Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Culture - Page 288

  • Vient de paraître: Vérité et Espérance/Pâque Nouvelle 3eme trimestre 2013

    IMPRIMER

    vérité et espérance017.jpg

    SOMMAIRE 

    Editorial : qu’est-ce qui est essentiel pour la foi ? 

    téléchargement (2).jpg 

    L’encyclique « Lumen Fidei » : écrite à quatre mains

    Rio : les remèdes du docteur François

    Rome et la liturgie : sur quel pied danser ?

    Belgique : un nouveau Roi  Philippe, fils spirituel de Baudouin

    Liège accueille Mgr Delville

    Fontgombault : essaimage frontalier

    La K.U.L. va former des imams

    Benoît Poelvoorde : profession de foi

    paque.jpg 

    La vraie prière

    La troisième demande du Pater: « fiat voluntas tua »

    Quand l'Université s'intéresse au chant grégorien:

    Révisons notre catéchisme : Benoît XVI expose le dogme du péché originel…

     

    Secrétaires de Rédaction : Jean-Paul Schyns et Ghislain Lahaye

    Editeur responsable: SURSUM CORDA a.s.b.l. , Vinâve d’île, 20 bte 64 à B- 4000 LIEGE. 

    La revue est disponible gratuitement sur simple demande :

    Tél. 04.344.10.89  e-mail : sursumcorda@skynet.be 

    Les dons de soutien sont reçus au compte IBAN:  BE58 0016 3718 3679   BIC: GEBABEBB de Vérité et Espérance 3000, B-4000 Liège

  • La vie d'Adèle

    IMPRIMER

    La Vie d'Adèle, le zèle du désir

    A lire sur le Figaro, LA CHRONIQUE D'ÉRIC NEUHOFF:

    Palme d'or à Cannes, le film d'Abdellatif Kechiche raconte une histoire passionnelle entre deux filles. Les scènes d'amour s'étirent et se répètent.

    Il faudrait vraiment que quelqu'un offre une montre à Abdellatif ­Kechiche. Son film dure trois heures. Tout ça pour raconter quoi? La guerre de Sécession? La révolution russe? Vous n'y êtes pas: juste l'histoire d'amour entre deux filles dans le nord de la France.

    Soupçonnant la fragilité de son sujet, Kechiche l'étire, l'étale, confond ampleur et redondance. L'absence d'un producteur à la Selznick se fait cruellement sentir. Déçue par son expérience avec un garçon, une lycéenne jette son dévolu sur une demoiselle aux cheveux bleus. Ce détail prouve que cette dernière est une artiste. Elle sirote du lait fraise, parle de Sartre. La cadette l'écoute bouche bée. Elles se plaisent, se rapprochent. Leurs corps se découvrent dans des étreintes sonores, ponctuées de bruits d'évier. Elles s'épuisent dans des gymnastiques pas encore homologuées aux Jeux olympiques. Ces séquences n'en finissent pas. Au bout d'un moment, cela ressemble à un combat de catch de Borat. Ça n'était visiblement pas le but recherché.

    Lire la suite sur le Figaro

  • Verviers, 19 octobre : concert du duo Olivy

    IMPRIMER

    Invitation cordiale au concert du samedi 19 octobre
     
    Ce samedi 19 octobre à 20H en l’église Saint-Remacle (place Saint-Remacle,12 à 4800 Verviers) aura lieu un concert tout à fait original et exceptionnel.
    Le duo Olivy , une soprano et une basse, interprétera vingt-trois airs religieux classiques de dix-huit auteurs différents.
    Avec ce couple de chanteurs passionnés...et passionnants, nul doute que nous passerons une soirée magnifique.
    Nous espérons bien  vous y retrouver.
    C’est une organisation du comité culturel de Saint-Remacle.
    Entrée libre.
    Renseignements:
    Jacques WYNANTS - Rue Carl Grün, 54 - B - 4800 Verviers
    Tél/fax: +32 87 33 87 04 - jacques.wynants@skynet.be

  • Jacques Brel aux Marquises : le témoignage de Soeur Rose

    IMPRIMER

    Découvert ici :

    Sœur ROSE nous dit : « Avec Jacques BREL, gémir n’est pas de mise aux Marquise »

    Arrivée au collège d’Atuona (île d’Hiva Oa) en 1947, après 42 jours de mer, plus 5 jours pour venir de Tahiti, elle a bien connu Jacques BREL venu passer sur l’île les dernières années de sa vie à la fin des années 70. Elle nous rapporte quelques souvenirs « Ici, il ne montrait pas du tout l’aspect “anti-religieux ”de certaines de ses chansons. 

    La première fois qu’il est venu, un professeur de français nous l’avait amené en disant que ça serait bien si on présentait une vedette aux enfants. Il n’y avait pas de télé ici. Il n’aime pas beaucoup les curés et les bonnes sœurs, m’avait dit le professeur, alors, j’ai hésité à assister au cours. Quand je l’ai rencontré, tout simple, il m’a dit : “Vous savez ici, les femmes fument trop ”et je lui ai répondu : "Ca serait bien de sensibiliser les jeunes là-dessus."

    Avec son avion (Jojo), il allait chercher des légumes pour lui et il nous avait demandé si on voulait quelque chose. Je lui ai dit “Je voudrais bien un beau fromage ”. Lorsqu’il fut de retour après avoir piloté son avion avec beaucoup de fatigue, il l’a déchargé… Au lieu d’aller porter ses provisions chez lui, il est venu apporter le fromage tout de suite, ça m’a beaucoup touché. C’était sa sensibilité. 

    Quand il a appris qu’on fai- sait une kermesse, sa compagne étant une ancienne danseuse des Claudettes, il a proposé qu’elle apprenne la danse moderne à nos gamines. Il avait commandé une chaîne « hi-fi » à Tahiti ; il l'a installée chez nous avant de l'installer chez lui. 

    À cette époque, il n’y avait pas de pendule pour sonner minuit dans la pièce « Cendrillon ». Il a enregistré le chant de son coq sur bande et il s’est occupé de la régie du spectacle, tout heureux comme un enfant. Il aimait être traité comme cela ; il était très simple.

    À cette époque, il n’y avait pas de liaison régulière, il n’y avait que son avion. Or, 2 ou 3 de nos filles n’avaient pas pu partir en vacances à Ua Pou. Comme il s’occupait du courrier avec cette île voisine, il partait tous les vendredis matin à 6 h. Ainsi, il a pris nos 3 filles à son bord. Quand je lui ai demandé à son retour comment cela s’était passé, il m’a répondu “J’ai perdu vos filles, lorsque je me suis retourné, elles n’étaient plus là ”. Elles étaient parties rapidement rejoindre leurs familles, car elles étaient impressionnées et intimidées par ce grand homme. Il ne s’en est même pas offusqué, il cherchait juste à rendre service ; c’était sa gentillesse.

    Ici, depuis qu’il est mort, je n’ai jamais entendu quelqu’un du pays le critiquer. Vous savez, il faisait des évacuations sanitaires sur Tahiti même de nuit, en refaisant le plein de carburant à Rangiroa (Tuamotu). Jamais il ne s'est vanté de dire : "On est allé avec des voitures pour éclairer l'extrémité de la piste." Il ne faisait pas cela pour la gloriole.

    Propos recueillis par Daniel et Pierre-Emmanuel Garot

  • Anvers accueillera la prochaine rencontre internationale "Religions et Cultures en dialogue"

    IMPRIMER

    logo_seg.jpgDe Sant'Egidio :


    Anvers sera l’année prochaine la ville hôte de la rencontre internationale dans l’esprit d’Assise « Religions et Cultures en dialogue », organisée chaque année par la Communauté de Sant’Egidio. La nouvelle a été rendue publique à la fin de la rencontre de trois jours, « Le courage de l’espérance. Religions et cultures en dialogue »,  la semaine dernière, à Rome.

     

    La rencontre aura lieu du dimanche 7 septembre au mardi 9 septembre 2014. Les personnes intéressées peuvent dès à présent se libérer : tous les débats, tables rondes et cérémonies officielles sont en principe gratuits et accessibles au public.

     

    Le programme n’est évidemment pas encore connu, mais les échos de la rencontre de cette année peuvent déjà vous donner une idée : photos, textes et compte-rendu sont en ligne sur notre site ici.

     

    Un petit film sur ces journées de dialogue est disponible sur You tube, avec notamment la rencontre des participants avec le Pape François.

     

    Des échos dans la presse belge sont aussi disponibles : «Un sommet des religions à Anvers" et « Appel des chefs religieux à Rome contre le terrorisme religieux ».

  • Paris : Aïda à la sauce anticatholique

    IMPRIMER

    Lu ICI :

    Christianophobie à l’Opéra-Bastille…

    Les mises en scène contemporaines de pièces de théâtre ou d’opéras, en disent généralement plus sur les metteurs en scène que sur les intentions des créateurs. La scène des théâtres est devenue une estrade idéologique et politique où les metteurs en scène, avec lourdeur et de manière répétitive, exposent qui son fantasme qui son sectarisme pour “épater le bourgeois” ou endoctriner le bobo… Je remercie mes amis du Salon Beige de m’avoir fait parvenir tôt ce matin – l’avenir appartient à ceux qui se lèvent dès potron-minet… – un courriel qu’ils ont reçu tard cette nuit d’une personne – merci A. V. de votre réaction… à chaud – indignée de la mise en scène lourdement christianophobe de l’opéra Aïda de Giuseppe Verdi, dont la générale se donnait lundi soir à l’Opéra-Bastille de Paris. Impressionnant !

    Générale Aïda ce soir. Entre les macchabées dévêtus, pendus et autres corps décharnés habituels à Olivier Py, nous avons eu droit ce soir à l’expression d’une haine virulente et explicite du catholicisme. Prêtres en tenues traditionnelles arborant la croix catholique tout en bénissant un char de combat, prêchant la guerre aux Égyptiens (veut-il plus de victimes de frère Coptes ou s’amuse-t-il de les voir massacrés ?). Étrange manif avec à son centre une légion de prêtres catholiques, arborant des pancartes « Dehors les étrangers ! », « Mort aux étrangers ! »… Mieux : dernier acte avec croix enflammée, et rite par le prêtre de la Sainte Cène sur un autel, avec calice et ciboire, aux chants, par les prêtres, de condamnation à mort. Final grandiose : la cantatrice renverse l’autel et les objets liturgiques en chantant l’indignité des prêtres. Et quelques macchabées de retour à la fin… L’art ne mérite-t-il pas mieux que cette prise d’otage d’artistes par un metteur en scène obsédé par sa sortie du séminaire ?

  • Vous avez dit : "reliques" ?

    IMPRIMER

    Reliques-Le-quatrieme-pouvoir-Philippe-George.jpgPrésentation de l'éditeur :

    RELIQUES. LE QUATRIÈME POUVOIR

    Philippe George

    Qu’est-ce qu’une relique ? À quoi servent les reliques ? Comment s’est développé leur culte ? Quelles sont les grandes reliques vénérées en Europe ? D’un abécédaire à un dictionnaire des grandes reliques, sous des allures à la fois de manuel ou d’ouvrage scientifique universitaire, ce livre se propose de répondre à tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sujet.

    Le Moyen Âge a vécu un long développement du culte des saints, qui imprègne les mentalités. Les reliques y ont joué un rôle considérable, car le saint est considéré comme présent et puissant par leur intermédiaire. Si les ossements sont les reliques par excellence, il existe toute une série d’autres reliques. Le Saint Suaire et la Sainte Croix sont bien connus, et les ostensions ou les pèlerinages séculaires gardent parfois actualité. Trop souvent ne fut retenu que l’aspect spectaculaire des reliques : leur trafic passe pour scandaleux à nos yeux. Mais le domaine de recherche est immense et les centres d’intérêt historique multiples. Les reliques sont des instruments de communication exceptionnels et leur puissance médiatique est profonde dans la société. Le culte des reliques traverse toutes les périodes de l’histoire, depuis l’Antiquité tardive ; il concerne le Christ et chaque saint, groupes de saints, à travers la dévotion vouée par les religieux comme par les laïcs. Les reliques sont devenues un nouveau et vrai champ historique.

    La publication systématique des trésors d’églises en cours apporte de nouveaux documents. Ouvrir les châsses avec doigté archéologique permet d’en inventorier le contenu avec rigueur et d’en publier les résultats. Les sources écrites retrouvées éclairent parfois l’histoire d’un édifice religieux ou d’une œuvre d’art – le contenant, le reliquaire – et elles mentionnent des noms de saints, de lieux et de personnages, sans oublier leur intérêt paléographique évident. Les objets archéologiques les accompagnant sont divers. Ici se dessinent « les routes de la foi » et, plus largement, se révèlent les traces des contacts humains, un puzzle extraordinaire à reconstituer et qui sort largement du domaine strictement hagiologique. La circulation des biens et des personnes et les réseaux mis en place sont révélés par ces traces matérielles multiformes, qui concourent grandement à la connaissance du passé. Ici commence « le métier d’historien ».

    ISBN 979-10-90523-23-4 Nombre de pages 430   24,85 € (papier)  5 € (pdf)
  • Namur, 16 octobre : journée de formation consacré à l'art baroque et de la contre-réforme

    IMPRIMER

    Art baroque et Contre-réforme, journée de formation à Namur (Belgique)

    EgliseSaintLoup

    Art baroque et Contre-réforme
    Journée de formation continuée pour les accueillants et guides dans les églises et toute personne intéressée.
    Mercredi 16 octobre 2013 – 10h-16h – Église St-Loup à Namur

    Après le choc de la réforme protestante, l’Église a connu une vigueur exceptionnelle concrétisée par un important aggiornamento qui fut formulé au Concile de Trente (1545-1563). L’art baroque qui s’épanouit alors soutient avec enthousiasme et expressivité ce renouveau. L’église Saint-Loup de Namur en témoigne à merveille.

    Au 19e s., l’Église se remet d’un nouveau traumatisme, la tourmente révolutionnaire. Elle va chercher dans le moyen âge les éléments d’un nouveau souffle. L’art gothique du 13e s. fait référence à une société chrétienne tout en harmonie.

    Nos églises paroissiales, pour la plupart construites ou réaménagées au 19e ou au début du 20e s., combinent des éléments issus de ces deux courants pourtant bien différents. Art néogothique et organisation issue du Concile de Trente vont se côtoyer avec un bonheur variable.

    Cinquante ans après la réforme de Vatican II, il n’est plus toujours facile de comprendre l’inspiration et les motivations qui sous-tendent l’aménagement et la décoration de cette époque et dont tant d’éléments subsistent encore.

    L’exposé tentera d’éclaircir l’origine et le sens des différents éléments de nos églises : organisation spatiale, sens du sacré, mobilier, statuaire, iconographie ou encore rituels.

    Rendez-vous à 10h à l’église St-Loup, rue du Collège 5000 Namur

    PROGRAMME
    10h15 : Mot d’accueil à l’église Saint-Loup.
    10h30 : Visite de l’église Saint-Loup par le Père Hermans, curé de Saint-Loup et Professeur d’histoire à l’Université de Namur.
    Vers 12h30 : Repas
    Possibilité de prendre le dîner chaud à “l’Arsenal” (env. 12 €) ou self vert (7 €) ou bar sandwiches.
    Après-midi animée par Christian Pacco, historien de l’art,
    à l’église St-Loup :
    14h : 1ère partie : Art et architecture baroque : un enthousiasme au service de la Contre-réforme.
    15h : 2ème partie : Du baroque au néogothique, comprendre une église aujourd’hui.

    Prix de la journée : 12 € (hors repas)
    à verser sur le compte BE54 0682 4843 3797
    de ACT, Av. Reine Astrid 38/01 – 4900 SPA

    Repas chaud à l’Arsenal (env. 12 €), repas vert (env. 7 €), ou sandwiches. (Le repas ainsi que les boissons sont à payer sur place.)

    Merci de réserver pour la journée et le repas pour le mardi 1er octobre au plus tard en mentionnant vos coordonnées et le nombre de personnes.

    Renseignements et inscriptions :
    ACT – Inès De Sousa
    Rue du Houmier 84 – 4140 Florzé – Sprimont
    Tél. : 04/344.48.81 – Fax : 04/344.56.22 – act@reliures.org – www.clochers.be

    CHEMIN D’ACCES
    En face de la gare, prendre la rue Godefroid, puis à votre gauche la rue de Bruxelles. Puis prendre la première rue à votre droite (rue de l’Ouvrage) qui se prolonge rue St-Loup. L’entrée de l’église est située rue du Collège. Le trajet prend 10 minutes.

    Sponsorisé par la librairie Reliures : http://www.reliures.org/la-librairie/les-livres

  • Parler de Dieu à l'école ?

    IMPRIMER

    Sur Liberté Politique (Père Jean-Jacques Flammang scj) :

    Faut-il parler de Dieu à l’école, et si oui dans quelles matières ? Pour le moment, c’est surtout au cours de religion où il est question de Dieu, alors que le fait religieux est abordé dans d’autres matières comme l’histoire ou la littérature, les sciences sociales ou la philosophie. Une chose est claire : la transmission de la culture européenne ne peut se faire sans référence à Dieu et aux religions. Se pose alors la question de savoir sous quel angle aborder tout ce qui concerne le religieux.

    UNE NEUTRALITE en la matière n’est pas possible. Chacun de nous se rappelle ses professeurs et leurs attitudes. Les uns ne rataient jamais une occasion pour attaquer la religion ou pour se moquer des croyances religieuses, les autres étaient plutôt discrets et on ne savait pas s’ils croyaient ou pratiquaient une religion, d’autres encore ne cachaient nullement leurs opinions religieuses et communiquaient librement sur ce sujet. Du côté des élèves se retrouvaient des attitudes semblables, de sorte que vouloir éliminer la religion de l’école, c’est finalement en éliminer et les professeurs et les élèves.

    Après les essais du XXe siècle de vouloir donner à l’école un enseignement sans les religions, des pays comme la France ont dû se rendre compte qu’un tel programme est néfaste pour les élèves. Il néglige tout un volet de la culture et donc ne permet pas de comprendre le monde dans lequel on vit. Il a donc fallu réintroduire à l’école, sous une forme ou une autre, sinon Dieu au moins le phénomène religieux.

    Lire la suite sur Liberté Politique

     

  • Sur les écrans... (5/10/2013)

    IMPRIMER

    Dernières sorties cinéma - http://www.lecran.fr/
    Diana
    Vous vouliez du protocole ? De l’allure ? De la diplomatie, de la négociation … Vous vouliez par exemple voir comment Lady Di a réussi son retour après son divorce et d’autres engrenages politiques encore ? Allez voir ailleurs ! Retournez...
     
    Machete Kills
    Il est de retour et ça va encore saigner ! Suite au succès du premier opus en 2010, issu d’une fausse bande-annonce Grindhouse, la suite (qui avait été annoncée) arrive enfin et reste dans lignée du précédent film. Gore, fusillades,...
     
    Eyjafjallajökull (libre accès)
    Vieux complices depuis 20 ans (ils ont commencé sur les planches ensemble) Dany Boon et Valérie Bonneton se retrouvent dans cette petite comédie au nom imprononçable (en fait je fais partie de la caste très fermée des génies qui y parviennent, mais...
     
    Blue Jasmine
    Jasmine est probablement un des meilleurs films de Woody Allen, rien que ça...
    En premier lieu il porte bien la signature de son auteur (à la fois scénariste et réalisateur). On y retrouve les introspections nerveuses (quoique bien moins insupportables que dans...
     
    2 Guns (libre accès)
    N'écoutez pas les mauvaises langues et, particulièrement, la presse française. Ce film est loin, très loin d'être un navet.
    Bien sûr, il est vrai que l'idée d'un duo de flics dépareillé (un rigolo, et un noir sérieux,...
     
    Rush
    Deux machines humaines, dans des machines à rouler. La fascination pour le sport automobile ne pouvait que se repaître du long duel qui opposa Niki Lauda et James Hunt dans les années 80.
    Mais ce genre de film est très délicat. On se souvient de la grosse...
     
    Players
    Richie, étudiant de Princeton, se fait enrôler par Ivan, mafieux gérant de sites de jeux de hasard. Dès leur rencontre, une sorte de partie se lance, où leur vie et leur argent sont en jeu. Il n’y a pas assez de place pour tous les requins qui pullulent au...
     

  • "Profilage" ou une mauvaise série au service de l'éthiquement correct

    IMPRIMER

    C'est Pierre Vallinat sur le blog "La Table Ronde" qui relève la chose :

    Quand TF1 promeut la GPA…

    Il m’est arrivé, la semaine dernière, de regarder TF1, un soir d’oisiveté. Je tombai sur une série policière française du nom de Profilage. Passons sur la médiocrité générale du scénario, du jeu des acteurs et de l’intérêt des personnages.  Mais ce sur quoi on ne peut passer, c’est l’abjection des messages idéologiques qui s’y trouvent, clichés sociaux et autres victimisations militantes.  Je vous le donne en mille : dans le premier épisode, un transsexuel, ancienne victime de persécutions homophobes qui s’est caché grâce à son changement de sexe.

    Et ce n’est qu’un avant-goût : dans le deuxième épisode, c’est carrément un couple pris en flagrant délit de GPA qu’on excuse bien volontiers ! Emouvante scène qui fait appel à l’humanité de chacun, quand le flic, découvrant que la femme enceinte victime d’une agression était une mère porteuse, va trouver le mari :

    « – La gestation pour autrui est interdite en France, vous le savez bien.

    - Je le sais, répond le mari. Mais vous savez, même si ça nous  rapporte de l’argent, on a fait ça avant tout pour aider ces gens. Pour leur donner la chance d’avoir un enfant.

    - Je comprends, conclut le flic. »

    Et à partir de là, ni les clients, ni les « fournisseurs » ne seront plus inquiétés. Inutile de raconter l’histoire dans le détail, mais tous sont bien sûr les victimes. Et c’est ainsi que l’épisode, une fois la mère porteuse rétablie et l’agresseur arrêté, s’achève sur la magnifique scène de la passation du bébé. Sur fond de musique émouvante, le nouveau-né passe de mains en mains, et les clients rayonnant quittent l’hôpital avec le bébé sous le bras. Le tout sous le regard bienveillant des policiers. Et rassurez-vous, on épargne au téléspectateur attendri la scène dans laquelle la mère porteuse et son mari palpent les vingt mille euros convenus au départ. À peine est-ce évoqué en début d’épisode, de sorte qu’on en vient à penser qu’il s’agit là d’un don gratuit et altruiste. On ne va pas casser tout ça en rappelant aux gens que le mouflet fait l’objet d’une transaction financière !

    Ce qu’il faut retenir de cette histoire (qui, convenons-en, ne change pas la face du monde), c’est que même si c’est malsain, crétinisant et, en plus, mal joué, il peut être bon d’avoir la curiosité de regarder TF1 de temps en temps. Histoire d’avoir bien conscience de la m**** devant laquelle le Français moyen s’abrutit plus de trois heures par jour.

    Profilage, saison 4, épisode 7 « Juste avant l’oubli »

    Profilage, saison 4, épisode 8 « De père en fils »

    Pour les visionner et laisser un commentaire à TF1, c’est ici.