nous essayons de la voir vraiment du point de vue du bien de l'homme. Et si la solution (...) de la question sociale, (...) doit être cherchée dans un effort pour «rendre la vie humaine plus humaine» , alors précisément la clé qu'est le travail humain acquiert une importance fondamentale et décisive." Laborem exercens

     A l'occasion du 30e anniversaire de l'Encyclique sociale Laborem Exercens

    vous êtes invités à assister à une Conférence

     LABOREM EXERCENS

    La place centrale du travail dans l’économie sociale de marché européenne

    Mercredi 21 septembre 2011

    14h30 - 17h30

    au Parlement européen, salle JAN 2Q2

    Conférence présidée par

    M. le Député Othmar Karas, Vice-Président du Groupe PPE

    M. le Député Gianni Pittella, Vice-Président du Parlement Européen, Groupe S&D

    Intervenant principal

    Cardinal Peter Turkson,

    Président du Conseil pontifical "Justice & Paix"

    Interprétation simultanée en anglais, français, allemand, italien, espagnol

    Télécharger le Programme

    Télécharger l' Invitation

  • Quand les adversaires de l'Eglise visent la tête...

    IMPRIMER

    La rentrée a bien eu lieu. Y compris celle des adversaires de l'Eglise. L'opération médiatique montée par le SNAP (cfr : http://www.belgicatho.be/) prenant le pape et trois cardinaux comme cible le montre bien. Les affaires de pédophilie qui désolent tout catholique normalement constitué constituent une arme que ces adversaires ne se lasseront pas d'utiliser.

    Nous nous sommes déjà expliqués sur ce blog et nous n'avons aucune indulgence à l'égard des faits de pédophilie (dont l'Eglise n'a pas le monopole) qui doivent être traités par les tribunaux civils avec toute la rigueur qui s'impose. Il suffit d'éplucher les gazettes pour se rendre compte que c'est un fait de société et que l'Eglise, sans y échapper, n'est pas, et de loin, l'institution qui compte en ses rangs le plus de pédophiles même si un seul serait encore, bien évidemment, un de trop.

    Il faut être de mauvaise foi pour ne pas reconnaître que ces scandales sont instrumentalisés pour jeter le discrédit sur l'Eglise du Christ et que cette campagne s'inscrit dans le cadre d'une persécution contre les chrétiens qui tend à prendre de plus en plus d'ampleur comme l'a montré le sommet de l'OSCE qui s'est tenu à Rome lundi dernier (cfr http://www.belgicatho.be/). Cet acharnement s'explique notamment par le fait que l'Eglise est la seule institution qui résiste aux dérives de ce temps en rappelant qu'il est une loi qui est au-dessus des lois humaines et qui interdit de tuer l'enfant dans le sein maternel, de nier la nécessaire complémentarité des sexes, de traiter l'être humain comme un objet, etc).

    En fait, l'Eglise est comme la voix de la conscience qu'il faudrait faire taire à tout prix. Les prêtres pédophiles, en affaiblissant le crédit moral de l'Eglise, ont offert à ses adversaires l'occasion rêvée pour tenter de l'étouffer. C'est une véritable épreuve et comme l'Eglise est le Corps du Christ, nous en ressentons tous la souffrance.

  • Sri Lanka : l'Eglise travaille à la réconciliation

    IMPRIMER

    AED International - Adaptation Robert Lalonde, AED Canada

    « Bien qu’elle ne représente qu’une minorité de la population, l'Église catholique peut jouer un rôle fondamental dans la reconstruction du Sri Lanka et l’aider à panser ses blessures, après de longues années de guerre civile qui a coûté la vie à 100 000 personnes », a confié le cardinal Malcolm Ranjith, archevêque de Colombo, à l’Aide à l’Église en détresse (AED).

    Il a dit que les catholiques détenaient « une position cruciale » pour aider à promouvoir la réconciliation entre les deux groupes ethniques du pays.

    Selon le cardinal Ranjith, après plus de 20 ans de guerre, l'Église peut aider à ramener la confiance entre Cingalais et Tamouls puisque les catholiques sont présents dans les deux communautés.

    « Un Cingalais ou un Tamoul, est avant tout un chrétien », a-t-il souligné, non sans penser qu’il y certains principes à respecter. « Si nous appliquons certains principes sincèrement, sans prendre partie, nous pouvons construire des ponts entre les deux communautés », a-t-il assuré.

    Pour l'archevêque de Colombo, des initiatives religieuses, comme le pèlerinage au sanctuaire Notre-Dame de Madhu, fréquenté par les deux groupes, peuvent aider à unir les habitants du pays. « Elles peuvent servir de catalyseur, d’exemple pour montrer que dans notre religion, les personnes peuvent vivre ensemble », a soutenu l’archevêque.

    Il insiste toutefois en disant que : « Plus que par la parole, nous devons témoigner dans les faits, montrer comment on vit les uns avec les autres ».

    Le cardinal a remercié l’AED pour l’aide qu’elle a fournie à l'Église durant et après la guerre civile, par exemple, en soutenant les séminaristes, la catéchèse, en contribuant au financement de matériel éducatif pour les chrétiens, en aidant les prêtres et en participant à la restauration d’édifices religieux endommagés par la guerre.

    L’AED est également intervenue au secours des personnes déplacées pendant le conflit. Selon le cardinal, 25 000 personnes se trouveraient encore dans les camps.

    source : https://www.facebook.com/note.php?note_id=10150294241212800

  • L'ONU et la "Population bomb", on remet ça...

    IMPRIMER

    C'est ICI

    "Ce n'est pas nouveau. Mais ça va mieux en le répétant de temps en temps : ONG et organisations internationales veulent à tout prix imposer au monde entier le contrôle de la population « choisi » par les femmes à travers la contraception.

    Mercredi dernier, organisé par l'Aspen Institute (qui est parrainé par Mary Robinson, Madeleine Albright et bien d'autres grands noms de la planète bien-pensante) un séminaire à Washington D.C. dans une série consacrée aux « 7 milliards » se penchait sur « La bonne gouvernance et le rendement-femmes ». Invitée d'honneur : Michelle Bachelet, ancienne présidente du Chili et directeur exécutif d'ONU-Femmes, et Vaira Vike-Freiberga, ancienne présidente de Lettonie.

    Il n'y a qu'une solution à l'explosion démographique (mais oui, on nous rejoue la Population Bomb d'Ehrlich qui s'était si lourdement trompé) : c'est de rendre la contraception plus accessible dans le monde en voie de développement, tel était le leit-motiv."

    Lire la suite ici : http://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2011/09/7-milliards-dhommes-il-faut-plus-de.html