Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Politique - Page 501

  • Demain, nous subirons les normes du "bien mourir"

    IMPRIMER

    Opinion de Emmanuel Hirsch, professeur d’éthique médicale à l’université Paris Sud, parue sur le site du journal La Croix le 19 février :

    Mourir par sédation ou l’idéologie du « bien mourir »

    Notre société fait le choix de légaliser une autre approche du mourir. À défaut d’être en capacité – comme certains y prétendaient hier – de « changer la mort », voir de la « maîtriser ». Il convient désormais d’intégrer le modèle d’une « bonne mort », d’un « bien mourir » opposé à cette conception du « mal mourir », figure emblématique de l’inacceptable, de l’insupportable que l’on se contente de fustiger. Car il est plus avantageux d’ériger des symboles que de s’investir au quotidien pour qu’évoluent les mentalités et les pratiques contestées depuis plus de trente ans par ceux qui assument la responsabilité politique de l’humanité du soin jusqu’au terme de la vie.

    Les postures compassionnelles et les résolutions incantatoires imposent leurs règles. La discussion est close. Un dernier espace est concédé pour peu de temps aux disputations sémantiques attachées à ne pas encore assimiler la sédation profonde et continue à l’euthanasie. Le souci de la forme ne dissimule pas pour autant les intentions de fond. Il n’est pas convenable aujourd’hui d’entacher du moindre soupçon un consensus acquis après des années de concertations dont notre pays, affirme-t-on, sort « apaisé » et bénéficiaire de « nouveaux droits » (directives anticipées opposables, sédation profonde et continue).

    Lire la suite

  • Quand le cdH fait campagne pour l'euthanasie

    IMPRIMER

    Le cdH (arrondissement de Liège) organise un débat qui n'en sera pas un entre deux personnes qui ont pris fait et cause pour l'euthanasie : Corinne Van Oost et Gabriel Ringlet :

    unnamed.jpg

  • Syrie : plus de 350 chrétiens pris en otages

    IMPRIMER

    De l'Aide à l'Eglise en Détresse :

    SYRIE : 350 chrétiens capturés, 15 morts et plus de 5000 déplacés

    Les chrétiens assyriens sont plus de 350 à avoir été capturés par le groupe État Islamique dans le gouvernorat de Hassake au nord-est de la Syrie. Au moins 15 d’entre eux ont été tués. Nous publions ci-dessous les dernières nouvelles envoyées à l’AED ce matin 26 février par l’Archimandrite Youkhana, en contact avec la ville de Hassake.

    « Voici les dernières mises à jour que j’ai apprises ce matin de notre contact à Hasseke:

    Environ 15 jeunes Assyriens ont été martyrisés. Beaucoup d’entre eux se battaient pour défendre et protéger les villages et les familles.

    Les personnes capturées viennent des villages suivants: 
    Tel Shamiram: 51 familles (la moyenne est de 5 personnes par famille). Aucune des familles de ce village n’a réussi à s’enfuir. Il y a eu des échanges de coups de feu entre les combattants protégeant le village et le groupe terroriste EI. On pense qu’il y a des victimes et que de nombreux Assyriens ont été tués dans le village. Pas de nouvelles sur ces familles. Elles ont très probablement été capturées et transportées au mont Abdul Aziz, une région voisine contrôlée par l’EI.
    Tel Jazira: 81 personnes
    Tel Gouran: 21 personnes
    Tel Feytha: 5 personnes
    Qabir Shamiya: 3 personnes
    Tel Hormizd: 12 combattants hommes et deux femmes. Il semblerait qu’une des femmes combattantes ait été décapitée et deux combattants hommes fusillés.
    13 autres combattants d’autres villages ont été capturés.

    Les familles déplacées enregistrées jusqu’à hier soir étaient environ 800 à Hassake et 175 à Qamishly. Les chiffres doivent être mis à jour aujourd’hui et devraient atteindre 1 200 familles.
    A présent, toutes les familles assyriennes des 35 villages de Khabour ont fui vers Hasseke ou Qamishly.
    Le Père Bakos de Tel Tamar était la dernière personne à quitter la ville pour Hasseke. Seuls restent les combattants qui protègent les abords de la ville aux côtés des soldats kurdes du PYD. Dans l’espoir que la région soit libérée et que les familles puissent y revenir.

    Les personnes déplacées ont besoin de matelas, de couvertures, d’oreillers, de chauffage, de vêtements, de nourriture, d’hygiène, de soins de bébé et de médicaments.

    Une nouvelle non confirmée d’une autre source :
    Selon une source arabe du village sunnite de Bab Alfaraj, la mosquée du village a annoncé et a appelé la population à participer à un massacre des infidèles dans la montagne de Abdul Aziz le vendredi (demain).

    Archimandrite E. Youkhana* – 26. Februar 2015 07:31 »

    * l’Archimandrite Youkhana travaille pour soutenir les chrétiens persécutés dans la région auprès du CAPNI: Christian Aid Program Northern Iraq
     
    Voir l’article publié le 24 février à ce sujet: Syrie : chrétiens assyriens aux prises avec l’État Islamique
  • Les chrétiens assyriens victimes du double jeu de la Turquie

    IMPRIMER

    Du site de rfi :

    Les chrétiens assyriens victimes du double jeu turc

    La Turquie empêche les habitants chrétiens de fuir par sa frontière, tout en permettant aux jihadistes de la franchir, a accusé mercredi sur Radio Vatican l'évêque de la ville de Hassaké. Plus largement, c'est le double jeu de la Turquie à sa frontière qui met en colère les acteurs du terrain.

    Après l'enlèvement par l'organisation Etat islamique de plus d'une centaine de chrétiens dans cette province syrienne mardi (il y en aurait plus de 200 ndB), près de 1 000 familles ont fui leurs villages. Certaines, qui ont atteint la ville de Qamichli à la frontière turque, n'auraient pas pu entrer dans le pays. Patrick Karam, président de la coordination Chrétiens d'Orient en danger, dénonce le traitement discriminatoire que subissent les chrétiens quand ils arrivent en Turquie.

    « Généralement, ils n'arrivent à accéder aux camps de réfugiés. Quand ils peuvent rentrer en Turquie, ils le font généralement en rejoignant des familles qu'ils ont en Turquie, mais c'est beaucoup plus compliqué pour eux d'accéder aux camps de réfugiés. Et quand ils y sont, ils se retrouvent isolés, ils ont moins accès que d'autres à l'aide humanitaire.

    Il faut quand même se rappeler que la Turquie joue un double jeu. Elle laisse passer des personnes qui vont faire le jihad en Irak et en Syrie. Par contre, quand des Kurdes turcs souhaitent aller combattre aux côtés de leurs frères syriens contre Daesh et ça a été le cas à Kobane, la Turquie a su fermer la frontière.

    Il y a aussi un double jeu dans le trafic de pétrole. Entre 800 000 et un million de dollars par mois des revenus de Daesh sont issus de la vente de pétrole. Mais par où passent les camions ? Tout simplement par la Turquie. C'est absolument intolérable. La Turquie doit choisir son camp : soit elle est avec nous, soit elle est contre nous, et là-dessus on ne peut plus tergiverser. »

    Lire la suite

  • Un regard chrétien sur la finance

    IMPRIMER

    9782940515035.jpgLa Fondation Centesimus Annus, constituée par Jean-Paul II en 1993 et dirigée par un Conseil de neuf laïcs, a pour but de diffuser la doctrine sociale de l'Eglise, elle se prévaut de la collaboration d'économistes et d'experts financiers engagés dans la diffusion d'idées favorables à une économie de marché réformée. Elle vient d'attribuer son premier prix à l'économiste français Pierre de Lauzun pour son livre: Finance, un regard chrétien. (VIS)

    Dominique Greiner, sur son blog "La Doctrine sociale sur le fil", présente ce livre :

    Dans Finance : un regard chrétien, Pierre de Lauzun, directeur général à la Fédération  bancaire française, argumente en faveur d’une articulation entre finance et christianisme, entre le monde de l’argent et  le Royaume de Dieu.

    Au point de départ de son parcours, il y a cette remarque au sujet du langage parabolique utilisé dans les Évangiles qui fait souvent référence aux réalités économiques : « Bien entendu le message central est spirituel  ; mais le fait d’utiliser la vie économique et sa logique propre comme référence n’est pas neutre. Cela implique notamment que cette réalité et cette logique spécifiques soient reconnues comme légitimes à leur niveau  » (p. 13).

    L’auteur retrace ensuite brièvement le rapport à l’argent selon les Évangiles et la Tradition,  redit comment une pensée chrétienne sur l’économie s’est progressivement élaborée, traverse de nouveau la controverse sur le prêt à intérêt, examine la place de la finance dans la doctrine sociale de l’Église.

    Lire la suite

  • Luxembourg : l'Eglise au défi des réformes

    IMPRIMER

    Sur KTO :

    EGLISES DU MONDE
    Luxembourg

    Coup de projecteur dans Eglises du Monde sur le Luxembourg. Le 26 janvier 2015, l'Etat a signé une convention avec les communautés religieuses établies dans le pays. Un véritable tournant pour le Grand-Duché, de tradition chrétienne. La convention a pour but de régler les relations administratives et financières entre l'Etat et les différentes confessions. L'Eglise catholique est la plus concernée par cette réforme qui touche des domaines tels que l'éducation religieuse, la rémunération du clergé ou encore l'entretien des lieux de culte. L'archevêque de Luxembourg Mgr Jean-Claude Hollerich, qui a signé cet accord au nom de l'Eglise catholique, sera sur notre plateau pour décrypter ce virage.

  • Les conditions d'une intervention en Libye

    IMPRIMER
     

    Intervention en Libye | Quels acteurs et à quelles conditions ?

    L’aggravation de la situation libyenne sera-t-elle le point de basculement dans la guerre contre l’« État islamique » ? Les évènements récents concernant la mort d’un pilote jordanien et la décapitation de vingt-et-un Égyptiens de confession chrétienne par la branche libyenne de « l’État islamique » semblent avoir réveillé certaines puissances régionales, Égypte et Jordanie en tête. A long terme, l’option de l’intervention au sol est-elle évitable ? Si non, quelles forces sont-elles prêtes à s’engager ? Les Occidentaux n’ont-ils pas fait preuve de pusillanimité en préférant la levée de l’embargo sur les armes en Libye à une intervention militaire ciblée ? Quelle sera la prochaine stratégie des acteurs régionaux dans ce combat ?

    « La détérioration de la situation requiert un changement de rythme de la part de la communauté internationale avant qu’il ne soit trop tard » : ces mots de Paolo Gentiloni, ministre italien des Affaires étrangères, prononcés le mercredi 18 février, attestent de l’urgence de la situation en Libye, où l’on observe le constant renforcement de l’« État islamique », le risque grandissant de sa fusion avec d’autres milices locales et un chaos sécuritaire généralisé. Dans ce climat de guerre civile, les combattants du front anti-islamique, se mobilisent sur le terrain et se préparent à encercler la ville de Syrte, l’un des sanctuaires du groupe djihadiste.

    L’aggravation de la situation libyenne sera-t-elle le point de basculement dans la guerre contre l’« État islamique » ? De fait, après des mois de bombardements par la coalition internationale et malgré les offensives terrestres menées par les peshmergas kurdes, l’hydre de « l’État islamique » ne cesse de progresser et d’ouvrir de nouveaux fronts, menaçant d’étendre désormais son action au Liban, en Jordanie et en Israël et alimentant la haine religieuse contre les chiites, Iraniens en tête. Les solutions mises en œuvre par la communauté internationale ont été jusqu’ici insuffisantes et les acteurs régionaux prêts à s’engager sont restés trop longtemps au second plan d’une guerre qui est, pourtant, d’abord la leur.

    Les évènements récents concernant la mort d’un pilote jordanien (3 février) et la décapitation de vingt-et-un Égyptiens de confession chrétienne par la branche libyenne de « l’État islamique » (15 février) semblent justement avoir réveillé ces puissances régionales, Égypte et Jordanie en tête. La prudence diplomatique des Occidentaux, peu enclins à rouvrir un front en Libye, explique l’abandon de l’idée avancée par l’Égypte d’une demande à l’ONU d’intervention militaire terrestre en Libye au sein d’une coalition internationale (17 février). A défaut, la Jordanie, membre non-permanent du Conseil de sécurité a présenté un projet de résolution demandant la levée de l’embargo sur les armes en faveur du gouvernement libyen (20 février), soutenu par la Libye et l’Egypte. En faisant le choix a minima d’une solution politique plutôt que d’une action militaire ciblée, la communauté internationale ne manque-t-elle pas à l’appel d’acteurs régionaux enfin désireux de s’engager davantage ?

    Car pendant ce temps-là, l’« État islamique » prospère et se renforce. Mais que faire ? A long terme, l’option de l’intervention au sol est-elle évitable ? Si non, quelles forces sont-elles prêtes à s’engager ? Les Occidentaux n’ont-ils pas fait preuve de pusillanimité en préférant la levée de l’embargo sur les armes en Libye à une intervention militaire ciblée ? Quelle sera la prochaine stratégie des acteurs régionaux dans ce combat ?

     


    Téléchargez
     cette publication | 6 pages | 630 Ko 

  • Des milliers de livres rares brûlés à Mossoul

    IMPRIMER

    Lu sur NouvelObs.com :

    IRAK. L'Etat islamique brûle 8.000 livres rares à Mossoul

    Les djihadistes ont utilisé des bombes artisanales pour détruire de vieux ouvrages qui reposaient dans la bibliothèque de la ville.

    Les victimes de l'Etat islamique (EI) ne sont pas seulement humaines. 8.000 livres rares sont partis en fumée, dimanche 22 février, dans la bibliothèque de Mossoul, en Irak, emportés par la folie des djihadistes. 

    "Ils ont utilisé des bombes artisanales", raconte au site américain "The Fiscal times" le responsable du lieu, Ghanim al-Ta'an. Plusieurs notables de la ville, contrôlée depuis huit mois par l'EI, ont essayé en vain d'empêcher les djihadistes de procéder à cet autodafé. 

    Cette bibliothèque, construite en 1921, abritait des ouvrages rares. Notamment des manuscrits du XVIIIe siècle, des livres syriens du XIXe siècle, ainsi que de vieilles antiquités qui dataient de plusieurs siècles. 

    100.000 livres brûlés par l'EI

    Le même jour, raconte "The Fiscal times", l'EI a également brûlé une vieille église de Mossoul - l'église de la Vierge Marie, ainsi que le Théâtre de l'université.

    Au cours du mois de janvier, les djihadistes avaient déjà organisé des autodafés de milliers d’ouvrages pillés dans une autre bibliothèque, celle de l’université. Selon des responsables locaux, depuis le début de cette terrible campagne d'autodafés, 100.000 livres ont été détruits au total dans la province d'al-Anbar, dans l'ouest de l'Irak.

  • De plus en plus de chrétiens condamnés à mort au Pakistan; le témoignage saisissant d'Hanna

    IMPRIMER

    Alors que l'on recense au Pakistan de plus en plus de chrétiens condamnés à mort pour blasphème, Hanna, une chrétienne pakistanaise, a accepté de témoigner. Elle exprime avec courage sa fidélité au Christ et à l’Église, sous couvert de l’anonymat pour ne pas mettre sa vie en péril.

    C'est ici, sur le site de Famille Chrétienne

  • Jean d'Ormesson dénonce la barbarie de Daech

    IMPRIMER

    Sur le site d'Europe1 :

    INTERVIEW E1 - L'écrivain et académicien de 89 ans a exprimé toute son indignation au micro d'Europe 1 après l'enlèvement d'une centaine de chrétiens en Syrie.

    Après les coptes assassinés en Libye, ceux crucifiés en Egypte, 90 nouveaux chrétiens d'Orient ont été enlevés par l'organisation de l'Etat islamique en Syrie mardi. De quoi susciter l'indignation de l'écrivain Jean d'Ormesson, venu dire toute son inquiétude mercredi matin au micro d'Europe 1.

    "Une mise en scène de l'horreur." Âgé de 89 ans, l'académicien estime qu'il y a un élément qui distingue les crimes commis par l'EI de ceux qu'il a pu observer sa vie durant : "Ce qui est frappant, c'est l'étalement de la cruauté. Nous avons connu des drames épouvantables, les camps de concentration en Allemagne, les goulags en Russie, mais au moins les coupables essayaient de cacher leurs crimes. Là, il y a une mise en scène de l'horreur."

    Cette mise en scène, une spécialité développée par l'EI, choque au plus haut point l'homme de lettres : "Le massacre des coptes en Libye a été abominable avec une mise en scène qui ne manque pas d'un certain talent atroce. Vous avez des événements en Syrie, en Libye, en Afrique noire aussi, il y a une volonté de faire disparaître le christianisme dans cette région du monde. " 

    "Génocide". Une horreur qui frappe donc en ce moment les chrétiens d'Orient, une communauté riche en histoire, comme le souligne Jean d'Ormesson : "Ils sont parmi les plus anciens chrétiens du monde, les chrétiens d'Irak sont presque des contemporains du Christ. Aujourd'hui, on peut dire que les communautés chrétiennes d'Irak sont génocidées."

    Face à ce drame, Jean d'Ormesson appelle à "prendre conscience" et à "crier son indignation". S'il n'est pas favorable à une action au sol menée seulement par la France, il espère qu'une force européenne ou américano-européenne puisse bientôt intervenir. Car, il ne veut pas l'oublier, "il faut toujours se battre contre la barbarie", surtout pour une communauté "qui doit se sentir oubliée du monde".

  • Quand Charlie-Hebdo repart

    IMPRIMER

    ... cela suscite, par exemple, ce commentaire (source), intitulé "Charlie, vrai faux-cul" :

    cc027cbd0a03b8706071f033571627d1-1424715115.jpgÀ grand renfort d'admiration voire de vénération journalistique, on nous apprend que "Charlie-hebdo" va reparaître ... 2 millions et demi d'exemplaires ! On se demande s'il se vend assez de poisson pour utiliser tout cet emballage... Complaisamment diffusée dans tous les journaux, la une de ce nouveau numéro est une sorte d'éditorial qui décrit assez précisément les orientations " nouvelles " de cette feuille, et personne ne sera surpris : le politiquement correct de gauche soixante-huitard elevé au niveau du dogme. Le dessin de couverture représente Charlie poursuivi par le pape (horrible religion catholique), Sarkozy (la droite détestable), Marine Le Pen (le fascisme en plein essor)...  On s'interroge : ou est passée la caricature de Mahomet qui faisait les beaux jours du journal avant qu'il ne devienne riche ?? Disparue ! Remplacée par un dessin de confort, un djihadiste à kalachnikoff, sans doute destinée à aider Hollande à prolonger le fameux "esprit du 11 janvier". On ne saurait reprocher à la rédaction de Charlie d'eviter désormais les provocations qui tuent, le courage n'est pas l'inconscience, et ni le Pape, ni Sarkozy, ni Le Pen ne manient les armes à feu ... Mais l'exercice d'admiration générale pour les " provocations " du journal satirique laisse perplexe : ça coule tellement de source d'être anti-catholique, anti-Sarkozyte, anti-LePen, c'est tellement dans la pente, tellement moderne, tellement dans le sens de l'assentiment unanime que les lecteurs de Charlie finiront peut -être par se demander où est la provocation... Heureusement les généreux donateurs ont assuré la survie du journal pour plusieurs années ..." et c'est ainsi qu'Allah est grand" disait Vialatte ...

  • Quand les députés britanniques préfèrent sauvegarder l'avortement à tout-va

    IMPRIMER

    Lue sur le site du Soir cette information qui manifeste l'obstination de nos sociétés occidentales dans les logiques mortifères :

    Londres: rejet d’un amendement pour interdire l’avortement en fonction du sexe

    Les députés britanniques ont rejeté lundi un amendement destiné à interdire explicitement l’avortement motivé par le choix du sexe de l’enfant.

    Cet amendement traduisait l’inquiétude de voir adoptée dans certaines communautés étrangères en Grande-Bretagne la préférence culturelle pour les garçons, comme c’est le cas en Chine et en Inde.

    La ministre de la santé Jane Ellison s’est élevée contre cet amendement déclarant que l’avortement sélectif en fonction du sexe était « déjà illégal ».

    Plusieurs députés ont cependant défendu la nécessité d’une telle mesure parce que la loi n’évoque pas spécifiquement cette pratique.

    «  Cet amendement est nécessaire car il n’y a pas de paragraphe explicite dans la loi britannique sur l’avortement sélectif suivant les sexes  », a affirmé la députée Fiona Bruce qui a présenté le texte ajoutant qu’en 1967 quand la loi sur l’avortement a été adoptée la technologie ne permettait pas de déterminer le sexe du foetus.

    Les députés opposés à l’amendement -rejeté par 292 voix contre 201- ont jugé qu’une interdiction explicite de cette pratique serait inapplicable et aurait des conséquences inattendues en compliquant notamment l’accès des femmes à l’avortement.

    Le délai légal pour avorter en Grande-Bretagne est de 24 semaines.