Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

BELGICATHO - Page 1748

  • Bulletin de l'IEB - 20 septembre 2013 - Soins palliatifs / Naissance / iPS

    IMPRIMER

    header_fr.jpgSommaire


  • Des musulmans se sont massivement convertis au christianisme… en Géorgie

    IMPRIMER

    Lu sur la « matinale » de l’hebdomadaire « La Vie » :

    C'est un phénomène qui semble unique au monde, et pour lequel on manque, à ce jour, d'explications claires. Dans un reportage publié par le site d'actualités sur l'islam Oumma.com, on apprend que la population de la République d'Adjarie, voisine de la Turquie mais appartenant à la Géorgie, majoritairement musulmane, s'est massivement convertie au christianisme orthodoxe en seulement une vingtaine d'années.

    En 1991, 75% des Adjares étaient musulmans. Aujourd’hui, ils sont devenus à 75% orthodoxes. "Ces conversions massives restent un sujet tabou", relève le journaliste Ian Hamel, auteur du reportage. Pour tenter de les comprendre, il cite le métropolite de Batoumi, la capitale, pour qui ces conversions ne sont en fait qu'un retour aux sources. "Le métropolite de Batoumi affirme que les Adjariens, convertis de force à l’islam par les Ottomans, étaient, en fait, restés chrétiens de coeur. Selon ses déclarations, ils continuaient à porter secrètement une croix, ils peignaient des œufs de Pâques, ils conservaient des icônes dans leurs habitations".

    L'explication la plus plausible, c'est une ancienne journaliste adjare qui la propose : "Il faut comprendre que l’Eglise orthodoxe est un pilier fondamental de notre identité nationale. Dans le passé, nous avons été envahis par tous nos grands voisins, les Perses, les Ottomans, les Russes. S’il n’y avait pas eu le ciment de la religion, il n’y aurait même plus de peuple géorgien", souligne Alina Okkropiridze.

    Cette analyse est d'autant plus pertinente que le voisin turc semble avoir des vues sur la province adjare, lovée sur la mer Noire, et de plus en plus attractive d'un point de vue économique, puisque le tourisme s'y développe à grands pas. Devenir orthodoxe, c'est peut-être, pour cette population, le seul moyen de demeurer géorgien.

    A l'issue de sa conquête par les Ottomans au XVIIe siècle, l’Adjarie est devenue très majoritairement musulmane. En 1878, cette province de 3000 km2 tombe dans le giron de l’Empire russe. En 1991, après la chute du communisme et l’indépendance de la Géorgie, elle fait sécession. Jusqu’en 2004, cette République “indépendante“ est gouvernée par un dictateur de confession musulmane, Aslan Abachidzé, aujourd’hui en fuite. Depuis, l’Adjarie, qui compte 400.000 habitants, est revenue dans le giron de la Géorgie et son paysage religieux a changé quasiment du tout au tout. 

    Ici : Des Géorgiens musulmans se sont massivement convertis au christianisme

    JPSC

  • Interview du pape par les Jésuites : L’ « Homme Nouveau » pose la bonne question

    IMPRIMER

    Toujours le « buzz » médiatique sur les propos, diversement accueillis, du nouveau pape : le directeur de la rédaction du bimensuel catholique  « L’Homme Nouveau » fait ce commentaire sur le site web du journal :

    «  Le Pape François s'est donc exprimé à travers un long entretien accordé aux jésuites de La Civiltà Cattolica, associés à plusieurs revues de la Compagnie de Jésus. Le risque n'est pas nouveau de se livrer ainsi par le biais d'un entretien et l'histoire récente de la papauté nous montre que généralement les interviews ainsi publiés ont entraîné des dommages qu'il a fallu ensuite réparer, comme je le rappelais à propos de celui qui fut accordé récemment par Mgr Parolin, nouveau secrétaire d'État.

    On trouvera ici l'intégralité de cet entretien qu'il vaut mieux lire plutôt que de se contenter des extraits ou des commentaires. C'est une ascèse professionnelle qui s'impose aujourd'hui à tous, puisque nous vivons dans le monde de la communication.

    Le meilleur commentateur du Pape reste encore le Pape lui-même. Et, plus précisément, les actes que le Souverain Pontife posera donneront la meilleure teneur de son propre commentaire.

    Seront-ils en adéquation avec ses paroles, même quand il semble en rupture avec ses prédécesseurs, alors que le catholicisme implique comme par essence la continuité et l'harmonie avec l'enseignement magistériel antérieur, ce qui évite fort heureusement de tomber dans l'arbitraire ?

    Une autre des vraies questions qui semble se poser se trouve en fait dans les affirmations du Saint-Père quant aux rapports de l'Église et de la culture contemporaine. Au-delà des débats stériles à propos de Vatican II, il semble que ce soit le grand préalable à régler.

    Le Saint-Père, derrière ses prédécesseurs, estime que l'Église devait entrer en dialogue avec la culture contemporaine comme l'Église l'avait fait tout naturellement avec les cultures antérieures. Si l'on comprend bien le double mouvement, qui consiste à ne pas ignorer les problèmes de son temps et à évangéliser à partir du réel, et non pas à rester plongé dans la nostalgie ou à se projeter sans fin dans le futurisme, on reste devant un problème resté sans réponse : comment dialoguer, et éventuellement évangéliser, une culture dont la radicale nouveauté consiste à s'être construite contre le christianisme ? Cette question nous continuons à la poser et, au-delà des effets d'annonce, de la présence médiatique, des ruptures sur certains plans et de la continuité dans d'autres, elle reste toujours sans réelle réponse satisfaisante pour la foi et la raison.

    Référence ici : Le Pape François répond aux questions des jésuites 

    JPSC

  • Yad Vashem nuance son jugement sur l'attitude de l'Eglise à l'égard des juifs durant la persécution nazie

    IMPRIMER

    Pie XII, l’Eglise et les juifs : Yad Vashem révise son jugement

    sur info.catho.be

    A l’occasion d’une exposition marquant les 50 ans de l’institution du titre de « Juste parmi les nations », le Musée de l’Holocause de Jérusalem reconnaît que nombre de juifs ont trouvé refuse sous les ailes de l’Eglise, durant la Seconde Guerre mondiale.

    Yad Vashem, le mémorial de l’Holocauste, à Jérusalem, a de nouveau modifié sa position sur l’attitude du pape Pie XII et du Saint-Siège face à la répression des juifs durant la Seconde Guerre mondiale. Dans le cadre d’une exposition consacrée aux 50 ans de la création du titre de « Juste parmi les nations », qui honore les personnes ayant risqué leur vie pour sauver des juifs, il admet en effet que le Vatican était « parfois au courant du fait que les couvents accueillaient des réfugiés juifs« .

    La rhétorique du musée garde néanmoins des accents critiques sur le rôle de l’Église catholique. Sur la question du rapport entre préjugés anti-juifs et antisémitisme nazi, l’exposition soutient ainsi que, « même si l’antisémitisme raciste des nazis a été un phénomène différent de l’antijudaïsme chrétien traditionnel, toujours est-il qu’il se fondait sur des préjugés existants. »

    Enfin, concernant l’attitude spécifique de l’Eglise, le musée rappelle que, « confrontés au meurtre des juifs, de nombreux membres du clergé sont restés silencieux, et quelques-uns ont même collaboré« . « L’absence de directives claires et univoques de la part du Vatican, laissait la décision du sauvetage des juifs aux autorités catholiques locales », peut-on encore lire dans le cadre de l’exposition.

    Le musée admet cependant que, « dans certains cas, des évêques et d’autres dirigeants de l’Église ont demandé à leur clergé et à leurs fidèles d’aider les juifs… Certains de ces Justes parmi les nations ont même manifesté un profond respect pour la religion de leurs protégés, ne sauvant pas seulement leurs vies, mais les aidant également à pratiquer leur foi« .

    P. A. (avec Apic)

  • Peut-on relire l’évangile à la lumière de la culture contemporaine ?

    IMPRIMER

    C’est tout le problème de Vatican II . Vini Ganimara a posé la question à l’abbé Claude Barthe pour l’ « Osservatore Vaticano » :

    « Nous écoutions hier soir, sur Radio-CourtoisiePhilippe Maxence,Guillaume de Thieulloy et l’abbé Claude Barthe parler du livre de Roberto De MatteiVatican II. Une histoire à écrire (éditions Muller).

    Nous avons demandé à l’abbé Barthe de nous dire comment il sentait les propos tout récents du Pape à propos justement du Concile dans son entretien donné à La Civiltà Cattolica et à Études « Vatican II fut une relecture de l’Évangile à la lumière de la culture contemporaine. Il a produit un mouvement de rénovation qui vient simplement de l’Évangile lui-même. Les fruits sont considérables. Il suffit de rappeler la liturgie. Le travail de la réforme liturgique fut un service du peuple en tant que relecture de l’Évangile à partir d’une situation historique concrète. Il y a certes des lignes herméneutiques de continuité ou de discontinuité, pourtant une chose est claire : la manière de lire l’Évangile en l’actualisant, qui fut propre au Concile, est absolument irréversible. Il y a ensuite des questions particulières comme la liturgie selon le Vetus Ordo. Je pense que le choix du pape Benoît fut prudentiel, lié à l’aide de personnes qui avaient cette sensibilité particulière. Ce qui est préoccupant, c’est le risque d’idéologisation du Vetus Ordo, son instrumentalisation ».

    L’abbé Barthe nous répond : « “Vatican II fut une relecture de l’Évangile à la lumière de la culture contemporaine”. Tout concile, le concile de Nicée, le concile de Trente, est une lecture de l’Évangile, plutôt qu’une relecture. Et on peut caractériser le champ et la portée de cette lecture, pour chaque concile, de manière précise (explicitation christologique, définitions sur le sacerdoce, la messe, les sacrements, la grâce). Pas pour Vatican II. Que la relecture faite par Vatican II le soit à “la lumière de la culture contemporaine” est précisément tout le problème de la part discutable tant du Concile que de la réforme liturgique : le grand écart d’une acculturation de l’Évangile dans une “culture” construite contre l’Évangile »

    Référence sur « Riposte catholique » :« C’est tout le problème de Vatican II » : propos de l’abbé Claude Barthe

    JPSC 

  • Sur les écrans...

    IMPRIMER

    Dernières sorties cinéma (http://www.lecran.fr/)
    Riddick
    Riddick... La légende, les phrases mytho, le gros-guerrier-de-la-mort-qui-tue-qui-n'a-jamais-peur-des-gros-méchants-parce-que-c'est-le-meilleur...
    Riddick et ses planètes toutes bizarres où il fait chaud, ses animaux qui crèveraient d'un infarctus s'ils se...
     
    Les Amants du Texas
    Les amants du Texas sont séparés par la force de la loi.
    Reconnu coupable, Bob va en prison pour un bout de temps, pendant que Ruth reste seule, avec leur petite fille, en attendant que le père revienne. Se pose alors un dilemme pour Bob : doit-il s’évader et...
     
    Ma vie avec Liberace
    Même avec son public de mamies, Liberace était un grand, un très grand pianiste... Précoce comme Mozart (il jouait déjà à 4 ans), il était excentrique, baroque et homme d'affaire redoutable.
    Sur quel aspect de sa vie passionnante le film...
     
    Les Invincibles
    Encore une comédie française, cette fois sur fond de pétanque et de Provence. Un sujet plutôt original, sur l’idée de l’acteur principal Atmen Kelif, un casting sympathique et un cadre appréciable, le film avait a priori tout pour être un...
     

  • Le père Roberti nous a quittés

    IMPRIMER

    messe.jpgNous apprenons la mort du Père André Roberti de Winghe, né en 1925, prêtre, jésuite, fondateur du « Toit », de « L’Arche en Belgique », des « équipes Saint-Michel », écrivain et figure bien connue du pèlerinage belge à Lourdes.

    Il est décédé hier après-midi à la Colombière (Bruxelles) "livré, prêt, abandonné comme un enfant qui fait confiance", comme le souligne un de ses amis.

    Voici un entretien réalisé par le collectif REO (Recherches Expressions Orientations) le 5 mars 2005 à son domicile à Bruxelles, en pdf.

  • Encore un commentaire sur les réponses du pape François aux questions de la revue «Etudes » de la Compagnie de Jésus

    IMPRIMER

    Dans l’interview  qu’il a donnée à la revue des jésuites, Jorge Mario Bergoglio résout l'énigme de son silence en ce qui concerne la révolution anthropologique actuellement en cours. Qui concerne la naissance, la mort, la procréation, toute la nature de l'homme . Sur son blog  Chiesa, Sandro Magister met en lumière le propos  de l’évêque de Rome sur ce point (extraits) :

    « On trouve, dans les vingt-huit pages de l’interview accordée par le pape François à Antonio Spadaro, le directeur de "La Civiltà Cattolica", et publiée simultanément dans seize autres revues de la Compagnie de Jésus dans le monde entier, deux passages dans lesquels il résout l’une des grandes énigmes de son pontificat. C’est-à-dire qu’il y explique pourquoi il parle aussi peu des questions à propos desquelles les papes qui l’ont précédé se sont le plus vivement opposés à la culture dominante.

    Voici le premier de ces passages : "Nous ne pouvons pas insister seulement sur les questions liées à l’avortement, au mariage homosexuel et à l’utilisation de méthodes contraceptives. Ce n’est pas possible. Je n’ai pas beaucoup parlé de ces choses et on me l’a reproché. Mais lorsqu’on en parle, il faut le faire dans un contexte précis. La pensée de l’Église, nous la connaissons, et je suis fils de l’Église, mais il n’est pas nécessaire d’en parler en permanence.

    "Les enseignements, tant dogmatiques que moraux, ne sont pas tous équivalents. Une pastorale missionnaire n’est pas obsédée par la transmission désarticulée d’une multitude de doctrines à imposer avec insistance. L’annonce de type missionnaire se concentre sur l’essentiel, sur le nécessaire, qui est aussi ce qui passionne et attire le plus, ce qui rend le cœur tout brûlant, comme l’eurent les disciples d’Emmaüs. 

    Lire la suite

  • BXL, 18, 19, 20 octobre : "Attendez-moi, Chérie!" au profit de l'Arche

    IMPRIMER

    composition 70-16.jpg

  • Les réfugiés syriens : une bombe qui pourrait faire sauter la poudrière du Proche-Orient

    IMPRIMER

    Réfugiés: une bombe enclenchée et oubliée

    Marialaura Conte sur OASIS (19 septembre 2013)

    « Savez-vous quelle est la bombe, la véritable bombe qui risque de faire sauter la poudrière qu’est le Proche-Orient ? Les réfugiés syriens ». Pascal Monin, professeur à l’Université Saint-Joseph de Beyrouth en est convaincu, et profondément préoccupé : le nombre des réfugiés syriens, le plus élevé jamais enregistré, est en train de saper les équilibres déjà précaires des pays qui les accueillent : le Liban, la Jordanie, l’Irak, la Turquie.

    D’habitude, les articles sur les réfugiés s’ouvrent sur une image, le visage d’un petit enfant dans les bras de sa sœur, à peine plus grande que lui, qui le porte sur la hanche pour tenter d’en alléger le poids : un flash qui bouleverse les cœurs les plus granitiques parce qu’il montre, de la manière la plus immédiate, que c’est l’innocence, la première victime de la guerre.

    Et c’est là le paradoxe : peut-on voir, dans ces visages naïfs, dans ces innocents qui ont besoin de tout, une bombe, et une bombe déjà enclenchée ? Et pourtant, les chiffres parlent clair : plus de 2 millions de Syriens ont fui leur pays, dont un million au cours des six derniers mois. La moitié d’entre eux sont des enfants. Et si le trend actuel devait se poursuivre, on pourrait arriver à la fin de 2013 à dépasser le plafond des 3 millions. Actuellement, on compte 700.000 réfugiés au Liban, plus de 500.000 en Jordanie, 470.000 environ en Turquie, et 200.000 en Iraq, selon les chiffres officiels de l’UNHCR ; mais il faut y ajouter des dizaines de milliers de personnes qui, par ignorance, difficultés diverses ou de leur propre choix, ne se sont jamais enregistrées comme réfugiés.

    Lire la suite

  • Rendez-vous avec la mort, dix ans d'euthanasie légale en Belgique

    IMPRIMER

    RENMOR_large.jpgRendez-vous avec la mort

    présentation par Bruno Debois (didoc)

    A ce jour, seuls trois pays au monde ont dépénalisé la pratique de l’euthanasie : les Pays-Bas, la Belgique et, plus récemment, le Grand Duché de Luxembourg. Un peu plus de dix ans après l’entrée en vigueur de la loi en Belgique, l’heure est venue de dresser un bilan critique.

    Dans cet ouvrage à la lecture agréable et accessible au grand public, le Professeur Montero, doyen de la faculté de droit de l’Université de Namur et spécialiste en la matière, propose une approche particulièrement originale. Partant des travaux parlementaires ayant mené à l’élaboration de la loi, il met en vis-à-vis les intentions du législateur et les rapports successifs de la Commission fédérale de contrôle de l’euthanasie, permettant au lecteur d’avoir une vision objective de la réalité de ce contrôle organisé par le législateur, sans parti pris idéologique.

    Afin de mieux situer le lecteur dans la problématique, l’ouvrage commence par un passage en revue rapide et clair des concepts clés auxquels il sera confronté au long de l’ouvrage — euthanasie, soins palliatifs, contrôle de la douleur, acte à double effet, sédation palliative... Il s’attaque également à quelques idées reçues en vogue dans l’imaginaire collectif : distinction entre euthanasie passive et active, l’euthanasie comme remède à l’acharnement thérapeutique…

    Lire la suite

  • Se fiancer ? Pourquoi ?

    IMPRIMER

    Lu sur le blog "Jeunes Cathos" :

    Pourquoi se fiancer aujourd’hui ?

    Ayant reçu la bénédiction des fiancés le week-end dernier, nous répondons à la demande de Jeunes Cathos Blog pour témoigner de cette étape importante de notre vie de couple.

    Nous sommes deux jeunes lyonnais de 23 et 22 ans. Notre rencontre n’a rien d’original – pour certains elle serait presque caricaturale ! Nous nous connaissons depuis nos années de lycée et nous nous voyions souvent lors de soirées rallye et dans le cadre du scoutisme. D’abord amis, nous avons décidé de cheminer ensemble il y a un an et demi avec, très vite, le mariage en ligne de mire. Fiancés dans le secret de nos cœurs, nous avons officialisé notre amour en annonçant notre mariage à nos familles et amis à Pâques.

    Pourquoi se fiancer aujourd’hui ?

    « C’est en effet aller à contre courant de la société actuelle. Bien souvent, les jeunes s’installent ensemble et attendent parfois de nombreuses années avant d’oser l’engagement. Ils ne se rendent donc pas compte de la beauté, la richesse et l’importance des fiançailles. Choisir de se fiancer aujourd’hui, c’est accepter de se laisser du temps. C’est permettre à un couple d’apprendre à s’aimer. »

    Vous dites que l’amour s’apprend…

    « Evidement ! On tombe amoureux mais on apprend à aimer. Aimer, c’est vouloir aimer aujourd’hui et demain, chaque jour de notre vie, dans les joies et les souffrances. La volonté d’aimer s’éduque et engendre ainsi la fidélité. »

    Que représentent pour vous les fiançailles ? 

    Cette décision fait suite à un long temps de réflexion et de questionnement. Les fiançailles permettent de se dire mutuellement que nous avons une volonté commune : celle de se donner l’un à l’autre par le mariage et de faire ainsi naître une nouvelle famille.

    Lire la suite