Un "point de vue" intéressant sur l'Islam dans les Constitutions des Etats de l'Orient arabe nous paraît susceptible d'éclairer la question des rapports entre religion et politique dans les pays concernés par le "printemps arabe". Nous le soumettons à votre lecture parce qu'il nous semble objectif et équilibré:
"L’islam dans les Constitutions des États de l’Orient arabe, par Nael Georges, expert en droit arabe et musulman :
La création des États nationaux au début de XXème siècle au monde arabo-musulman a permis aux citoyens de cette région de développer un sentiment d’appartenance à la patrie et non plus à la ummah.
Néanmoins, la création de ces États modernes et l’instauration de certains principes égalitaires dans leurs constitutions n’ont pas amené à l’émancipation totale de l’Orient arabe. Ainsi, l’identité religieuse continue parfois à primer sur l’identité nationale lorsque l’islam dans cette région n’est pas seulement une religion, mais aussi, plus ou moins, un gouvernement, une politique, une culture, une coutume, une identité et une tradition..."
lire la suite ici : http://www.tolerance.ca/Article.aspx?ID=120019&L=fr


C’est l’agence Cathobel qui le relate en ces termes : « Pour la troisième fois en deux ans, le métropolite Hilarion, ‘numéro deux’ de l’Église orthodoxe russe, a rencontré Benoît XVI jeudi 29 septembre. Ces contacts sont destinés à lever les obstacles qui empêchent encore la tenue d’un sommet historique entre le pape et le patriarche Kirill.