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Société - Page 866

  • Elargir l'euthanasie ? Pour aider à la réflexion

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    Débat sur la fin de vie, le vieillir et le mourir : soins palliatifs, acharnement thérapeutique et euthanasie (http://www.infoselec.net/bioethique/euthanasie.html)

    Dossier d'information et de réflexion - basé sur une sélection d'extraits d'articles de presse de référence - sur l'euthanasie et le suicide assisté, qui sont l'opposé du vrai droit à mourir dans la dignité : le respect et l'accompagnement du malade en fin de vie, sans décès provoqué ni acharnement thérapeutique:

  • Rio +20 : notre responsabilité commune

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    Une Déclaration du Président de la COMECE à l’occasion de la Conférence des Nations Unies sur le développement durable (CNUDD) Rio +20

    Notre responsabilité commune pour le monde de demain

    Vingt ans après le premier « Sommet de la Terre » qui s’est tenu à Rio de Janeiro en 1992, les Chefs d’Etat et de Gouvernement se rencontrent à nouveau en juin 2012 à l’occasion de la Conférence des Nations Unies sur le développement durable (CNUDD). D’innombrables personnes attendent que des mesures concrètes soient adoptées lors de cette conférence, afin d’avancer vers un modèle de développement plus équitable et durable. Dans un monde où des millions de personnes n’ont pas un accès à une nourriture suffisante, à l’eau potable, l’énergie, les services de santé et d’éducation et qui est de plus menacé par le changement climatique engendré par le réchauffement global, ces mesures concrètes sont plus urgentes et nécessaires que jamais.

    Durabilité | Lors de la conférence de Rio en 1992, le concept de "durabilité" avait été central. Dans une perspective chrétienne, la reconnaissance de la dignité de l’homme est à la base de tout développement durable. La Conférence de Rio en 1992 avait par ailleurs déjà énoncé comme principe de base que l’homme devait être au cœur des réflexions sur le développement durable. Celui-ci a droit à une vie saine, menée en harmonie avec la nature. Considérer la durabilité comme un principe du développement humain intégral vise à parvenir à un équilibre entres les besoins sociaux, économiques et environnementaux tout en prenant en compte les besoins essentiels de la génération actuelle sans pour autant compromettre la vie des générations futures. La durabilité est ainsi appliquée à une solidarité au delà de l’espace et du temps. Les efforts pour mettre en place un cadre pour « une économie verte dans le contexte du développement durable (GESDPE) » et les politiques correspondantes sur lesquels travaille la Conférence actuelle, doivent être jugés à l’aune de leur capacité à répondre aux besoins essentiels de tous les hommes, et particulièrement des pauvres, des marginalisés ainsi que des générations futures.

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  • Un expert ès droits de l'homme mandaté par l'Union Européenne ?

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    Astrid Coeurderoy, sur Liberté Politique rend compte de cette recommandation votée par les eurodéputés : UE : un ambassadeur du genre et des droits de l’homme ?

    Mercredi 13 juin, les eurodéputés ont voté une recommandation visant à désigner un représentant de l’Union européenne (UE) en charge des droits de l’homme qui aurait un mandat solide, « fort, indépendant et flexible ».

    « L’objectif est de donner davantage de visibilité, d’efficacité et de cohérence à la politique de l’Union en la matière », nous rapporte Blogactiv.eu. Son mandat – renouvelable – devrait être de deux ans et demi. Après la création, en 2007, de l’unité des droits de l’homme dans la Direction générale « Relations extérieures » du Conseil de l’UE, il n’est pas surprenant qu’une telle recommandation ait été votée pour mettre en avant le travail du groupe “droits de l’homme” du Conseil, le COHOM.

    Lire la suite ici : http://www.libertepolitique.com/

  • Le numéro 1520 de l'Homme Nouveau

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    Au sommaire du numéro 1520 daté du 16 juin 2012 :

    Evénement

    Les loups sont sortis dans Rome. La fuite de documents confidentiels au Vatican démontre que les adversaires du Pape n'ont pas désarmé.

    Dossier

    Pour un « retour » liturgique.

    Actualités

    Guerre scolaire : Un faux débat ? Pour Anne Coffinier, le gouvernement ne va pas engager la guerre scolaire mais continuer à déstabiliser la famille.

    Les évêques américains en croisade : L'épiscopat américain prépare les fidèles à résister à la loi injuste du ministère de la Santé qui doit entrer en vigueur en août.

    Les repas sans viande au secours de la laïcité.

    Culture

    L'univers romanesque et paradoxal de Pierre Benoit.

    Le mystique Richard Crashaw : Catholique venu de l'anglicanisme, Richard Crashaw (1613-1649) délaissa ses vers d'amours profanes pour une poésie sacrée.

    Figure spirituelle

    Henri Ghéon, l'homme né de la guerre.

    Magistère

    La Pentecôte, fête de la communion à l'opposé de la tour de Babel.

    Tribune

    Un petit séminaire en banlieue dirigé par les Légionnaires du Christ.

    Disponible dans notre boutique :
    Journal n°1520 du 16-06-2012
  • Les effets néfastes de l'homoparentalité

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    headerLogo.jpgComme chaque semaine, le message d'Austin Ruse :

    Wendy Wright et Lisa Correnti vous rapportent une étude capitale, publiée aux Etats-Unis, la première étude digne de foi démontrant que les effets néfastes de l’homoparentalité pour les enfants. Ce document important devrait devenir une contribution importante au débat international et à l’ONU. Chaque diplomate onusien devrait lire cette nouvelle étude.

    L’homoparentalité n’est pas l’égale de la parenté fondée sur le mariage hétérosexuel

    Stefano Gennarini vous raconte les dernières trouvailles du trop entreprenant Comité de l’ONU sur la discrimination à l’égard des femmes (CEDAW). Cette fois, le Comité critique le Brésil pour un nouveau projet de loi qui, d’après le comité, entraverait le droit des femmes à la jouissance « de leur droits et leur santé reproductive ». Il semblerait que, sans un accès illimité à l’IVG, une femme ne jouit pas de ce droit.

    Le comité CEDAW critique une loi brésilienne votée démocratiquement

  • Le témoignage de Breda, journaliste et mère de famille

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    L'Eucharistie, le mariage et la famille (source : ZENIT.org)

    Breda O'Brien a livré son témoignage au congrès eucharistique de Dublin, parlant avec humour du « chahut » de la vie familiale, de sa « profonde imperfection », mais aussi « de la joie merveilleuse qui parvient à se faufiler, malgré toute la pagaille ».

    La journaliste irlandaise Breda O'Brien est intervenue sur « le mariage et la famille », le 12 juin 2012, dans le cadre du 50e Congrès eucharistique international de Dublin (10-17 juin).

    « Un mariage n'est pas un moment », a-t-elle notamment rappelé, « c’est une durée de vie, où vous essayez chaque jour d’être à la hauteur de la promesse que vous avez faite, une promesse si impossible à tenir que cela oblige à ne plus compter sur ses propres ressources, et à ouvrir les mains pour recevoir la grâce de Dieu dans la prière ».

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  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 15 juin 2012

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    logo.jpgSommaire

  • Tout n’est pas encore perdu pour les Chrétiens d’Orient

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    Le Père Pascal Gollnisch, directeur général de l'Oeuvre d'Orient revient, avec cette synthèse, sur l'espérance générée par les révolutions arabes, mais aussi l'inquiétude vécue par les minorités religieuses, et notamment les chrétiens:

    “ Une immense espérance, une immense inquiétude. Tel est l'état d'esprit contradictoire ressenti par tout observateur attentif à la situation au Proche-Orient. Les causes des mouvements révolutionnaires commencent à être connues : des difficultés économiques qui détachent la classe moyenne des milieux dirigeants et la renvoie vers les milieux plus pauvres; une jeunesse mieux formée que ses parents, capable d'utiliser internet, mais qui ne trouve pas de travail, des courants islamistes minoritaires mais radicaux.

    Ces mouvements s'inscrivent dans une histoire : il y a un siècle, contre la France et la Grande Bretagne mandataires il y a cinquante ans, contre des dictatures militaires, policières et corrompues aujourd'hui ! Et chaque fois le sentiment frustrant que l'on vole au peuple sa révolution.

    Dans ce contexte, les chrétiens sont en situation difficile. La disparition d'un pouvoir central, même dictatorial les fragilise selon trois registres qu'il convient de distinguer soigneusement : un courant très minoritaire qui veut la disparition des communautés chrétiennes ; une délinquance qui se déploie en profitant de l effondrement des structures sécuritaires ; une société musulmane qui peine encore dans certains pays à reconnaître les chrétiens, et les autres minorités, comme des citoyens à part entière.

    Pourtant les chrétiens ont un rôle à jouer. Ils représentent une minorité ouverte, bien formée, dynamique ; une minorité pacifique qui s'est refusée à utiliser la violence ; une minorité qui a su se faire respecter dans son service de l'ensemble de la population, à travers des écoles et des hôpitaux. Une minorité dont on sait aussi qu'elle n'ambitionne pas de prendre le pouvoir. Les chrétiens sont victimes ici ou là d'actes de violence. Ils ne sont pas la cible de persécutions systématiques et organisées.

    En Syrie, on le sait, le conflit est d'abord entre alaouites et sunnites. En Irak, entre chiites, arabes sunnites, et kurdes sunnites. En Égypte, entre islamistes et militaires. L'avenir pour les chrétiens est inquiétant, il n'est pas perdu, loin de là. Des pistes d'espérance s'ouvrent. De nombreux lieux permettent un vrai dialogue entre chrétiens et musulmans de bonne volonté en particulier dans le monde universitaire. Les jeunes chrétiens commencent à se former à la politique "intelligente", au service du bien commun.

    Enfin, et surtout, il n'est pas prouvéque les populations musulmanes souhaitent vraiment la mise en place de dictatures religieuses. Certains ont cru devoir dire que le printemps arabe était un hiver pour les chrétiens. Les esprits les plus éclairés savent que ce printemps sera pour tous, ou un hiver pour tous.”

    Référence: Les chrétiens ont un rôle à jouer au Proche-Orient

  • Les méfaits de l'immigration massive

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    Immigration : sur le blog "Le soupirail et les vitraux", nous lisons ces propos pleins de bon sens ("L'immigration: du réel ou de l'incantation") :

    ...le métissage accéléré et contraint, imposé à des peuples occidentaux fragilisés et vieillissants, ne peut mener à terme qu'à des guerres tribales, surtout quand, faut d'intégration économique, on refuse l'assimilation culturelle et on encourage le ressentiment identitaire des allogènes à l'égard des indigènes (accusation de colonialisme et de xénophobie). Mais le Français de vieille souche lui n'est pas raciste (et le Belge pas davantage), il est même plutôt accueillant - à condition qu'on n'insulte pas sa propre identité. Les migrations humaines ont toujours existé. Le problème, c'est le remplacement de population. On intègre des individus, des familles ; on n'intègre pas des communautés. On n'intègre pas des peuples.

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  • Replacer la personne humaine au centre des préoccupations, une priorité si l'on veut sortir de la crise

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    Union européenne : les conditions d'une sortie de crise

    Le diagnostic de Mgr Mamberti (ZENIT.org) – La sortie de crise suppose de replacer la personne humaine au centre des préoccupations de l’Europe, avertit Mgr Mamberti qui invite à la confiance, à la solidarité et à la responsabilité.

    Le secrétaire du Saint-Siège pour les relations avec les Etats, Mgr Dominique Mamberti, a en effet reçu, lundi 11 juin, les ambassadeurs des pays de l'Union Européenne accrédités près le Saint-Siège, alors que s’achève la présidence danoise de l’Union.

    Radio Vatican rapporte que Mgr Mamberti a notamment déclaré : « Le moyen de sortir de la crise, ne peut pas être uniquement fondé sur des solutions techniques, même novatrices, mais doit s’inspirer du cadre européen commun, qui voit dans la figure et les responsabilités de la personne humaine une ressource inestimable ».

    « Le développement de l'Europe ne peut ignorer la place centrale de la personne », a insisté le ministre des Affaires étrangères de Benoît XVI.

    Il n'est pas question, a-t-il précisé, «d'introduire un principe religieux, mais de reconnaître, comme l'a fait De Gasperi, que « l'origine de cette civilisation européenne est le christianisme ».

    « Pour se remettre en marche avec décision, l'Europe doit commencer d'abord par l'Homme, plutôt que par les marchés ou les institutions. Repartir à partir de l’Homme signifie avant tout soutenir la vie et la famille », a ajouté Mgr Mamberti, toujours selon la même source.

    Quant à la question politiques, Mgr Mamberti appelle à repenser toute l'architecture européenne en disant : « Une Union Européenne basée uniquement sur les marchés est vouée à l'échec, une Union Européenne qui met l’Homme en son centre est vouée à la réussite ».

  • Non à l'euthanasie : le Primat de Belgique interviewé par Radio-Vatican

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    100220_110.jpgLe « Salon beige » signale qu’interrogé par Charles Le Bourgeois pour Radio-Vatican, Mgr André-Joseph Léonard vient de faire, pour cette station destinée à l l’Eglise universelle,  le bilan  des dix ans de la loi sur l’euthanasie en Belgique. Cliquez ici pour Ecouter l'entretien et les paroles fortes de monseigneur Léonard qui constate que d'une loi d'exception, on arrive inéluctablement à une loi plus générale et même à une loi d'extension, dans ce cas, des suicides assistés.

  • Benoît XVI au Liban : un voyage compromis par la crise syrienne ?

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    Selon le quotidien libanais de langue française «  l’Orient-le Jour »,  «  la crise syrienne et ses répercussions au Liban créent une incertitude sur le voyage à haut risque de Benoît XVI programmé du 14 au 16 septembre dans ce pays, selon des sources bien informées sur le Vatican.

    Dans le programme qu'il publie régulièrement sur les déplacements du pape, le Bureau des célébrations liturgiques pontificales a inclus mercredi encore ce voyage, le 24e à l'étranger de Benoît XVI, qui avait été confirmé officiellement début avril. Cependant, le voyage pouvait "être annulé jusqu'au dernier moment" en raison des affrontements en cours en Syrie, selon des sources proches du dossier citées par l'agence spécialisée sur le Vatican I.MEDIA. La visite restera suspendue à l'évolution de la situation, a encore indiqué l'agence.

    Selon le site Vatican Insider, "la réticence à donner des contours précis à ce voyage est révélatrice d'un désir d'avancer avec des semelles de plomb dans une situation régionale qui se révèle chaque jour plus explosive".

    L'évolution du conflit syrien "alimenté par des armes et des jihadistes armés provenant de l'étranger, y compris du Liban", et "le caractère anti-chrétien et fondamentaliste" d'une partie de l'opposition armée syrienne sont analysés quotidiennement avec une attention maximale à la Secrétairerie d'Etat, selon Vatican Insider.

    Au Vatican, on s'inquiète d'une extension du conflit au nord du Liban.

    Chargé de l'organisation pratique des déplacements pontificaux, Alberto Gasbarri doit se rendre d'ici fin juin à Beyrouth. L'enjeu est de garantir la sécurité du pape mais aussi des fidèles face aux menaces islamistes.

    L'objectif du voyage est de remettre une "exhortation apostolique" aux patriarches et évêques de la région, qui donne les conclusions du Synode pour le Moyen-Orient, qui s'était déroulé en octobre 2010 au Vatican.

    Le Liban est un pays où les communautés de diverses religions coexistent depuis des siècles, et où les chrétiens représentent 35% de la population, selon des estimations non officielles.

    Un des messages du chef de l'Eglise est d'appeler les chrétiens d'Orient à ne pas fuir le berceau du christianisme, malgré les menaces islamistes. Or, après avoir fui l'Irak en masse, des milliers de chrétiens fuient la Syrie et l'Egypte notamment ».

    Référence : Crise syrienne : le voyage de Benoît XVI à Beyrouth risque d'"être annulé"