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Débats - Page 703

  • Eglise et guerre civile espagnole : des archives très éclairantes

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    Les archives du cardinal Gomá et la Guerre civile espagnole et le refus du nazisme par le futur pape Pie XII (Nieves San Martín -Traduction d’Océane Le Gall) sur ZENIT.org

    Une collection de 13 volumes contenant des documents de la guerre civile en Espagne, tiré des archives du cardinal Isidro Gomá (1869-1940), personnage clef de l’histoire de l’Eglise en Espagne, au XXème siècle, vient d’être présenté  au bureau des archives nationales de Madrid.

    Une des nouveautés apparues à la lecture de ces volumes : la présence fournie de témoignages sur le refus du nazisme par le futur pape Pie XII.

     « Nous ne nous attendions pas à en trouver autant », a déclaré l’historien José Andrés Gallego, un des auteurs de l’œuvre intitutlée « Archivo Gomá. Documentos de la Guerra Civil » (Archives Gomà. Documents de la Guerre Civile »).

    Né  à Calatayud, en 1944, le Prof José Andrés Gallego, enseigne actuellement au Conseil supérieur pour la recherche scientifique (CSIC en acronyme espagnol).

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  • Encore les Présidentielles françaises: un vote religieux très convoité ?

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    Sur les matinales du  site de “La Vie” aujourd’hui:

    “C'est une lettre signée de trois prêtres. Le premier, l'abbé Guillaume de Tanoüarn, est à l'Institut du Bon Pasteur; le second, le père Vincent Ribeton, est le supérieur pour la France de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre; et l'abbé Coiffet est son prédécesseur à la même FSSP. Trois prêtres de la frange traditionnaliste de l'Eglise, qui écrivent ceci: "Les présentes réflexions ne visent en aucun cas à imposer pour qui voter ou à donner des consignes de vote, mais plutôt à considérer le Bien Commun pour notre pays". S'ils ne donnent pas de consigne de vote, les trois abbés n'en appellent pas moins à voter pour Nicolas Sarkozy au deuxième tour des présidentielles: "Or, de manière patente, l’un des programmes proposés, porté par le candidat socialiste, démontre une volonté évidente de rupture avec les éléments premiers du Droit Naturel ; les conséquences de l’application d’un tel programme seraient dramatiques pour la vie quotidienne comme pour l’avenir des Français".

     Une initiative qui pourrait ne pas déplaire au président sortant, qui pense trouver dans le vote catholique un réservoir naturel de voix - sans doute a-t-il pris connaissance de notre sondage qui semble avoir confirmé ce postulat pour le vote du premier tour). On a ainsi vu réapparaître les "Cathos avec Sarko", un groupe qui avait déjà investi le web en 2007 sous le nom de "catholiques de l'UMP"  avant de rester étrangement muet devant l'avalanche d'atteintes à la doctrine sociale de l'Eglise du quinquennat, puis de ressortir du bois à l'orée du second tour avec ce nouveau site. Conscients tout de même que le vote Sarkozy ne fait guère l'unanimité chez les cathos de gauche comme de droite, les auteurs citent... le cardinal Barbarin: "Nous les cardinaux ne votons pas pour celui qui nous plaît, mais pour celui qui nous semble le plus apte à remplir cette fonction. Ce n’est pas forcément le meilleur ou le plus intelligent, c’est celui qui nous paraît être le plus à même d’assumer cette charge". Une phrase que l'archevêque de Lyon avait dite à propos de l'élection... du pape.

    A gauche, on ne court guère derrière les voix catholiques. Mais on observe sans déplaisir la faveur annoncé du vote musulman . Et ça ne plaît guère à droite. Un article du site Marianne2.fr expliquait, deux jours avant les élections, que 700 imams appelaient à voter pour François Hollande; pour le coup, la droite s'est offusquée, voyant dans cet appel une "action contre la laïcité". Nommément pris à partie par deux députés UMP, Eric Ciotti et Franck Riester, les deux recteurs des mosquées de Lyon et de villeurbanne, ont démenti toute ingérence. Il faut dire que leur texte, sans appeler à voter pour le candidat socialiste, évoque le "changement" du slogan de François Hollande: "Les musulmans de France ne resteront plus les bras croisés. Ils ne peuvent plus se contenter d’être les «spectateurs» de ces élections. Ils doivent devenir acteurs de leur propre changement. Et pour être entendus, ils doivent prendre leur destin en main en exerçant leur droit de vote en leur âme et conscience". Référence:   Elections : un vote religieux très convoité

     Les imams, les curés, et les « poissons roses » dans tout cela ? A chacun son « moindre mal » semble-t-il.

     Plus intéressante à connaître serait l’attitude de Marine Le Pen (près de 20 pourcents des voix) qui mijote encore ses petits calculs post-électoraux. Eh oui, après les présidentielles, les législatives. Difficile de rester au balcon, difficile de choisir mais entre électoralisme et bien commun, il faut quelquefois se déterminer (pour cela il faut aussi avoir un vrai projet de société). 

  • Distinguer l'écologie dogmatisante de l'écologie positive

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    Sémantique, dogmes et idéologie de l'écologie moderne

    A l'occasion du dernier colloque de l'AFSP à Nantes co-organisé avec le Cercle Jean-Paul II sur Développement durable et doctrine sociale de l'Eglise, Stanislas de Larminat, auteur de Les contre-vérités de l'écologisme revient pour libertepolitique.com sur la distinction nécessaire entre l'écologie du dogme et l'écologie positive. Il est interrogé par Antoine Besson.

    Video à voir et écouter sur le site de Liberté politique

  • Le totalitarisme humaniste de la franc-maçonnerie

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    Sous le titre: "La franc-maçonnerie ou le totalitarisme humaniste", , sur le site itinerarium.fr, se penche sur cette organisation et sur son arrière-plan idéologique :

    « La franc-maçonnerie n’a jamais été a-politique et si elle a cru l’être, elle s’est trompée sur sa nature. » (Thomas Mann, La Montagne magique.)

    Quand on commence à approcher le terrain de la franc-maçonnerie, il faut s’armer d’une extrême vigilance, au point qu’en dépit des travaux monumentaux de Scholem, Puech ou René Le Forestier, on risque encore de s’y perdre, ce qui ne serait pas pour lui déplaire, étant entendu que la maçonnerie a toujours des secrets froidement gardés derrière son rideau rouge, lesquels continueraient de nous échapper ;  elle se définit d’abord par un processus d’initiation en se réclamant de la tradition orale, comme une sorte de gigantesque téléphone arabe.

    En loges, que l’on soit apprenti, compagnon ou maître, on passe toujours par plus supérieur que soi. Ce dernier aurait un secret appelé à devenir nôtre, ce qui participe à stimuler l’insatisfaction intellectuelle.

    Au reste, tout l’attrait de la maçonnerie réside en ses mystères, au sens propre du terme.  C’en est même le laboratoire.

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  • Présidentielles françaises : choisir le moindre mal

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      nous partage ses réflexions sur le moindre mal en politique

    J'avoue que je me suis pris au jeu de la conférence de ce soir. Ce moindre mal... Saint Thomas en parle deux fois (pour le recommander), mais en termes extrêmement précis, comme un vrai moraliste. il est toujours interdit de choisir le mal - même moindre. Mais poser un acte bon (le vote) d'où sortira la situation la moins mauvaise possible, non seulement c'est moralement correct, mais c'est un devoir moral ! Dans le De regno, saint Thomas me semble assez près du cas que nous avons à traiter. Il se demande s'il vaut mieux choisir... non pas Sarkozy ou Hollande, mais la monarchie ou la démocratie. Bref il s'agit de poser un choix politique, comme chacun des électeurs français aura à le faire le 6 mai.
     
    Lequel ? Celui qui rationnellement sera le moins lourd.
     
    Je vous cite en latin la formule de saint Thomas dans le De regno, elle est irréprochable : "Cum autem inter duos ex quorum utroque periculum imminet, illud potissime eligendum est ex quo sequitur minus malum" (chap. 6 Marietti n. 764). Chaque mot est à peser. Voici ma traduction : "Entre deux possibilités qui comportent, chacune, leur danger, il vaut mieux choisir celle de laquelle va s'ensuivre un moindre mal". Saint Thomas parle du choix entre différentes constitutions, monarchique ou démocratique. Aucune de ces constitutions n'est mauvaise en soi. De même : le vote en lui-même n'est pas un mal. Chacun des deux candidats représente un certain nombre de périls. Il importe de choisir celui qui est le moins dangereux. C'est du bon sens. Uniquement du bon sens. Qui a dit que voter, c'était comme prendre la pilule ? Voter est un bien. Aucun des deux candidats n'est irréprochable. Ma concierge vous dira donc qu'il faut prendre le "moins pire".
     
    Ma concierge... Mais le "moindre pire" dont on entend parler ici et là me semble une expression très maladroite. Ou c'est le pire (et le pire n'est pas "moindre" ou... pire, il est pire) ou c'est simplement mauvais, et le mauvais est toujours moindre que le pire... Parlons donc de moindre mal et pas de moindre pire ! "Ce qui se conçoit bien...".
     
    Rationnellement, alors que la morale n'est pas directement en jeu dans l'acte posé - à savoir un vote - il suffit de calculer ce qu'apportent et ce que retirent les deux propositions de vote. Pas besoin d'être grand clerc.
  • Réponse des scouts d'Europe à Jérôme Walmag

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    C'est Christian Laporte qui rend compte de cette réponse dans la Libre de ce mercredi : Les Guides et Scouts d’Europe répondent à leur "frère" Jérôme

    Les Guides et Scouts d’Europe de Belgique (GSEB) adressent une lettre ouverte à Jérôme Walmag, le président de la Fédération des scouts qui avait considéré dans un entretien à "La Libre" (20/4) qu’ils n’étaient pas des scouts. L’équipe des commissaires généraux mais aussi plusieurs responsables musulmans des GSEB constatent qu’un tel raisonnement amènerait à ne pas considérer les protestants comme des chrétiens car ils "en utilisent les méthodes sans en partager les objectifs". Et revenant à l’interview, ils demandent à Jérôme Walmag comment ils sont censés réagir au fait qu’ils ne feraient pas du scoutisme. "D’autant plus que l’organisation mondiale ne reconnaît qu’une seule association par pays, dont vous faites partie et dont vous nous avez toujours tenu écartés. C’est donc vous qui avez en main les moyens de faire cesser cette discrimination. Vous ajoutez : c’est un club de chrétiens incapables d’accueillir des unités musulmanes dans leur structure, même s’ils en prônent la création. Euh oui, nous sommes chrétiens. Sans fausse honte. En cela, nous nous voulons les disciples du chanoine Cornette et du Père Sevin. Ce dernier fonda le scoutisme français à Mouscron."

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  • Présidentielles françaises : quand Jean d'Ormesson s'adresse aux indécis...

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    ...cela donne cela (jean-d-ormesson-s-il-n-en-reste-qu-un) :

    La victoire de François Hollande est à peu près acquise, et elle risque d'être éclatante.
    Le moment est idéal pour se déclarer sarkozyste.
    La question n'est pas de savoir qui l'emportera en mai 2012.
    On a longtemps été convaincu dur comme fer que ce serait M. Strauss-Kahn.
    On a pu croire que ce serait Mme Aubry.
    On a même pu imaginer que, par un coup du sort, ce serait Mme Le Pen.
    Il n'est pas tout à fait exclu que M. Bayrou, M. Mélenchon, M. Montebourg se soient monté le bourrichon jusqu'à se persuader de leur chance de l'emporter. Tout sauf Sarkozy.
    N'importe qui sauf Sarkozy. Ce sera M. Hollande. François Hollande est un parfait honnête homme. Il est intelligent, charmant, cultivé et même spirituel.
    Il y a chez cet homme-là un mélange de doux rêveur et de professeur Nimbus égaré dans la politique qui le rend sympathique.
    Il est mondialement connu en Corrèze.

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  • Décatholicisons-nous !

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    Les papys de Vatican II font de la résistance et « La Libre », leur fidèle disque-jockey, remet une fois de plus un de leurs 33 tours sur sa vieille platine. Mais s’agit-il vraiment d’un disque demandé par les auditeurs ? A titre documentaire, voici quelques extraits du « tombeau » commis ce jour par un ami de feu l’abbé Jean Kamp, ancien combattant de la contestation conciliaire. L’auteur de cette oeuvre s’appelle Yves Genin, professeur (émérite bien sûr) à l’Université (oserions nous dire catholique ?) de Louvain :

    « L’effondrement accéléré du catholicisme en Belgique, comme d’ailleurs partout en Europe occidentale, est un fait d’observation. (…).C’est bien plus d’une "décatholisation" (sic) que d’une déchristianisation qu’il s’agit. Tous ceux qui, comme moi-même, ont été élevés dans la religion catholique et qui ont choisi de la quitter l’ont fait avec regret, sans pour autant renoncer aux valeurs évangéliques, mais acculés par leur propre itinéraire spirituel.

    Bien entendu, la révélation récente des actes de pédophilie dans le clergé, le manque de courage et les silences coupables de la hiérachie face à ces scandales n’ont rien arrangé. Si graves que soient ces faits, ce n’est toutefois qu’un épiphénomène récent. Les racines de cette "décatholisation" (re-sic)sont multiples et bien plus profondes.

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  • France, deuxième tour: le choix inéluctable

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    François Martin, dans son éditorial sur Liberté politique, prend position en ces termes :

    Crise économique, mécontentement de l’opinion vis-à-vis des « sortants » et envie de « punir le gouvernement », promesses démagogiques, nécessité de regarder la réalité en face, choix de société à faire. Trop souvent, les électeurs se prononcent comme s’il s’agissait de vider une querelle ou de punir le gouvernement disait une ancien Président de la république avant des législatives difficiles [1].

    Le problème de Nicolas Sarkozy aujourd’hui est exactement le même. Le candidat de gauche, en tête dans les sondages, a su faire, intelligemment, une « campagne d’humeur », euphémisme employé par la presse pour exprimer qu’il a fait une campagne de rejet, de « bouc émissaire », démagogique, qui masque les contradictions et la radicalité de son programme sur les enjeux éthiques et de sociétés. Cette radicalité aucun chrétien ne peut y adhérer. Il a su « surfer » sur l’envie de toute opinion, en période de crise, de « punir le gouvernement ». Cette campagne, efficace jusqu’ici, est évidemment le contraire d’une campagne d’adhésion et de responsabilisation.

    En face, le candidat Sarkozy n’a à offrir, en fin de compte, que la poursuite d’un combat imparfait, dans une réalité difficile.

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  • Des droits de l’homme contre la liberté des consciences ?

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    Les « droits de l’homme » fournissent souvent le seul discours audible permettant de réclamer davantage de liberté religieuse mais, comme la langue d’Esope, ils peuvent être la meilleure et la pire des choses et, en fait, il y a lieu de constater aujourd’hui, dans le monde entier, un véritable recul de la tolérance religieuse.

    De Grégory Puppinck dans le mensuel « La Nef » d’avril 2012 (extraits) :

    « Ce recul de la tolérance religieuse est lié au processus de mondialisation qui accroît la concurrence entre les modèles de civilisation ayant une ambition et une potentialité universelle. Dans cette concurrence de civilisations, les rapports entre religions sont déterminants, car les religions, qu’elles soient proprement religieuses ou laïques (idéologies), sont les véhicules des civilisations : elles en déterminent, répandent et transmettent les composantes essentielles. Ainsi, de l’organisation des rapports entre les religions dépend fortement la configuration de la mondialisation en cours. Par suite, le débat actuel sur les rapports entre droits de l’homme et religions, et, en particulier, sur le contenu du concept de liberté religieuse est devenu un enjeu central, car il tend à déterminer non seulement l’organisation des rapports entre les diverses religions et idéologies, mais aussi à délimiter l’influence des religions au sein de chaque civilisation.
    Dans ce contexte, parce qu’elle prétendait lier le sécularisme et la démocratie, l’affaire Lautsi a permis à la société européenne de s’interroger ouvertement sur la place du christianisme dans son projet de civilisation. Politiquement, le premier arrêt Lautsi de 2009 faisait basculer la Cour dans une époque nouvelle, détachée de la culture démocrate-chrétienne qui avait inspiré sa création. Finalement, comme cela avait été demandé par l’Italie et une vingtaine d’autres pays européens, l’arrêt définitif de la Cour de 2011 a, à l’inverse, réaffirmé la légitimité sociale du christianisme. Depuis, la Cour européenne est devenue plus prudente et prend progressivement ses distances à l’égard de l’idéologie postmoderne ; cela est visible dans une série de jugements relatifs à l’avortement, la bioéthique, ou l’homosexualité, mais le débat n’est pas clos.

    Ainsi, la Cour doit bientôt se prononcer sur plusieurs affaires qui mettent gravement en jeu la liberté des chrétiens : au nom de la non-discrimination, le gouvernement du Royaume-Uni prétend pouvoir forcer les chrétiens à célébrer des unions homosexuelles ; il prétend aussi justifier l’interdiction faite à des salariés de porter une petite croix en collier, au nom de la tolérance. Dans d’autres affaires sont en jeu le droit des médecins à l’objection de conscience face à l’avortement, ou encore le droit des parents et de l’État de protéger les enfants contre les discours immoraux.

    Dans de nombreux pays, les droits de l’homme aident à défendre la liberté religieuse. Il serait terrible, mais le risque existe, que de faux droits de l’homme (à l’avortement, au sécularisme et au mariage homosexuel) deviennent des instruments d’oppression de la conscience des chrétiens. Contre cette menace et pour le bien commun, il faut sans cesse travailler à enraciner les droits de l’homme dans une saine anthropologie réaliste et chrétienne. »

    Voir tout l’article ici : Religion et droits de l'homme

    Le prochain (année académique 2012-2013) cycle de débats organisé à l’université de Liège par le groupe Ethique sociale et l’Union des étudiants catholiques de Liège sera consacré aux différents aspects de cette problématique.

  • Retour sur "ce sacré Constantin"

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    Nous avons abordé brièvement celui qui est souvent présenté comme une des figures inaugurales de la chrétienté.

    Celui qui voudra approfondir ce sujet pourra se reporter à un "focus" présenté par l'émission "le jour du Seigneur" concernant des publications sur ce personnage et que l'on pourra visualiser ici : http://www.lejourduseigneur.com/Web-TV/Focus/Rentree-litteraire/Portrait-de-l-empereur-Constantin

    Références :

    - Pierre Maraval, Constantin le Grand, Tallandier

    - Vincent Puech, Constantin, le premier empereur chrétien, Ellipses

    - Bernard Lançon, Constantin, PUF, coll. Que-sais-Je ?

    - Constantin, Lettres et discours, Belles Lettres

    - Marie-Françoise Baslez, Comment notre monde est devenu chrétien, Seuil, coll. Points

    - Paul Veyne, Quand notre monde est devenu chrétien, Livre de Poche

    On peut s'attarder sur l'ouvrage de M.F. Baslez qui introduit des nuances importantes dans l'étude de ces premiers temps du christianisme, ainsi que le souligne Pierre Lassave (ICI) :

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  • L'euthanasie pour les mineurs et les handicapés mentaux ?

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    Quand les brèches sont ouvertes, les digues finissent par céder de toutes parts. C'est ce qui se passe chez nous où la culture de mort progresse à grands pas. Jeanne Smits, qui monte inlassablement la veille, pointe ces nouvelles déclarations de Jacinta De Roeck :

    "Cela reste à l'état d'idée jetée dans le débat public mais c'est bien ainsi qu'ont été accomplies toutes les avancées de l'euthanasie : en Belgique, la Humanistisch Vrijzinnige Vereniging (Association des libres penseurs humanistes) vient de suggérer que les mineurs et les handicapés mentaux puissent avoir eux aussi accès à l'euthanasie. Au nom de l'égalité des droits. Sa présidente, Jacinta De Roeck, s'est exprimée en ce sens à l'occasion de la Journée du patrimoine à Anvers (on se demande bien pourquoi).

    Et ce ne sont pas des paroles en l'air, puisque Mme De Roeck était précisément l'un des députés qui en 2002 avaient pris l'initiative de légaliser l'euthanasie en Belgique.

    Elle a précisé qu'aucun projet législatif n'était actuellement à l'ordre du jour ni même prévisible à court terme, mais ce qui ne se fera pas pendant l'actuelle législature, estime-t-elle, devrait devenir possible lors de la prochaine. Parce que « la demande est forte ».

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