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Témoignages - Page 214

  • L'enfer erythréen

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    D'Isabelle Cousturié sur aleteia.org :

    Quand le nom de Jésus-Christ désigne une torture inhumaine

    Découvrez les témoignages glaçants des chrétiens d'Érythrée subissant la terreur.

    En Erythrée, le nom de Jésus-Christ n’est pas prononcé comme on pourrait l’imaginer et, même à Noël, il peut susciter la terreur. Dans ce pays, où l’on arrête et jette en prison pour un oui ou pour un non, le nom de Jésus-Christ est donné à une torture pratiquée sur une personne arrêtée, surtout si celle-ci est chrétienne. Le prisonnier (e) qui arrive dans une des nombreuses prisons, officielles ou secrètes, qui tapissent le pays est attaché(e) et pendu(e) à un arbre de façon à ce que son corps prenne la posture d’une personne crucifiée comme « Jésus-Christ », d’où son nom.

    Surpris en train de prier

    Tout le pays est « une énorme prison à ciel ouvert, pleine de cellules et de camps de concentration » où l’on pratique « des formes sophistiquées de torture », semant la terreur parmi les détenus, rapporte un médecin chrétien, Berhane Asmelash, sorti de cet enfer. Une jeune femme, Elsa, ne sait même pas pourquoi elle a été arrêtée et torturée : « peut-être parce que j’ai été surprise en train de prier », confie-t-elle, aujourd’hui, à l’abri dans un camp de réfugiés. Berhane et Elsa font partie des 60 000 Erythréens qui, chaque année, fuient leur pays, par peur et désespoir, dont une grande majorité de chrétiens. 3 000 autres de leurs frères n’ont pas eu cette « chance » et croupissent dans les quelques 300 prisons, au milieu de 10 000 autres prisonniers politiques et de conscience. Leur seule faute pour beaucoup : « s’être fait prendre avec une Bible à la main », rapportent des rescapés. Leurs témoignages sont recueillis par la rédaction du site italien Tempi.it.

    La persécution dans ce pays, depuis son détachement de l’Éthiopie en 1991, est telle qu’elle est le reflet, selon l’ONU, d’un régime qui « perçoit la religion comme une vraie menace pour lui ». Tenu d’une main de fer par le président Isaias Afewerki, l’Erythrée est aujourd’hui comparée à la Corée du nord, et occupe la troisième position dans le classement des États réputés les plus répressifs. « Quand je suis en Erythrée, j’ai même peur qu’on puisse lire dans mes pensées », souligne un témoin, visiblement effrayé par l’énorme « système de surveillance », mis en place par le régime. La population, ajoute-t-il, vit en permanence, avec cette sensation d’être à chaque instant « passible de punition » pour tout et n’importe quoi.

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  • Le latin, langue de l'Eglise latine

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    Dans son numéro de décembre 2016 qui sort de presse ces jours-ci, le magazine  trimestriel Vérité et Espérance/Pâque nouvelle publié par l'association de fidèles "Sursum Corda" (responsable de l'église du Saint-Sacrement à Liège) fait paraître ces "Libres propos" que le professeur Paul-Augustin Deproost (U.C.L.) consacre à l'usage liturgique du  latin et du chant grégorien:

    "Une lapalissade qui n’en est plus une (*)

    Le titre de cet article ressemble à une lapalissade. Pourtant, on peut lui opposer une autre évidence : le latin a déserté l’immense majorité des assemblées liturgiques de l’Église latine, qui, en l’occurrence, porte bien mal son nom ; et il n’est pratiquement plus enseigné dans les séminaires, là où sont formés ceux dont la vocation première est précisément l’œuvre de la liturgie. Par ailleurs, sans qu’il soit utile d’entrer ici dans le débat qui distingue les formes ordinaire et extraordinaire du rite romain, on se rappellera cette disposition forte et bien connue de la constitution Sacrosanctum Concilium sur la liturgie : « L’Église reconnaît dans le chant grégorien le chant propre de la liturgie romaine. » C’était la première fois dans l’histoire de la liturgie que l’Église identifiait ainsi, au plus haut niveau, le « chant propre » qui doit accompagner la célébration de ses mystères et, accessoirement, la langue dans laquelle ils doivent être célébrés s’ils sont chantés. On sait ce qu’il en est advenu. Dans la plupart des cas, la recommandation conciliaire a tout simplement été ignorée au profit d’innovations musicales et liturgiques risquées sinon erratiques et parfois carrément hérétiques ; mais tout aussi préoccupante est l’attitude qui a consisté à vampiriser le « chant propre » de l’Église pour donner quelque lustre à une célébration par ailleurs fadement vernaculaire où le célébrant et le chœur ne parlent pas la même langue pour s’adresser à Dieu. Car il s’agit bien de cela. Le chant grégorien a été composé sur des textes latins pour être chanté dans des liturgies latines. Toute autre utilisation du « chant propre » de l’Église, aussi louable soit-elle, induit une mutilation de ce chant, car il est étroitement et ontologiquement lié à la proclamation de la parole de Dieu et à la célébration du mystère eucharistique, l’une et l’autre exprimées en latin au moins depuis le IVe siècle. Le chant grégorien est né en même temps que l’usage du latin dans la liturgie de l’Église d’occident ; on ne rompt pas impunément ce lien.

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  • Opus Dei : Messe à Bruxelles pour Mgr Echevarría

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    Ce samedi 17 décembre, à 11h00, une messe solennelle sera célébrée en l’église Saint-Jacques sur Coudenberg, Place Royale, pour le repos de l’âme du prélat de l’Opus Dei, décédé ce lundi.

    Ref. Messe à Bruxelles pour Mgr Echevarría

     JPSC

  • L'importance de la louange

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    Bertille Perrin, sur le site de Famille Chrétienne, interroge un moine bénédictin de l’abbaye de Solesmes (Sarthe) qui témoigne de l’importance de la louange, dans sa vie contemplative comme pour chacun de nous dans le monde.

    Un moine bénédictin qui parle de la louange, n’est-ce pas étrange ?

    Bien au contraire. D’ailleurs, je suis entré à Solesmes pour la louange. Je ne connaissais personne là-bas, mais j’avais constaté que ces moines vivaient une vie de louange, que toute l’organisation du monastère était tournée vers la louange. L’un des axes de notre Règle, c’est de « ne rien préférer à l’œuvre de Dieu ». Or, pour un moine, l’œuvre de Dieu, c’est la liturgie : la messe et les offices. Même notre formation intellectuelle est en vue de la liturgie, et notre liturgie est louange. Parmi les Psaumes que nous chantons, certains sont plus directement des Psaumes de louange, comme les trois derniers du psautier que nous prions en particulier le matin aux laudes.

    Quelle est la spécificité de la louange monastique ?

    Le métier de moine est l’inverse du métier de journaliste : le journaliste s’attache aux événements marquants, qui sortent de l’ordinaire ; alors que le moine regarde ce qui est présent chaque jour, et que l’on ne voit finalement plus : le soleil, la lune, les étoiles… Et il loue Dieu pour cela. De manière générale, la louange nous recentre sur l’essentiel : Dieu, cause de tout bien, cause du salut. Dans une société qui ne sait plus se tourner vers son Créateur, la louange rétablit cet équilibre perdu. Se tourner vers Dieu dans la louange, c’est remettre les choses en ordre : le monde ne parle de la terre que lorsqu’elle tremble, tandis que le moine loue le Seigneur chaque jour pour cette terre, sur laquelle peuvent vivre des milliards d’êtres humains ! Les personnes qui passent dans notre monastère ont souvent une appréhension à retourner « dans le monde », parce qu’ils ont goûté ici la paix propre à l’ordre juste des choses. Le monde leur apparaît alors comme une bousculade. Pourtant, Dieu est toujours le même, la Création est toujours la même, il n’y a donc pas de raison de ne pas continuer la louange le lendemain chez soi !

    Comment vivre de la louange « dans le monde » ?

    Il faut faire en sorte que la louange imprègne vraiment nos vies. C’est pourquoi il est souhaitable qu’il y ait des pôles paroissiaux pour louer le Seigneur de façon régulière. Dans mon enfance, il y avait les vêpres tous les dimanches à la paroisse. Aujourd’hui encore, un certain nombre de paroisses et de communautés proposent de chanter régulièrement les offices pour et avec les fidèles. C’est une très bonne chose. On peut aussi, bien sûr, louer seul, en disant les Psaumes ou de libres louanges, mais l’aspect communautaire est capital dans la vie d’un chrétien.

    Quelle est la juste place du chant dans la louange ?

    La louange souhaite être belle, pour s’approcher de Celui qui en est le centre. Il y a alors tout un environnement sensible nécessaire : l’église, l’architecture, mais aussi les chants, l’orgue, l’encens, les vêtements. La louange, ce n’est pas seulement les paroles des lèvres, c’est aussi tout ce qui les entoure. L’implication du corps est très importante : il peut nous alourdir parfois, mais puisqu’on ne peut faire sans lui, autant le mettre à profit. La présence du chant pour porter la louange me semble alors fondamentale. « Celui qui aime chante », dit saint Augustin. En Angleterre ou en Allemagne, toutes les paroisses ont des chorales. Nous, les Français, avons plus de mal à chanter, et c’est dommage. À ce titre, le chant grégorien est aussi un trésor à redécouvrir.

    Quels sont les fruits de la louange ?

    L’expérience de la louange unifie notre vie, car elle est très proche de notre fin dernière. Au Ciel, nous ne ferons que louer et adorer Dieu : lorsque nous chantons à la messe le Sanctus, nous « joignons nos voix à celles des anges » qui sont au Ciel ! Or, plus notre vie est en adéquation avec la fin dernière, plus nous sommes dans la paix, et plus la société se réordonne. Je suis persuadé que la louange porte non seulement des fruits de paix et de joie au niveau personnel, mais aussi au niveau social. 

  • Sainte-Catherine : une église au milieu du village

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    Lu sur le site du Journal Le Soir (Pierre Vassart):

    Sainte-Catherine au milieu du village

    Il y a le quartier, chaleureux, où l’on se divertit. Il y a aussi le quartier où vivent de nombreux habitants, comme dans un village, à l’ombre d’une église qui a échappé au pire.

    Les femmes ne dansent plus en crinoline sur les pavés de la place Sainte-Catherine, mais c’est tout comme. Depuis quelques semaines, les restaurants du quartier, bien malmenés par la série noire qui a figé Bruxelles au cours de l’année écoulée, refont le plein. Et les Plaisirs d’hiver, qui drainent les foules, n’ont fait qu’amplifier le mouvement.

    Il faut aller voir les splendides jeux de lumière qui apportent à la façade de l’église Sainte-Catherine une vie mystérieuse. Il faut entrer dans l’un des multiples restaurants qui, du Marché aux Poissons à la rue de Flandre, proposent des mets de qualité, des produits de la mer ultra-frais – « On a la chance d’avoir les importateurs à proximité », commente le président de l’association des commerçants du coin Marc Withofs –, mais aussi « une cuisine multinationale », comme le souligne le commerçant. Ou profiter encore de l’ambiance des chalets variés qui s’étalent aux pieds de l’édifice religieux, le seul du Pentagone construit au cours du XIXe siècle, et par l’architecte Joseph Poelaert encore bien ! On ne pourra qu’arriver à ce constat : la place Sainte-Catherine et ses abords sont l’un des cœurs de la capitale, qui affiche en cette fin d’année une vitalité réjouissante.

    Les commerçants, d’ailleurs, ne s’y trompent pas. Est-ce les chiffres de fréquentation piétonne du quartier fournis par Atrium, l’agence régionale du commerce, qui les y incitent ? Ils sont nombreux à vouloir s’implanter dans le quartier. C’est qu’une moyenne de piétons de 8.229 par jour (à hauteur du 10 rue Sainte-Catherine), ou même de 3.674 par jour (à hauteur du 38 rue de Flandre) ont de quoi attirer. C’est ainsi, pour ne parler que des derniers à s’y être installés, qu’un glacier réputé s’est établi cet été sur la place, de même que, non loin de là, une nouvelle succursale d’une chaîne de magasins de nuit bien connue, qu’un boucher très réputé de la côte belge ou encore qu’un établissement qui propose des sushis, voire un autre qui surfe sur la vague du hamburger haut de gamme.

    Mais le visiteur de passage ne le soupçonnera sans doute pas : « le quartier est un petit village en plein cœur de Bruxelles, résume Marc Withofs. Tout le monde se connaît, se dit “bonjour”, et l’ambiance est chaleureuse. » Car il y a les commerçants, mais également de nombreux habitants dans ce quartier. « Il y a ceux qui y vivent depuis des années – le plus célèbre d’entre eux étant le chanteur Arno, qu’on peut y croiser en terrasse les belles après-midi d’été –, et puis il y a de nombreux nouveaux arrivants, qui se font assez vite aux petits désagréments, comme les odeurs des restaurants », poursuit le commerçant. Il n’y a en outre qu’à observer les enseignes des cafés : les néerlandophones ont fait du quartier leur point de chute, et on s’y salue en néerlandais comme en français ou en anglais.

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  • Vingt-trois martyrs reconnus et de nouvelles béatifications en vue

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    "Recevant en audience, jeudi 1er décembre, le cardinal Angelo Amato, préfet de la Congrégation des causes des saints, le pape François l’a autorisé à publier les décrets reconnaissant le martyre de vingt-trois serviteurs et de Dieu et le miracle attribué à l’intercession d’un quatrième, ouvrant ainsi la voie à leur prochaine béatification.

    Le pape a ainsi autorisé la Congrégation des causes des saints à reconnaître le martyre de :

    • Mgr Teofilius Matulionis (1873-1962), archevêque-évêque de Kaišiadorys (Lituanie), mort après 26 ans de goulag soviétique ;
    • le P. Vincente Queralt Lloret (1894-1936), prêtre lazariste espagnol, et ses 20 compagnons (dont 6 autres prêtres lazaristes, 5 prêtres diocésains, deux religieuses Filles de la Charité et 7 laïcs vincentiens), tués pendant la Guerre civile espagnole entre 1936 et 1937 ;
    • le P. Stanley Francis Rother (1935-1981), prêtre du diocèse de Tulsa (Oklahoma, États-Unis), assassiné au Guatemala par un escadron de la mort. Il devient ainsi le tout premier martyr des États-Unis.

    Le pape François a aussi reconnu un miracle attribué à l’intercession du P. Giovanni Schiavo (1903-1967), prêtre italien de la Congrégation de Saint-Joseph, missionnaire au Brésil.

    Huit « vénérables »

    Enfin, le pape a autorisé la Congrégation des causes des saints à reconnaître les vertus héroïques de huit serviteurs de Dieu, qui ne pourront être béatifiés qu’après la reconnaissance d’un miracle attribué à leur intercession :

    • le cardinal Guglielmo Massaia (1809-1899), capucin italien, ancien missionnaire en Ethiopie ;
    • le P. Nunzio Russo (1841-1906), prêtre du diocèse de Palerme (Italie), fondateur de la congrégation des Filles de la Croix ;
    • le P. José Bau Burguet (1867-1932), prêtre du diocèse de Valence (Espagne) ;
    • le P. Mario Ciceri (1900-1945), prêtre du diocèse de Milan (Italie) ;
    • Sœur Suzanne Aubert (1835-1926), religieuse française originaire de Saint-Symphorien-de-Lay (Loire) et missionnaire en Nouvelle-Zélande, fondatrice des Filles de Notre-Dame de la Compassion ;
    • Sœur Luz Casanova (1873-1949), religieuse espagnole, fondatrice des Dames apostoliques du Sacré-Cœur ;
    • Sœur Catherine-Aurélie Caouette (1833-1905), religieuse mystique canadienne, fondatrice des Sœurs adoratrices du Précieux Sang de l’Union de Saint-Hyacinthe ;
    • Sœur Leonia Nastał (1903-1940), religieuse polonaise des Petites servantes de la Bienheureuse Vierge Marie Immaculée."

    Source

  • Le centième anniversaire de la mort du bienheureux Charles de Foucauld (1er décembre)

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    C'est aujourd'hui le centième anniversaire du martyre du Père Charles de Foucauld.

    (Source) Bienheureux Charles de Foucauld

    Ermite, prêtre, missionnaire (✝ 1916)

    Charles de Foucauld a été béatifié le 13 novembre 2005.
    Officier à la vie dissolue et scandaleuse, il se convertit à Paris. Il se fait moine puis ermite à Nazareth et enfin au Sahara. Sa vie  magnifique a suscité de nombreuses familles religieuses. 
    Centenaire Charles de Foucauld- Site internet du Centenaire de la mort de Charles de Foucauld
    - Ouverture internationale de l’année Charles de Foucauld, le 13 novembre 2015, 10ème anniversaire de la béatification de Charles de Foucauld
    Le 1er décembre 2016 nous fêterons le 100ème anniversaire de sa mort...
    - Année Charles de Foucauld 2015-2016
    - Recherche sur le site du diocèse de Viviers

    "Charles de Foucauld a eu une influence notable sur la spiritualité du XXe siècle et il reste, en ce début du troisième millénaire, une référence féconde, une invitation à un style de vie radicalement évangélique, et cela au-delà même de ceux qui appartiennent aux différents groupements dont sa famille spirituelle, nombreuse et diversifiée, est formée.

    Accueillir l'Évangile dans toute sa simplicité, évangéliser sans vouloir imposer, témoigner de Jésus dans le respect des autres expériences religieuses, réaffirmer le primat de la charité vécue dans la fraternité, voilà quelques-uns seulement des aspects les plus importants d'un précieux héritage qui nous incite à faire que notre vie consiste, comme celle du bienheureux Charles, à 'crier l'Évangile sur les toits… [à] crier que nous sommes à Jésus'" (source: site du Vatican, homélie de la messe de béatification)

    Charles de Foucauld (1858-1916)

    "Ordonné prêtre à 43 ans (1901), il partit au Sahara, d'abord à Beni-Abbès, puis à Tamanrasset parmi les Touaregs du Hoggar. Il voulait rejoindre ceux qui étaient le plus loin, 'les plus délaissés, les plus abandonnés'. Il voulait que chacun de ceux qui l'approchaient le considère comme un frère, 'le frère universel'. Il voulait 'crier l'Évangile par toute sa vie' dans un grand respect de la culture et de la foi de ceux au milieu desquels il vivait. 'Je voudrais être assez bon pour qu'on dise:  Si tel est le serviteur, comment donc est le Maître?'." (source: site du Vatican, biographie)

    - "Charles de Foucauld, une vie déroutante" (site de la Fraternité séculière)

    - "Charles de Foucauld (1858-1916), qui a longuement vécu dans le désert algérien, a été béatifié au Vatican, le 13 novembre 2005." (voir aussi le site internet de l'Église catholique en Algérie)

    - "Charles de Foucauld a été ordonné prêtre dans la chapelle du Grand Séminaire de Viviers, après avoir passé un an à la Trappe de Notre Dame des Neiges. Ainsi, il a été prêtre du diocèse de Viviers et rattaché à notre diocèse jusqu’à sa mort." (Le Père Charles de Foucauld - Un prêtre du Diocèse de Viviers - Église catholique en Ardèche)

    - Bienheureux Charles de Foucauld (1858 - 1916) La vie de Charles de Foucauld est marquée par la conversion et le désir d'aller vers les plus lointains. Il a été béatifié en 2005 par Benoît XVI. (Témoins - site de l'Église catholique en France)

    - La première et la plus sûre méthode pour découvrir et connaître Charles de Foucauld est de lire ses Ecrits et sa Correspondance. (diocèse de Lyon - témoins de la foi)

    - ...À Paris, guidé par l’abbé Huvelin, il retrouve Dieu à 28 ans. «Aussitôt que je crus qu’il y avait un Dieu, je compris que je ne pouvais faire autrement que de ne vivre que pour lui»... (diocèse de Paris)

    Charles de Foucauld - diocèse d'Alger

    Mon Père,
    Je m’abandonne à Vous,
    faites de moi ce qu’il Vous plaira.
    Quoi que Vous fassiez de moi,
    je Vous remercie.
    Je suis prêt à tout, j’accepte tout.
    Pourvu que votre volonté se fasse en moi,
    en toutes vos créatures,
    je ne désire rien d’autre, mon Dieu.
    Je remets mon âme entre vos mains.
    Je Vous la donne, mon Dieu,
    avec tout l’amour de mon cœur,
    parce que je Vous aime,
    et que ce m’est un besoin d’amour
    de me donner,
    de me remettre entre vos mains
    sans mesure,
    avec une infinie confiance
    car Vous êtes mon Père.

    Charles de Foucauld Supplication de Charles de Foucauld صلاة تسليم الذات

  • Statistiques de l’Eglise : l’Afrique apparaît comme le continent de l’espérance

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    De Jean Avesnes sur le site « info catho » :

    Le nombre de catholiques dans le monde poursuit son expansion, surtout en Afrique, d’après les chiffres tirés de l’annuaire statistique de l’Église, mis à jour au 31 décembre 2014 et publiés le 23 octobre dernier par l’agence Fides à l’occasion de la Journée missionnaire mondiale.

    Le Bureau Central des Statistiques de l’Église, évoque une Église dynamique dans un monde en mutation. L’Afrique apparait comme le continent de l’espérance pour l’Église catholique tandis que le nombre des ministres ordonnés, notamment religieux, enregistre un fléchissement surtout en Europe. Première donnée réconfortante : entre 2005 et 2014 (la période prise en considération par les auteurs de l’étude) le nombre des catholiques baptisés a augmenté à un rythme qui dépasse largement celui de la population mondiale : + 14,1 % contre + 10,8 %, à l’exception de l’Océanie.

    En 2014, le monde comptait ainsi 1272 millions de catholiques, soit 157 millions de plus qu’en 2005. 23 % de la communauté catholique mondiale vit en Europe, mais ce continent est le moins dynamique du monde, du point de vue du catholicisme. Depuis plusieurs années, les baptisés catholiques constituent environ 40 % de la population européenne. Au contraire, le continent africain est de loin le plus dynamique. Le rythme de croissance des baptisés catholiques dépasse 40 %, alors que la population africaine croit au rythme de 23,8 %. Les catholiques africains représentent désormais 17 % des catholiques du monde entier. L’Amérique enregistre un léger fléchissement mais continue d’accueillir près la moitié des catholiques baptisés.

    En Afrique, le nombre des prêtres, diocésains et religieux, a augmenté de 32,6 % entre 2005 et 2014, En Europe il a chuté de plus de 8 %. Par ailleurs, autre donnée étonnante : après une période de dynamisme entre 2005 et 2011, la croissance s’est arrêtée et ce phénomène se poursuit. Cela vaut aussi pour le nombre des séminaristes dont la diminution à partir de 2011 touche tous les continents à l’exception de l’Afrique et atteint 17,5 % en Europe.

    En 2014, les séminaristes d’Afrique et d’Asie représentaient 53,9 % du total mondial. L’Afrique compte actuellement 66 séminaristes pour 100 prêtres, ce qui laisse espérer un renouvellement générationnel, tandis que l’Europe n’en compte que 10 contre 100, ce qui laisse présager un vieillissement rapide du clergé. Le clergé religieux est plus touché que le clergé diocésain. En ce qui concerne les vocations féminines, 38 % des religieuses vivent encore en Europe, mais c’est justement sur le vieux continent, ainsi qu’en Amérique et en Océanie que leur nombre décline sensiblement.

    Source

    Ref. Statistiques de l’Eglise : l’Afrique apparaît comme le continent de l’espérance

    Ci-dessous, une visite épiscopale au Kwilu (RDC)

    JPSC

  • Pourquoi l’avortement est LE tabou de notre société redevenue primitive

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    Juppé.jpegA l’occasion du débat qui a opposé, hier soir, les deux candidats à la désignation du candidat des « Républicains » à l’élection du prochain président de la France, on a pu entendre Alain Juppé réaffirmer que l’avortement était « un droit » et des journalistes s’indigner que son concurrent, François Fillon, puisse déclarer qu’à titre personnel et sans la remettre en cause, il n’était pas favorable à cette pratique aujourd’hui largement dépénalisée dans les sociétés occidentales libertaires. Commentaire de Philippe Maxence sur le site du bi-mensuel « L’Homme Nouveau » :

    « De manière inattendue, la question de l’avortement s’est invitée dans le débat politique. Arrivé à la deuxième place de cette primaire, Alain Juppé a accusé François Fillon de variations coupables sur ce sujet. Ce dernier s’en est défendu, rappelant, à juste titre, qu’il n’avait jamais remis en question la loi Veil. Il aurait pu également souligner qu’il avait considéré naguère Simone Veil comme la conscience morale de la République…

    L’avortement reste donc la ligne de démarcation partageant le camp du bien – forcément ouvert et progressiste – du camp du mal – forcément réactionnaire, passéiste ou, pour employer les mots d’Alain Juppé : « extrêmement traditionaliste ». Lors de son meeting du deuxième tour de la primaire, le maire de Bordeaux a justement proclamé que l’avortement était un drame pour les femmes (sans aborder pourtant le cas de l’enfant à naître pour lequel c’est un drame mortel), mais était aussi un « droit fondamental ». On pourrait se demander pourquoi ce « drame-droit » est dans notre société devenu un tabou, au point qu’aucun homme politique n’est en mesure de s’y opposer ou de simplement oser proposer des alternatives.

    L’avortement, c’est l’achèvement de la modernité

    C’est que l’avortement est la quintessence du système de la démocratie moderne. Il est l’expression la plus poussée de la souveraineté de l’être humain, l’affirmation la plus absolue de son autonomie radicale, l’incarnation la plus totale de la liberté individuelle. L’avortement, c’est l’achèvement de la modernité, l’eau baptismale du système idéologico-institutionnel dans lequel nous sommes plongés. À défaut d’en prendre conscience et d’accepter en priorité de porter nos efforts à le remettre en cause, nous ne cessons de le conforter par des choix de demi-mesures. Nous colmatons peut-être des brèches dans l’urgence, mais ce sont celles d’un mur qui risque de nous écraser.

    L’impossibilité de parler de l’avortement, de pouvoir le remettre en cause, de proposer des solutions alternatives (qui existent) font bien de ce sujet le tabou de notre société. C’est-à-dire un thème sacralisé en dehors de tout champs rationnel, laissant seulement la place à la seule émotivité qui déferle et emporte tout sur son passage. Notre société tend ainsi à se disloquer et à redevenir primitive. »

    Ref. Pourquoi l’avortement est LE tabou de notre société redevenue primitive

    JPSC

  • Madeleine de Jessey : « Beaucoup d'électeurs ont la conviction que François Fillon peut apaiser la France »

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    « Avec François Fillon, ce serait une première étape du dé-tricotage de la loi Taubira : si Nicolas Sarkozy ou Alain Juppé passaient, le volet de la loi Taubira aurait été clos pendant cinq ans au moins, cinq ans durant lesquels la loi se serait enracinée dans les mœurs. On aurait alors toute la peine du monde à ouvrir de nouveau le débat » : la porte-parole de Sens commun, courant des Républicains issu de la Manif Pour Tous, revient sur la très large victoire de François Fillon au premier tour de la primaire. Pour elle, le pari de Sens commun de soutenir l'ancien Premier ministre est gagnant. Une interview réalisée par Hugues Lefèvre pour « Famille chrétienne » :

    « Au lendemain de la victoire de François Fillon au premier tour, quel est votre sentiment ?

    Le sentiment que c'est la France silencieuse qui s'est exprimée. C'est une belle victoire des Français. Cette France silencieuse a plébiscité trois caractéristiques de François Fillon. D'abord, son programme qui est sérieux et le plus abouti de tous. C'est son travail, mûri durant trois ans, qui a été largement récompensé. Ensuite, sa vision. Une vision qui refuse l'atlantisme, qui entend libérer les Français des contraintes qui pèsent sur eux et sur l'emploi. Une vision qui entend défendre la souveraineté de la France et réaffirmer ses valeurs fondamentales. Enfin, la personnalité même de François Fillon a fait la grande différence.

    Les Français ont exprimé leur besoin d'être à nouveau gouvernés par quelqu'un dont ils puissent être fiers. C'est un homme intègre qui n'a jamais été inquiété par la justice. Il est un homme d'État, à rebours de la « politique spectacle » et des présidents communicants et manœuvriers ; un homme qui a su imposer le respect à tous, par sa droiture, son calme et sa hauteur de vue. François Fillon est un homme serein, qui peut aborder des sujets très sensibles mais de manière rationnelle, ce qui permet de désamorcer toutes polémiques. Beaucoup d'électeurs ont la conviction que cet homme peut apaiser la France tout en engageant des actions très fortes et absolument nécessaires pour notre pays.

    Etes-vous étonnée par l'ampleur du résultat ?

    C'était au-delà de toutes nos espérances. C'est ce que nous nous disions tous hier soir. Mais nous ne sommes pas étonnés dans le sens où nous savions qu'il était le meilleur candidat, avec un programme exceptionnel et une stature d'homme d'État.

    Sens commun a réussi son pari ?

    Lorsque Sens commun a déclaré son soutien à François Fillon, il était entre 8% et 10% dans les sondages. Ce n'était pas gagné à ce moment-là. Mais nous avons fait un choix en pariant sur l'homme, son programme et sa vision. Nous étions convaincus que la France avait besoin de lui.

    Vendredi dernier, François Fillon a indiqué sur RMC que les couples homosexuels pourraient continuer à adopter dans le cadre de l'adoption simple. Comprenez-vous l'incompréhension de certains catholiques ?

    Je comprends que la formule puisse surprendre mais François Fillon reste sur sa ligne. Il a toujours dit qu'il supprimerait l'adoption plénière pour les couples homosexuels. Cela revient à dire qu'il laisse la possibilité de l'adoption simple. L'idée est de faire en sorte qu'un enfant ne puisse pas être né de deux pères ou de deux mères sur le papier. C'est l'idée de reconnecter la politique avec le réel.

    Chez Sens commun, nous aimerions qu'à terme la loi Taubira ne reste pas en vigueur parce qu'elle est mauvaise pour la société. Il n'empêche qu'avec François Fillon, ce serait une première étape du dé-tricotage de la loi Taubira. Si Nicolas Sarkozy ou Alain Juppé passaient, le volet de la loi Taubira aurait été clos pendant cinq ans au moins, cinq ans durant lesquels la loi se serait enracinée dans les mœurs. On aurait alors toute la peine du monde à ouvrir de nouveau le débat.

    C'est donc la logique du « petit mieux » qui s'impose ?

    Du petit pas ! C'est la stratégie du petit pas. Il faut bien comprendre aussi que la loi Taubira est l'aboutissement de soixante ans de défaites intellectuelles et culturelles. De la même manière, si nous voulons faire en sorte que cette loi soit définitivement écartée un jour, il va falloir reconquérir le terrain des médias et de la culture. Et nous sommes loin du compte aujourd'hui.

    S'il est élu en 2017, Sens commun veillera à ce que François Fillon applique ce point précis de son programme ?

    Bien sûr. Mais nous ne sommes pas inquiets. Ces derniers mois nous ont permis de le connaître davantage, d'apprécier sa constance. C'est un homme de parole. Nous ne sommes pas du tout inquiets.

    François Fillon est perçu comme un candidat économiquement très libéral et qui peut être en contradiction avec la Doctrine sociale de l'Eglise, notamment sur la notion d'option préférentielle pour les pauvres. Qu'en pensez-vous ?

    Je comprends ces inquiétudes car nous les avions nous-mêmes lorsque nous avons rencontré François Fillon en juin dernier. Nous lui avions parlé de cet ultra-libéralisme dont on l'accuse parfois. Il nous avait répondu que la première cause de pauvreté en France était le chômage, que les mesures drastiques qu'il proposait n'étaient pas une fin en soi mais uniquement un moyen pour libérer l'emploi, et redonner confiance, notamment aux jeunes générations très affectées par le chômage. Il y a chez lui une volonté de remettre l'homme au cœur de notre économie.

    Je pense qu'il faudrait trouver un nouveau terme pour faire la distinction entre un libéralisme égoïste et consumériste et un libéralisme qui vise à libérer l'emploi en mettant l'homme, son autonomie et sa fierté au cœur de son action. Les questions de la dette, du refus de l'étatisme et des suppressions de postes dans la fonction publique s'inscrivent dans un souci réel de faire en sorte que la France n'ait pas les mains liées par des investisseurs étrangers, Qataris, Saoudiens ou Américains par exemple. Car sinon, ces pays détiennent des pans entiers du régalien et peuvent exercer une pression sur nos décisions politiques et diplomatiques.

    Avec François Fillon, nous avons une dimension souverainiste qui s'inscrit complètement dans la vision économique de Sens commun. Lorsqu'on demande à François Fillon s'il est libéral, il répond qu'il est d'abord pragmatique. On ne pourra pas redonner la fierté d'être Français aux jeunes si la France ne leur donne aucune espérance.

    Chez Sens commun, comment comptez-vous peser sur le programme et la personnalité de François Fillon ?

    Nous n'allons pas peser sur son programme. Il est fait et il nous satisfait sur l'immense majorité des sujets. Nous allons continuer à faire campagne, en parfaite collaboration avec les équipes de François Fillon. »

    Ref. Madeleine de Jessey : « Beaucoup d'électeurs ont la conviction que François Fillon peut apaiser la France »

    JPSC

  • Samedi 19 novembre 2016 : consécration de la Pologne au Christ-Roi

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    Lu aujourd’hui sur le blog « Salon Beige », ce ‘post’ de Michel Janva :

    Les évêques de Pologne, le président de la République, le Premier ministre, les présidents de la Diète et du Sénat et quelque 100 000 fidèles ont participé aujourd’hui à Cracovie, au Sanctuaire de la Miséricorde Divine, à l’ « Acte d’accueil du Christ comme Roi et Seigneur de Pologne ». Cet acte solennel avait été précédé d’une neuvaine.

    Pologne Christ Roi.jpg

    Début de cet acte :

    "O Roi immortel des âges, Seigneur Jésus-Christ, notre Dieu et Sauveur ! En cette année jubilaire du 1050e anniversaire du baptême de la Pologne, en ce jubilé extraordinaire de la Miséricorde, nous, les Polonais, nous nous tenons devant Vous, avec nos autorités, le clergé et le laïcat, pour reconnaître votre règne, nous soumettre à votre loi, vous consacrer notre patrie et tout notre peuple. [Lire la suite]

    Conclusion de l'acte solennel :

    Pologne Christ Roi bis.jpg

    "Ici, la Pologne, à l'occasion du 1050e anniversaire de son baptême,

    A officiellement accepté la royauté de Jésus-Christ.

    Gloire au Père, au Fils et au Saint-Esprit:
    Comme il était au commencement, est maintenant et sera pour toujours. Amen."

    Ref. Consécration de la Pologne au Christ-Roi

    JPSC

  • Lille, 26 - 27 novembre : "Forum Jésus le Messie" pour mesurer l'extraordinaire force de conviction des musulmans convertis

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    Pour ceux que les relations entre Chrétienté et islam intéresse, pour ceux qui n'ont pas encore eu la chance de mesurer l'extraordinaire force de conviction des musulmans convertis, assister à ce forum et venir écouter une palette de intervenants passionnants est très chaudement recommandé. Inscrivez-vous!

    Du samedi 26 novembre 2016 à 9h15 au dimanche 27 novembre 2016 à 17h00 à MARCQ EN BAROEUL

    Programme des 26 & 27 novembre 2016 à LILLE

    Samedi 26 novembre 2016 : Salle Saint Paul, 22 rue Gallieni - 59700 MARCQ EN BAROEUL

    09H15 : Accueil

    09H30 : Conférence : Dieu miséricordieux en islam et Miséricorde en Jésus-Christ : quelle différence ?, Père Guy PAGES

    10H30 : Présentation des stands et associations

    11H00 : MESSE

    12H15 : Découverte des stands et déjeuner tiré du sac

    14H00 : Conférence : Peut-on annoncer l'Evangile aux musulmans ?, Père Samir Khalil SAMIR

    14H45 : Découverte des stands et associations

    15H15 : Conférence : Quelle liberté d'expression au sujet de l'islam ?, maître Frédéric PICHON

    16H00 : Pause et découverte des stands

    16H30 : Conférence : recherche historique sur les origines de l'islam, Odon LAFONTAINE

    17H30 : Pause et découverte des stands

    18H00 : Conférence : Perspective eschatologique et annonce I, Françoise BREYNAERT               

    19H00 : Dîner, tiré du sac

    20H30 : Veillée prière : chants, témoignage, adoration

    Dimanche 27 novembre 2016 : Salle Saint Paul, 22 rue Gallieni - 59700 MARCQ EN BAROEUL

    9H15 : Accueil

    9H45 : Conférence : Comment évangéliser les musulmans ? Père Henri BOULAD

    11H00 : MESSE

    12H30 : Déjeuner et découverte des stands

    14H00 : Conférence : islam / christianisme : quel Dieu pour quel homme ?, Annie LAURENT

    15H00 : Pause et découverte des stands

    15H30 : Conférence : Perspective eschatologique et annonce II, Odon LAFONTAINE

    16H00 : Atelier : Dialogue et annonce, Mission Angélus

    17H00 : Conclusion Prière finale

    Adresse : Salle Saint Paul
    22 rue Gallieni
    59700 MARCQ EN BAROEUL

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