Nous traduisons l'article figurant sur le "Vatican Insider" (lastampa.it) qui présente l'initiative du SNAP :
La plus grande association réunissant des victimes de la maltraitance d'enfants par des membres de l'Eglise catholique a demandé à la Cour pénale internationale (CPI) de poursuivre le Pape Benoît XVI et les chefs de la Curie romaine pour "crimes contre l'humanité."
Le Snap (Survivors Netword of those Abused by Priests) a soumis à la Cour de La Haye un dossier de 80 pages (et de 20 000 documents annexés) pour démontrer que le Vatican aurait "toléré et rendu possible la couverture systématique et généralisée de viols et de crimes sexuels contre des enfants dans le monde."
C’est Sandro Magister qui le souligne: le « melting pot » américain absorbe aujourd’hui une dose massive de latinos (latin en castillan) et ce n’est pas sans conséquence sur leur culture, notamment religieuse :

Théologien rigoureux, esprit d’une grande clarté d’expression mais aussi esthète, Benoît XVI fait partie de la lignée des papes cultivés, sensibles en particulier à la musique. On sait que Pie XII, mélomane et musicien, aimait interpréter des partitas de Bach au violon. Benoît XVI apprécie particulièrement l’œuvre de Mozart et joue volontiers au piano des pièces du répertoire classique. Comme Eugenio Pacelli, il vénère aussi le grand art du « Cantor de Leipzig » :
"Suite à l'inscription (en France) d'un enseignement inspiré des gender studies dans les programmes de Sciences et vie de la terre (SVT) de la classe de première, le conseil pontifical pour la famille a publié en France un ouvrage intitulé