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BELGICATHO - Page 1259

  • La collection Petite Vie poursuit son succès aux éditions Artège

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    DÉJÀ DISPONIBLE :

    À PARAÎTRE EN JUILLET 2017 :

  • A l’Université de Liège, le 4 avril prochain: un débat sur le thème « Immigration, identité et multiculturalité » organisé par l’Union des étudiants catholiques et le groupe de réflexion « Ethique sociale »

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    A l’Ulg, le mardi 4 avril 2017, l'Union des étudiants catholiques de Liège et le groupe de réflexion Ethique sociale lancent un nouveau lunch débat; il est urgent de s'inscrire : 

    « IMMIGRATION, IDENTITÉ ET MULTICULTURALITÉ»

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    animé par Annie LAURENT

    experte au Synode des évêques sur le Moyen Orient

    Sous l’intitulé « L’Europe, ses fondements, aujourd’hui et demain », l’ « Union », cercle inter-facultaire des étudiants catholiques de Liège, et le groupe de réflexion « Ethique sociale » proposent cette année quatre rencontres sur les enjeux  majeurs de la crise actuelle de l’Europe. Celles-ci ont lieu sous forme de lunchs débats organisés à l’Université de Liège dans la Salle des Professeurs de l’Université, Bâtiment du Rectorat, place du XX août, 7, 1er étage à Liège (parcours fléché à partir de la grande entrée).

    Le cycle a été inauguré le 17 janvier dernier par un exposé de Mgr Jean-Pierre Delville, évêque de Liège, sur « Le Christianisme médiéval, creuset de l’Europe ».

    La prochaine rencontre aura pour titre «Immigration, identité et multiculturalité » : un thème délicat qui sera abordé par  Mme Annie Laurent, experte au Synode des évêques sur le Moyen Orient.

    Journaliste et écrivain, Mme Laurent est titulaire d’une maîtrise en droit international et d’un doctorat d’Etat en science politique (Université Panthéon-Assas, Paris) pour une thèse sur « Le Liban et son voisinage », une région où elle a séjourné de nombreuses années. Elle a fondé l’Association « Clarifier » pour éclairer sur les réalités de l’Islam selon une approche pédagogique et respectueuse des personnes qui s’y réfèrent. Elle explique non seulement le credo de l’islam, mais aussi l’anthropologie qui en découle, essayant d’identifier les références, les croyances, les aspirations du musulman qui vit dans nos pays.

    lunch_debat_avril2017.jpg

    Mardi 4 avril prochain à 18h00 dans la Salle des Professeurs de l’Université de Liège, Bâtiment du Rectorat, place du XX août, 7, 1er étage (parcours fléché à partir de la grande entrée.). P.A.F 15 € (5 € pour les étudiants) à payer sur place.

    Réservation obligatoire le 31 mars au plus tard : on peut s’inscrire

    -par téléphone 04.344.10.89 ou

    -par email info@ethiquesociale.org ou uniondesetudiantscatholiqueliege@skynet.be

    -plus de renseignements et s’inscrire en ligne, cliquez ici : http://www.ethiquesociale.org/conference/immigration-identite-et-multiculturalite/

    JPSC 

  • Liège : dimanche 2 avril à 10h00, premier dimanche de la passion à l’église du Saint-Sacrement, au Boulevard d’Avroy

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     «Judica me, Deus, et discerne causam meam de gente non sancta : ab homine iniquo et doloso eripe me : quia tu es, Deus meus, fortitudo mea. Rends-moi justice, mon Dieu et sépare ma cause de celle des impies. De l’homme fourbe et méchant  délivre moi  car tu es mon Dieu et ma force » (introït de la messe) : le Christ traqué par ses ennemis invoque la justice de son Père et proclame son espérance » (célébration avec le concours de l'Ensemble Darius)

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     Hymne de la Passion "Vexilla Regis prodeunt"

    Les étendards du Roi s'avancent

    La Croix rayonne en son mystère

  • Réfléchir sur les migrations

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    De Yves Gazzo sur Magistro :

    Quelques réflexions sur les migrations

    Intervention présentée à l'occasion de l'Assemblée générale des anciens fonctionnaires de l'UE lundi 27 mars

    De nos jours nous avons tendance, en Europe, en France, simples citoyens ou responsables politiques, à commenter, à disserter, à s'opposer, sur le thème des migrations humaines : danger ou apport pour nos sociétés post industrielles et vieillissantes, mais qui restent attractives pour ceux et celles qui sont à la recherche d'un El Dorado, d'un monde simplement meilleur ; au risque de nous faire oublier que les migrations sont multiples, qu'elles concernent des domaines variés avant tout et qu'elles sont évolutives, dans l'espace et dans le temps même si certaines constantes sont à souligner ici ou là et que les déclarations intempestives de responsables politiques sur ce sujet relèvent plutôt de la posture que de la possibilité réelle de contrôler les flux migratoires.

    La diversité des types de migrations 

    Il existe des types très variés de migrations : celles animales bien connues avec les longs déplacements des oiseaux, des animaux en liberté, des occupants des mers ; qui d'entre nous n'a pas admiré la beauté des flamands roses ou des gnous en Afrique de l'est, des oies du Canada aux Etats-Unis, des requins baleine dans le goubet de Djibouti ? Mais souvent certains virus émergent, voyagent aussi et représentent des dangers réels pour les habitants de cette planète. Migrations de l'information, des œuvres d'art, des systèmes politiques, des finances (envois d'argent des émigrés vers leur pays d'origine),… etc.

    Ces thèmes variés, avec le phénomène migratoire en commun feront l'objet de différentes communications au sein de l'Académie des sciences d'outre-mer dont j'assure la présidence, sans oublier les migrations humaines, sujet dont je souhaite vous entretenir aujourd'hui.

    Les migrations humaines aujourd'hui : un mouvement fort et qui n'est pas près de s'arrêter 

    Entre 2000 et 2015 le nombre de migrants a bondi pour atteindre un total de 244 millions de personnes vivant en dehors de leur pays d'origine dans le monde selon les sources des Nations Unies. Parmi elles, 60 millions sont des migrants et des réfugiés hors de leur pays d'origine et environ 6 millions sont "coincés" dans un pays ou une zone de transit ; 1 personne sur 112 est, soit un réfugié soit un demandeur d'asile soit un déplacé intérieur. La gestion hasardeuse de ces populations a aussi contribué à la création de camps de réfugiés de "longue durée". On compte aujourd’hui 32 camps de réfugiés installés depuis plus de 25 ans et ces colonies temporaires sont destinées à devenir des villes permanentes, privées toutefois d'infrastructures et d'activités économiques dignes de ce nom.

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  • Bénéton ou la nécessité de se libérer des idées folles de notre temps

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    73830151_14517127.jpgLu ICI :

    L’occident déréglé of Bénéton

    Peut-on trouver titre mieux choisi pour décrire l’état de déréliction dans lequel se trouve l’Occident ? Publié au Cerf, Le dérèglement moral de l’Occident de Philippe Bénéton, professeur émérite de la faculté de droit et sciences politique de Rennes, renvoie à Jean Sévillia qui voit dans l’absence de morale le chaînon manquant à nos sociétés pour qu’elles vivent en harmonie et aient un réel avenir. D’emblée, notre professeur nous immerge dans le propos de son ouvrage : « l’idée d’émancipation n’est pas née en 1965 ou 1968 mais a cheminé, chez les modernes, pendant des siècles depuis Machiavel et Bacon », et « la dynamique de l’autonomie individuelle est allée beaucoup plus loin que ne pouvaient le penser Locke ou Montesquieu ». La tempête de 1968 et l’émancipation radicale qui l’a accompagnée ont selon lui tout balayé : « la modernité libérale avait mis fin au pouvoir politique de l’Eglise et rogné son autorité intellectuelle, la modernité tardive a mis fin à l’emprise des mœurs traditionnelles, façonnées par le christianisme. L’une des conséquences est que le peuple a disparu. Ne restent que des individus ».

    Chantal Delsol dans la Haine du monde et Alain de Benoist dans Au-delà des droits de l’homme commentés pour Mauvaise Nouvelle ont finement analysé ces phénomènes d’auto-engendrement de l’individu promus par les idéologies libérales libertaires, ainsi que cette tendance lourde à l’abstraction (la démocratie, les droits de l’homme, l’humanité multiculturelle, pacifiée et sortie de l’histoire, la non-discrimination, la tolérance, le marché bienfaiteur) qui se substitue peu à peu à l’incarnation (le monde réel, l’homme singulier, la mort, le tragique de l’existence, les passions humaines heureuses ou tristes). Nous avons eu l’occasion d’expliquer par ailleurs ce lien étroit qui unit le libéralisme et l’arasement culturel qui prépare son terrain de jeu. Bénéton le dit ainsi : « Notre modernité est une puissante machine qui écrase les différences que la civilisation occidentale tenait pour significatives. Par-là, elle travaille à produire un monde homogène ». Il va sans dire que les fruits (assumés et revendiqués) de cette idéologie mondialisée du libéralisme triomphant sont prégnants dans nos quotidiens : inculture, indifférence et indifférenciation. Ces fruits sont l’exact opposé de ceux patiemment mûris par notre civilisation judéo-chrétienne au cours des siècles écoulés : goût pour la culture, l’intelligence et l’esprit, primauté de la communauté ou du corps social sur les individus et les minorités, claire distinction des génies respectifs de l’homme et de la femme.

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  • Stéphane Mercier était présent aux côtés de nombreux manifestants à la Marche pour la Vie à Bruxelles

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    Du site du Soir.be :

    Stéphane Mercier à la «Marche pour la vie»: «Je suis ici comme croyant»

    Le professeur, suspendu par l’UCL, a clôturé la marche anti-avortement à Bruxelles ce dimanche.

    Mille manifestants et une « guest star » : tel est le bilan, en deux mots, de la « Marche pour la vie », à Bruxelles ce dimanche. Environ 1.000 personnes, selon la police (trois mille selon les organisateurs - ndB), ont manifesté contre l’avortement. Le cortège s’est achevé par le discours attendu d’une nouvelle « star » de la cause, Stéphane Mercier, le professeur suspendu par l’UCL et sous le coup d’une procédure disciplinaire après des propos anti IVG très radicaux dans un cours.

    Face aux « marcheurs » anti-IVG, Stéphane Mercier a rappelé qu’il était à l’UCL depuis un certain temps : «  Assistant pendant six ans, chercheur et chargé de cours…  » «  Je suis ici comme être humain, comme philosophe, comme croyant  », souligne-t-il.

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    «Je suis ici comme être humain, comme philosophe, comme croyant» @lesoir 

    Interrogés par « Le Soir » avant la manifestation, les organisateurs s’étaient déclarés ravis de la présence de Stéphane Mercier.

    L’Université catholique de Louvain a entamé une procédure disciplinaire à l’encontre de Stéphane Mercier après avoir entendu ce dernier à propos de sa note rédigée dans le cadre de l’un de ses cours et dans laquelle il qualifiait notamment l’avortement de «  meurtre  », «  plus grave que le viol  ».

    L’UCL, qui avait déjà clairement pris ses distances plus tôt dans la semaine avec les propos de son chargé de cours invité, précise également avoir suspendu «  jusqu’à nouvel ordre  » les deux cours dont l’intéressé avait la charge.

  • Avortement : quand l'archevêque de Malines-Bruxelles s'exprimait sans ambiguïtés

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    D'Arnaud Dumouch : 

    AVORTEMENT : Quand Mgr Léonard s'exprimait (à propos de l'affaire UCL / Pr Stéphane Mercier)

    Lors de sa nomination en octobre 2013 comme archevêque de Malines-Bruxelles et comme grand chancelier de l'Université Catholique de Louvain (UCL), Monseigneur André-Joseph Léonard s'était exprimé sur l'avortement. 

    Il avait donné une parole prophétique qui devrait éclairer l'affaire du Professeur Stéphane Mercier qui, en mars 2017, agite le Royaume de Belgique. Rappelons que ce professeur de philosophie a été suspendu de son cours pour un texte et un débat abordant de front la question de l'enfant avorté, comme être humain mis à mort. 

    Très attaqué par les médias belges, caricaturé et vilipendé, Monseigneur Léonard présentait sur la RTBF, dans l'émission "J'ai une question à vous poser", la foi catholique sur cette question.

    A la fin de l'émission, les Belges furent conquis par sa foi, la précision de ses explications.

    Et pour une rare fois, un archevêque catholique donnait la raison de la gravité de l'acte d'avortement : "L'enfant vit. Il accueillera sa mère, pour se réconcilier avec elle, de l'autre côté de cette vie."

  • Cité Notre-Dame de la Vie (Louveigné), 30 mars à 13H30 : témoignage des "Sentinelles de la Nuit"

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  • 39 nouveaux martyrs de la Guerre Civile espagnole seront prochainement béatifiés

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    De Maria Droujinina sur zenit.org :

    Cause des Saints: le p. José Maria Fernandez Sanchez et 38 nouveaux martyrs espagnols

    Vers la béatification de 39 martyrs de la famille spirituelle de S. Vincent de Paul

    Le prêtre espagnol José Maria Fernandez Sanchez et 38 autres  martyrs de la persécution anti-catholique qui s’est déchaînée en Espagne sous couvert de la Guerre civile pourront être bientôt béatifiés.

    Le pape François a autorisé la promulgation d’un décret reconnaissant un martyre de José Maria Fernandez Sanchez, ainsi que de ses compagnons – 32 prêtres et frères de la Congrégation de la Mission (les Lazaristes) et 6 laïcs de l’Association de la Médaille miraculeuse de la bienheureuse Vierge Marie -, lors d’une audience accordée au cardinal Angelo Amato, préfet de la Congrégation pour les Causes des Saints, ce jeudi 23 mars 2017.

    Né à Oviedo, en Espagne le 19 janvier 1875, le père José Maria Fernandez Sanchez a été martyrisé à Vallecas le 23 octobre 1936. Les autres martyrs ont été tués entre le 19 juillet et le 14 décembre 1936.

    L’enquête diocésaine de l’archidiocèse de Madrid a été déposée à la Congrégation pour les causes des saints en 2006.

    La reconnaissance de leur martyre en raison de leur fidélité au Christ ouvre la voie à leur béatification.

  • Fatima : Francisco et Jacinta bientôt canonisés ?

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    D'Anita Bourdin sur zenit.org :

    Fatima: un nouveau miracle obtenu par la prière de Francisco et Jacinta

    Le miracle ouvre la voie à leur canonisation

    Rome reconnaît un nouveau miracle dû à la prière des pastoureaux de Fatima, les bienheureux Francisco et Jacinta Marto, ce qui ouvre la voie à leur canonisation, si les cardinaux exprimaient un avis favorable lors d’un consistoire, probablement après Pâques.

    Une première

    Lors d’une audience accordée au cardinal Angelo Amato, le pape François a en effet donné son feu vert, ce jeudi 23 mars 2017, à la promulgation d’un décret de la Congrégation pour les causes des saints reconnaissant l’authenticité d’un miracle comme dû à leur intercession.

    Le pèlerinage du pape François à Fatima les 12-13 mai 2017, pour le centenaire des apparitions de la Vierge Marie à la Cova da Iria, pourrait donc bien être marqué par la canonisation des pastoureaux. A l’occasion de son pèlerinage pour le Jubilé de l’An 2000, saint Jean-Paul II les avait béatifiés : c’était la première fois que des enfants non-martyrs, frère et soeur, étaient béatifiés ensemble et si jeunes, et ce serait cette année la première fois que des enfants, frère et soeur, non-martyrs, seraient canonisés également ensemble, ce qui encourage les causes de béatification d’autres enfants morts en « odeur de sainteté ».

    Saint Dominique Savio (2 avril 1841-9 mars 1857) était une sorte d’exception de jeune « adulte » alors qu’il allait avoir 15 ans – il a été canonisé le 12 juin 1954 par Pie XII – et la bienheureuse Laura Vicuña (5 avril 1891, Chili-22 janvier 1904, Argentine), morte en offrant sa vie pour la conversion de sa mère, alors qu’elle n’avait pas 13 ans, semble avoir ouvert la voie: elle a été béatifiée par Jean-Paul II le 3 septembre 1988. Mais des enfants aussi jeunes, et un frère et une soeur ensemble, on ne l’avait pas encore vu.

    Francisco Marto (1908-1919) est mort de la grippe espagnole, le 4 avril 1919 – il n’avait pas 11 ans, et sa petite sœur Jacinta (1910-1920),  qui allait avoir 10 ans, est morte l’année suivante à de la même maladie, le 20 février 1920. Depuis les apparitions de 1917, ils n’hésitaient pas à prier le chapelet avec ferveur et à offrir généreusement leurs peines et leurs sacrifices quotidiens pour la paix et la conversion des pécheurs, selon l’appel de la Vierge Marie.

    Les deux miracles reconnus

    Un premier miracle obtenu par leur intercession commune avait été reconnu par Jean-Paul II le 28 juin 1999 et retenu pour leur béatification: ils avaient été invoqués ensemble. C’était la guérison, le 25 mars 1987, de María Emilia Santos, de Leiria (Portugal), paraplégique, qui avait commencé a invoquer les deux enfants après une retraite pour les malades, à Fatima, et qui achevait alors une neuvaine, après des années de martyre. Elle commença à aller mieux, à s’asseoir dans son lit sans aide et sans douleur, jusqu’à pouvoir se mettre debout le jour anniversaire de la mort de Jacinta, le 20 février 1989.

    Le miracle – guérison inexplicable pour l’état actuel  de la science – retenu pour la canonisation est la guérison d’un bébé, Felipe Moura Marques, né avec un diabète de type 1 – réputé incurable -, portugais, dont les parents vivaient en Suisse. Sa maman et sa grand-mère ont emmené le bébé sur la tombe des pastoureaux, à Fatima. Lors de leur béatification, le 13 mai 2000, la maman approcha même le bébé du téléviseur en priant les deux bienheureux pour le petit Felipe. Depuis, il vit sans insuline et sans aucun problème de santé, a rapporté l’évêque – aujourd’hui émérite – de Leiria-Fatima, Mgr Serafim de Sousa Ferreira e Silva, en 2005.

    Le procès de béatification de leur cousine, la troisième voyante, Lucia dos Santos (22 mars 1907-13 février 2005), devenue ensuite carmélite à Coimbra, et morte à 98 ans, quelques semaines avant Jean-Paul II, est également arrivé à Rome, mais il faudra encore du temps pour examiner quelque 15 000 documents communiqués par le diocèse de Coimbra et les expertises sur le miracle présumé. Le postulateur, le père Romano Gambalunga, a invité « à la patience ».

  • Quand François discerne les voies de l'espérance pour l'Europe

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    De zenit.org :

    Soixante ans après, discerner les voies de l’espérance pour l’Europe (texte intégral)

    Les piliers de l’édifice des « Pères de l’Europe »

    Les piliers de la construction européenne, il y a soixante ans, sont autant de balises pour tracer son avenir et un chemin d’espérance, estime le pape François qui décline: « la centralité de l’homme, une solidarité effective, l’ouverture au monde, la poursuite de la paix et du développement, l’ouverture à l’avenir ».

    Le pape a en effet reçu les responsables européens à l’occasion du 60e anniversaire de la signature des Traités de Rome, le 25 mars 1957, ce vendredi 24 mars 2017, à 18h, au Vatican.

    Le pape, qui s’est exprimé en italien, et debout, a évoqué les « Pères de l’Europe » et il a invité les Européens à se laisser « provoquer par leurs paroles, par l’actualité de leur pensée, par l’engagement passionné pour le bien commun qui les a caractérisés, par la certitude de faire partie d’une œuvre plus grande que leurs personnes et par la grandeur de l’idéal qui les animait ». Il a rappelé que l’Europe ne peut être réduite à un ensemble de règlements contraignants.

    Il a offert cette définition de l’Europe: « L’Europe a un patrimoine d’idéaux et de spiritualité unique au monde qui mérite d’être proposé à nouveau avec passion et avec une fraîcheur renouvelée et qui est le meilleur antidote contre le vide de valeurs de notre temps, terrain fertile pour toute forme d’extrémisme. »

    Il conclut par un appel pour les jeunes, la famille et la vie: « L’Europe retrouve l’espérancelorsqu’elle s’ouvre à l’avenir. Lorsqu’elle s’ouvre aux jeunes, en leur offrant de sérieuses perspectives d’éducation, de réelles possibilités d’insertion dans le monde du travail. Lorsqu’elle investit dans la famille, qui est la première et fondamentale cellule de la société. Lorsqu’elle respecte la conscience et les idéaux de ses citoyens. Lorsqu’elle garantit la possibilité d’avoir des enfants, sans la peur de ne pas pouvoir les entretenir. Lorsqu’elle défend la vie dans toute sa sacralité. »

    Le pape a reçu 27 chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union européenne – dont le président français, François Hollande, et la chancelière allemande, Angela Merkel – et leurs délégations, dans la Sala Regia du palais apostolique du Vatican, en présence de représentants des Institutions européennes, M. Antonio Tajani, président du Parlement, M. Donald Tusk, président du Conseil européen, M. Jean-Claude Junker, président de la Commission européenne, Mme Federica Mogherini, ministre des Affaires étrangères de l’Union.

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  • Le pape à Milan

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    Sur Radio Vatican (cliquer sur les liens) :