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Livres - Publications - Page 179

  • Un roman prophétique écrit en 1907

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    En 1907, Mgr. Robert Hugh Benson, un prélat anglais converti au catholicisme, publiait un livre prophétique dont la lecture ne peut laisser indifférent : "Le Maître de la Terre". Ce livre a été réédité et est disponible dans de bonnes librairies et peut même être lu en ligne.

    "À la fin du XXème siècle, les progrès du matérialisme et de la Franc-Maçonnerie ont réduit la religion chrétienne à une infime minorité en Europe, malgré sa survie en Irlande et dans la ville pontificale de Rome. Mais alors que l'on attendait l'ère de la Paix Universelle, l'Asie menace de déferler sur l'Europe. Au moment où la guerre semble inévitable, Julien Felsenburgh, un jeune américain inconnu, convainc soudainement l'Asie de faire la paix, gagnant ainsi une immense popularité mondiale. S'en suit l'instauration de la Paix Universelle et de la religion de l'Humanité, excluant comme criminelle toute spiritualité transcendante, et l'Église y subit sa dernière persécution.
    - Ce roman est une fresque grandiose de la fin des temps et de la venue de l'Antéchrist. Il ne s'agit toutefois pas d'un calque de l'Apocalypse, même si l'on y reconnaît ici ou là quelques allusions. Les événements sont vus à travers les points de vue totalement différents de Percy Franklin, brillant prêtre catholique anglais, et de Mabel Brand, jeune épouse d'un député communiste et enthousiaste de l'humanisme athée, ce qui permet de n'avoir pas une vision trop manichéenne du combat eschatologique. Ce roman, plutôt visionnaire, constitue une réflexion très actuelle sur les possibles dérives du droitdelhommisme et de la paix sans Dieu."" 

    http://livres-mystiques.com/partieTEXTES/HughBenson/MaitreTerre.html

  • Une bonne adresse : "Livres en famille"

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    Nous découvrons cette librairie... très française, en espérant que nous, Belges n'y serons pas considérés comme des intrus et que nous pourrons, nous aussi, bénéficier de frais de port raisonnables :banniere_livreenfamille.png

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  • Quand Gérard Leclerc publie et témoigne, il nous aide à réfléchir et à comprendre

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    300x300xabecedaire-du-temps-present.jpg.pagespeed.ic.lWWWYjudpE.jpgL'évangile d'hier rappelait qu'"il y a de nombreuses demeures dans la maison du Père"; à parcourir de nombreux sites et blogs cathos intransigeants, on ne s'en douterait pas. Dans la confusion actuelle, chacun voudrait se faire "le" porte-parole de "la" vérité : jouer à être le pape en quelque sorte. Ce n'est pas le cas de Gérard Leclerc qui nous partage sa reflexion sur "France Catholique"

    L’«  Abécédaire du temps présent  », nouveau livre de Gérard Leclerc, est disponible dans toutes les librairies depuis le 20 mai 2011 (250 pages, 20 euros, éditions de l’Œuvre). Il s’agit d’un recueil de chroniques lues sur Radio Notre-Dame ou Radio-Espérance. Elles sont d’un style limpide et ne manquent jamais de faire réfléchir sur une question de société, politique ou intellectuelle. Elles raviront ses auditeurs réguliers comme ceux qui n’ont pu toutes les entendre. On découvrira combien elles dépassent l’actualité au jour le jour et forment un crible pour décoder notre monde.

    En complément, un grand entretien permettra de resituer cet agréable exercice littéraire dans la trame profonde d’une histoire intellectuelle qui est aussi, chacun selon son échelle, celle de beaucoup d’entre nous. A découvrir ici

  • Quand un univers culturel cède la place à un autre...

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    couv9113g_200.jpgEn février dernier, Chantal DELSOL a publié "L'âge du renoncement". Observant l'effacement du christianisme et de la culture qui lui était associée, elle y voit la fin d'une longue période (2500 ans) marquée par la recherche de la vérité et par la foi qui préluderait à un retour à une vision païenne des choses. Son analyse est interpellante :

    "La religion, qui a irrigué la culture occidentale pendant deux mille ans, perd son influence sur tous les plans. La chrétienté ne se retire pas seule, mais avec elle ses fruits sécularisés, qui constituaient une architecture signifiante. Quel est le destin de notre représentation du monde à l'orée de cet effacement ? Certains désignent le relativisme, voire le nihilisme, qui s'instaurent dans l'oubli des référents fondateurs.

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  • Collège des Bernardins : des centaines d'heures en écoute libre

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    images.jpgNous ne cautionnons pas nécessairement tout ce qui se fait ou tout ce qui se dit au Collège des Bernardins, mais nos visiteurs sauront faire la part des choses. Il n'empêche, c'est une institution qui ne manque pas d'intérêt et qui permet d'approcher de nombreuses questions relatives à l'Eglise et à la société, avec des personnalités de premier plan comme Rémi Brague ou Chantal Delsol qui sont membre de son "conseil d'orientation".

    Le Collège des Bernardins se définit ainsi :

    "Lieu de recherche et de débat pour l'Eglise et la société

    autour de la question de l'homme et de son avenir"

     

    Sept siècles et demi après sa fondation, le Collège des Bernardins, restauré à l’initiative de l’Église de Paris, va renouer avec sa vocation d’origine.

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  • Frédéric Lenoir : "un adversaire de notre foi"

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    Dans le n°3255 (15 avril 2011, pp. 26-29) de "France Catholique", Gérard Leclerc a consacré un article à l’un des experts « incontournables », omniprésents sur les plateaux de télévision lorsqu’il s’agit du catholicisme : il s’agit de Frédéric Lenoir, directeur du « Monde des Religions ». Son livre sur le Christ : "Comment Jésus est devenu Dieu" a fait partie de ces publications à la mode qui figurent sur le rayon "religions, spiritualités, ésotérisme" où défilent tant d'auteurs à la mode, qui ont leur heure de gloire et que l'on oublie ensuite (cfr Drewermann et bien d'autres)...

    G. Leclerc considère que cet « expert ... a suivi un chemin au terme duquel il a adopté et intériorisé la plupart des ambiguïtés de ce qu'on nomme dialogue interreligieux. » Non qu’il s’agisse de contester « le bien-fondé d'une confrontation rigoureuse et sereine entre les grandes visions du monde et les courants religieux qui leur correspondent. », mais pas « au prix d'une confusion qui estompe leurs structures fondamentales. »

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  • Des bénédictines bien mal avisées

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    Les bénédictines du "Monastère de l'Alliance à Rixensart" accueilleront prochainement un auteur à succès, qui a d'autant plus de succès qu'il alimente la critique à l'égard de l'Eglise et de son magistère, pour venir entretenir son public de cathos bobos de la façon dont "l'Eglise redeviendra un lieu d'espérance pour notre époque".

    Car, bien évidemment, Monsieur Le Gendre est détenteur d'infaillibles recettes pour rendre à l'Eglise le tonus que des gens aussi négligeables que Jean-Paul II ou Benoît XVI ont été bien incapables de lui insuffler.

    Il aurait fallu raconter ça au million et demi de pèlerins présents à Rome lors de la béatification de Jean-Paul II...

    Cet auteur, encensé par tous les médias "cathos progressistes", vient de commettre un nouveau livre : "L'espérance du cardinal" qui vient prolonger "Confession d'un cardinal", livre de chevet de tous ces gens qui sont si peu catholiques mais tellement épris de bienpensance culturellement et politiquement correcte (cfr l'analyse de l'abbé Barthe sur ESM)

  • Le "silence de Pie XII" : pressions américaines et anglaises

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    Pius- XII.jpg"Les Etats-Unis et la Grande-Bretagne ont exercé des pressions sur le pape Pie XII pour qu’il ne dise rien sur les brutalités nazies, évitant ainsi que ses protestations aient d’autres conséquences, révèlent des documents jusqu’ici inédits.

    Les textes ont été découverts par la Fondation Pave the Way, fondée par le juif américain Gary Krupp. Selon lui, les révélations qu’on y trouve peuvent aider à mieux comprendre les circonstances des agissements de Pie XII.

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  • Pie XII et la Shoah : un ouvrage à ne pas manquer

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    I-Moyenne-6303-pie-xii-et-la-shoah-le-choix-du-silence-.aspx.jpgSous la direction de Dominique le Tourneau, un ouvrage qui recense des contributions d'historiens et de chercheurs (Editions TEQUI, 10 €)

    Présentation de Dominique le Tourneau :

    "Pie XII a été unanimement salué parle monde juif, tant pendant la guerre de 40 qu'à sa mort en1958, comme ayant contribué, avec l'Eglise catholique, à sauver des centaines de milliers de Juifs de l'extermination. Il a fallu la parution, en 1963, de la pièce le Vicaire, commandité et contrôlée par le K.G.B., les services secrets de la Russie soviétique, pour faire naître la suspicion sur le rôle effectif du Pontife romain alors qualifié de "pape d'Hitler" et lancer une polémique qui ne s'est pas encore éteinte.
    L'intérêt de cet ouvrage est d'apporter un éclairage scientifique sur la question de la part d'historiens et de chercheurs. Outre le professeur Chenaux, spécialiste de la période, l'on appréciera le témoignage de Me Serge Klarsefld, bien connu comme "chasseur de nazi", et peut-être plus encore celui de Gary Krup, au départ résolument anti-Pie XII et dont on saluera l'honnêteté intellectuelle, car il a compris qu'il faisait fausse route et a su rectifier en devenant un ardent défenseur de la cause de Pie XII.
    L'ouvrage est introduit par le P. Michel Viot, en tant que président de l'Association "Ecouter avec l'Eglise", qui a organisé le colloque donnant lieu au colloque dont les Actes sont ainsi publiés."

  • La nouvelle christianophobie

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    Thibaut DARY, de "Liberté Politique", a rencontré Alexandre del Valle au sujet de l'ouvrage qu'il vient de publier :

    Dans son nouveau livre Pourquoi on tue les chrétiens dans le monde, la nouvelle Christianophobie (éditions Maxima), le géopolitologue Alexandre Del Valle analyse la situation des minorités chrétiennes dans le monde, soumises à une violence croissante, et très peu défendues par les institutions occidentales et internationales. Une question d’actualité brûlante, alors que les coptes d’Egypte viennent de subir de nouvelles attaques.

    Pour reprendre le titre de votre livre, pouvez-vous nous dire « pourquoi on tue aujourd’hui des chrétiens dans le monde » ? En quoi y a-t-il aujourd’hui selon vous une « nouvelle » christianophobie ?

    En Irak, en Egypte, au Nigeria, en Inde, en Chine, en Corée, et dans beaucoup d’autres pays encore, on tue aujourd’hui des chrétiens parce qu’on les associe à l’Amérique, à l’Occident, voire à Israël. Ils sont de la même religion que les anciens colonisateurs, que les anciens esclavagistes, que les envahisseurs américains, et ils sont aussi, juge-t-on, complices des juifs-sionistes. Ils sont donc considérés comme des mauvais patriotes, si ce n’est comme des traîtres. Dans bien des endroits, on a repris à l’égard des chrétiens tout un discours conforme à la démonologie anti-juive classique en vigueur en Europe au début du siècle dernier. Puisque le christianisme est la religion de l’ancien colonisateur européen, ou du dominateur américain, tuer un chrétien, c’est tuer un occidental, un agent de l’extérieur, et en somme, un bourreau. Voilà la nouvelle forme de christianophobie. Et pour achever de la décrire, il faut noter qu’elle augmente sans que cela suscite d’intérêt politique ou médiatique. Dans certains pays, on tue allègrement sans la moindre réaction occidentale en retour. Voir la suite de l'interview sur le site de Liberté politique

     

  • Umberto Eco et autres cathophobes de littérature

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    cimetiere.jpgNotre vigilante amie de "Benoît-et-moi" s'attarde sur le dernier roman d'Umberto Eco qui fait actuellement recette en librairie et relaie la critique éclairée qui en a été faite par Massimo Introvigne :

    "Le dernier livre d'Umberto Eco est paru en France, et il occupe depuis plusieurs semaines le sommet des hit-parades des meilleures ventes de livres.
    Il était déjà sorti en Italie en 2010, et Massimo Introvigne en avait livré alors une critique extrêmement érudite (il est un grand spécialiste des sujets qu'Eco aborde dans son roman, et celui-ci s'est même inspiré de l'un de ses ouvrages) que j'avais mis de côté, me proposant de la traduire plus tard.

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