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Belgique - Page 360

  • Samedi 9 juin à Liège :500 fidèles ont célébré la Fête-Dieu au Boulevard d’Avroy

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    100_3448.jpgCinq cents fidèles se sont retrouvés le samedi 9 juin  à Liège, dans l’église du Saint-Sacrement pour la Solennité de la Fête-Dieu (célébrée selon la forme extraordinaire du rite romain) et pour la procession qui s’est ensuite déroulée au Boulevard d’Avroy et dans les rues adjacentes. Beaucoup de ferveur dans la foule venue essentiellement de Liège et de sa grande banlieue mais aussi de Verviers, de Banneux  et  même de Malmedy. Du panache avec l’Harmonie de Montzen, les superbes bannières et le dais du Saint-Sacrement apportées par les paroisses de Vottem et de Grand-Halleux. Sans oublier les beaux chants grégoriens des dix-huit choristes de la Schola Cantorum  de Roermond (Pays-Bas) ni Gauthier Bernard, un jeune organiste de talent (titulaire des orgues de l’église Sainte Julienne à Verviers).

    C’est le Doyen de Liège-Centre, le chanoine Eric de Beukelaer, qui prononça l’homélie de la messe. Voici le texte de sa prédication : 

    «Ceci est mon corps… Ceci est mon sang, le sang de l’alliance, répandu pour la multitude». (Marc 14, 12-26)

    Le dimanche de la fête du Corps et du Sang du Christ – appelée communément « la Fête-Dieu – est d’origine liégeoise et remonté au XIIIe siècle. Comme le rappela le pape Paul VI en 1965 : « elle fut célébrée la première fois au diocèse de Liège, spécialement sous l’influence de la Servante de Dieu, sainte Julienne du Mont-Cornillon, et Notre Prédécesseur Urbain IV l’étendit à l’Eglise universelle » (encyclique Mysterium Fidei n°63). Il est donc juste que dans notre bonne ville de Liège, ce dimanche de la Fête-Dieu soit particulièrement honoré.

    Je remercie le Comité organisateur de m’avoir invité à prêcher en cette occasion. Car ce n’est pas avant tout l’abbé de Beukelaer, mais le Curé-Doyen qui prêche. Or, qui a-t-il de plus connexe que la célébration de l’Eucharistie et l’apostolat du Curé ? Sans doute que celui qui avait le mieux compris cela, fut le curé d’Ars. Quand il avait un trou de mémoire lors de ses sermons, celui-ci se contentait de désigner le tabernacle en s’écriant : « Mes amis… Il est là ! Il est là ! » Tout était dit et je pourrais me contenter de l’imiter. Mais – comme je n’ai pas la capacité de conviction du Saint Curé – je vais tout de même poursuivre encore un peu. En cette fête de l’adoration eucharistique, arrêtons-nous donc sur le sens de tout cela. Qu’est-ce que l’Eucharistie et pourquoi l’adoration?

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  • L'échec de la "belgian way of life"

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    Une enquête réalisée par la RTBF met en lumière le mal-être de nombreux Belges. Bien sûr, les enquêteurs chargés de réaliser cette étude pour le compte d'une mutualité socialiste expliquent cette situation par des causes socio-économiques et préconisent pour y remédier un accompagnement surtout psychologique. Pour notre part, nous constatons que, dans un pays parmi les plus déchristianisés d'Europe occidentale, un des plus avancés dans la décomposition de la famille et dans le mépris de la vie, l'individu livré à lui-même, affranchi de la religion et de la morale tombe en dépression profonde. Les liens familiaux et sociaux distendus ou rompus laissent l'homme seul face à des problèmes multiples aggravés par la crise économique. Mais, pour nous, le problème est avant tout spirituel. Comment affronter la vie lorsque plus rien n'a de sens? Une société laïque (ou plutôt laïciste) qui n'apporte aucune réponse aux questions existentielles qui taraudent le coeur de l'homme peut-elle l'empêcher de sombrer dans le désespoir? Tant il est vrai que lorsqu'il y a éclipse de Dieu, il y a immanquablement éclipse de l'homme. Ce constat doit, plus que jamais, nous déterminer à être présents de façon inventive aux côtés de ceux qui souffrent et à témoigner de notre espérance et de cette joie profonde que le monde ne peut nous ravir.

    On pourra consulter cette enquête sur le site de la RTBF.

    Extraits :

    L'économie va mal, et ce n'est pas sans impact sur notre moral. Mais en dehors de la crise, d'autres sujets angoissent les Belges: la capacité de la politique à nous tirer de là ou l'avenir des enfants ou encore celui des parents... Résultat seul un Belge francophone sur quatre échappe à la déprime, et un sur dix exprime un profond mal-être permanent. De plus, 8% ont déjà tenté de se suicider. (...)

    Clairement, les réponses des sondés indiquent que leur moral est en berne et que notre société est de plus en plus anxiogène. Et cela s'aggrave depuis 5 ans, selon les auteurs de l'étude. (...)

    Les autres sondés expriment des intensités de mal-être et de souffrances psychiques variables. Mais un sur dix exprime un profond mal-être permanent. (...)

    Par ailleurs plus d'un Belge francophone sur dix a déjà pensé à se suicider et les deux tiers d’entre eux ont tenté de passer à l’acte. 8% de personnes ayant tenté de mettre fin à leurs jours: c'est alarmant quand on sait qu'il y a dix ans, on en comptait 3%, disent les auteurs.

    Parmi eux on retrouve des catégories à risques déjà évoquées: les demandeurs d’emploi, davantage les femmes que les hommes et également davantage parmi les familles monoparentales. Et les jeunes sont très touchés: 18% de tentatives chez les 18-25 ans.

    Avec 700 suicides aboutis en Wallonie chaque année, on est loin au dessus des chiffres de la Flandre ou des Pays-Bas, relèvent les auteurs de l'étude. (...)

    L'avenir ne semble pas rose: une large majorité pense que la crise économique va encore durer et encore plus parmi les étudiants. L'autre sujet de préoccupation, ce sont les proches: les enfants et les parents.

    Une large majorité de ceux qui ont des enfants – six sur dix d’entre eux, surtout chez les demandeurs d’emploi et les familles monoparentales–, sont vraiment très inquiets de l’avenir de leurs enfants, notamment pour ce qui est de la qualité de l'enseignement, pour les résultats scolaires et à cause de la difficulté de dialoguer. On note que le risque qu'un enfant ait un accident grave en voiture inquiète une majorité de sondés (63%).

    Le suicide chez les enfants est une autres des préoccupations majeures: trois parents sur dix craignent le suicide d’un de leurs enfants, surtout les parents d’adolescents et davantage les mères que les pères.

    Les enfants se préoccupent aussi de leurs parents. Plus de six sur dix sont très inquiets face au risque de dégradation de la santé de leurs propres parents et la grande majorité de ceux-ci ajoutent une autre angoisse : l’incapacité dans laquelle ils seront d’avoir les moyens pour s’occuper d’eux quand ils en auront besoin. (...)

    Autres raisons d'angoisser: le risque de se retrouver seul(e) dans la vie qui travaillent une personne sur deux et la violence, petite délinquance, vandalisme et incivilités, redoutés par six personnes sur dix. Les soucis de santé et les grands thèmes de société inquiètent aussi fortement de quatre à cinq personnes sur dix: la faim dans le monde, le réchauffement climatique et le risque de conflits internationaux.

    L'enquête indique aussi que 42% des sondés expriment explicitement un besoin d’accompagnement. Extrapolé, cela fait près de 1,1 million de personnes.

    En effet, parmi les 75% de la population qui expriment des souffrances psychiques à des intensités variables, une majorité – six sur dix d’entre eux – dit ressentir le besoin d’une aide. Et, moins on se sent bien, plus on exprime ce besoin d’accompagnement et d’aide. (...)

    C'est la conclusion: seul un Belge francophone sur quatre ne ressent jamais de mal-être. Un sur dix exprime un mal-être permanent. Entre ces deux états, les intensités de souffrance psychique sont variables. Les 5% de la population qui souffrent d’un épisode dépressif majeur et même les 45% qui souffrent d’un état dépressif léger ou modéré constituent une population "à risque", qui pourrait plus ou moins rapidement basculer en dépression plus sévère.

  • Koekelberg, 14-17 juin : fête du Sacré-Coeur

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    Adoration-Basilique-Sacre-Coeur-de-Koekelberg-Bruxelles-1.jpgBasilique nationale du Sacré-Coeur - Bruxelles

    FÊTE DU SACRÉ CŒUR

    - JEUDI 14 JUIN : VEILLÉE DE PRIÈRE
    - 20h : enseignement par le père Édouard Marot sur le Cœur de Jésus suivi d’une veillée de prière et de l’Heure Sainte en silence (23h-24h)

    VENDREDI 15 JUIN : JOURNÉE D’ADORATION SOLENNELLE
    - 8h : Laudes
    - 9h : Messe du matin
    - 9h30-18h : Adoration solennelle communautaire du Saint Sacrement et possibilité de confession
    - 18h : Prière avec le groupe de la Miséricorde Divine
    - 19h : Messe solennelle du Sacré Cœur

    DIMANCHE 17 JUIN :
    - 10h30 : Messe bilingue du Sacré Cœur, présidée par Mgr Kockerols, évêque auxiliaire pour Bruxelles

    source : catho-bruxelles.be

  • 2014 : 750e anniversaire de l'extension de la Fête-Dieu à l'Eglise universelle

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    Dans deux ans, on célèbrera l'extension par Urbain IV de la célébration de la Fête-Dieu à l'Eglise universelle, en 1264. Cet anniversaire donnera-t-il lieu à des commémorations à la hauteur de l'évènement, en particulier à Liège? Pourrait-on espérer que la grande procession, de la cathédrale à la basilique Saint-Martin, soit restaurée et que des célébrations soient organisées en divers lieux (à Cornillon? à Retinne?...). Rien n'a encore percé jusqu'à présent mais on peut s'attendre à ce que les services d'information du diocèse dévoilent le programme des festivités prévues. C'est promis, on vous tiendra au courant.

  • 11 nouveaux prêtres à la Communauté Saint Jean

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    Lu sur le « Salon beige », cette bonne nouvelle :

    « Le samedi 30 juin, au sanctuaire d’Ars, le Cardinal Robert Sarah, président du Conseil Pontifical Cor Unum, procédera à l’ordination de 9 prêtres et de 9 diacres.

    Plus tard dans l’année auront lieu d’autres ordinations de frères : 2 ordinations sacerdotales, une en Autriche et une en Côte d’Ivoire ; 3 ordinations diaconales seront célébrées respectivement au Brésil, Mexique et aux Etats-Unis.

    Les frères de Saint-Jean ordonnés cette année sont de 11 nationalités différentes (9 Français, 1 Lituanien, 1 Belge, 1 Autrichien, 1 Camerounais, 2 Ivoiriens, 1 Togolais, 1 Guinéen, 1 Sénégalais, 3 Américains et 2 Mexicains).

    Les nouveaux prêtres et diacres exerceront leurs ministères dans l’un des 63 prieurés des Frères de Saint-Jean répartis sur les 5 continents et dont une vingtaine est située en France. Ces religieux mènent une vie en petites communautés dont le cœur est l’oraison silencieuse, le témoignage de la charité fraternelle mais aussi une vie apostolique au service de l’Eglise : ils auront la charge de missions diverses. Ils seront aumôniers d’établissements scolaires ou dans le monde étudiant, curés de paroisse, professeurs de séminaires, au service de jeunes qui veulent se sortir de la drogue ou encore visiteurs de prison, etc.

    La Communauté des Frères de Saint-Jean compte plus de 540 frères (dont 266 prêtres), issus de 35 pays. Elle accueille une cinquantaine de novices, dont la moyenne d’âge est d’environ 30 ans. A l'occasion des Journées de Pentecôte (26–28 mai 2012) à Paray le Monial, 8 Frères de Saint Jean ont pris l'habit de la Communauté, 7 frères et 2 soeurs apostoliques ont fait profession perpétuelle, 6 frères ont fait profession temporaire »

     Les frères de Saint-Jean sont implantés aux diocèses de Liège (Banneux), Namur (Libramont) et maintenant aussi dans l’archidiocèse de Malines (à Bruxelles). Une expansion aussi tributaire du bon vouloir épiscopal…

  • Immigration : le modèle belge s'enraye

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    Après les incidents qui ont suivi l'interpellation d'une femme portant le niqab, la semaine dernière à Molenbeek, les évènements prennent une tournure inquiétante : jets de pierre hier (jeudi) contre un policier, et voilà qu'à présent des policiers viennent de se faire poignarder dans le métro au nom de la guerre sainte, tout cela dans la même commune.

    Le "modèle belge", si on peut nommer ainsi un laxisme total en matière d'ouverture des frontières ainsi qu'une absence tout aussi totale d'une véritable politique d'intégration, manifeste son incohérence et son impuissance. Après les rodomontades de Philippe Moureaux stigmatisant les journalistes de la RTBF qui avaient eu le courage de dénoncer les dérives de l'intégrisme islamiste dans notre pays, on a vu tous les tenants de la bienpensance politique et médiatique condamner les déclarations de Didier Reynders qui a eu le brave culot d'évoquer l'échec de la politique d'immigration à Bruxelles.

    A présent, il va bien falloir "gérer" (comme on dit aujourd'hui à propos de tout et de n'importe quoi) la situation que la faiblesse et la démagogie des responsables politiques ont engendrée. Nous n'allons pas faire les malins et brandir des "il n'y a qu'à" ou, pire, tenir de sommaires discours aux relents xénophobes. Ce n'est pas en deux coups de cuiller à pot que l'on règlera ces problèmes mais la question est de savoir si l'on trouvera encore chez nos élus suffisamment de sens du bien commun, de sagesse et de fermeté pour prendre les bonnes décisions et pour mener, s'il en est encore temps, une politique d'intégration intelligente.

    Ce n'est pas en laissant se développer, dans les mosquées ou ailleurs, des attitudes communautaristes et identitaires agressives que l'on peut préparer pour notre pays un avenir harmonieux. Evidemment, il est plus facile de brimer les catholiques qui ne posent pas de bombes, qui ne jettent pas de pierres et ne sortent pas de couteaux, que d'oser s'en prendre énergiquement à des fauteurs de troubles déterminés à déstabiliser nos institutions. Le tout n'est pas de se faire élire mais bien, une fois élu, de montrer sa capacité à assurer la sécurité et le bien-être de ses concitoyens.

  • BXL, 10 juin : procession du Saint-Sacrement

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    affiche fete-dieu 2012 im.jpg

    ...et aussi : une autre procession ce 10 juin : à Molenbeek, départ 15h de l'église St-Rémi (métro Ribaucourt). Présence des frères de St-Jean du couvent de Jette.

  • Le nouvel ordre laïc

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    Le nouvel ordre social, éthique, familial, inscrit dans les législations des démocraties libérales avancées, sera-t-il bientôt imposé à toutes les composantes de la société? Celles-ci auront-elles d'autre choix que de s'y conformer? On peut appréhender le pire lorsqu'on voit un Pierre Galand, président du C.A.L., dénier à Mgr Léonard le droit de s'opposer ou même de critiquer la législation sur l'euthanasie. Ou encore, lorsqu'on voit des politiciens belges, et même des ministres faire des remontrances au pape lui-même pour des propos (déformés) sur l'homosexualité jugés déplacés... Ce qui est voté ne serait donc plus discutable et risque de devenir la seule norme. Pourtant, lorsqu'une loi est considérée comme un "héritage du passé" et comme "restrictive", elle peut être critiquée et combattue pour en imposer une plus conforme aux revendications des lobbies pro-avortement, pro-euthanasie, lgbt, etc. C'est, par exemple, ce qui se passe en France où la loi Léonetti, restrictive à l'égard de l'euthanasie, est critiquée au nom du "droit de mourir dans la dignité" mais où celui qui dénoncerait la loi Veil libéralisant l'avortement serait frappé d'anathème. Dans la droite ligne de cette logique totalitaire d'une société qui rejette toutes les normes d'une morale se réclamant de la loi naturelle et/ou des standards traditionnels, une loi vient d'être votée au Danemark qui impose à l'église luthérienne de célébrer des "mariages" homosexuels dans les églises. On peut être légitimement assez inquiet face à cette montée d'un intégrisme laïc qui menace ouvertement la liberté de conscience et qui restreindra systématiquement les possibilités d'une quelconque objection formulée au nom de convictions en contradiction avec lui.

  • Saint-Sacrement : triste paradoxe

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    Ce dimanche de la Fête-Dieu, fête du Saint-Sacrement, l'église du Saint-Sacrement de Binche (ancienne église des récollets, XVIIIe s.) fermera ses portes, à titre définitif, semble-t-il. Elle sera réaffectée en hôtel ou Dieu sait quoi. Quelle tristesse! Ne manquerait-on pas un peu d'imagination dans nos évêchés et dans nos cures?

    Eglise du Saint-Sacrement de Binche, c’est fini! (source : Info Catho.be)

    La dernière messe y sera dite dimanche, puisque l’église va être vendue pour la modique somme de 1 euro.

    La paroisse avait reçu l’église du Saint-Sacrement pour un franc symbolique. Cela se passait en 1976. Mais aujourd’hui, elle ne peut plus assumer tous les coûts inhérents au bon fonctionnement d’une église, tels que le paiement des assurances, la réfection de la toiture ou encore la restauration des vitraux.

    Les futurs propriétaires, s’il y en a, sont à ce jour encore inconnus. Tous les paroissiens voudraient que leur église reste bien sûr un lieu de culte, mais hélas, cela ne sera pas possible. L’église deviendra peut-être un hôtel, un immeuble à appartements ou un centre culturel. Dans tous les cas, les travaux de rénovation seront gigantesques; leur coût aussi d’ailleurs.

    L’église du Saint-Sacrement de Binche n’est pas la seule à subir ce sort en Belgique. De nombreux autres édifices religieux, dont on ne connaît pas le nombre exact, ont ou vont être affectés à d’autres fins que celles du culte. Une situation inévitable, qui inexorablement, se met en mouvement dans notre pays.

  • Bulletin de l'Iinstitut Européen de Bioéthique - 6 juin 2012

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    images (4).jpgSommaire

  • BXL, 8 juin : Messe pour la vie présidée par Monseigneur André-Joseph Léonard

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    le_8_juin_a_i8h.jpg

    Messe pour la vie présidée par Monseigneur André Joseph Léonard

    Communauté Saint Jean
    Eglise de la Madeleine : 225 Avenue de Jette - 1090 Bruxelles

    Pour info :
    - Communauté Saint-Jean : www.stjean-bruxelles.com
    - Mission de Marie : http://www.missiondemarie.org