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Doctrine Sociale - Page 42

  • A chacun ses préoccupations

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    Tandis que le diocèse de Liège concocte, pour le 22 octobre prochain,  un symposium avec le fondateur de l’association « habitat et humanisme » sur le recyclage social de ses églises et autres bâtiments ecclésiaux désertés, le diocèse de Toulon, qui n’a apparemment pas ce genre de problème, accueille, au même moment (les 22 et 23 octobre) à l’abbaye de Lérins, un colloque sur la régulation des systèmes monétaire et bancaire : un question aussi éthique, aux retombées sociales très importantes.

    Voici l’ annonce par Eric Martin le 27 septembre 2011 dans Agenda, Economie/entreprises, Nos brèves, Religion :

    « Alors que le sommet du G20 à Cannes des 3 et 4 novembre aura pour trame de fond la réforme du système monétaire international et le renforcement de la régulation financière, l’abbaye de Lérins accueille un colloque sur la crise des systèmes monétaires les 22 et 23 octobre. Organisé par l’Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon (site|blog) avec le soutien de l’Association des Economistes Catholiques (site), « cet autre sommet entend porter la voix de l’Eglise sur ces sujets sur lesquels se joue l’avenir de nos sociétés ».

    En présence de Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon, plusieurs économistes internationalement reconnus tels Jacques Bichot (université Jean Moulin, Lyon), Guido Hülsmann  (Université d’Angers), Pierre Garello (Université de Marseille), directeur à l’IREF) , Nikolay Gertchev  (Commission européenne), Pierre de Lauzun (Fédération française des banques) ou encore Charles Le Lien aborderont de façon concrète les thèmes de la réforme du système monétaire international, de la responsabilité bancaire, de la régulation des marchés financiers, ou encore du crédit social.. L’ensemble des solutions étudiées sera présenté lors d’une conférence de presse la veille du G20, à Cannes, le 2 novembre 2011 à 20 heures.

  • Sur la raison et la politique en Occident

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    Il y a quelques jours, nous avons relayé le discours prononcé par le Saint père devant le Bundestag. Notre consoeur de Benoît et moi y revient, en reprenant le commentaire de Giuliano Ferrara (Il Foglio) à propos de cette brillante invitation à l’ouverture de l’intelligence.

     Source :

     http://benoit-et-moi.fr/ete2011/0455009f1b06c3101/0455009f6a0f18808.html

     Dans le splendide discours au Bundestag (cf : http://www.zenit.org/article-29016?l=french), le parlement de sa patrie, est réapparu dans une lumière claire, douce et brillante - la lumière de l'intelligence et de la raison - ce formidable professeur Ratzinger qui a été élu pour guider l'Eglise de Rome sur une plateforme de lutte intellectuelle et éthique contre la dérive relativiste et nihiliste venue de l'Occident moderne.

    Benoît XVI a surpris tout le monde. Pas d'élan pastoral d'inspiration minimaliste, aucune catéchèse ordinaire, mais à la place, un rappel clair, énergique, et extraordinaire de la substance de ce qui est politique et public, et de la question philosophico-juridique autour de la façon de faire le bien, de mener une vie juste, de conduire des gouvernements et des états justes, de faire des lois justes dans un monde qui ne dépend plus de la tradition, de l'autorité intrinsèque de la foi, mais de la démocratie majoritaire.

    Les géants usent de mots simples et de concepts accessibles à tous, ils ne sont pas ésotériques (ndt: au sens "réservés aux initiés"), ils parlent au centre fort et réaliste de l'intelligence humaine. Tout comme l'a fait le pape, s'adressant aux Damen und Herren du Bundestag. Évitant les polémiques, et caressant la vérité comme un enfant le ferait avec un jouet

    Le discours, on doit le lire dans sa version intégrale, et sa signification est sans ambiguïté. Ce n'est pas un discours qu'il est possible de détourner par des sophismes et des polémiques. Si nous sommes libres, si nous sommes dans un monde laïc, si nous sommes maîtres de notre destin, c'est parce que nous sommes chrétiens.

    Le christianisme n'a pas imposé la Révélation comme une loi, ce n'est pas la charia, ce n'est pas un espace mythique pour des dieux querelleurs. A la base des droits humains (ndt: j'hésite à traduire par "droits de l'Homme", trop connoté), des réalisations des Lumières, de l'idée moderne même de conscience, il y a le choix chrétien et catholique en faveur de la loi naturelle et de la loi de la raison, il y a le parcours historique enraciné dans les vérités écrites par saint Paul dans la Lettre aux Romains, dans Augustin d'Hippone et dans la culture des Pères de l'Église.

    Même ceux qui n'ont pas la foi comprennent que l'origine du tout ce que nous sommes est mystérieuse, que quelque chose d'inconnaissable est à la base de ce qui est, et que sans la reconnaissance de l'être des choses, la pensée et le monde s'écroulent en un délire du sujet qui se fait le créateur du monde, le portant à une destruction certaine.

    Le Pape a fait une référence délicate et savoureuse à l'écologie, dans la terre d'origine du phénomène des Verts, et a ajouté, avec un esprit espiègle, que l'écologie est d'abord et avant tout l'écologie humaine.

    Il n'y avait pas besoin de parler d'avortement, de sexualité, d'amour, profane, de coutumes et traditions de l'occident postmodernisme , pour être clair et sans détour. L'Église est beaucoup de choses, bien sûr, et sa fonction ou sa vie communautaire comme corps mystique du Christ dépasse d'un coup, qu'elle soit majoritaire ou minoritaire parmi les hommes et les femmes importe peu, toute autre fonction. Mais Benoît XVI a rappelé à un grand et puissant pays de la vieille Europe, qui a dans son passé la tragédie et la culpabilité du plus tragique totalitarisme de l'histoire, que les chrétiens sont, dans leur totalité agissante, une grande agence de la culture humaine capable de contrer tout totalitarisme, y compris relativiste et nihiliste, en engageant dans l'espace public leur conscience théologique, philosophique et politique.

     

  • Les fondements évangéliques de l’écologie

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    Dans son brillant discours au Bundestag Benoît XVI a notamment parlé des fondements du droit  comme nous l’avons déjà indiqué. Il a aussi parlé de ceux d’une écologie véritable en des termes tout aussi remarquables :

    « La raison positiviste, qui se présente de façon exclusiviste et n’est pas en mesure de percevoir quelque chose au-delà de ce qui est fonctionnel, ressemble à des édifices de béton armé sans fenêtres, où nous nous donnons le climat et la lumière tout seuls et nous ne voulons plus recevoir ces deux choses du vaste monde de Dieu. Toutefois nous ne pouvons pas nous imaginer que dans ce monde auto-construit nous puisons en secret également aux « ressources » de Dieu, que nous transformons en ce que nous produisons. Il faut ouvrir à nouveau tout grand les fenêtres, nous devons voir de nouveau l’étendue du monde, le ciel et la terre et apprendre à utiliser tout cela de façon juste.

    Mais comment cela se réalise-t-il ? Comment trouvons-nous l’entrée dans l’étendue, dans l’ensemble ? Comment la raison peut-elle retrouver sa grandeur sans glisser dans l’irrationnel ? Comment la nature peut-elle apparaître de nouveau dans sa vraie profondeur, dans ses exigences et avec ses indications ?

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  • Les fondements du droit par Benoît XVI

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    papst-bundestag.jpgA l’invitation du Président du Bundestag, le Pape s’est adressé au Parlement fédéral dans un discours magistral, d’une très grande intelligence, consacré aux sources du droit. Les développements consacrés par le Saint père au droit naturel méritent à n’en pas douter une lecture attentive, qui permet de cerner l’intimité intrinsèque, mise à mal par les positivistes, entre « l’être » et le « devoir être », avec les implications que cela comporte au niveau de la nature et de la raison, et de leur lien entre eux.

     

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  • Le respect du plus faible ou l’Evangile face aux expulsions de Roms

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     Ce lundi 19 septembre, environ 70 personnes, Roms pour la plupart, provenant des Balkans, ont été expulsées de la gare de Nord à Bruxelles, où elles avaient trouvé refuge. Parmi elles : des familles avec de jeunes enfants. Les voilà ainsi disséminées à travers Bruxelles, alors que les autorités se renvoient la balle : étant citoyens européens, les Roms ne peuvent demander l’asile en Belgique, ni dans un quelconque autre Etat de l’Union européenne.

    L’éditorial de La Libre de ce jour constatait, d’une plume dépitée : « Les CPAS, déjà débordés par l’afflux important de demandeurs d’asile, renvoient la balle au fédéral qui, ennuyé, se drape dans les textes législatifs qui ne l’obligent effectivement à rien envers ces Roms, indésirables ici comme là-bas. Mais, bon sang ! Ne peut-on pas faire preuve de 5 minutes de courage politique pour éviter que des bébés, des enfants, des femmes enceintes, dorment désormais sur l’herbe détrempée d’un parc ? »

     Et de conclure d’un terrible : « Bonne nuit, Mesdames et Messieurs les responsables, et surtout, faites de beaux rêves ».

     

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  • Ouf ! et reprenons tous en choeur (Leterme y compris) : "Bloei, o land, in eendracht niet te breken..."

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    armoiries_royales.jpgSans être encore vraiment sortie de l'impasse, il semble que la Belgique ait évité la crise majeure et l'éclatement que d'aucuns jugeaient inéluctable. Tout n'est pas gagné comme vous le découvrirez dans la "presse généraliste", mais le pire a pu être évité cette nuit avec un nouveau compromis sur cette pomme de discorde que représente la scission de l'arrondissement de Hal Vilvorde : une scission que les partis flamands ont enfin obtenue tandis que les francophones se consolent avec diverses garanties qui leur ont été octroyées.

    Cela démontre que par delà les clivages lingistiques et communautaires et malgré les intérêts contradictoires des partis engagés dans la négociation, personne n'a voulu endosser la responsabilité de mettre fin à l'existence du pays et que l'on s'est rendu compte que l'on ne pouvait en courir le risque dans les circonstances que l'Europe traverse actuellement avec les menaces qui pèsent sur son économie et sa monnaie.

    Et pour ceux qui trouvent que le maintien de la Belgique est une mauvaise solution, la démonstration est faite qu'on n'en a pas de meilleure. Il reste maintenant à voir si nos tristes politiciens vont se mettre d'accord sur les autres points de la négociation mais il semble que le plus dur soit fait.

    Quant à nous qui sommes convaincus du bienfait que représente une Belgique solidaire et qui pensons que toutes ces réformes et tous ces compromis constituent un mauvais chemin qu'il faudra rebrousser tôt ou tard, il nous reste à travailler pour convaincre les citoyens lambda du bienfait que représente l'existence de la Belgique. Cela suppose qu'on apprenne à se rencontrer, à comprendre (au moins passivement) la langue de l'autre, à développer les complémentarités trans-linguistiques (scaldiennes à l'ouest, entre Liège, le Limbourg et Anvers par ailleurs, etc.).

    On peut rêver aussi d'un vrai fédéralisme qui ne soit pas un fédéralisme de division et de dissociation, mais d'un fédéralisme d'union entre une multiplicité d'entités fédérées comme dans tout état fédéral digne de ce nom : pourquoi pas un fédéralisme unissant des provinces, voire des arrondissements? Mais pour cela, il nous faudrait une autre classe politique, non pas constituée de gens qui défendent d'abord les intérêts de leurs partis respectifs, mais des gens capables de se hisser au niveau de l'intérêt commun et des conditions nécessaires au bien-être de tous les citoyens de "ce pays".

  • Conférence à l'occasion du 30e anniversaire de l'encyclique 'Laborem exercens'

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    images.jpg"Le travail humain est une clé, et probablement la clé essentielle, de toute la question sociale, si nous essayons de la voir vraiment du point de vue du bien de l'homme. Et si la solution (...) de la question sociale, (...) doit être cherchée dans un effort pour «rendre la vie humaine plus humaine» , alors précisément la clé qu'est le travail humain acquiert une importance fondamentale et décisive." Laborem exercens

     A l'occasion du 30e anniversaire de l'Encyclique sociale Laborem Exercens

    vous êtes invités à assister à une Conférence

     LABOREM EXERCENS

    La place centrale du travail dans l’économie sociale de marché européenne

    Mercredi 21 septembre 2011

    14h30 - 17h30

    au Parlement européen, salle JAN 2Q2

    Conférence présidée par

    M. le Député Othmar Karas, Vice-Président du Groupe PPE

    M. le Député Gianni Pittella, Vice-Président du Parlement Européen, Groupe S&D

    Intervenant principal

    Cardinal Peter Turkson,

    Président du Conseil pontifical "Justice & Paix"

    Interprétation simultanée en anglais, français, allemand, italien, espagnol

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  • Le n°1500 de l'Homme Nouveau

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    1500 numéros! Toutes nos félicitations à cette publication amie qui a su garder le cap sur cette mer agitée.

    Voici ce qu'écrit à ce sujet Denis Sureau (éditeur et journaliste) :

    Ce numéro 1500 est exceptionnement imprimé à 80 000 exemplaires afin de faire découvrir (ou redécouvrir) L'Homme Nouveau à des lecteurs potentiels. Nous espérons qu'il incitera un grand nombre d'entre eux à rejoindre la grande famille de nos abonnés qui, année après année, décennie après décennie, témoignent fidèlement de leur attachement à ce journal pas comme les autres. Né en 1946, L'Homme Nouveau n'a pas eu toujours exactement le même visage. Le Père Fillère, l'abbé Richard, Luc Baresta ou Marcel Clément l'ont marqué chacun à sa façon de leur forte personnalité. Et pourtant le code génétique de L'Homme Nouveau est resté le même.

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  • Le développement social naît de l’eucharistie

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    Benoît XVI a passé hier 10 heures intenses à Ancône pour la conclusion du 25e congrès eucharistique national italien dont la messe s’est déroulée sur le site du chantier naval, marqué par la crise économique et le chômage.

    Dans son homélie, il a notamment déclaré :« Une spiritualité eucharistique est un antidote à l’individualisme et à l’égoïsme, qui caractérisent souvent la vie quotidienne. Elle conduit à la redécouverte de la gratuité, du caractère central des relations, à partir de la famille, avec une attention particulière pour apaiser les blessures de celles qui sont désagrégées ».

    Et d’ajouter pour la vie dans l’Eglise : « Une spiritualité eucharistique est l’âme d’une communauté ecclésiale qui dépasse les divisions et les oppositions et met en valeur les diversités, les charismes et les ministères en les mettant au service de l’Eglise, de sa vitalité et de sa mission ».

    Dénonçant la prétention des idéologies d’organiser la société « uniquement sur la base du pouvoir et de l’économie », en mettant Dieu sur la touche ou en ne le tolérant que comme « un choix privé qui ne peut interférer avec la vie publique », il a lancé pour conclure : « lorsque l’on veut garantir à tous le développement, le bien-être matériel et la paix en faisant abstraction de Dieu et de sa révélation, on finit par donner aux hommes des pierres à la place du pain ».

    Lire toute la dépêche Zenit ici : Crise économique : Appel du pape à la « responsabilité » à tous les niveaux

  • Développer des politiques fondées sur des valeurs éthiques

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    Benoît XVI a reçu ce matin les lettres de créances du nouvel Ambassadeur de Grande-Bretagne, M.Nigel Marcus Baker, devant lequel il a d'abord évoqué sa visite de l'an dernier, à l'occasion de la béatification du Cardinal Newman, disant son espoir de voir ses oeuvres relues pour ce qui touche notamment aux questions politiques et socio-économiques. (...)

    (Le pape) Il a salué aussi la volonté du gouvernement britannique de développer des politiques qui ne soient pas que légales mais aussi fondées sur des valeurs éthiques. "Ceci est particulièrement important face aux troubles de l'été dernier" en Angleterre.

    "Lorsqu'une politique n'inclut pas ou de proposent pas de telles valeurs, le relativisme moral" entraîne des frustrations et favorise l'égoïsme "au mépris de la vie et de la liberté des gens. Les responsables politiques doivent penser une nouvelle redistribution sociale de la richesse, plus équitable et plus large, en favorisant mobilité sociale et emploi fixe". Un objectif fondamental, a ajouté le Saint-Père, est "le développement soutenable des pays les plus pauvres, où l'aide doit toujours avoir pour but l'amélioration de la vie des populations et des économies nationales. Les pays donateurs seront également bénéficiaires, et pas seulement au niveau de l'ouverture de nouveaux marchés. Cela favorisera le respect, la solidarité et la paix au profit de la prospérité générale... La diffusion de modèles de développement qui associent nouvelles technologies et respect des ressources naturelles favorisera une meilleure protection de l'environnement, dans les pays développés comme dans ceux en voie de développement". VIS 20110909 (390)

  • Un laïc, promoteur de la charité active : le bienheureux Frédéric Ozanam (9 septembre)

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    Ozanam, par Dom Antoine Marie

    Au cours des Journées Mondiales de la Jeunesse, en août 1998 le Pape Jean-Paul II disait: «Mes bien-aimés, aimons-nous les uns les autres puisque l'amour vient de Dieu. Tous ceux qui aiment sont enfants de Dieu et ils connaissent Dieu. Celui qui n'aime pas ne connaît pas Dieu, car Dieu est Amour (1 Jn 4, 7-8). Cette parole de l'Apôtre est vraiment le coeur de la Révélation». Et, pour donner un exemple tangible d'amour de Dieu et du prochain, le Saint-Père procédait à la béatification de Frédéric Ozanam dans la cathédrale Notre-Dame de Paris.

    Dans le regard d'une mère

    Bien que Français, Jean-Antoine Ozanam et son épouse Marie vivent à Milan lorsque naît leur fils Frédéric, en 1813. Ils reviendront à Lyon en 1816. L'éducation que Frédéric reçoit de ses parents, inlassablement dévoués à Dieu et aux pauvres, le marque profondément: «C'est sur les genoux de ma mère que j'ai appris votre crainte, Seigneur, et dans ses regards votre amour». Mais l'enfant est né chétif. À six ans une fièvre typhoïde le terrasse, et c'est grâce à l'intervention miraculeuse de saint Jean-François Régis, ardemment prié par les siens, qu'il guérit de cette grave maladie.

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  • Le mensuel « La Nef » : numéro de rentrée

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    FIC66247HAB33.jpgSOMMAIRE DU N°229 DE SEPTEMBRE 2011

    EDITORIAUX
    JMJ et… démocratie, par Christophe Geffroy
    La fin des rêves, par Jacques de Guillebon

    ACTUALITÉ
    Le luthéranisme suédois à vau-l’eau, par Michel Toda
    Un nouvel Abbé pour Fontgombault, par Christophe Geffroy
    « Les chemins de la foi », entretien avec Xavier Dufour
    et Marc Bouchacourt
    Pour trouver un emploi ciblé, entretien avec Thomas Grimaux
    Vie de l’Église : JMJ, feu de paille… feu ardent, par Loïc Mérian
    Les JMJ de Madrid : un grand moment de foi, par Christophe Geffroy
    Témoignage d’une JMJiste à Madrid, par Élisabeth Geffroy
    Reductio ad sexum et « biologisation » du droit ?,
    par Guillaume Bernard
    Vers une défense de la Vie en Europe ?,
    par Grégor Puppinck
    Chronique Vie : IVG, état des lieux alarmant,
    par Pierre-Olivier Arduin
    International : Agriculture et mondialisation,
    par François-Georges Dreyfus

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