Ce dimanche 21 août, au journal parlé de 8h00, la RTBF annonçait (parmi les nouvelles brèves) qu’un violent orage avait obligé Benoît XVI à battre en retraite, samedi soir, alors qu’il était réuni (pour la veillée de prière et l’adoration nocturne ndlr) à l’aéroport madrilène de Cuatro Vientos, avec un millier de catholiques…Est-il vrai que le ridicule ne tue pas? Ils étaient près de deux millions et, n’en déplaise aux Homais Ertébéens,
Benoît XVI n’a « disparu » (un moment) que pour revêtir ses habits liturgiques ! Question à Mme Fadila Laanan, ministre de l’audiovisuel de la Communauté française de Belgique.
Comme l’a noté notre confrère du Swiss Romain « le bienheureux Jean Paul II est allé chercher les jeunes, et ils aimaient la chanson et le chanteur. Benoît XVI a eu l'immense mérite de venir après un géant, tout en restant lui-même, humble, souriant, doux, touchant les coeurs par sa gentillesse, sa finesse, son élégance » (et, ajouterions-nous, son authenticité)
« Les jeunes l'ont découvert encore plus à Madrid, pour devenir vraiment la génération Benoît XVI. Les moments de silence durant l'adoration furent de toute beauté! Leur Pape est resté avec eux sous la pluie et le vent, alors que bien des journalistes craignaient pour leur propre sécurité » (sans compter ceux qui demeuraient à l‘abri Reyers)
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