Demain, souvenir de la denière apparition de 1917
ROME, Mercredi 12 octobre 2011 (ZENIT.org) – Le pape Benoît XVI a confié les jeunes à la Vierge de Fatima en les exhortant: « Répondez généreusement à l’appel du Seigneur ! » On rappellera demain la 6e et dernière apparition de 1917.
Au terme de l’audience du mercredi, place Saint-Pierre, Benoît XVI a en effet salué, comme à l’accoutumée, les jeunes, les malades et les nouveaux mariés.
« Ma pensée se tourne vers la Vierge de Fatima, dont on rappellera demain la dernière apparition. Je vous confie, chers jeunes à la céleste Mère de Dieu, afin que vous puissiez répondre généreusement à l’appel du Seigneur », a exhorté le pape.
A l’adresse des malades et des nouveaux mariés, Benoît XVI a dit : « Que Marie soit pour vous, chers malades, un réconfort dans la souffrance, et qu’elle vous accompagne, chers nouveaux mariés, dans votre chemin familial qui commence ».
« Chers amis, notre existence, souvent marquée par des incertitudes, est une histoire de salut et de libération, a déclaré le pape. Puissions-nous marcher avec Jésus vers la maison du Père, notre vraie patrie et chanter avec la Vierge Marie les merveilles de Dieu dans notre vie ! »
Selon l’agence Zenit, « le pape recevra samedi prochain, 15 octobre, dans la salle Paul VI au Vatican, les participants au congrès pour la Nouvelle évangélisation organisé par le nouveau dicastère du même nom.
Les anciens gouvernements n’étaient certes pas des modèles de moralité. Ceux qui les remplacent font-ils mieux que donner des gages aux phénomènes d’identité meurtrière agitant le monde islamique. Démocratie ? Sanglante en tout cas.
Cet accord marque l’un des épisodes les moins glorieux de l’Histoire récente de l’Église catholique. L’Accord de Metz a été connu trop tard, et il reste encore bien des aspects inconnus à tirer au clair. Celui-ci est intervenu le 13 août 1962. On était à deux mois de l’inauguration du Concile Vatican II, lorsqu’a été stipulé dans cette ville française un accord entre le cardinal Tisserant et l’archevêque orthodoxe, Monseigneur Nicodème. On a découvert par la suite que ce dernier était un espion à la solde des Soviétiques. L’accord, en effet, prévoyait que le Kremlin permette d’envoyer au Concile quelques représentants de l’Église orthodoxe en échange de la promesse d’un silence total sur le communisme.