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Eglise - Page 1569

  • La vie amoureuse des prêtres sur France 2

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    Comme le souligne l'Abbé Rimaz, sur "Le Suisse Romain", informer c'est choisir.

    "Le Pape a parlé de la famine au Soudan, peu de personnes ont relayé son appel; pour les négociations en Syrie, peu de personnes ont relayé son appel; pour que les Occidentaux n'oublient pas le Continent de l'Espérance, l'Afrique, peu de personnes ont relayé son appel; Benoît XVI va se rendre à Cuba, au Mexique..."

    Après on pense que l'Eglise fait une obsession sur la sexualité ?

    Mais c'est pourtant bien sur ce terrain, précisément, que France 2 a décidé, une nouvelle fois, d'investiguer.

    Il faut lire notre excellent confrère : http://lesuisseromain.hautetfort.com/ et notre excellente amie : http://benoit-et-moi.fr/

  • Des tempérants, passionnés de solidarité...

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    Dans son compte-rendu de la deuxième conférence de carême à Notre-Dame de Paris, Philippe Maxence (l'Homme Nouveau) cite l'oratrice, Soeur Cécile Renouard :

    « Tempérance semble s’opposer à passion. C’est une erreur ! Il s’agit, au contraire, d’être des passionnés de la solidarité, et c’est bien dans cet élan que nous apprendrons à être tempérants. Tempérance pour consommer moins et autrement ; tempérance pour mettre de la mesure face à l’hybris de nos comportements prédateurs, et pour identifier les limites de notre monde commun. Elle est possible ! Nous disposons d’un trésor inouï : un évangile qui nous invite à la béatitude de la pauvreté, à l’équilibre, au partage, tout en faisant sans cesse éclater, dans le champ théologal, dans le champ du Royaume, toutes nos jauges : n’est-il pas dit dans l’Évangile de Saint Luc “donnez et on vous donnera, c’est une bonne mesure, tassée, secouée, débordante qu’on versera dans le pan de votre vêtement, car c’est la mesure dont vous vous servez qui servira aussi de mesure pour vous.” (Lc 6,38) ? Derrière l’obsession de la maximisation du profit et la fuite éperdue vers le toujours plus, que de peurs et que de manques d’audace ! Il nous faut apprendre à nous saisir des capacités offertes par les nouvelles technologies, par les innovations techniques, comme un tremplin vers une économie à la fois locale et reliée ; porteuse de sens, peu gourmande en énergie et favorable à des maillages multiples. Il nous faut apprendre aussi à privilégier des styles de vie qui évitent de dépenser des sommes folles pour réparer les dommages que nos prétendus “progrès” ont engendrés. Il nous faut donc maintenant consentir à la remise en cause radicale de notre modèle de croissance pour parvenir à une meilleure qualité de vie. »

    Lire cette conférence "à deux voix", in extenso, ici : http://www.paris.catholique.fr/

  • La "Sainte Tunique" exposée à Trèves à partir du 13 avril

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    181347SainterobedeTrevesjpg.jpg(source : ZENIT.org)

    A l’occasion de l’ouverture du pèlerinage pour l’ostension de la Sainte Tunique conservée en Allemagne, à Trèves, le pape Benoît XVI a choisi le cardinal Marc Ouellet comme son envoyé spécial.

    Le cardinal canadien, P.S.S., est le préfet de la Congrégation pour les évêques : c’est dire l’importance que le pape attache à cet événement.

    Le cardinal Ouellet présidera au nom du pape, en la cathédrale de Trèves, le 13 avril prochain, la cérémonie d’ouverture du pèlerinage (13 avril-13 mai 2012), à l’occasion du 5e centenaire de la première ostension publique.

    L’évêque de Trèves, Mgr Stephan Ackermann s’est « réjoui », ce 5 mars, de cet « honneur » de voir le pèlerinage ouvert par le cardinal Ouellet comme envoyé de Benoît XVI.

    Le pèlerinage sera officiellement ouvert le vendredi 13 avril à 14 h 30, en la cathédrale de la ville. Le diocèse attend des centaines de milliers de visiteurs et pèlerins.

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  • Soeur Marie-Emilienne, une "Juste parmi les Nations"

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    yadvashemjustes.jpgElle a agi « avec la bénédiction de l'Église » Source : ZENIT.ORG

    Soeur Marie Émilienne (au siècle, Marie-Rose Hermantier ) a été reconnue « Juste parmi les Nations », lors d’une cérémonie officielle à Jérusalem, au mémorial de la Shoah de Yad Vashem, rapporte le site « Terra Santa » qui a aussi recueilli les propos du P. David Neuhaus, sj, vicaire patriarcal pour les catholiques de langue hébraïque.

    Avec les années qui nous séparent désormais de la Seconde Guerre Mondiale, il est de plus en plus rare de voir réunies durant cette toujours émouvante cérémonie, la personne sauvée et la personne qui a permis le sauvetage. Ce fut pourtant le cas à Yad Vashem mardi dernier. Sr Émilienne est arrivée au bras de Gaby. Et elles sont restées côte à côte durant la célébration dans la pénombre de la Chambre de la mémoire où Sr Marie Émilienne a ravivé la flamme du souvenir.

    Gaby avait deux ans et demi, Sr Marie-Émilienne 21 quand leurs destins se sont croisés.  Les parents de Gaby, David et Héla-Zissa Hochman, émigrés de Pologne en France en 1923 fuyaient devant l’avancée Allemande. En septembre 1943, ils confièrent leurs deux filles à l’Œuvre de secours aux enfants (OSE), une association juive d’entraide qui les cacha dans ce couvent servant aussi de refuge à la Résistance.  Hélas, la maman, fut arrêtée par la Gestapo en voulant aller rendre visite à ses filles. Déportée à Auschwitz, elle y fut assassinée le 2 novembre 1943.

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  • Séries télévisées : la foi au risque de l'asphyxie

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    Il y a, bien sûr, les attaques en règle contre l'Eglise. Nous en savons quelque chose dans notre petite terre d'héroïsme où la campagne menée à la faveur des affaires de pédophilie n'arrête pas de rebondir.

    Mais il y a ces choses qui s'insinuent quotidiennement à travers la "culture" médiatique, et notamment dans les séries. Ainsi, le premier épisode ("l'affaire Sainte-Maxime") d'une série créée par le mari de Laurette Onkelinx (Marc Uyttendaele) met en scène une affaire de pédophilie dans un collège catholique; ainsi, dans un épisode lointainement inspiré par Agatha Christie, "la plume empoisonnée", la coupable n'est autre qu'une pauvre femme fanatique qui voulait à tout prix faire de son fils un prêtre catholique; ainsi encore, dans Barnaby, où une des dernières enquêtes s'effectue dans un couvent de religieuses pas si catholiques que ça.... Tout cela vient d'être programmé, coup sur coup, sur des chaînes françaises ou belges.

    Et on pourrait, bien sûr, continuer d'énumérer ces "productions" qui égratignent quotidiennement l'Eglise, distillant le doute et le soupçon, minant la confiance et suggérant le rejet. C'est ainsi que le téléspectateur lambda, sans trop s'en rendre compte, est peu à peu chargé d'énergie négative à l'égard de tout ce qui s'apparente à la foi catholique. Il faut être fort pour résister à cette propagande insidieuse qui en remet quotidiennement des couches et pour ne pas succomber à la désaffection générale qui finit par éloigner les "chrétiens sociologiques" (mais y en a-t-il encore?) des églises.

  • Embrouilles au Vatican: le coupable idéal ?

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    Hypothèse de Jean Mercier sur le site de “La Vie” (Extraits):

    En plus de ses soucis face aux Lefebvristes, le pape doit faire face à un acharnement médiatique autour de scandales, suite à des révélations de documents par un traître au sein de la Curie.(…).

    Un « traître » du secret pontifical – ou plusieurs font fuiter vers une presse italienne avide de scoops des lettres adressées au pape ou à ses collaborateurs. Ces lettres dénoncent la corruption du Vatican, évoquent des manigances en vue du prochain conclave, mettent en scène les manœuvres de certains cardinaux pour obtenir le pouvoir ou manipuler, et, en négatif, révèlent les haines recuites des uns et des autres au plus haut niveau. La chose est très grave car le traître opère au plus haut niveau, peut-être depuis la Secrétairerie d'Etat. Il est évident que le but de l'opération est de faire exploser celle-ci, ou du moins de forcer le secrétaire d'Etat, le cardinal Bertone, à partir. Car la plupart des documents le visent, soit directement, soit indirectement.

    Il ne faut pas être naïf, évidemment. Les querelles de pouvoir n'ont jamais épargné la Curie. La nouveauté est que les médias font leurs choux gras de dysfonctionnements jusque là tapis dans l'ombre, ce qui laisse les services de communication du pape assez désemparés car ils ne peuvent guère nier l'existence de ces documents secrets.

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  • Encore une attaque médiatique contre le célibat sacerdotal

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    Cent fois sur le métier remettez votre ouvrage. Sur le site de “La Vie” Jean Mercier s’y colle à son tour, dans une “paposcopie” du 5 mars (extraits):

    “ C'est un documentaire qui promet une flambée d'audimat. Diffusé par France 2 le 6 mars, il a pour thème « La vie amoureuse des prêtres ». Il est si tentant de connaître la vie intime de ceux qui se sont volontairement astreints au célibat, et donc à la chasteté... Le moins qu'on puisse dire est que le film est croustillant. Il s'ouvre sur des images d'un couple en automobile. Un prêtre et une femme racontent comment ils se cachent pour se retrouver dans l'intimité, jusqu'à s'échapper à l'étranger.

    Kilien et Christine, dont les noms sont donnés en clair, auront sans doute sous-estimé l'impact de ces images sur un diocèse de Lille encore assez bouleversé par le départ de Kilien. Le téléspectateur apprend d'emblée que le documentaire a été tourné alors que Kilien était encore en poste. Il va donc assister en temps réel à la défection du curé... (…)

    Le cinéaste, qui ne brille pas par sa discrétion, ne répugne pas à nous faire entrer dans l'intimité d'un autre couple composé d'un prêtre septuagénaire, qui a attendu la retraite pour épouser celle qu'il aime depuis des lustres. L'ancien Père Gabriel raconte qu'il a demandé à Jacqueline de coucher avec lui – sans qu'ils soient déjà amoureux – et qu'elle a accepté. Là encore, était-il vraiment indispensable de nous partager cette confidence ? (…)

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  • Curieux carême à la liégeoise...

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    Voici l'invitation adressée par les dominicains de Liège (cloître Saint-Jean) pour leurs activités durant ce carême. On sait peut-être que la communauté dominicaine de la Cité Ardente est en charge de la pastorale universitaire. Toutefois, cette proposition nous interroge vraiment.

    "Eucharistie et repas Logos, ce mercredi 7 mars à 19h.30. L'Eucharistie sera célébrée dans la crypte. Ensuite, nous nous retrouverons au 42 pour partager un délicieux plat asiatique, suivi d'une soirée de folie...  Les déguisements sont les bienvenus !!!!! Bloquez déjà la soirée indienne le 14 mars et la soirée de printemps "pré-carré ordinesque" ce 21 mars !"

    Est-ce cela qu'il faut entendre par nouvelle évangélisation à la mode "d'amon nos ôtes" ?

  • Condamné à six ans de prison pour avoir insulté le prophète

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    Source: observatoire de la christianophobie (Daniel Hamiche)

    Un chrétien égyptien condamné à six ans de prison pour avoir « insulté le prophète »

    C’est un jugement exorbitant du droit qu’a rendu un tribunal correctionnel d’Abanoud (province d’Assiout) contre Makram Diab, un chrétien égyptien, le condamnant à six ans de prison pour une accusation alléguée d’avoir « insulté le prophète ». Le code pénal égyptien ne prévoit en effet que seules des peines de un mois à trois ans de prison peuvent être appliquées à des personnes qui se sont rendu coupables d’un délit de diffamation envers une religion. Mais Makram Diab a-t-il proféré de insultes contre le « prophète » (les guillemets sont miens…) ? Évidemment non ! Il s’était contenté, le 9 février, de demander à une secrétaire et à un enseignant d’une école salafiste, s’il était vrai que Mahomet avait eu 40 épouses, sans même, d’ailleurs semble-t-il, les interroger sur l’âge des dites épouses… Treize jours plus tard, un autre enseignant salafiste, qui n’était pas même présent durant l’échange, déposait une plainte contre Makram Diab, contresignée par onze autres enseignant de cet établissement islamiste, qui n’étaient pas davantage présent lors de l’altercation. Lors du procès, une tourbe de près de 2 500 musulmans, excités par les salafistes, certains brandissant des couteaux et hurlant à la mort contre le prévenu, ont tenté de prendre l’assaut le tribunal pour rendre la “justice” qu’on leur a enseigné d’appliquer envers les “mécréants”. Plus de 80 avocats islamistes avaient pénétré dans le tribunal, bloquant de l’intérieur les portes empêchant l’avocat du prévenu de venir défendre son client et hurlant leurs exigence au juge de condamner à la peine maximum Makram Diab. On imagine assez l’ambiance à l’intérieur de la salle d’audience et la “sérénité” qui devait y régner… L’avocat a fait appel de ce jugement inique et digne des tribunaux révolutionnaires de la Terreur en France ou du bolchévisme soviétique ! Makram Diab est, pour l’heure, en internement de haute sécurité dans une prison d’Abanoud. Ce qui n’est pas pour être vraiment rassurant…

    Daniel Hamiche

     

    Source : Assyrian International News Agency

  • La croisade des évêques américains en faveur de la liberté religieuse

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    Spécialiste dans les affaires de l'Eglise, Sandro Magister met en ligne une lettre signée par l'archevêque de New-York, président de la Conférence épiscopale des Etats-Unis, et par l'évêque de Bridgeport, président du comité "ad hoc" pour la liberté religieuse.

    Sous le titre "L'Amérique d'Obama, ou de la liberté perdue", S. Magister commente la situation :

    Même dans la patrie du droit et de la démocratie, la liberté de conscience est en danger. C'est l'accusation sans précédent que les évêques lancent contre le président des États-Unis. Voici la lettre confidentielle dans laquelle ils expliquent pourquoi. Radio Vatican et "L'Osservatore Romano" ont parlé de cette lettre. Mais elle n’apparaît pas sur le site web de l’USCCB, la conférence des évêques catholiques des États-Unis. (...)

    Les deux prélats l’ont adressée, le 22 février dernier, à tous les évêques des États-Unis. De manière confidentielle. Mais en les invitant à en faire connaître le contenu à tous les fidèles. (On peut en lire ci-dessous le texte intégral.)

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  • La pérennité de la tradiction bénédictine sous le ciel de Provence

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    Un reportage qui nous emmène à des lieues d'abbayes vides ou désertées comme il s'en trouve parfois chez nous...

    «Nous ne sommes pas plus grands que nos Pères» (merci à "Riposte catholique")

    source : 30giorni.it par Giovanni Ricciardi

    À Le Barroux, près d’Avignon, la communauté bénédictine fondée par dom Gérard Calvet fleurit depuis quarante ans, sous le signe de la stricte observance de la Règle et de l’amour pour l’ancienne tradition liturgique de l’Église

    Des fenêtres du monastère de Le Barroux, le ciel de Provence semble un drapeau bleu tendu au vent. Le monastère est battu par le mistral, parfois avec violence: certains jours d’hiver, sur les montagnes proches, il peut souffler jusqu’à trois cents kilomètres à l’heure. Les oliviers et les vignes semblent ne pas en souffrir mais, mis à part les cyprès qui ont été mis là pour rappeler que, de ces murs, on regarde vers le haut, la végétation est dans l’ensemble basse et donne au paysage son allure de garrigue. Sous le ciel, se dresse comme un cône régulier la masse sombre du Mont Ventoux...

    Lire la suite de ce beau reportage : http://www.30giorni.it/

  • Le saint patron de la Pologne et de la Lituanie

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    200px-Kazimieras.jpgSource : missel.free

    Saint Casimir, prince de la dynastie des Jagellons, troisième enfant et second fils des treize enfants du roi Casimir IV de Pologne (1427 + 1492)[1] et d'Elisabeth d'Autriche, naquit le 3 octobre 1458, à Cracovie. Pieusement élevé par sa mère, il fut formé par les leçons du chanoine Jean Dugloss, futur archevêque de Lemberg, et de l'humaniste Philippe Bonacorsi (Callimaque). Dévot à la sainte Vierge, méditant les mystères de la Passion, le prince Casimir se tenait constamment dans l'exercice de la présence de Dieu et, inviolablement attaché à la chasteté, domptait ses passions par une vie d'austères mortifications.

    En 1471, il accepta, pour complaire à son père, son élection au trône de Hongrie[2]. Or, à peine touchait-il les frontières de Hongrie, qu'il se retira parce qu'il avait appris, outre que le pape Sixte IV désapprouvait l'entreprise, que le plus grande partie du peuple hongrois était favorable au roi Matthias. Ses troupes furent battues en Slovaquie (1472) et il retourna en Pologne. Il se retira trois mois dans le château de Cobzki pour expier l'injustice de l'expédition. Puisque son frère Wladislas était roi de Bohême, il semblait que Casimir serait roi de Pologne où il prit part au gouvernement qu'il administra sagement pendant que son père s'assurait la Lituanie destinée au cadet Jean-Albert (1479-1483). Le prince Casimir refusa d'épouser la fille de l'empereur Frédéric III (1481). De mœurs très pures, habitué à la mortification, il était vivement attaché à la chasteté et puisait sa force et sa joie dans l'adoration du Saint-Sacrement et la dévotion à la Vierge Marie.

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