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  • La religion la plus persécutée au monde

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    De Christophe Lamfalussy (La Libre) 

    Un rapport britannique parle de "la religion la plus persécutée au monde".

    La montée en puissance des groupes islamistes radicaux met en danger la liberté religieuse et la survie à long terme du christianisme au Moyen-Orient, estime l’organisation Aid to the Church in Need dans un rapport impressionnant, publié ce jeudi, qui répertorie les persécutions contre les chrétiens dans le monde depuis 2011.

    " Les objectifs de ces groupes islamistes incluent l’éradication - ou au moins la soumission - de la chrétienté ", souligne le rapport "Persecuted and Forgotten ?" qui a été présenté à la presse hier au Royaume-Uni. "Bien financés, bien connectés politiquement et disposant d’un entraînement et d’un équipement militaire high tech, ces groupes radicaux ont porté des coups sévères aux communautés chrétiennes, en semant la mort et en détruisant des églises."

    Lire la suite sur la Libre : Sale temps pour les chrétiens

  • Une Miss Monde très politiquement incorrecte

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    Megan Young Miss World Philippines 2013.jpgLu ici :

    La beauté du courage

    Peut-être n’apprécierez-vous pas le genre de beauté de la Philippine Megan Lynne Young, 23 ans, qui vient d’être couronnée Miss Monde le 22 septembre dernier à Bali en Indonésie. Mais sans nul doute vous admirerez le courage dont elle a fait preuve en répondant aux questions d’une journaliste sur le réseau de télévision ABS-CBN le 28 août trois semaines plus tôt.

    - Quelle genre de beauté préférez-vous ?

    - Celle de l’enfant à naître. Je suis opposée à l’avortement, je crois en l’abstinence avant le mariage, et je vois ce dernier comme une union inséparable pour la vie entière.

    A propos du projet de loi de Santé Reproductive (Reproductive Health) du gouvernement philippin bloqué par la Cour Suprême, sa réponse a été la suivante :

    - Je suis pour la vie (pro-life). Si le projet signifie tuer un être qui est là, je suis contre, bien sûr. Mes convictions sont : non à l’avortement.

    Quand on lui a demandé si elle était partisane de la contraception, sa réponse a été claire :

    - Je ne m’engage pas dans un truc pareil. Le sexe est réservé au mariage. Telles sont mes convictions.

    A la question : comment une fille splendide peut-elle ne pas avoir de relations sexuelles ? La réponse a volé :

    - Il faut répondre non à ce genre de demande. Si on essaye de vous y pousser, vous prenez du recul. En effet la personne qui vous propose cela ne mérite pas votre compagnie non plus que la moindre relation. Si en revanche un gars fait ce sacrifice, cela signifie beaucoup.

    Cette série de déclarations “politiquement incorrectes” n’a pas empêché cette jeune femme de remporter la couronne de Miss Monde un mois plus tard.

  • La provocation d'un acolyte indélicat

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    Il faut décidément se montrer très vigilant par les temps qui courent comme le montre cette malheureuse affaire montée en épingle sur SudInfo.be  : http://www.sudinfo.be/

  • Quand l'intelligentsia progressiste montrait beaucoup d'indulgence à l'égard de la pédophilie

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    De Gérard Leclerc sur France Catholique :

    Repentance progressiste

    Une page entière dans Le Monde daté d’aujourd’hui, sous la signature du correspondant à Berlin, donne singulièrement à réfléchir, même si elle concerne ce qu’on appelle « la période post-soixante-huitarde ». On y apprend que les groupes politiques qui se voulaient les plus ouverts à la révolution dite sexuelle ont ouvertement combattu en faveur de la dépénalisation de la pédophilie. On ne s’étonne pas que les libertaires se soient retrouvés sur la même ligne que les libéraux, les uns et les autres étant sous la pression du lobbying d’une association militant directement en faveur des relations sexuelles entre adultes et enfants. Il faut reconnaître au moins un mérite aux Grünen, c’est d’avoir volontairement ouvert leurs archives à un sociologue non complaisant, Franz Walter, pour faire la vérité sur ces années détestables.

    C’est Daniel Cohn-Bendit qui est d’ailleurs à l’origine du processus, rattrapé par la confession qu’il avait faite dans son livre intitulé Le grand bazar et où il révélait d’étranges relations avec les gosses dont il avait la charge dans un jardin d’enfants auto-géré à Francfort. Mais l’enquête met également en cause de grands journaux allemands comme Der Spiegel et Die Zeit connus comme particulièrement progressistes. Dans les années soixante-dix, toute une intelligentsia éclairée s’en prenait à ce qu’on appelait « un tabou qu’il faut revoir ». Frédéric Lemaître, l’auteur de l’article, conclut en indiquant que l’Allemagne n’était pas seule engagée dans cette peu ragoutante offensive. Les Pays-Bas et la France participaient du même état d’esprit. Le Monde lui-même et Libération, avaient publié en janvier 1977 une lettre signée par « la fine fleur de l’intelligentsia française » pour affirmer sa solidarité avec trois personnes accusées de délits sexuels à l’encontre d’enfants de treize et quatorze ans.

    ll est bien que la vérité se fasse enfin. Mais aura-t-on le courage d’aller plus loin en reconnaissant la faille anthropologique, morale de ce courant qui se voulait d’avant-garde et entendait changer le monde en tuant ses principes ?

  • Echos des European Encounters

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    Lu sur InfoCatho.be

    European Encounters, la foi au cœur de tous les débats…

    Du 11 au 13 octobre, ont eu lieu à Bruxelles, au Collège Saint Michel, les European Encounters. Une rencontre de jeunes adultes européens chrétiens actifs, centrée sur un constat… Le chrétien ne peut baser sa foi sur une intuition, la case intellectuelle est primordiale. Raison et Foi ont habité ce laboratoire de réflexions et d’échanges, durant trois jours intenses.

    Débats carrefours, apéros chrétiens, séances plénières… Les formats de la rencontre étaient multiples. « C’est le but », insiste Ludovic Goffinet porte-parole des European Encounters. « La rencontre est fondamentale dans cet événement ». Dans le cadre de l’année de la Foi, les European Encounters 2013 ont proposé, à partir de trois grands thèmes (Le Christ, avenir de l’Europe ; Le Christ dans la Cité ; Le Christ pour le monde), une compréhension renouvelée de l’actualité du Concile Vatican II.

    Les participants ont pu ainsi côtoyer d’importants acteurs de la société qui ont apporté leur témoignage de chrétien au cœur du monde scientifique, économique, politique, médiatique et culturel. Parmi eux, notamment, Mgr Léonard, l’archiduc d’Autriche Christian de Habsbourg, la directrice des programmes de la chaine de télévision KTO Philippine de Saint Pierre… mais également la présidente du Parti chrétien-démocrate français, Christine Boutin. Elle intervenait sur le thème « Une âme pour l’Europe », vendredi soir.

    Lire la suite et accéder aux entretiens sur InfoCatho.be

  • En Belgique, selon le réalisateur du film "l'euthanasie, jusqu'où", la pratique de l'euthanasie connaît des dérives

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    Lu sur La Croix :

    Pierre Barnérias : « En Belgique, l’euthanasie n’est pas exempte de dérives »

    Dans son film « L’euthanasie, jusqu’où ? », le réalisateur Pierre Barnérias (1) montre que le système de contrôle de l’euthanasie en Belgique – légale depuis dix ans – est lacunaire voire inexistant.

    • Pourquoi avez-vous décidé d’enquêter sur la pratique de l’euthanasie en Belgique ? 

    Le point de départ, c’est le travail que j’ai mené avec le réalisateur Frédéric Chaudier, qui a filmé pendant plus d’un an des patients hospitalisés en soins palliatifs à la maison médicale Jeanne-Garnier, à Paris. J’ai produit son documentaire, « Les yeux ouverts », sorti en 2010 au cinéma. 

    Fort de cette expérience, j’ai eu envie de savoir comment les choses se passaient dans des pays, comme la Belgique, ayant fait le choix d’autoriser l’euthanasie. J’ai commencé l’enquête sans aucun a priori, avec l’esprit ouvert et l’envie de comprendre. C’est alors que j’ai rencontré Marcel, un ancien syndicaliste belge plutôt favorable à l’euthanasie au départ. Cependant, après l’euthanasie de sa mère qui n’était pas malade, celui-ci s’est brutalement rendu compte qu’il n’y avait pas de contrôle, que l’euthanasie se pratiquait en dehors des critères fixés par la loi. Le constat était saisissant. 

    J’ai alors continué à enquêter, avec l’aide deux journalistes de talent, Anne-Laure Cahen et Clotilde Baste. Ce que nous montrons, c’est que dans ce pays, l’application de l’euthanasie n’est pas exempte de dérives.

    • Qu’avez-vous découvert en particulier ? 

    Le point central, c’est l’absence de contrôle effectif des euthanasies pratiquées, en dépit de la commission fédérale. Certains témoins, dont l’un apparaît dans le film, vont jusqu’à faire état d’homicides déguisés en euthanasie ! Des infirmières parlent à visage découvert des dérives auxquelles elles ont assisté… 

    Je ne prétends pas trancher le débat, dire s’il faut ou non légaliser l’aide active à mourir, mon film est simplement un éclairage de ce qui se passe aujourd’hui dans un pays ayant fait ce choix et où, manifestement, tout ne va pas bien. 

    J’espère qu’il va donner matière à réfléchir : sur ce que veut dire la « liberté » de mourir lorsque l’on n’a aucune réponse à sa souffrance ou encore sur la place du médecin qui soigne mais peut aussi donner la mort…

    • Pourquoi diffuser votre travail sur Internet et pas à la télévision ? 

    Aucune chaîne de télévision n’a accepté de diffuser le film, donc de le financer. Nous avons travaillé pendant deux ans, avec très peu de moyens, sans pouvoir aller aussi loin dans l’enquête que nous l’aurions voulu. 

    Malgré ces conditions précaires, nous avons été jusqu’au bout parce que nous avions la conviction qu’il y avait là un vrai sujet. J’avoue que l’absence de répondant du côté des diffuseurs me laisse perplexe.

    RECUEILLI PAR MARINE LAMOUREUX

    (1) Pierre Barnérias a 48 ans. Pendant 23 ans, il a travaillé pour de nombreuses chaînes de télévision, d’abord comme journaliste puis comme JRI (journaliste reporter d’images), France 2, France 3, TV5 monde, TF1, etc.

  • La Rédemption et la liturgie

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    De notre ami Jean-Pierre Snyers :

    La Rédemption et la liturgie

    On ne le dira jamais assez, l'une des grandes vérités qui rend le Christianisme unique par rapport à toutes les autres religions est que nous sommes d'abord sauvés par grâce et non en vertu de nos propres mérites. En affirmant cela, je ne veux évidemment pas dire que notre manière de vivre n'a pas d'importance et qu'elle n'aura pas d'incidence sur notre salut éternel. Mais autant il est vrai que nos comportements doivent tendre vers le bien, autant il est vrai qu'ils ne suffisent pas pour être trouvé juste devant Dieu. Du péché, l'homme ne peut se sauver lui-même. Toutes les bonnes actions que nous pouvons faire ne suffiront jamais pour que nous méritions la vie éternelle. Sur ce point-là, nous sommes à des années-lumière de ceux qui croient qu'ils deviendront  purs à force de se réincarner. Seule la grâce de Dieu peut nous sauver. Comment ? Uniquement à travers le sacrifice accompli par le Christ sur la croix. Seul, son sang versé pour chacun de nous nous délivre du péché et de la mort. Nier cette réalité, c'est nier tout saint Paul. Fidèle à l'Ecriture, à travers la liturgie eucharistique, l'Eglise affirme avec force l'importance de la rédemption. Voici quelques exemples significatifs...

    Lors de la confession de nos péchés : « Seigneur Dieu, Agneau de Dieu, le Fils du Père ; toi qui enlèves le péché du monde, prends pitié de nous ; toi qui enlèves le péché du monde, reçois notre prière. » Dans le Credo : « Pour nous les hommes et pour notre salut, il descendit du ciel. Crucifié pour nous sous Ponce-Pilate, il souffrit sa passion et fut mis au tombeau » A l'offertoire : « C'est Lui que tu as envoyé comme Rédempteur et Sauveur... Il étendit les mains à l'heure de sa passion afin que soit brisée la mort et que la résurrection soit manifestée ». A la consécration : « Au moment d'être livré et d'entrer librement dans la passion... Prenez et mangez-en tous, ceci est mon corps livré pour vous...Prenez et buvez-en tous, car ceci est la coupe de mon sang, le sang de la nouvelle alliance qui sera versé pour vous et pour la multitude en rémission des péchés ... Faisant ici mémoire de la mort et de la résurrection de ton Fils, nous t'offrons, Seigneur, la pain de la vie et la coupe du salut. » Avant la communion : « Agneau de Dieu, qui enlève le péché du monde, prends pitié de nous... Voici l'Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde. »

    Comme on le voit, il n'est pas possible d'être catholique (ni chrétien) sans accepter l'amour salvifique de notre Rédempteur. Puisse la catéchèse offerte par la liturgie nous aider à en prendre conscience.

    Jean-Pierre Snyers - jpsnyers.blogspot.be

  • Diocèse de Tournai, 29 octobre : journée des acolytes

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  • Clôturer l'année liturgique et entamer la nouvelle sur "prier en famille . com"

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    accueil_01B.gifLettre d'information du site - n° 6 - 15 octobre 2013
     
    Nous arrivons en fin d'année liturgique !
    Grandes étapes à vivre avec les enfants :
    - Vendredi 1er novembre : fête de TOUS LES SAINTS
    - Samedi 2 novembre : la prière pour ceux qui sont morts
    - Dimanche 24 novembre : le CHRIST, ROI DE L'UNIVERS
     
    Puis ce sera la nouvelle année liturgique (début : dimanche 1er décembre) :
    la période de l'AVENT va nous préparer à la grande fête de NOËL.
     
    Livre pour toute l'année liturgique : Vivre l'année liturgique avec les enfants
    Présentation - Commander chez l'éditeur - Commander par Amazon
     
    L'Avent, un temps pour bien préparer Noël
    Texte sur site - En livret chez l'éditeur - En livret par Amazon
     
    Éduquer pour le bonheur : guide pour la formation morale de l'enfant
    Présentation - Commander chez l'éditeur - Commander par Amazon
     
    Ancien Testament : nouvelle série de 50 dessins

  • Sur Euthanasie Stop (16/10/2013)

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    AUJOURD'HUI SUR EUTHANASIE STOP - 16/10/2013

     

    Un documentaire censuré par toutes les chaînes

    Publié par Michel JANVA (Journaliste)

    Lire « Un documentaire censuré par toutes les chaînes »

     

     

    L'euthanasie n'est pas la solution !

    Publié par Francesca SIGNORE (Juriste)

    Lire « L'euthanasie n'est pas la solution ! »

     

    Papa a eu peur que les médecins l'euthanasient

    Publié par Dominique BASTIN (Employée)

    Lire « Papa a eu peur que les médecins l'euthanasient »

     

    L'amour jusqu'au bout...

    Publié par Marie-Anne SCHNACKERS (Pédagogue)

    Lire « L'amour jusqu'au bout... »

    Découvrez nos autres articles en Néerlandais :
     

    "mensen" met een warm hart...

    Publié par Philip PINTELON (Ambtenaar)

    Lire « "mensen" met een warm hart... »

     
     

    Hedonistisme?

    Publié par Marc VANHOUTTE (Gepensionnerde, Heverlee)

    Lire « Hedonistisme? »

  • Christine Boutin revient sur son agression à Bruxelles

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    Christine Boutin a été agressée en même temps que Mgr Léonard le vendredi 11 octobre dernier. Elle revient sur ces évènements dans un entretien avec Jeanne Coral sur Boulevard Voltaire :

    • Vous vous êtes fait enlacer vendredi dernier en Belgique par quatre femmes seins nus alors que vous interveniez au sein d’une rencontre européenne des jeunes actifs catholiques. Vous êtes restée très calme, apparemment… Pourtant, ça doit être surprenant ?

    Effectivement, je ne m’y attendais pas du tout. Je n’avais pas jugé nécessaire que les organisateurs mettent en place des mesures de sécurité particulières. Des femmes et des hommes, une vingtaine de personnes au total, sont entrés dans la salle en criant notamment « caca boutin », ce qui relève d’un niveau intellectuel proche de la maternelle.

    J’ai bien entendu été surprise – puis j’ai maintenant de l’expérience, j’ai souvent été agressée et, en général, j’arrive à me contrôler –, mais cette fois, chose incroyable, j’ai eu la sensation d’avoir été inondée d’une véritable douche de paix, une paix très profonde qui explique mon calme.

    • Juste à côté de vous, l’archevêque de Malines-Bruxelles André-Joseph Léonard a, lui, été la cible de l’entarteur Noël Godin. Ce dernier a affirmé que « cette action, qui a été un succès, visait les anti-homosexuels, anti-avortements et était dirigée contre l’intégrisme catholique ». Vous vous sentez visée ?

    C’est le qualificatif qu’a utilisé ce monsieur. Mais je crois que ce qui s’est passé – d’une extrême violence — est révélateur d’un véritable bouleversement de notre société. Nous sommes aujourd’hui entrés dans un combat qui n’est pas d’ordre politique mais d’ordre spirituel. Désormais, la vraie question qui est posée aux Français, c’est celle de la construction, ou non, d’une société sans Dieu. Madame Taubira nous a bien dit qu’elle souhaitait un changement de civilisation. Ce changement de civilisation est en réalité la proposition qui est faite aux Français par le gouvernement actuel, qui est la construction d’une telle société.

    Ces femmes nues, qui s’appelaient autrefois « Femen », ont changé de nom. Elles s’appellent désormais les « Liliths ». « Lilith » est une référence diabolique, tout simplement. Ce changement n’est pas neutre. J’affirme aujourd’hui avec force que nous sommes face à un combat spirituel qui va se traduire politiquement. Le positionnement qui nous est demandé n’est plus un positionnement droite/gauche. Il s’agit de savoir si nous voulons une société avec une transcendance ou sans transcendance.

    • Pourquoi, selon vous, votre message est-il si mal interprété ?

    Je ne sais pas s’il est mal interprété. Les « Liliths » et tout le courant de pensée que représentent ces femmes ont parfaitement compris ce que je représente. Je refuse la construction d’une société sans Dieu.

    • On oppose toujours les actions, un peu spectaculaires, des Femen à l’action plus « pacifique » des Veilleurs. N’auriez-vous pas intérêt à changer de registre et à faire davantage parler de vous ?

    Je ne cherche pas à faire parler de moi. J’essaie simplement de vivre ma foi en vérité. En revanche, les idées que je porte et les questions que je pose sont beaucoup plus importantes. Et il se trouve que mon engagement politique me permet d’avoir une parole et de dire les choses. Être catholique, c’est être profondément libre. Mais pour être libre, encore faut-il avoir la connaissance des enjeux. Or, en tant que femme politique, j’ai un regard depuis trente ans sur ce qu’il se passe dans notre pays, et je sais qu’aujourd’hui, la question qui est posée est bien celle de la transcendance de notre société.