Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

conférences, spectacles, manifestations - Page 103

  • BXL, 31 mars : conférence-débat "La liberté d'expression et les religions"

    IMPRIMER

    Conférence-Débat 
    Panel Discussion 

     

     
    La liberté d`expression
    et les religions
      

    Freedom of Speech
    and Religions 



    Mardi/Tuesday 31.03.2015, 19:00 



    Participants :
    M. Albert Guigui, Grand Rabbin de Bruxelles / Chief Rabbi of Brussels

    M. Mohammed Jamouchi, Secrétaire Général - Religions for Peace /
    Secretary General - Religions for Peace

    Mgr Léon Lemmens, Evêque auxiliaire de Malines-Bruxelles/Brabant Flamand / Auxiliary bishop of Mechelen-Brussels/Flemish Brabant

    M. Roland Genson,
    Directeur SG Conseil de l`UE, Spécialiste des politiques UE relatives à la Liberté, la Sécurité et la Justice / Director SG Council of the EU, specialist in EU Policy on liberty, security and justice.

    Modérateur / Moderated by:
    M. Christian Laporte, Journaliste - La Libre Belgique, Responsable des pages Opinions-Debats-Ripostes / Journalist - La Libre Belgique, in charge of "Opinions - Débats - Ripostes"

     __________________________


    La liberté d’expression est considérée comme un des fondements de la démocratie, elle fait partie des droits fondamentaux de l’homme. Cependant ses limites sont l’objet de controverses, particulièrement suite aux événements survenus à Paris le 7 janvier 2015.

    Les uns favorisent la liberté d’expression comme l’antidote contre toutes les formes de totalitarisme. Les autres veulent protéger la liberté de religion et assurer le respect de tout ce qui peut être le plus intime et le plus sacré pour l’homme. Ce qui pour les uns est un blasphème, n’est pour les autres qu’un sain exercice de la liberté d’expression.

    La position de la Cour européenne des droits de l’homme s’inscrit dans une logique d’équilibre entre ces deux pôles. Mais comment trouver cet équilibre ? Une conciliation est-elle possible? Un large débat social est nécessaire pour trouver et assurer l’équilibre entre la liberté d’expression et le respect de la croyance d’autrui.

    Les conférenciers invités vont nous aider à réfléchir sur cette question.

    ________________________


    Freedom of expression is a fundamental human right and is considered to be one of the pillars of democracy. However its limits are a matter of controversy especially in the wake of the Paris events of January 7th 2015.

     

    Some see freedom of expression as the antidote to all forms of totalitarianism; others want to protect freedom of religion and to ensure respect for all that is most intimate and sacred to the human person. What is blasphemy for some is for others no more than a healthy exercise of freedom of expression.


    The position taken by the European Court of Human Rights is based on an equilibrium between these two poles. But how to find that equilibrium? Is a reconciliation possible?  A wide-ranging social debate is necessary to find and guarantee an equilibrium between freedom of expression and respect for the beliefs held by others.

     

    The invited speakers will help us to reflect on this question.


    La conférence aura lieu en français avec l`interprétation simultanée vers l`anglais.
    The conference will be held in French with simultaneous translation into English. 

     

    address is:

    Chapel for Europe - Chapelle de la Résurrection

    Rue Van Maerlant 22-24

    Bruxelles 1040

    Belgium

  • Monseigneur Léonard à l'Université de Liège: enjeux des synodes sur la famille

    IMPRIMER

    Copie de ulg_28janv.jpg

     

     

     

     

     

     

    SYNODE SUR LA FAMILLE : ECHOS ET PERSPECTIVES

    Compte rendu du lunch débat avec Monseigneur André Joseph LÉONARD

    Archevêque de Malines-Bruxelles,

    membre du Synode extraordinaire sur la famille

    à l'Université de Liège, salle des Professeurs, mercredi 28 janvier 2015

    IMG_6910.JPGLe mercredi 28 janvier dernier, Mgr André-Joseph Léonard, Archevêque de Malines-Bruxelles était l’invité d’un lunch-débat organisé à l’Université de Liège par l’Union des étudiants catholiques de Liège et le Groupe éthique sociale, associés au forum de conférences Calpurnia. Le thème de son exposé portait sur les enjeux du synode extraordinaire des évêques réunis à Rome du 5 au 19 octobre 2014. Il s’inscrit dans le cadre d’un cycle de rencontres intitulé « La Famille : solution ou problème". Voici la transcription des propos de l’orateur (les intertitres et les italiques sont de notre fait) :

     

    LA CONFÉRENCEIMG_6904.JPG 

    IMG_6903.JPG 

    téléchargement (6).jpgtéléchargement (2).jpg

    « Je vais peut-être vous décevoir : malgré le titre annoncé de ma conférence je ne parlerai pas beaucoup du synode sur la famille, ni passé, ni futur.  S’agissant du synode passé, on trouve facilement sur internet les 58 paragraphes du rapport final que sert maintenant de lineamenta pour une consultation qui va se faire à tous les niveaux afin de produire l’ instrument de travail  du synode futur d’octobre 2015 et il est difficile de parler de celui-ci maintenant. Si, tout à l’heure, vous m’y invitez ou si vous m’y contraignez, je pourrai parler un peu de ce qui s’est passé au synode extraordinaire d’octobre 2014, mais je pense que le plus important est dit dans les 58 propositions finales de celui-ci.

    Il m’est difficile de vous parler des enjeux, des joies, des épreuves, des peines  de la famille -car c’est là l’objet de ma conférence- sur base de ces courts paragraphes. Par nature, par instinct, je préfère me situer dans un contexte plus large et plus structuré.

    La question de la famille se pose parce que nous sommes des esprits incarnés

    La question de la famille se pose parce que nous sommes des esprits incarnés. Je ne sais pas s’il y a un esprit de famille qui unit les anges et les archanges, mais si c’était le cas, ce devrait être très différent de ce que nous vivons. Les animaux présentent certains phénomènes qui ressemblent à ce que nous vivons dans nos familles mais avec une énorme différence, car nous vivons les réalités de la famille en tant qu’esprits incarnés : le corps et l’esprit  -le corps aussi- font partie de notre destinée. Si nous étions de purs esprits, la famille n’existerait pas : il y aurait des affinités purement spirituelles entre nous.

    Le corps est une réalité extraordinaire et, pour en parler, l’Eglise est particulièrement  bien outillée par la révélation biblique. D’abord parce que, dans l’ensemble de l’univers physique, le corps humain est ce qu’il y a de plus prestigieux, le corps c’est le cheval de Troie de l’esprit à l’intérieur du cosmos, c’est par là que l’esprit s’introduit dans la matière. Le corps est un merveilleux instrument de communication, de production. On peut travailler avec son corps, communiquer avec son corps. Avec la main on peut communiquer la colère, la vengeance, l’amitié, la tendresse. On peut communiquer tant de choses par les mimiques, les gestes. Sans oublier ces extraordinaires cordes vocales humaines qui nous permettent de produire des sons articulés qui abritent du sens : c’est un phénomène infiniment plus complexe que le roucoulement des oiseaux, le gazouillis des pinsons ou le grognement des porcs. C’est un instrument de communication exceptionnel. Il y a tout un langage du corps qui est une pure merveille.

    La sexualité fait partie de ce langage avec une dimension tout à fait unique dans la sexualité animale et végétale. Je ne suis pas biologiste mais je pense que l’espèce humaine est la seule où la rencontre sexuelle peut se faire visage contre visage. Il y a dans l’agencement même de la complémentarité de l’homme et de la femme la promesse d’une union interpersonnellevisage contre visage et, en même temps, un langage de la sexualité qui est en même temps un langage qui signifie la procréation. Car la sexualité humaine, ou la sexualité animale, est organisée comme un laboratoire riche en ressources pour permettre la transmission de la vie, qui fait partie du langage objectif de la sexualité. Sans la dimension sexuelle de notre corps, il n’y aurait pas ce phénomène merveilleux de la famille. Mais cette dimension s’accompagne d’une part d’obscurité, comme tout notre corps.

    Notre corps est un instrument d’action performant. C’est aussi un instrument et un lieu de passion. Le corps nous expose à la souffrance. Il est vulnérable : il fleurit, il s’épanouit, il vieillit, il se déglingue, il s’en va, il périt. Toute chair est comme l’herbe des champs, disait déjà le prophète Isaïe. Le corps  nous expose à la violence, à la souffrance, à la maladie. Il est aussi un lien d’opacité. Dans la plus agréable union, tu seras toi, je serai moi et nous ne serons jamais un. Il y aura toujours le mur infranchissable de notre corporéitéLes esprits peuvent fusionner, les corps pas totalement. La sexualité humaine est une promesse de plaisir, de joie, de bonheur, de vie mais elle est aussi habitée par de l’aveuglement, de la sauvagerie, de la brutalité. Elle est un lieu de plaisir, de joie, de fécondité  mais aussi de souffrance, de domination, d’exploitation et de mort. Il y a une ambigüité dans la sexualité comme dans le corps.

    La foi chrétienne est particulièrement douée pour prendre la mesure de la grandeur et de la fragilité du corps

    La foi chrétienne est  particulièrement douée pour prendre la mesure de la grandeur et de la fragilité du corps.

    Témoins de sa grandeur, nous sommes, avec le judaïsme -pour une part aussi l’islam, je pense- une religion du corps.  Mais il n’y a aucune philosophie, ni aucune religion autre que le christianisme qui ait osé penser, sur base de faits qui se sont inscrits dans l’histoire, qu’il y a un corps humain  qui est celui d’une personne divine, qui est le corps de Dieu : le Corps de Jésus qui est maintenant encore  et plus que jamais, le corps d’une personne divine.

    Et nous vénérons une femme qui a mis Dieu au monde : elle n’a pas mis au monde la divinité, mais elle a mis au monde Quelqu’un qui est Dieu, parce qu’elle est une femme et qu’elle a un corps.

    Le salut du monde s’est joué sur la croix, dans le corps humilié, dépouillé, blessé, outragé, crucifié de Jésus et du corps ressuscité qui a traversé la mort et inauguré un monde nouveau où le corps n’a plus la pesanteur qu’il a maintenant : il n’est plus voué à la mort comme il l’est présentement.

    Et nous pensons que cette réalité, le corps humain de Jésus, crucifié, ressuscité, qui traverse la mort, qui inaugure un monde nouveau, est parmi nous. Ce matin, j’ai célébré l’eucharistie : eh bien, la croix de Jésus ressuscité était là, présente et quand nous communion au corps de Jésus, nous communions, nous qui allons mourir dans quelques temps, à la vie impérissable du Ressuscité et nous croyons non seulement en la résurrection de Jésus, à sa présence dans la parole de Dieu et dans l’eucharistie mais nous croyons que nous-mêmes nous allons ressusciter.

    Enfin, je dis nous, mais il y a des enquêtes qui montrent qu’il y a une majorité de catholiques qui n’y croient pas vraiment, qui croient que notre corps va se dissoudre en pourriture, en poussière ou en cendre mais qu’après cela, c’est fini. Il y a peut-être bien l’âme qui subsiste mais le corps, lui, est envoyé à la poubelle pour toujours.  Or le Credo se termine par ces mots : je crois à la résurrection des morts -ou de la chair- et à la vie éternelle. Bien sûr, cette carcasse va périr et se dissoudre dans quelques temps mais Dieu, c’est ce que nous promet Jésus et il y a des raisons de croire à ses promesses, va recréer nos corps : nous serons recrées dans notre être corporel, un corps plus beau encore, plus performant et plus durable que le corps présent.

    Il y a des pisse-vinaigres partout : je sais bien qu’à certaines  périodes de l’histoire, des théologiens et même des Pères de l’Eglise ont parlé un peu négativement du corps, en raison de l’opacité présente du corps. Nous ne sommes plus au paradis terrestre, pour évoquer la condition originelle de la création, avant le big bang etc. ni au paradis céleste où la vie est impérissable. Nous sommes dans l’entre-deux de cet univers où, comme dit saint Paul, nous gémissons dans l’attente de la pleine rédemption de notre corps et nous sommes encore, comme toute la création, asservis à l’esclavage de la corruption, comme Paul dit dans la Lettre aux Romains, chapitre 8e, versets 18 et suivants. Mais, ceci étant, nous jetons un regard  positif -exceptionnel dans l’histoire humaine- sur la destinée du corps humain.

    Lire la suite

  • BXL, mars-avril : cinq soirées de formation bioéthique à l'Université de la Vie

    IMPRIMER
      Téléchargez les images - 5

     

     

     

     

     

     les lundis 9 mars, 16 mars, 23 mars, 30 mars

    et lundi 20 avril de 20h15 à 22h30

     

     

       
     

    Programme sur 5 soirées 
     une collaboration Institut Européen de Bioéthique et Vita International

     

     

     

     

     

    Le corps, de la vie à la mort.

     

     

       

     

     


    Programme des soirées : 

     
    1 : Corps en gestation : le temps du corps in utero

    Qui est mon corps ? | Les étapes clés du développement de l'embryon | La vie intra-utérine et la relation mère-enfant | De la gestation pour autrui à l'utérus artificiel


    2 : Corps fragiles, corps maîtrisés

    Vers le bébé zéro défaut ? | L'embryon entre congélation et expérimentation | Vivre le handicap | De la réparation à l'augmentation


    3 : Corps sexué et procréation

    Divorce entre le corps et le cœur | Un enfant si je veux : contraception, IVG | Un enfant à tout prix : PMA, FIV | FIV à 3 parents, clonage, dissociation genre - sexe : jusqu'où irait l'artificiel ?


    4 : Corps mortels

    Dépendance et vieillissement | Jusqu'à la mort : entre acharnement thérapeutique et soins palliatifs | Disposer de son corps : l'ultime liberté ? | La quête de l'immortalité


    5 : Au-delà du corps

    La spécificité de la main humaine | Les dérives de la marchandisation du corps | Le corps, creuset de la liberté intérieure | Corps social : tous membres les uns des autres ?

     

     

     

     

     

    Parmi les intervenants :
    Tugdual Derville, délégué général d'Alliance VITA
    Caroline Roux, déléguée générale adjointe, coordinatrice des services d'écoute d'Alliance VITA
    Docteur Xavier Mirabel, médecin cancérologue
    François-Xavier Bellamy, philosophe
    Professeur Emmanuel Sapin, l'un des pionniers de la chirurgie fœtale
    Sophie Lutz, mère d'une fille polyhandicapée, Philippine

     

     

     

     

     

    Plus de 70 villes participantes en France !

    Et aussi à BRUXELLES !

     

     

     S'INSCRIRE

     
     

     http://www

     
    .universitedelavie.fr/villes/bruxelles-formation-bioethique-en-belgique

     

     

  • La famille en débat à l’Université de Liège (ULg). Une initiative de l'union des étudiants catholiques liégeois à soutenir.

    IMPRIMER

    Invitation 

    (s'inscrire le 1er mars au plus tard)

    34641307.jpg

    Copie de ulg_28janv.jpg

    La famille, nature et culture : l’équivoque freudo-marxiste

    Lunch débat à l’Université de Liège, le mercredi 4 mars 2015 à 18h00  

    Famille, solution ou problème ? Après le succès de la rencontre organisée le 28 janvier dernier avec Mgr André-Joseph Léonard, l’Union des étudiants catholiques de Liège et le Groupe Ethique sociale accueillent à l’Ulg, le mercredi 4 mars 2015 à 18h, Paolo Sorbi, professeur à l’Università Europea de Rome. Réponse, cette fois, d’un sociologue catholique italien qui avait adhéré à l’idéologie marxiste dans les années ’60  et redécouvrit les valeurs sociales chrétiennes et de la famille naturelle, à la lumière de ses affinités intellectuelles avec le magistère de Benoît XVI. Une initiative à soutenir concrètement: inscriptions à la conférence débat ouvertes jusqu'au 1er mars.

    PROGRAMME 

    « La famille, nature et culture : l’équivoque freudo-marxiste », 

    Sorbi.jpg

    par le sociologue Paolo Sorbi

    professeur ordinaire à l’Università Europea de Rome

               
    Apéritif à 18h00
    Exposé suivi du lunch-débat de 18h15 à 20h30 

    La rencontre se tient à la salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat (photo) de l’Université de Liège, place du XX août, 7, 1er étage (accès par la grande entrée : parcours fléché). 

    Participation aux frais : 10 € (à régler sur place); 2 € pour les étudiants 

    Inscription nécessaire au plus tard le 1er mars 2015:

    soit par téléphone : 04 344 10 89 (de l’étranger +32.4.344.10.89)
    soit par email : info@ethiquesociale.org
    soit via le site internet : http://www.ethiquesociale.org/conference/la-famille-nature-et-culture-lequivoque-freudo-marxiste/

     JPSC 

  • Cardinal Sarah : tout sur sa venue en France

    IMPRIMER

    D’Elisabeth de Baudouin sur le site « aleteia » :

    topic (20).jpgOn attendait François en France en 2015. Alors que son voyage a été reporté en 2016, c’est l’un de ses plus proches collaborateurs, le cardinal guinéen Robert Sarah, qui vient en visite dans l’Hexagone, à l’occasion de la sortie de son livre   Dieu ou rien, entretiens sur la foi, écrit en collaboration avec l’écrivain Nicolas Diat (Ed. Fayard, 424 pages).


    L’un des hommes clés de la curie

    Qui est Robert Sarah ? Derrière l’homme discret, natif d’Ourouss en Guinée (1945) et ordonné prêtre en 1969 se cache en fait un « premier de classe » : nommé archevêque de Conakry à seulement 34 ans par Paul VI (1974), il est créé cardinal – le premier du continent africain - par Benoît XVI en 2010. Entretemps (2001), le « Bébé évêque », comme l’aurait surnommé le Pape Jean Paul II, a été appelé à Rome, d’abord comme « numéro deux » de la Congrégation pour l’évangélisation des peuples, dicastère en charge des Eglises des pays en développement, avant de devenir président de « Cor unum », le Conseil pontifical qui coordonne l’action humanitaire de l’Eglise.

    De là à lui confier la direction d’une congrégation pontificale, il n’y avait qu’un pas : François l’a franchi en novembre dernier, en le nommant à la tête de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, dicastère clé en charge de la question, sensible dans certains pays dont la France, de la liturgie. Comme cardinal de curie, il participé au synode sur la famille d’octobre dernier, où les évêques africains se sont signalés par leur défense des valeurs traditionnelles de l’Eglise concernant le mariage et la famille.

    Lire la suite

  • BXL, 16 mars : Quelle(s) mémoire(s) pour le génocide arménien ?

    IMPRIMER

    De auschwitz.be :

    Journée d'étude

    « Quelle(s) mémoire(s) pour le génocide arménien ? », 16 mars 2015

    La prochaine journée d'étude de l'ASBL Mémoire d’Auschwitz, intitulée « Quelle(s) mémoire(s) pour le génocide arménien », aura lieu le lundi 16 mars à Bruxelles au Palais des Académies.
     
    armenie site
     
    Le génocide des Arméniens de Turquie (1915-1916) suscite toujours de nombreux débats. D’une part, l’obstination des gouvernements turcs de nier cette qualification est en opposition radicale avec sa reconnaissance par de nombreux gouvernements. D’autre part, les communautés arméniennes militent pour cette reconnaissance en construisant la mémoire publique de ce génocide.

    Lire la suite

  • Le modernisme: genèse et bilan - Entretien avec l'abbé Guillaume de Tanoüarn / Cercle Henri Lagrange

    IMPRIMER

    De saint Pie X à nos jours : petit voyage dans la galaxie de la réaction traditionaliste. Vu sur le « metablog » de l’abbé de Tanoüarn :

    JPSC

  • Université de Liège, le mercredi 4 mars à 18h00: la famille, nature et culture: l'équivoque freudo-marxiste

    IMPRIMER

    Une initiative du groupe éthique sociale et de l'union des étudiants catholiques de Liège:

    ulg_4mars.jpg

    La famille : nature et culture, l’équivoque freudo-marxiste

    Lunch Débat à Liège avec Paolo Sorbi,

    Professeur ordinaire de Sociologie à l’Università Europea de Rome.

    L’analyse d'un sociologue catholique italien qui, après avoir adhéré à l’idéologie marxiste dans les années ’60, a redécouvert les valeurs sociales chrétiennes comme celles de la famille naturelle et a des affinités intellectuelles avec le magistère de Benoît XVI.

    La crise actuelle de la famille est attribuée à une culture qui refuse la stabilité de la nature humaine. Cette culture a été développée par le courant freudo-marxisme de l’Ecole de Francfort  (« Frankfurter Schule») : la pensée de Freud et de Marcuse a voulu détruire la figure du « père-maître » qui aurait été la cause de l'autoritarisme allemand  et la pensée de Marx a servi d’instrument pour promouvoir un égalitarisme entre homme et femme à tous les niveaux .Sous l’effet de ce coktail explosif, destructeur de la notion de «père» et de «mère», la famille est alors perçue comme une «prison» liberticide.

    Mercredi 4 mars 2015 à 18h00, Université de Liège, Bâtiment du Rectorat, Salle des Professeurs, Place du 20 août, 7, 1er étage (accès par l’entrée principale, parcours fléché).

    34641307.jpg

    Si vous désirez prendre part à ce  lunch débat, votre inscription est requise (avant le 27 février).

    A cet effet, cliquez ici :http://www.ethiquesociale.org/conference/la-famille-nature-et-culture-lequivoque-freudo-marxiste/remplissez le formulaire et cliquez sur la case réserver. Vous pouvez aussi téléphoner au n° 04.344.10.89  

    Lire la suite

  • Battice (Herve), 8 mars : Festival de l'Espérance avec les Frères Jaccard

    IMPRIMER

    Festival-espérance-belgique-080320152.jpg

  • BXL (Parlement européen), 23 février : Conférence sur la maternité de substitution et la dignité humaine

    IMPRIMER

    article-7128-img1.jpg

    Lire la suite

  • Belgique : le 12e Festival de Chant Grégorien de Watou aura lieu du 8 au 17 mai 2015.

    IMPRIMER

    img_3 (1).jpg

    img_1 (1).jpg

    « Au cours de cette douzième édition du Festival international de chant grégorien de Watou, près de quatre-cent-cinquante voix, pour la plupart jeunes et professionnelles redonneront vie de façon grandiose à une musique et à des textes très anciens. Watou est le plus grand festival de chant grégorien au monde. Il est devenu un lieu de pèlerinage, une étape indispensable pour les amateurs de silence et de chant grégorien. L’enthousiasme est à son comble et le public en est fasciné.

    Avec tous les collaborateurs, je suis fier de pouvoir vous présenter ce festival triennal de grande qualité et de vous inviter à venir découvrir cette icône de notre culture occidentale.

    Bernard Deheegher »

    31 scholae ou ensembles grégoriens venus du monde entier seront présents pendant 10 jours à Watou ou dans l'une de ses 9 villes partenaires pour proposer 24 événements:11 concerts , 4 auditions, 8 célébrations liturgiques, 1 atelier

    Pour connaître le programme détaillé, cliquer ici.

    JPSC