Le thème de cette année est consacré aux « Classiques » de la Philosophie.
C’est un cycle de conférences…
• pour les esprits curieux, venant à la rencontre de la philosophie pour la première fois.
• ou pour ceux qui ont déjà eu la joie de philosopher avec Stéphane Mercier lors des précédentes sessions.
- L’accès aux conférences est ouverte à tout le monde :
- Sur place à Bruxelles : Rue du Cornet 51.
- ou également ici, en ligne : en diffusion vidéo sur YouTube.
P.A.F. libre : participez à l'enseignement de la bonne philosophie !
- À l'issue de la conférence, nous aurons le plaisir de partager un moment de convivialité autour d'un verre, favorisant les échanges enrichissants avec le conférencier et tous ceux qui se joindront à nous sur place.
- Toutes les conférences sont disponibles ensuite sur le site www.philo.brussels. Il suffit de souscrire à un accès illimité, pour un prix très modique. Grâce à votre participation, nous avons la joie de poursuivre nos soirées de philosophie pendant de longues années…
Une synthèse de presse de gènéthique.org :
La « théorie du genre », un exemple de « colonisation idéologique »
Le 8 janvier, dans son discours au corps diplomatique accrédité auprès du Saint-Siège (cf. Le Pape appelle à « interdire universellement » la GPA), le pape François a mis en garde la communauté internationale contre les « cas de colonisation idéologique, dans lesquels la théorie du genre joue un rôle central ». Elle « est extrêmement dangereuse car elle efface les différences dans sa prétention à rendre tout le monde semblable » alerte-t-il.
Le Saint-Père déplore le fait qu’au cours des dernières décennies, il y ait eu des « tentatives » pour « introduire de nouveaux droits » qui ne font pas toujours l’objet d’un consensus. Selon le Pape, il s’agit de « colonisation », « l’imposition d’une vision extérieure qui détruit une culture ou un peuple ». Ainsi, les pays riches offrent ou refusent leur soutien financier aux plus pauvres « selon qu’ils cèdent ou non à la pression exercée » sur les sujets qui touchent à l’« éthique familiale », au mariage et aux questions relatives au genre.
« Les colonisations idéologiques sont préjudiciables et créent des divisions entre les Etats, au lieu de favoriser la paix » regrette le Souverain Pontife en évoquant le risque d’une « monadologie »[1] et d’une division en « clubs » qui n’admettent que des Etats jugés « idéologiquement compatibles ».
Or le dialogue doit être « l’âme de la communauté internationale ». Il appelle celle-ci au respect des droits de l’homme et à la défense de la dignité de la vie dès sa conception. Enfin, le Pape a également déploré « la diffusion continue de la culture de la mort » qui, « au nom d’une fausse compassion », « abandone les enfants, les personnes âgées et les malades » (cf. Fin de vie : la mise en garde du Pape contre une « euthanasie humaniste » ; Fin de vie : « accompagner la vie jusqu’à sa fin naturelle » plaide le pape).
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[1] Chez le philosophe Leibniz, la monade est une substance indivisible qui constitue l’élément dernier des choses.
Source : Aleteia, Isabella H. de Carvalho (08/01/2024)
- RD Congo : Elections ou comment tuer la démocratie !

7 janvier 2024, dans la « Libre Afrique », Hubert Leclercq cède la parole à l’opinion de Jean-Claude Mputu :
Jean Claude Mputu est le directeur adjoint de Resource Matters (ONG) : Il accompagne les partenaires des Resource Matters et coordonne leurs actions en vue d’en augmenter l’impact sur le terrain. Il coordonne aussi le volet électricité de leurs programmes.
Titulaire d’un doctorat en Relations Internationales, Jean Claude Mputu a longtemps travaillé comme chercheur à l’Université de Liège avant de rejoindre le National Democratic Institute où il a coordonné les activités en RDC et leur programme sur les partis politiques ainsi que la participation des femmes et des jeunes en politique. Citoyen engagé, il a beaucoup travaillé avec la société civile congolaise pour le suivi des activités politiques, électorales et de gouvernance démocratique.
Jean Claude Mputu espère, par son engagement, changer l’avenir de la RDC pour que sa population puisse enfin profiter des nombreuses richesses dont regorge ce pays. Il n’y a pas d’autres alternatives, a-t-il l’habitude de dire :
« Ceci est le plaidoyer d’un citoyen qui voit son pays s’enfoncer dans le déni, le mensonge, la corruption et les antivaleurs »
Mais qui malgré tout continue à vouloir croire qu’un autre avenir est possible : car il est convaincu que le Congo en vaut la peine et que les Congolais ont trop souffert. La manière dont les élections générales de décembre 2023 ont été planifiées et mises en œuvre en RDC constituent un véritable projet pour tuer la démocratie
« C’est pourquoi, je voudrais m’interroger avec vous. Quels sont les critères d’une bonne élection et pourquoi les organise-t-on ? Si les élections doivent permettre à un peuple de choisir librement et légalement ses dirigeants en toute indépendance, transparence, alors qui peut me dire qu’en décembre 2023, la RDC a connu des élections ?
« Au commencement de tout il y a eu la corruption et le mépris des lois pour désigner Kadima comme Président de la CENI. Malgré les protestations des Églises catholique et protestante, la communauté internationale a fermé les yeux et nous ont poussé à donner une chance à Kadima. Le peuple fatigué et victime de la tricherie de 2018 voulait des nouvelles élections et a préféré rester calme.
Ensuite un enrôlement bâclé, avec des cartes d’électeurs qui s’effacent après quelques mois. Tout le monde a fermé les yeux. La CENI a refusé un audit externe et indépendant d’un fichier électoral inexistant, le monde a fermé les yeux, les ambassades occidentales ont rivalisé des communiqués pour soutenir et accompagner la CENI. Dans quel pays démocratique aurait-on voulu des élections sans connaître la liste des électeurs ?
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Université de la vie 2024 en Belgique :
RDV en mars !
Parier sur la vie, est-ce raisonnable ?
Peut-on encore PARIER SUR LA VIE et sur l’AVENIR aujourd’hui ? Comment ? Ces questions vous habitent ? L'Institut Européen de Bioéthique vous propose de participer à la formation bioéthique conçue par Alliance Vita et que nous replaçons dans le contexte belge.
Vidéos, témoignages, échanges autour d'invités locaux ponctueront ces soirées. Experts et témoins croiseront leurs regards sur les enjeux qui traversent notre temps : bien vieillir, désir d'enfant, éducation affective et sexuelle, questionnement de genre…
Ne manquez pas ce rendez-vous unique !
En Belgique, pas moins de sept villes organisent la formation.
Bruxelles, Tournai, Mons, Hannut, Liège, Namur et Louvain la Neuve.
BRUXELLES
7-14-21-28 mars
à 20H
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Fondé en 2001 et basé à Bruxelles, l’Institut Européen de Bioéthique (IEB) est un centre d’étude en matière d’éthique biomédicale. Ses experts travaillent en étroite collaboration avec le milieu universitaire et les professionnels de la santé.
Indépendant de toute structure institutionnelle, l’IEB cherche à informer, former et sensibiliser les citoyens, les professionnels de la santé ainsi que les décideurs politiques sur les enjeux bioéthiques, dans le souci d’une éthique basée sur la promotion de la personne humaine et de sa dignité.
Je soutiens l'IEB
TV5 Monde : LE 28 DÉC. 2023 À 10H58 (TU) Par Juliette Ossola :
Depuis l'autorisation de la bénédiction des couples de même sexe par le Vatican, de vives réactions se sont faites entendre sur le continent. Plusieurs évêques africains ont contesté cette déclaration, et certains refusent de bénir ces couples. Ces réactions s'expliquent à la fois par le contenu du texte, dans un continent dans lequel l'homosexualité reste encore majoritairement pénalisée ou mal perçue, mais aussi par la manière dont le Vatican a pris cette décision. Analyse : "Il n’y a aucune possibilité dans l’Église de bénir les unions et activités homosexuelles. Cela irait à l’encontre de la loi de Dieu, de l’enseignement de l’Église, des lois de notre nation et des sensibilités culturelles de notre peuple". Le ton du communiqué du 20 décembre de la Conférence épiscopale du Nigeria est direct. Du Nigeria à Kinshasa, nombreux sont les prélats africains qui refusent de suivre le pape dans sa décision.
Or, le 18 décembre dernier, le dicastère pour la Doctrine de la foi, autorisait la bénédiction aux "couples irréguliers" (couples de divorcés ou de même sexe) dans une déclaration approuvée par le pape François, sans que ce pape ne remette en cause la doctrine de l'Église selon laquelle le mariage est un sacrement entre une femme et un homme.
(Re)lire : Bénédiction des couples homosexuels : des archevêques africains contestent la décision du pape
32 pays africains répriment l'homosexualité :
"L’Église catholique en Afrique est extrêmement conservatrice sur le plan des mœurs". Jean-Pierre Dozon, anthropologue et spécialiste de l'Afrique : Ces réactions hostiles à la décision du pape s'inscrivent dans un continent où l'homosexualité est souvent réprimé. Sur 69 pays dans le monde réprimant l’homosexualité, 32 sont situés en Afrique, selon l'observatoire des inégalités.
"L’Église catholique en Afrique est extrêmement conservatrice sur le plan de mœurs" constate Jean-Pierre Dozon, anthropologue et spécialiste de l'Afrique. Selon lui, cette "hostilité de certains prélats africains à la bénédiction de couples homosexuels n'est donc pas surprenante".
"Les premières législations contre les homosexuels ont été mises en place par les pays colonisateurs. Il y a un ensemble de raisons politiques, culturelles et religieuses et il faut replacer cela dans son contexte. Les Églises locales sont placées dans des contextes nationaux divers et variés et il est intéressant de voir si elles sont sous influence de la politique locale dans leurs prises de positions, ou si elles se positionnent en fonction de leur compréhension du dogme et de la doctrine catholique", détaille François Mabille, directeur de l'Observatoire géopolitique des Religions au sein de l'IRIS.
"Plusieurs questions se posent: quelles seraient les incidences pour eux (les prêtres qui béniraient les couples homosexuels) du point de vue de leurs États s’ils faisaient autrement ? Est-ce que les forces de police pourraient arriver au cours de la bénédiction pour arrêter les homosexuels, vu qu’ils seraient au courant de leur homosexualité ?" ajoute une source bonne connaisseuse du Vatican.
Au Nigéria par exemple, la loi prévoit une peine de 14 ans de prison en cas de mariage homosexuel et 10 ans d'emprisonnement pour les personnes de même sexe affichant publiquement leur relation.
Une prise de position du pape
(Re)lire : Bénédiction des couples homosexuels : le pape change la pratique de l’Église mais pas sa doctrine
De plus, un synode sur l'avenir de l'Église, une grande assemblée d'ecclésiastiques rassemblant des représentants de l'Église catholique issus de tous les continents, évêques, religieux mais aussi des fidèles laïcs, s'est tenu à Rome du 4 au 29 octobre 2023. Durant cette assemblée, a été évoqué la question de la bénédiction des couples homosexuels, donnant lieu, selon cette même source, à "des confrontations de points de vue particulièrement vigoureuses".
C’est une pratique un peu solitaire du pouvoir du pape de prendre position par la publication de ce texte" commente François Mabille, directeur de l'Observatoire géopolitique des Religions au sein de l'IRIS
À l’issue de ce synode, aucune déclaration en faveur de la bénédiction des couples homosexuels n'avait été retenue. François Mabille y voit "une sorte de contradiction dans la gouvernance du pape actuel : il organise un synode qui dresse des perspectives de collaboration dans la réflexion sur l’Église, sa gouvernance et les prises de positions doctrinale. Alors que sur un sujet sur lequel le synode n’a pas pu se prononcer, le pape publie ce texte. C’est une pratique un peu solitaire du pouvoir, le pape prend position par la publication de ce texte".
Déclin de l'Église catholique en Occident
Or, si le catholicisme a tendance à décliner en Europe et en Amérique du Nord, ce n'est pas le cas dans les pays du Sud et la part de l'Église africaine dans le monde est aujourd'hui très importante. "L’Europe a colonisé et évangélisé l’Afrique. Le catholicisme a été approprié et est devenu une affaire africaine" explique Jean-Pierre Dozon.
Selon François Mabille, "ce qui est de plus en plus sensible c’est la position à la fois minoritaire et à la fois une sorte de mise à distance des Églises catholiques en Europe de la part des Églises catholiques en Asie et en Afrique." Des prêtres dans l'Église catholique flamande ou en Allemagne ont en effet béni des couples de même sexe.
"On peut dire que le Sud global a ce regard des anciens colonisés sur le catholicisme européen, qui est jugé comme à la fois déclinant, ce qu’il est, et avec l’idée que les Églises catholiques en Europe ne sont pas en mesure de conforter la doctrine et de faire passer des lois dans les pays européens", ajoute François Mabille.
L'avenir de l'Église catholique
Au vu de ces divisons, la question de l'avenir de l'Église catholique se pose. "Le risque est de voir apparaitre une fracture dans l’Église catholique d’une manière très forte" précise François Mabille. Selon l'expert, "d’une certaine manière, par la méthode et par le contenu il y a un risque que cela cristallise l’opposition à la fois au pape, et aux ouvertures pastorales de l’Église catholique. Ça pourrait devenir l'un des enjeux dans l’élection du successeur du pape".
C'est aussi ce risque de fracture que souligne Jean-Pierre Dozon : "il y aura un retour de bâton après lui (le pape François), à la curie romaine, comme les prélats africains sont nombreux et importants, il y aura un retour à quelque chose de beaucoup plus traditionaliste".
L'anthropologue évoque la possibilité de l'élection d'un prochain pape africain,: "à ce moment-là, ça serait un pape qui serait évidemment très conservateur", ajoute-t-il. » …
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De Daniel Payne sur CNA :
Le Vatican va publier les homélies privées du pape Benoît XVI
27 décembre 2023
Le Vatican publiera l'année prochaine les homélies "privées" du défunt pape Benoît XVI, qui n'ont jamais été diffusées, a annoncé le Saint-Siège.
La Maison d'édition du Vatican a déclaré le 23 décembre qu'elle avait l'intention de publier "un livre de quelque 130 homélies prononcées par le défunt pape Benoît XVI lors de messes dominicales privées", selon le Catholic News Service (CNS).
Les homélies comprennent "30 prononcées lorsque [Benoît] était pape et plus de 100 prononcées devant les membres de sa famille une fois qu'il a pris sa retraite", selon CNS.
Les homélies auraient été transcrites par des membres de Memores Domini, une association de laïcs qui a vécu avec Benoît, selon le service de presse. Quatre femmes membres de l'association ont travaillé dans la maison papale de Benoît XVI et ont également déménagé avec lui au monastère Mater Ecclesiae après sa retraite.
Ni le Vatican ni la Fondation vaticane Joseph Ratzinger-Benoît XVI, qui a également annoncé la publication des homélies la semaine dernière, n'ont donné de date pour la publication complète des écrits.
L'Osservatore Romano, journal de la Cité du Vatican, et le journal allemand Die Welt ont publié la première des homélies au début du mois.
Cette homélie était une méditation sur Saint Joseph, selon CNS. Le pape Benoît y observait que "le danger est que si la parole de Dieu est essentiellement une loi, elle peut être considérée comme une somme de prescriptions et d'interdictions, un ensemble de normes, et l'attitude, par conséquent, serait d'observer les normes et donc d'être correct".
"Mais si la religion est ainsi, si elle n'est que cela, il n'y a pas de relation personnelle avec Dieu, et l'homme reste en lui-même, cherche à se perfectionner, à être parfait", a déclaré le défunt pape, observant qu'il est difficile d'aimer un Dieu "qui ne se présente qu'avec des règles et parfois même des menaces".
Les chrétiens, a noté Benoît, sont confrontés à "la même tentation, le même danger qui existait dans l'Ancien Testament : même un chrétien peut en arriver à une attitude dans laquelle la religion chrétienne est considérée comme un ensemble de règles, d'interdictions et de normes positives".
Le défunt pape est décédé le 31 décembre 2022, après avoir pris sa retraite en 2013. Il était le premier pape à démissionner volontairement depuis Célestin V en 1294.
L'année dernière, Ignatius Press a publié le livre "The Divine Project : Reflections on Creation and Church", qui rassemble six conférences de Benoît XVI enregistrées sur des cassettes audio, puis égarées pendant 30 ans et oubliées.
Benoît XVI, alors cardinal Joseph Ratzinger, avait donné cette série de conférences en 1985.
Daniel Payne est rédacteur en chef à la Catholic News Agency. Il a travaillé auparavant au College Fix et à Just the News. Il vit en Virginie avec sa famille.
De NewsDayfr.com:
25 décembre 2023
La doctrine de l'Église catholique sur le mariage n’a pas changé. C’est ce qu'a déclaré le cardinal Fridolin Ambongo, Archevêque de Kinshasa en RDC et président du Symposium des conférences épiscopales d’Afrique et Madagascar (Sceam), dans son message à l’occasion de Noël 2023 et ce, en réaction à la déclaration du Vatican approuvant la bénédiction des couples de même sexe bien qu’en dehors des rituels liturgiques.
Pour l’archevêque de Kinshasa, l’homosexualité enfreint la loi naturelle du mariage et la culture africaine.
« L’union homosexuelle n’est pas acceptée dans notre église. Même si les personnes homosexuelles devraient être traitées avec respect, compassion et délicatesse, l’homosexualité reste toutefois un désordre moral contraire à la loi naturelle et à notre culture africaine », écrit-il.
Selon lui, le mariage demeure une union hétérosexuelle, selon la doctrine de l’église catholique romaine.
« Comme institution divine, le mariage demeure une alliance entre un homme et une femme. Les deux forment une communauté de vie, ordonnée aux biens des conjoints, ouverte à la protection », a-t-il renchéri.
Dans une déclaration le 18 décembre dernier, le Vatican avait autorisé la bénédiction des couples homosexuels et ceux en situation d’irrégularité en dehors de la liturgie. Cette déclaration a créé un tollé au sein de plusieurs communautés de l'Église catholique à travers le monde, essentiellement sur le continent africain.
Relire : La CENCO rejette la bénédiction des couples de même sexe en RDC, en réponse à la déclaration du Vatican
A Kinshasa, la Communauté famille chrétienne, une structure rattachée à l’église catholique milite contre la propagation des conceptions occidentales sur l’homosexualité. Du 5 au 7 décembre dernier, elle a organisé une formation des journalistes sur la famille et le mariage.
« Le mariage n’est pas d’abord un droit positif, simplement édicté par un législateur, l’Etat en l’occurrence, qui l’instaure par le code de famille dans différents pays. Il est surtout un droit naturel par le fait qu’il a été institué par le créateur lui-même et ne doit avoir lieu qu’entre les hétérosexuels », expliquait l’abbé Mathieu Musua, docteur en philosophie et professeur émérite à l’Université catholique du Congo (UCC).
Bruno Nsaka
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