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Débats - Page 706

  • Vote catholique en France : des indignés d’un autre genre inquiètent l’épiscopat.

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    Après les présidentielles, les législatives. Selon Jean-Marie Guénois, la politique va encore diviser les rangs catholiques (extraits) :

    « A la mi-temps entre les élections présidentielles et législatives, une vingtaine de mouvements chrétiens - soutenus par la conférence des évêques - viennent de lancer un appel pour susciter « un autre regard sur les migrations ». En réaction directe et explicite aux « 27 % des catholiques pratiquants de moins de 35 ans » qui ont voté Marine le Pen au premier tour des présidentielles.

    Un vote catholique

    Car ce qui a marqué ces dernières élections n'est pas la constance du vote à droite des catholiques pratiquants. Il est stable. Selon le sondage La Vie-Harris 79 % des catholiques pratiquants on voté Nicolas Sarkozy au second tour. Et 73 % selon le sondage Le Figaro-LCI-Opinion way. En 2007, 80,5 % des catholiques pratiquants avaient voté Sarkozy selon l'enquête post électorale Cevipof-Ministère de l'intérieur. Soit une quasi stabilité si l'on intègre les marges d'erreur.

    Ce n'est pas non plus, au passage, la constance du vote musulman. Il a été à 93 % pour François Hollande. Il fut à 95 % pour Ségolène Royal en 2007.

    Sur le poids du vote selon sa religion je vous renvoie à l'excellente analyse de Pierre Bréchon, professeur à Science Po Grenoble. Il fonde son analyse sur l'étude du vote religieux en France depuis 1974: « les catholiques, mieux intégrés à leur système religieux sont beaucoup moins nombreux qu'autrefois mais ils sont toujours politiquement très favorables aux candidats de droite ». » Voilà, le point capital (…)

    Mgr Dagens, évêque d’Angoulème, dans Golias Hebdo. (…)appelle, à cet égard, à « l'urgence de travailler à une véritable culture politique ».

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  • Nostra Aetate: querelle d’allemands ?

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    Lu aujourd’hui sur le site de “La Vie”

    “Le cardinal Brandmüller, ancien président du Comité pontifical des sciences historiques, a déclaré que les déclarations “Nostra Aetate” sur les relations avec les autres religions et les racines juives du christianisme et “Dignitatis humanae” sur la liberté religieuse avaient une valeur moins “contraignante”que les autres textes du Concile Vatican II.

    INTEGRISTES : DEBATS AUTOUR DE NOSTRA AETATE

    Alors qu'il présentait un livre sur le Concile vu par Benoît XVI, le cardinal Brandmüller a déclaré que la déclaration “Nostra Aetate” sur les relations avec les autres religions et les racines juives du christianisme et “Dignitatis humanae” sur la liberté religieuse avaient une valeur moins “contraignante”que les autres textes du Concile Vatican II. Il a ensuite souhaité la réussite de la tentative de réunification de l'Eglise initiée par le Pape avec les intégristes. Il faut néanmoins préciser que le cardinal Brandmüller ne visait pas tant le contenu des textes que leur nature canonique : puisque “Nostra Aetate” et “Dignitatis humanae” ont statut de déclaration et non de constitution.

    Cette affirmation intervient à la suite de celle faite le 16 mai par le cardinal Kurt Koch, Président du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens, selon qui Nostra Aetate est contraignante pour un catholique, au même titre que tous les autres textes du magistère. De même, pour Agostino Marchetto, secrétaire à la retraite du Conseil pontifical pour la pastorale des migrants et des personnes en déplacement, la réconciliation avec les intégristes suppose une pleine acceptation des textes du Concile là où le cardinal Brandmüller estime qu'ils doivet être “pris au sérieux comme des expressions du Magistère vivant»

    Comme le rappelle l'agence APIC, “le préambule doctrinal soumis en septembre 2011 aux Lefebvristes comme condition de retour stipule clairement une ouverture à “une légitime discussion“ concernant “l’étude et l’explication théologique d’expressions ou de formulations particulières présentes dans les textes du concile Vatican II et du magistère qui a suivi“.”

    Et “La Vie” de commenter: “Pourtant, on voit mal Benoît XVI revenir sur la liberté religieuse, l'oecuménisme et le dialogue interreligieux, dont il a toujours été un fervent défenseur. Jeune cardinal au moment du Concile (?!), il faisait partie de ceux qui souhaitaient “une réforme liturgique, une évolution en matière oecuménique ou dans le regard porté sur les juifs”.

    Référence : Intégristes : Nostra Aetate est-elle contraignante ?

    Querelle d’allemands (ou de germanophones )? Vatican II n’a proclamé aucun dogme nouveau et tous les actes de ce concile n’ont pas la même valeur, ni la même autorité : ils doivent évidemment êtres reçus , mais chacun pour ce qu’il est. Près de cinquante ans après leur publication, il manque aujourd’hui encore un grand document synthétique du magistère énonçant ou rappelant avec clarté  les normes interprétatives propres à tous ces actes, une "clé de lecture" selon leur nature et leur degré d’autorité respectifs.   

  • A propos d’une vérité qui fait mal

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    Se référant à l’enquête parue dans « Le Point » (catholiques-de-l-allier-l-operation-verite-qui-fait-mal) et dont nous avons rendu compte ici:  Un diocèse sinistré qui ressemble à tant d'autres, malheureusement, le journaliste Patrice de Plunkett commente sur son blog  (extraits) :

    « Cinq cent mille euros de déficit en 2015, diminution des fidèles de 40 à 50 % dans les 15 ans à venir et seulement 2,2 % de la population qui fréquente l'Église... » Résultats d'une enquête réalisée les 1er et 2 octobre 2011 dans le diocèse de Moulins (Allier), à l'initiative de l'évêque, Mgr Pascal Roland.

    Le constat est le même que dans de nombreuses autres régions : les fidèles vieillissent, les prêtres se raréfient, etc. Pourquoi ? et que doit faire l'Eglise catholique ?

    « Le renouvellement de l'Église vit une rupture dans la transmission », constate Mgr Roland. (…)» ? Selon certains, transmission et tradition étant synonymes, la désertification catholique dans l'Hexagone ne s'expliquerait que par la crise des années 1970-1980 : c'est-à-dire, 1. la nouvelle liturgie, 2. le coma de la catéchèse. L'explication 1 est une illusion des « tradis ». Mais la cause 2 a joué (cf. les deux admonestations du cardinal Ratzinger en 1983 au sujet de la catéchèse française) : aligner l'enseignement de la foi sur les utopies de la pédagogie spontanéiste, c'était fabriquer une génération de catholiques ignorant le christianisme. Une grande partie de cette génération fait défaut aujourd'hui.

    Cependant il y a autre chose. La situation actuelle s'explique aussi par un phénomène de société.

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  • L'Eglise de France et le sort des Juifs entre 1940 et 1944

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    Le CNRS (France) vient d'éditer un ouvrage consacré à l'attitude de l'Eglise catholique de France à l'égard de la persécution des Juifs durant la seconde guerre mondiale :

    Sylvie BERNAY, L'Église de France face à la persécution des juifs10/05/2012), 528 pages, 23,75 €.

    Présentation (CNRS) :

    Voici la première étude exhaustive sur l’attitude de l’Église catholique face à la persécution des Juifs de France entre 1940 et 1944. Une recherche fondée sur l’exploitation de documents inédits : fonds de congrégations religieuses, correspondances privées, archives épiscopales, dont les notes intimes du cardinal Suhard, archevêque de Paris sous l’Occupation…

    Sylvie Bernay montre que l’Église, contrairement à une idée reçue, se montre très réservée face à l’application des premières mesures antijuives. Son rejet des persécutions éclate au grand jour lors des rafles de l’été 1942, marqué par la protestation des évêques contre un régime de plus en plus compromis dans la mise en oeuvre de la « Solution finale ». Les documents découverts révèlent que les protestations des évêques de la zone libre ont été concertées avec le Vatican. Sylvie Bernay décrit pour la première fois les moyens employés par le Saint-Siège et l’épiscopat français pour empêcher la reprise des grandes rafles à l’automne 1942 et protéger les persécutés.

    Une typologie des sauvetages montre aussi comment se sont formés sept « diocèses refuges » en zone sud, autour du cardinal Gerlier et des évêques qui encouragent le placement des personnes dans les congrégations religieuses.

    Une somme magistrale qui invite à repenser le rôle de l’Église sous l’Occupation.

  • Le rôle irremplaçable des pères

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    "Papa? Où es-tu? Qui es-tu?"; sous ce titre, Annick Hovine rend compte d'un vaste débat ouvert par le Fonds Princesse Mathilde. Il existe très peu d’études scientifiques sur la paternité. Quel est le rôle des pères dans l’éducation ?

    C'est à découvrir sur La Libre.

  • Etats-Unis : une mobilisation catholique sans précédent

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    Une information de catho.be : Plus de 40 diocèses et organisations catholiques déposent plainte contre l’administration Obama

    C’est sans doute une « première » : l’archidiocèse de New-York et celui de Washington, ainsi que 40 autres diocèses des Etats-Unis ont déposé une plainte contre le gouvernement  américain pour violation de la liberté religieuse, garantie par le premier amendement de la Constitution. En cause : le plan de santé voulu par le Président .

    Voir l'information sur catho.be

  • D'Erasme à Philippe Meirieu, l'utopie pédagogique

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    Sur Canal Académie, nous lisons :

    L’utopie pédagogique : courte histoire des maîtres penseurs de l’enseignement

    Dans Les pédagogues, Essai historique sur l’utopie pédagogique, l’historien Jean de Viguerie évoque Erasme, Rousseau, Piaget et quelques autres...

    A l’heure où l’enseignement est au cœur des débats politiques, Jean de Viguerie, historien de l’Ancien Régime et de la Révolution publie un ouvrage intitulé Les pédagogues, Essai historique sur l’utopie pédagogique (Editions du Cerf), dans lequel il pointe du doigt la faillite de l’éducation officielle. Ancien lauréat de l’Académie française, il est l’invité d’Annet Sauty de Chalon.

    écouter : http://www.canalacademie.com/emissions/pag1039.mp3

    Pour Jean de Viguerie, ces théories, sans être semblables entre elles, se distinguent radicalement des méthodes de transmission traditionnelles héritées de la scolastique médiévale. Spécialiste de l’Ancien Régime et de la Révolution, professeur émérite des universités et lauréat du prix Marcellin Guérin de l’Académie française, Jean de Viguerie recense dans ce court essai ce qu’il appelle les « pédagogues », au fil de quatorze portraits allant d’Érasme, auteur du fameux De pueris sur l’éducation des enfants (1529), à Philippe Meirieu, théoricien référent de l’enseignement post-années soixante. Ces doctrinaires font l’objet d’une analyse détaillée : Coménius, Locke et bien sûr Rousseau dont on commémore à la fois la naissance (1712) et la publication de l’Émile ou de l’éducation (1762). On trouve également Condorcet ou, moins connu, Victor Considérant.

    L’époque contemporaine nous oblige à évoquer la figure de Jean Piaget dont Jean de Viguerie souligne l’influence considérable. Dans cet entretien, l’auteur récuse l’efficacité des pédagogies nouvelles mais il reconnaît aussi le mérite de certaines approches « non autoritaires », classant à part une personne comme Montessori. Et puis, Jean de Viguerie a le mérite de savoir de quoi il parle, regrettant que les praticiens de l’éducation n’en soient que rarement les théoriciens, clivage qui laisse finalement libre cours à l’utopie, aux fantaisies parfois dévastatrices nées de l’abstraction, lesquelles trouvèrent un écho favorable chez les idéologues et les politiques au milieu du XXesiècle.

    Jean de VIGUERIE est professeur émérite des universités, historien de l’Ancien régime et de la Révolution, ainsi que des questions éducatives. Lauréat du prix Marcellin Guérin de l’Académie française, il a publié Les pédagogues, Essai historique sur l’utopie pédagogique (éditions du Cerf - 14€)

  • BXL, 23 mai, soirée-débat : "Vers un ordre économique durable"

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    Nous recevons l'information suivante :

    La COMECE et la CEC-KEK cherchent à apporter une réflexion de fond sur l’intégration européenne, basée sur la recherche du bien commun et le respect de la dignité humaine. Nous sommes convaincus que les origines de la crise économique et financière ne relèvent pas uniquement de la sphère économique mais que l’éthique et la spiritualité ont également un point de vue apporter sur cette crise. C’est afin d’approfondir cette réflexion que nous vous invitons à une soirée débat sur le thème

    Une contribution spirituelle et éthique: « Vers un ordre économique durable »

    mercredi 23 mai 2012, 20:00

    à la COMECE, 19 Square de Meeûs – 1050 Bruxelles

    Soirée débat entre

    S.E. Mgr André-Joseph Léonard

    Archevêque du diocèse de Malines-Bruxelles (Belgique)

    &

    Edy Korthals Altes

    Ambassadeur émérite du Royaume des Pays Bas

    Débat présidé par S.E. Mgr Adrianus van Luyn

    Evêque émérite du diocèse of Rotterdam (Pays Bas)

    Ancien Président de la COMECE

    Interprétation EN-FR

    Suivi de questions posées par deux jeunes participantes:

    Mlle Kristine Jansone (EWCE) et Mlle Marie-Caroline Leroux (WYA) et d’un débat avec le public

    Veuillez vous inscrire avant le 22 mai ICI

  • Un regard pessimiste sur les tentatives « unionistes » de Rome ?

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    Qu’il s’agisse d’un  ralliement significatif espéré des anglo-catholiques ou des lefébvristes, le professeur Luc Perrin  (faculté de théologie de Strasbourg) montre que les choses sont loin d’être simples : déjà à l’intérieur même de l’Eglise catholique, le divorce entre les mentalités, les cultures religieuses conciliaires et traditionnelles tend à créer une sorte de schisme qui ne dit pas son nom (comme celui qui s’est creusé peu à peu entre les Eglises d’Orient et d’Occident durant le haut-moyen âge) , a fortiori lorsque la rupture s’est formalisée en actes caractérisés, désobéissance disciplinaire depuis près d’un demi-siècle de "lefébvrisme" –et bien plus encore après cinq siècles d' "anglicanisme". La Rome de Benoît XVI (souvent divisée, en son sein, contre elle-même) peut-elle renverser ce courant ?

    Luc Perrin observe à propos de la constitution Anglicanorum coetibus de 2009 : « le sujet du rapprochement avec certains anglo-catholiques appartenant à la Communion anglicane ou à la T.A.C [Traditional Anglican Community]. avait beaucoup attiré l'attention et dès le premier instant, beaucoup regardaient du côté de la FSSPX [Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X]

    Depuis on a un peu oublié ces anglicans/épiscopaliens. En fait, leur intégration semble s'être effilochée au cours des mois : un 1er ordinariat a péniblement vu le jour en Grande-Bretagne là où ils étaient assez peu nombreux, il se consolide depuis. Deux autres ordinariats naissent en 2012 seulement, soit 3 ans après la constitution romaine : un celui de la Chaire de saint Pierre pour l'Amérique du Nord et en juin celui de N.-D. de la Croix du Sud pour l'Australie qui pourrait réunir ... 300 à 500… fidèles.

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  • Quand des catholiques prennent la parole

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    Une site est ouvert sur le net intitulé "Paroles de Catholiques". Il se présente ainsi :

    Quelques paroissiens de base qui se réunissent : voilà la genèse de l’association Paroles de Catholiques, créée pour faciliter le dialogue sur tous les sujets débattus sur la place publique.

    « Paroles de Catholiques » est une association née en novembre 2010 à l’initiative de quelques paroissiens pour permettre aux laïcs catholiques d’exprimer leur point de vue personnel dans le monde d’aujourd’hui et à travers les medias.

    « Paroles de Catholiques » se fait connaitre dans les paroisses, les mouvements d’Eglise et les aumôneries. Elle organise une formation sur les questions d’aujourd’hui, ainsi qu’une formation media de quelques heures.

    Par des communiqués de presse, « Paroles de Catholiques » propose ensuite ces témoignages aux medias sur les sujets d’actualité, religieux ou non.

    Ainsi, un premier argumentaire téléchargeable (pdf) consacré à l'euthanasie a été mis en ligne, mais ce site propose aussi des formations, des dossiers thématiques, des textes fondamentaux, etc.

  • Religions et Etat dans l’Islam : un lunch débat à l’Université de Liège le mardi 29 mai à 18 heures

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    islam_by_khaled_etman-d35n1ra.jpgLaïcité, neutralité, démocratie, pluralisme ont-ils le même sens dans l’Occident sécularisé et l’Orient islamisé ? Comment l’Islam comprend-il les notions de majorité et de minorité inhérentes à tout système démocratique ? A quelles conditions un Etat confessionnel peut-il être pluraliste ? Qu’est-ce que la dhimmitude ? Atatürk a-t-il réussi à imposer le modèle européen à la Turquie ? Que représentent exactement des défenseurs sécularisés des droits de l’homme dans le monde musulman ? La démocratie ne sert-elle pas finalement  l’islamisme ?

    L’Union des Etudiants catholiques (Cercle « Ethique sociale ») a invité Vincent LEGRAND  à débattre de ces questions et d'autres sur le, même thème, dans le cadre des lunch-débats qu’elle organise à l’Université de Liège. Vincent LEGRAND est professeur à la Faculté des sciences économiques, sociales et politiques de l’Université Catholique de Louvain (UCL). Il fut aussi chargé de cours au Centre interdisciplinaire d’étude des religions et de la laïcité de l’ULB à Bruxelles. Cet échange sera assorti du témoignage de Maximos BOTROS, diacre de l’Eglise catholique copte d’Egypte, illustré par des panneaux aimablement prêtés par l’exposition itinérante de l’Oeuvre d’Orient « Le mystère copte : voyage aux sources égyptiennes du christianisme ».

    La rencontre aura lieu le mardi 29 mai 2012 à 18h00 à la salle R100 située auDSC29.jpg  bâtiment central de l’Université de Liège, Place du 20 Août, 7. Accueil et parcours fléché à partir de la grande entrée. Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi du lunch-débat : de 18h15 à 20h30. P.A.F : 10 €  (à régler sur place). 

     

    Inscription obligatoire trois jours à l’avance par téléphone  au n°  04.344.10.89 ou par mail à info@ethiquesociale.org

    Internet : www.ethiquesociale.org

  • Jésus et les historiens

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    Le site "Aleteia" pose la question : Jésus a-t-il vraiment existé ? La question peut sembler surprenante mais il n'est pas rare de voir certains "historiens" mettre en question l'historicité du Christ.

    Jésus a-t-il vraiment existé ?

    Il existe de nombreuses preuves historiques de l'existence de Jésus !

    La certitude historique de l’existence du Christ n’a jamais été sérieusement mise en question depuis 2000 ans et elle est attestée par des faits et de multiples sources antiques, chrétiennes, juives ou profanes.

    Lire la réponse argumentée ... et puisée à bonne source