Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Culture - Page 285

  • John Elefante, ex-chanteur producteur de Kansas, chante contre l’avortement

    IMPRIMER

    Un ami nous partage une video et commente :

    http://www.gloria.tv/?media=519323

     

    C’est l’histoire d’une petite fille, Sami, sauvée de l’avortement in extremis. La petite Sami est devenue grande, c’est une vraie jeune fille, basketteuse de talent, chrétienne presbytérienne du MidWest, et John Elefante a de bonnes raisons de la connaître : c’est sa fille par adoption. Sami a atterri dans sa famille adoptive après que sa mère biologique a décidé de ne pas subir l’avortement où l’avait poussée la peur, le désarroi, la honte et l’abandon du jeune garçon qui ne voulait pas de sa responsabilité de père. Dans la vidéo, la maman-courage a 13 ans.Je ne sais si ce détail est vrai…

    Je vous laisse découvrir la vidéo, le texte ne me semble pas très difficile à comprendre et les images – très kitsch par moment, je vous l’accorde – sont parfaitement explicites.

    John Elefante, qui a obtenu de nombreux Grammy Awards au cours de sa carrière de chanteur et de producteur – à Nashville notamment – est chrétien et croyant. Cela explique la teneur du refrain pro-vie, qui l’emporte musicalement sur le refrain pro-mort de la chanson qui traduit le discours lénifiant des médecins s’apprêtant à tuer l’enfant que la jeune fille enceinte voit en rêve grandir et trouver le bonheur au sein d’une vraie famille :

    Alors le Seigneur commença à parler :
    Vous ne prendrez pas celle-ci, elle est à moi,
    Elle grandira et chantera mon Nom,
    Vous ne la prendrez pas, elle est à moi…
    Non, vous ne la prendrez pas cette fois !

    Et la jeune fille crie : « Je dois appeler ma Maman, qu’elle m’aide à trouver une famille pour mon enfant ! ». La suite, on la devine, la jeune fille s’échappe et fuit l’avortoir en courant – avec une petite fille qui l’enlace, puis sourit son merci, et disparaît.

    A la fin du clip, John et Sami Elefante parlent, lui pour dire sa gratitude éternelle à cette jeune fille qui a choisi la vie, elle pour rappeler qu’aux Etats-Unis, 3 500 enfants sont avortés chaque jour. Et ils renvoient vers un site d’aide aux futures mères, onlineforlife.org/Le site annonce 1.154 bébés sauvés


    Les paroles de cette belle chanson :

    Lire la suite

  • Requiem aeternam

    IMPRIMER

    Requiem æternam dona eis, Domine, et lux perpetua luceat eis. Te decet hymnus Deus, in Sion, et tibi reddetur votum in Jerusalem. Exaudi orationem meam; ad te omnis caro veniet. Requiem æternam dona eis, Domine, et lux perpetua luceat eis.

    "Donne-leur le repos éternel, Seigneur, et que la lumière éternelle les illumine. Dieu, il convient de chanter tes louanges en Sion ; et de t'offrir des sacrifices à Jérusalem. Exauce ma prière, toute chair ira à toi. Donne-leur le repos éternel, Seigneur, et que la lumière éternelle les illumine"

    Voir aussi : 

    http://www.hommenouveau.fr/784/culture/a-la-decouverte-du-gregorien---requiem.htm

  • Ainsi vous retrouverai-je, vieux frères...

    IMPRIMER

    « Compagnons inconnus, vieux frères, nous arriverons ensemble, un jour, aux portes du royaume de Dieu. Troupe fourbue, troupe harassée, blanche de la poussière de nos routes, chers visages durs dont je n’ai pas su essuyer la sueur, regards qui ont vu le bien et le mal, rempli leur tâche, assumé la vie et la mort, ô regards qui ne se sont jamais rendus ! Ainsi vous retrouverai-je, vieux frères, tels que mon enfance vous a rêvés ». (...)

    « Oh ! Je sais bien ce qu’a de vain ce retour vers le passé. Certes, ma vie est déjà pleine de morts. Mais le plus mort des morts est le petit garçon que je fus. Et pourtant, l’heure venue, c’est lui qui reprendra sa place à la tête de ma vie, rassemblera mes pauvres années jusqu’à la dernière, et comme un jeune chef ses vétérans, ralliant la troupe en désordre, entrera le premier dans la Maison du Père ».

    Georges Bernanos, Les grands cimetières sous la lune (préface)

  • De la mort et de l'euthanasie

    IMPRIMER

    Un petit compte rendu d'un topo consacré à l'histoire de l'euthanasie est paru sur le blog "les alternatives catholiques" sous le titre : "Histoire d'une bonne mort" :

    « Ne me console pas de la mort. J’aimerais mieux, en vivant sur la glèbe, être aux gages d’autrui chez un homme pauvre et sans ressources, que de régner sur le peuple évanoui des morts. »

    Qui parle ainsi ? C’est Achille dans l’Hadès, celui qu’Ulysse félicite d’être éternellement heureux, parce qu’il a eu une belle mort, euthanatos. Revenons un peu en arrière : sommé de choisir entre deux types de mort, Achille avait refusé de mourir tranquillement entouré des siens, préférant le sacrifice sur le champ de bataille, dans la fleur de la jeunesse. Quel rapport avec notre sujet ? Quel lien y a-t-il entre l’euthanasie, la mort subie sur le lit d’hôpital et le combat du fils du Pelée ? Aucun, et c’est bien ce qui nous intéresse. En choisissant un terme grec, en l’entourant des concepts mous de « dignité humaine » ou de « droit à mourir dans la dignité », les défenseurs de l’euthanasie veulent nous faire croire que la mort qu’ils défendent est celle que défendaient les anciens sages, qui voulaient mourir dignement, librement, en choisissant la mort de préférence à la déchéance, à la misère, à la souffrance. On nous parle de ces anciens épicuriens qui préféraient le poison à la souffrance, de ces vieux stoïciens qui préféraient l’épée à l’humiliation. Or je me propose de montrer, dans ce court exposé, que cette référence aux anciens est une parfaite hypocrisie.

    Lire la suite sur "les alternatives catholiques"

  • Una Voce cherche des correspondants

    IMPRIMER

    unavoce2.jpgCinquantenaire de l’association Una Voce

    Campagne de recrutement de correspondants

    Chers amis,

    Membres de l’association Una Voce, lecteurs de la revue, soutiens et sympathisants d’Una Voce, nous vous avons déjà informés que notre association va célébrer à Paris les 4 et 5 octobre 2014 le cinquantenaire de sa création.

    Nous désirons mettre à profit cette occasion mémorable pour renforcer dès maintenant et en vue du cinquantenaire le réseau des correspondants Una Voce. Cet effort est nécessaire pour augmenter le nombre des adhérents, diffuser plus largement la revue et célébrer comme il se doit cet anniversaire.

    Les différents profils de correspondants (hommes ou femmes) : 

    Reconnaissez-vous !

    Le chef de chœur : il est l’homme qui a bien voulu accepter des responsabilités souvent lourdes, qui imposent des contraintes renouvelées. Il est entouré de ses choristes. Une ou deux fois par semaine, il voit ses choristes pendant une à deux heures. Il est par nature un meneur d’hommes et de femmes. Son pouvoir d’influence est grand. Il a la possibilité d’attirer l’attention de ses choristes sur l’intérêt multiple de la revue en terme d’information et de formation de chacun.

    Lire la suite

  • Flandre : économiser sur les vieux et sur les malades en phase terminale ?

    IMPRIMER

    D'après SenNetMagazine, les Flamands veulent économiser sur les malades en phase terminale ou dans le coma et sur les personnes âgées de plus de 85 ans.

    Selon une étude réalisée par la VUB (Université Libre de Bruxelles néerlandophone), quatre Flamands sur dix considèrent qu'il ne faut plus faire bénéficier d'interventions médicales supérieures à 50000 euros des personnes âgées de plus de 85 ans, à moins qu'ils n'en aient personnellement les moyens. La majorité de la population flamande considère en outre qu'il faut restreindre l'accès aux soins de santé aux personnes malades en phase terminale, à celles qui sont dans le coma ou qui mènent un mode de vie malsain. Il faudrait ainsi cesser de perdre de l'argent pour la santé de personnes qui n'en vaudraient plus la peine, c'est ce que l'opinion majoritaire en Flandre pense.

    Cette enquête a été réalisée sous la direction du Professeur Mark Elchardus auprès de 3000 Flamands âgés de 18 à 75 ans. Commanditaire de cette enquête: les Mutualités Socialistes qui veulent en utiliser les résultats dans la perspective de la politique future dans le domaine des soins de santé.

    Le Professeur s'émeut des résultats de cette enquête et dénonce une stigmatisation de groupes sans défense. Il dénonce un manque d'information de la population qui ne se rend pas compte que les soins de santé ne peuvent exister sans ajustements.

    On trouve ici une illustration concrète et inquiétante de cette "culture du déchet" dénoncée à plusieurs reprises par le pape François. Malheureusement, elle semble bien implantée chez nous, tout particulièrement dans le nord du pays. Le lien avec la banalisation de l'euthanasie s'impose, car de la restriction ou du refus de soins considérés comme coûteux à l'élimination du patient considéré comme incurable, le pas n'est-il pas vite franchi ?

    Lire l'article (en neerlandais) : http://www.seniorennet.be/Magazine/artikel/46/besparen-op-terminaal-zieken-comapatinten-en-85plussers

  • Liège, 3 novembre – Saint Hubert / Cathédrale: Messe aux Trompes de chasses

    IMPRIMER

    Ce 3 novembre, c'est la Saint-Hubert - dont la fête tombe cette année un dimanche. On l'ignore souvent, mais si saint Lambert est le patron du diocèse de Liège, le nom de saint Hubert est lié à la Cité Ardente. Né vers 656 dans la haute noblesse franque et mort en 727, il devint évêque de Tongres-Maastricht et établit sur les lieux de l'assassinat de son prédécesseur - saint Lambert - une institution religieuse, base de la future cathédrale Notre-Dame-et-Saint-Lambert, y ramenant ses reliques. Ce fait contribua à la création d'une métropole qui devint dans le courant du VIIIe siècle, le nouveau siège du diocèse de Tongres-Maastricht. Enterré à Liège et élevé à son tour sur les autels, son corps fut transféré en 825 à Andage en Ardennes - lieu qui reçut dès lors le nom de "Saint-Hubert".

    La Messe en l'honneur de saint Hubert sera célébrée à 10 heures en la Cathédrale Saint-Paul de Liège. L'office sera animé par les trompes de chasses du Bien-Aller Ardennes, qui chaque année - et ce, depuis plus de 20 ans - viennent sonner la Saint-Hubert à la cathédrale. Cette année, la fête tombant un dimanche, cela se fera exceptionnellement au cours de la Messe. A la fin de la liturgie, les fidèles pourront venir admirer la "clef de Saint-Hubert". Ce chef-d'œuvre de l'orfèvrerie mosane sera amené pour la circonstance sur place par l'équipe du Trésor de la Cathédrale. Selon la légende, cette clef aurait été offerte à saint Hubert par le pape comme souvenir de son pèlerinage à Rome. La poignée de la clef contient en effet une limaille des liens de Saint-Pierre. En fait, il s'agit d'un reliquaire datant - selon les parties - du XIIe au XIIIe siècle, et donné à l'évêque pour rehausser le prestige de l'Eglise de Liège.

     

    Contact chanoine Armand Beauduin, Doyen du chapitre, tél0475/913753

  • 3 novembre : festivités de la Saint-Hubert

    IMPRIMER
    Festivités de la Saint-Hubert :
    Fête Patronale. Folklore et Traditions (source)

    Patron des chasseurs depuis le 9ème siècle, St Hubert est aussi invoqué pour le succès des chasses et la protection des chiens et des chevaux. A Saint-Hubert, le 03/11/13 !

    Dès 9h, différentes animations prennent place devant la basilique avec des groupes folkloriques, un marché artisanal, des sonneries de trompes de chasse, des rassemblements de cavaliers, de chasseurs, de Compagnons de St Hubert, ou encore de lanceurs de drapeaux…

    Après la messe, vers 11h, a lieu la traditionnelle distribution de pains bénis et la bénédiction des animaux sur le parvis de l'église en présence des sonneurs de trompes de chasse.

    La cérémonie est suivie d'un marché artisanal avec dégustation et vente de produits locaux et animations diverses. 

    • 9h : Messe à l’autel de saint Hubert (Basilique)
    • 9h : Marché artisanal - Dégustation et vente de produits régionaux
    • 9h30 à 10h30 : Adoration du Saint Sacrement et permanence pour les confessions (crypte)
    • 10h : Sonneries de trompes de chasse, démonstrations de fauconnerie, lanceurs de drapeaux, démonstrations de dressage de chiens (centre ville)
    • 10h45 : Rassemblement et départ en cortège vers la Basilique (Place du Fays)
    • 11h : Grand-messe en l’honneur de saint Hubert par le Royal-Forêt Saint-Hubert et chantée par la chorale paroissiale.(Basilique)
    • Bénédiction des pains et imposition de la relique (Basilique)
    • 12h15 : bénédiction des animaux (devant la Basilique)
    • 13h : départ rallye équestre (Complexe sportif)

     

    Renseignez-vous
  • François salue l'oeuvre de Benoît XVI qui "faisait de la théologie à genoux"

    IMPRIMER

    "Benoît XVI faisait de la théologie à genoux"

    Le pape François remet le Prix Ratzinger à deux théologiens (zenit.org)

    « Benoît XVI faisait de la théologie à genoux… et il l’a mise à disposition sous une forme la plus accessible possible », a déclaré le pape François en remettant le Prix Ratzinger, samedi 26 octobre 2013, au Vatican.

    Le Prix Ratzinger, institué en 2011 par la « Fondation vaticane Joseph Ratzinger – Benoît XVI », a été attribué cette année au prof. Richard A. Burridge, doyen du King’s College de Londres et ministre de la Communion anglicane et au laïc Christian Schaller, professeur en théologie dogmatique et directeur adjoint de l’Institut pape Benoît XVI à Ratisbonne (cf. Zenit du 26 juin 2013).

    Le pape a rendu hommage à la trilogie « Jésus de Nazareth » de Benoît XVI, qui « a fait don à l’Eglise, et à tous les hommes, de ce qu’il avait de plus précieux: sa connaissance de Jésus, fruit d’années et d’années d’étude, de confrontation théologique et de prière ».

    Discours du pape François :

    Chers frères et sœurs, 

    Je vous remercie et je suis content de vous rencontrer, en signe surtout de notre reconnaissance et de notre grande affection pour le pape émérite Benoît XVI.

    Je voudrais partager avec vous une réflexion qui me vient spontanément à l’esprit quand je pense au don vraiment singulier que celui-ci a fait à l’Église avec ses livres sur Jésus de Nazareth. 

    Je me souviens du jour où sortit le premier volume, certains disaient : «  mais qu’est-ce que c’est ? Un pape ça n’écrit pas de livres de théologie, ça écrit des encycliques!... Le pape Benoît s’était certainement posé le problème, mais dans ce cas aussi, comme toujours, il a suivi la voix du Seigneur dans sa conscience éclairée. Avec ces livres, il n’a pas fait de « magistère » au sens propre du mot, et il n’a pas fait d’étude académique. Il a fait don à l’Eglise, et à tous les hommes, de ce qu’il avait de plus précieux: sa connaissance de Jésus, fruit d’années et d’années d’étude, de confrontation théologique et de prière. Car Benoît XVI faisait de la théologie à genoux, et nous le savons tous. Et il l’a mise à disposition sous une forme la plus accessible possible. 

    Personne ne peut mesurer tout le bien qu’il a fait en faisant ce don ; seul le Seigneur le sait! Mais nous en avons tous une certaine perception, pour avoir entendu dire que tant de personnes, grâce aux livres sur Jésus de Nazareth, ont nourri leur foi, l’ont approfondie,  ou se sont même approchés pour la première fois du Christ de manière adulte, en conjuguant ensemble les exigences de la raisons et la recherche du visage de Dieu.

    En même temps, l’œuvre de Benoît XVI a stimulé une nouvelle saison d’études sur l’Evangile entre l’histoire et la christologie, et c’est dans ce cadre que s’inscrit aussi votre Symposium, dont je  fais tous mes compliments aux organisateurs et aux intervenants.

    Je félicite également tout spécialement le pasteur et professeur Richard Burridge et le professeur Christian Schaller, auxquels est remis le prix Ratzinger cette année. Au nom également de mon prédécesseur – avec qui j’étais il y a trois ou quatre jours – je vous fais mes plus vives félicitations: que le Seigneur vous bénisse  toujours vous et votre travail au service de son Royaume. 

    Et qu’il vous bénisse tous, chers amis, et vos proches. Merci!

    Traduction d’Océane Le Gall

  • L'écrivain algérien Boualem Sansal ne croit pas à la démocratie dans le monde arabo-musulman

    IMPRIMER

    Lu sur Le Vif :

    "Je ne crois pas à la démocratie dans le monde arabo-musulman"

    L’écrivain algérien Boualem Sansal fait sensation avec un essai tonitruant (1) révélant les origines, les tabous et les méfaits de l’islamisation qui poursuit sa propagation mondiale.

    • Le Vif/L’Express : Quel éclairage apporte un écrivain en « regardant un sujet de manière littéraire » ? 

    Boualem Sansal : Je précise d’emblée que je ne suis pas un spécialiste de l’islam pour pouvoir parler librement. On a besoin d’auteurs de toutes sortes, mais je m’intéresse aux phénomènes de société de notre époque. C’est pourquoi j’aimerais retrouver l’engagement des écrivains d’antan. Telle une caste détachée, ils restent absents du débat public, au lieu d’en être des acteurs. Lorsqu’on est confronté à une question aussi menaçante pour la société que l’islamisation, on doit se comporter en militant. Écrire ne suffit pas pour faire avancer les choses. Ce livre vise à dépasser le simple discours politique pour examiner les mécanismes profonds. J’espère vivement qu’il provoquera un vrai débat. 

    • Comment expliquez-vous le silence des intellectuels arabes, que vous qualifiez de « vecteur d’islamisme » ? 

    Ce qui me frappe, c’est que ce silence a existé de tout temps, quels que soient les sujets qui traversent l’ensemble des sociétés (le divorce, l’homosexualité ou la crise économique). C’est lié à la structure même de la société arabo-musulmane, dictatoriale ou féodale. Au mieux, les intellos sont des troubadours répétant le discours officiel. Ceux qui vivent en Occident demeurent également muets. Comment les réveiller ? Le mouvement Ecrivains pour la Paix − que j’ai fondé avec l’écrivain israélien David Grossman − a le plus grand mal à les mobiliser car ils redoutent d’être excommuniés ou assassinés. Or le propre de l’intellectuel est de dépasser la crainte, sinon il devient soldat.

    Lire la suite

  • Maredret, 1er novembre : concert de chant grégorien, de polyphonie et orgue

    IMPRIMER

    img_5883_dx.jpgC O N C E R T

    Vendredi 1er novembre à 17H00

    Chant Grégorien, polyphonie & orgue

    par François Houtart, orgue, composition, chant grégorien

    Avec la participation de Liliana Sallustio, soprano

    Organum Novum, asbl

    Participation libre aux frais

    Abbaye de Maredret - Rue des Laidmonts 9 - B-5537 MAREDRET