Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

BELGICATHO - Page 2289

  • La portée de la rencontre entre le cardinal Levada et le supérieur de la Fraternité Saint-Pie X

    IMPRIMER

    L'abbé Barthe procède à une analyse de cette rencontre dont la portée semble considérable. C'est sur le blog "Summorum Pontificum Observatus", dans Enquête et analyse.

    L’abbé Claude Barthe, "observateur attentif de la vie de l’Église et excellent connaisseur du dossier", donne son avis sur le communiqué publié par la Salle de presse du Saint-Siège au sujet de l’entretien de ce matin entre le cardinal Levada et Mgr Fellay. (...) Il intitule sa note : Mgr Fellay et l’avenir du post-Concile : la légitimité de la critique de Vatican II

    On lira ces observations sur le blog qui l'a publié; les extraits suivants en manifestent l'importance :

    "La régularisation canonique de la FSSPX est donc désormais, théoriquement « sur les rails ». Cette nouvelle qu’une reconnaissance juridique est à portée de main réjouit grandement. On souhaite vivement qu’elle se concrétise, car elle sera très profitable à l’Église dans le contexte présent.

    "Le « préambule doctrinal » qu’il est demandé à Mgr Fellay de préalablement valider n’est, en effet, qu’une tentative d’interprétation, qui laisse elle-même une large marge d’interprétation. Les mots du communique de la Salle de Presse vaticane sont au reste très pesés : le préambule conditionne non pas « la pleine communion », mais seulement, « la pleine réconciliation », pour résorber « une fracture » et non « un schisme ». Il n’est nullement une « formule d’adhésion ». Il renforce singulièrement la jurisprudence désormais établie depuis 1988, sous des formulations diverses en précisant pour l’ensemble de la FSSPX que sont laissées « à une légitime discussion l’étude et l’explication théologique d’expressions ou de formulations particulières présentes dans les textes du Concile Vatican II et du Magistère qui a suivi ». Pour le dire clairement : un droit à la discussion est obtenu par la FSSPX. « Ce qui signifie en clair, dit Jean-Marie Guénois dans Le Figaro, que le Vatican considère qu’un accord sur l’essentiel de la foi catholique peut être passé avec les lefebvristes, tout en considérant en parallèle que d’autres points liés au Concile Vatican II peuvent être sujet à des interprétations différentes chez les catholiques sans que le noyau de leur foi en soit altéré. Une telle distinction, ouvre d’ores et déjà, un débat considérable à l’intérieur de l’Église catholique car elle touche à l’autorité même du Concile Vatican II jusque là perçu comme un bloc à prendre ou à laisser. Le Vatican, pour la première fois, admet que certains aspects de ce Concile peuvent être soumis à un débat «légitime». Tout donc devient désormais politique et se trouve entre les mains et sur les épaules de Mgr Bernard Fellay, qui vient d’opérer une brèche non négligeable dans l’idéologie de « l’esprit du Concile ».

    Nous vous conseillons vivement d'aller lire le texte de l'abbé Barthe: http://www.summorum-pontificum.fr/enquete-et-analyse/exclusif%C2%A0-lanalyse-de-labbe-barthe-sur-la-rencontre-entre-le-cardinal-levada-et-mgr-fellay

  • Rome-Ecône : la rencontre a eu lieu aujourd’hui

    IMPRIMER

    Voici le communiqué publié par le Saint-Siège à l’issue de cette rencontre :

     « Le 14 septembre 2011, au siège de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, a eu lieu une rencontre de Son Éminence Révérendissime le Cardinal William Levada, Préfet de cette Congrégation et Président de la Commission pontificale Ecclesia Dei, Son Excellence Monseigneur Luis Ladaria, s.j., Secrétaire de cette Congrégation, et Monseigneur Guido Pozzo, Secrétaire de la Commission pontificale Ecclesia Dei, avec Son Excellence Monseigneur Bernard Fellay, Supérieur général de la Fraternité sacerdotale saint Pie X, et Messieurs les Abbés Niklaus Pfluger et Alain-Marc Nély, Assistants généraux de la Fraternité. (cliquez ci-dessous pour lire la suite)

     

    Lire la suite

  • C'était le 4 septembre : la fête des familles à Koekelberg

    IMPRIMER

    C'est sur le site de l'Eglise catholique de Bruxelles :

    La basilique de Koekelberg a accueilli de nombreuses familles, le 4 septembre 2011. En ce 23ème dimanche ordinaire, Monseigneur André-Joseph Léonard a présidé la première messe des familles du diocèse de Malines-Bruxelles. Nombreux sont les chrétiens à avoir répondu à l’invitation de Mgr Léonard. La fête des familles commence dès 15h00. Plusieurs activités ont lieu sur le parvis de la basilique. Une septantaine d’associations sont présentes. À l’intérieur de l’édifice, des prêtres proposent le sacrement de réconciliation.

    Familles et prêtres
    La messe débute à 16h00. L’Archevêque de Malines-Bruxelles remercie les familles d’être présentes en si grand nombre, car lorsque « les familles vont mieux, les prêtres vont mieux. Et, quand les prêtres vont mieux, les familles vont mieux ». À ses côtés, Mgr Jean-Luc Hudsyn (Évêque auxiliaire du Brabant wallon) et le vicaire épiscopal pour Bruxelles, Herman Cosijns (curé-recteur de la basilique de Koekelberg). Le Cardinal Danneels est également présent. Les thèmes du couple, de la sexualité et du corps sont abordés par Mgr Léonard. « L’Église et le monde ont besoin de votre témoignage, explique-t-il, de la superbe beauté de l’amour humain. »
    Durant la célébration, les couples sont invités à renouveler le Oui de leur mariage. Par après, les femmes enceintes ainsi que les enfants nés récemment ont la possibilité de recevoir une bénédiction. La première fête des familles du diocèse de Malines-Bruxelles s’achèvent dans la joie et la bonne humeur. Les activités continuent devant la basilique. Cette première édition est une réussite !

    Marie Pulinckx

    Pourrions-nous avoir le texte de l'homélie prononcée par notre archevêque à cette occasion?

  • Monsieur Leterme, un peu d'héroïsme que diable !

    IMPRIMER

    Monsieur le Premier Ministre,

    Ainsi, il paraît que vous voulez nous quitter pour devenir secrétaire-adjoint de l'OCDE, poste auquel vous entreriez en fonction au mois de décembre prochain. Même si, on peut vous l'accorder, vos confrères politiciens font preuve de stupidité et d'absence totale de sens du bien commun, pouvez-vous ainsi quitter la barre d'un navire qui risque de s'échouer pour de bon? Dans les circonstances que traverse la Belgique, l'Europe, le monde, est-ce bien le moment de se débiner et d'opter pour une fonction sans doute plus gratifiante mais où votre présence est nettement moins indispensable? Nous vous sommes évidemment reconnaissants d'être resté au poste pendant tous ces mois écoulés et durant lesquels nos politiciens ont donné au monde le spectacle surréaliste d'une crise interminable et toujours non résolue. Grâce à vous, nous avons vécu une période de tranquillité au point de penser que la formule idéale serait de gérer les affaires courantes et d'interdire aux politiciens d'aborder l'"institutionnel". Aujourd'hui, nous nous rendons compte que le bloquage est complet : les partis autour de la table craignent de perdre la face et surtout de perdre des électeurs : le MR appréhende de perdre son électorat FDF, le CDNV ne veut pas risquer de voir son aile nationaliste le quitter au profit de la NVA...

    Alors, qu'est-ce qui prévaut d'abord? Allez! Un effort! Un peu de sens du sacrifice, et votre nom restera dans l'histoire comme celui d'un homme qui aura sauvé ce pays de l'éclatement.

  • Conférence à l'occasion du 30e anniversaire de l'encyclique 'Laborem exercens'

    IMPRIMER

    images.jpg"Le travail humain est une clé, et probablement la clé essentielle, de toute la question sociale, si nous essayons de la voir vraiment du point de vue du bien de l'homme. Et si la solution (...) de la question sociale, (...) doit être cherchée dans un effort pour «rendre la vie humaine plus humaine» , alors précisément la clé qu'est le travail humain acquiert une importance fondamentale et décisive." Laborem exercens

     A l'occasion du 30e anniversaire de l'Encyclique sociale Laborem Exercens

    vous êtes invités à assister à une Conférence

     LABOREM EXERCENS

    La place centrale du travail dans l’économie sociale de marché européenne

    Mercredi 21 septembre 2011

    14h30 - 17h30

    au Parlement européen, salle JAN 2Q2

    Conférence présidée par

    M. le Député Othmar Karas, Vice-Président du Groupe PPE

    M. le Député Gianni Pittella, Vice-Président du Parlement Européen, Groupe S&D

    Intervenant principal

    Cardinal Peter Turkson,

    Président du Conseil pontifical "Justice & Paix"

    Interprétation simultanée en anglais, français, allemand, italien, espagnol

    Télécharger le Programme

    Télécharger l' Invitation

  • Somalie : un musulman converti enlevé et exécuté

    IMPRIMER

    Sur l'"Observatoire de la christianophobie" :

    "Juma Nuradin Kamil, un musulman converti au christianisme depuis trois ans, a été enlevé le 21 août dernier par trois personnes suspectées d’appartenir au groupe islamistes Al Shabaab, et a été retrouvé mort et décapité, la tête placée sur la poitrine, dans les environs de la ville de Hudur (région de Bakool dans le sud-ouest de la Somalie).

    La peur de représailles de la part des islamistes, avait retenu les habitants de donner une sépulture à la victime dont la dépouille demeura deux jours dans l’état où on la retrouva. Fort de 3 000 à 7 000 militants, le groupe Al Shabaab, qu’on dit lié à la mouvance Al Qaeda, règne sans partage dans une vaste zone située à 400 km de Mogadiscio, la capitale somalienne. Ses objectifs sont une application stricte de la sharia et l’élimination de tous les chrétiens de Somalie. Le groupe Al Shabaab, considéré comme terroriste par des nombreux pays occidentaux, s’est déjà signalé à plusieurs reprises dans son délire antichrétien. Le 18 avril de cette année, des islamistes de ce groupe ont révolvérisé à son domicile un jeune chrétien converti de 21 ans, Hassan Adawe Adan, dans la ville de Shalambod. Le 7 janvier, c’est une convertie chrétienne de 36 ans, mère de quatre enfants, Asha Mberwa, qui fut égorgée par des membres d’Al Shabaab, en public devant ses enfants et les villageois de Warbhigly, un village dans les environs de Mogadiscio."

    Daniel Hamiche, Christianophobie.Fr, avec Compass Direct News

  • Un score étrange : Paul VI : zéro, saint Pie V : 35

    IMPRIMER

    C'est sur le blog de Denis Merlin où l'on pourra lire ceci (et la suite)

    "On me pardonnera cette image footballistique au sujet des nuances du catholicisme. Mais elle n'est presque pas de moi, puisque je n'ai fait retranscrire en mode humoristique une affirmation trouvée  dans un article du quotidien des évêques.

    Voici l'extrait de l'article sur le site du quotidien "La Croix" où une militante de la Fraternité Saint Pie X (FSSPX) fait une constatation.

    Pour Côme, qui a connu aussi bien « la pastorale papier-crêpon à l’école que le catéchisme en questions-réponses de ‘la Tradition’», l’équation est sans équivoque : « Du côté de ma famille paternelle, style ‘Paul VI’, la plupart de mes 19 cousins ont abandonné la pratique dominicale. Du côté de ma mère, ‘Saint Pie V’, mes 35 cousins et moi allons tous à la messe tous les dimanches. » « La Fraternité déborde de vocations, signe qu’elle est une œuvre de Dieu », ajoute Caroline, dont le fils est prêtre de la FSPX..."

  • Quand les adversaires de l'Eglise visent la tête...

    IMPRIMER

    La rentrée a bien eu lieu. Y compris celle des adversaires de l'Eglise. L'opération médiatique montée par le SNAP (cfr : http://www.belgicatho.be/) prenant le pape et trois cardinaux comme cible le montre bien. Les affaires de pédophilie qui désolent tout catholique normalement constitué constituent une arme que ces adversaires ne se lasseront pas d'utiliser.

    Nous nous sommes déjà expliqués sur ce blog et nous n'avons aucune indulgence à l'égard des faits de pédophilie (dont l'Eglise n'a pas le monopole) qui doivent être traités par les tribunaux civils avec toute la rigueur qui s'impose. Il suffit d'éplucher les gazettes pour se rendre compte que c'est un fait de société et que l'Eglise, sans y échapper, n'est pas, et de loin, l'institution qui compte en ses rangs le plus de pédophiles même si un seul serait encore, bien évidemment, un de trop.

    Il faut être de mauvaise foi pour ne pas reconnaître que ces scandales sont instrumentalisés pour jeter le discrédit sur l'Eglise du Christ et que cette campagne s'inscrit dans le cadre d'une persécution contre les chrétiens qui tend à prendre de plus en plus d'ampleur comme l'a montré le sommet de l'OSCE qui s'est tenu à Rome lundi dernier (cfr http://www.belgicatho.be/). Cet acharnement s'explique notamment par le fait que l'Eglise est la seule institution qui résiste aux dérives de ce temps en rappelant qu'il est une loi qui est au-dessus des lois humaines et qui interdit de tuer l'enfant dans le sein maternel, de nier la nécessaire complémentarité des sexes, de traiter l'être humain comme un objet, etc).

    En fait, l'Eglise est comme la voix de la conscience qu'il faudrait faire taire à tout prix. Les prêtres pédophiles, en affaiblissant le crédit moral de l'Eglise, ont offert à ses adversaires l'occasion rêvée pour tenter de l'étouffer. C'est une véritable épreuve et comme l'Eglise est le Corps du Christ, nous en ressentons tous la souffrance.

  • Sri Lanka : l'Eglise travaille à la réconciliation

    IMPRIMER

    AED International - Adaptation Robert Lalonde, AED Canada

    « Bien qu’elle ne représente qu’une minorité de la population, l'Église catholique peut jouer un rôle fondamental dans la reconstruction du Sri Lanka et l’aider à panser ses blessures, après de longues années de guerre civile qui a coûté la vie à 100 000 personnes », a confié le cardinal Malcolm Ranjith, archevêque de Colombo, à l’Aide à l’Église en détresse (AED).

    Il a dit que les catholiques détenaient « une position cruciale » pour aider à promouvoir la réconciliation entre les deux groupes ethniques du pays.

    Selon le cardinal Ranjith, après plus de 20 ans de guerre, l'Église peut aider à ramener la confiance entre Cingalais et Tamouls puisque les catholiques sont présents dans les deux communautés.

    « Un Cingalais ou un Tamoul, est avant tout un chrétien », a-t-il souligné, non sans penser qu’il y certains principes à respecter. « Si nous appliquons certains principes sincèrement, sans prendre partie, nous pouvons construire des ponts entre les deux communautés », a-t-il assuré.

    Pour l'archevêque de Colombo, des initiatives religieuses, comme le pèlerinage au sanctuaire Notre-Dame de Madhu, fréquenté par les deux groupes, peuvent aider à unir les habitants du pays. « Elles peuvent servir de catalyseur, d’exemple pour montrer que dans notre religion, les personnes peuvent vivre ensemble », a soutenu l’archevêque.

    Il insiste toutefois en disant que : « Plus que par la parole, nous devons témoigner dans les faits, montrer comment on vit les uns avec les autres ».

    Le cardinal a remercié l’AED pour l’aide qu’elle a fournie à l'Église durant et après la guerre civile, par exemple, en soutenant les séminaristes, la catéchèse, en contribuant au financement de matériel éducatif pour les chrétiens, en aidant les prêtres et en participant à la restauration d’édifices religieux endommagés par la guerre.

    L’AED est également intervenue au secours des personnes déplacées pendant le conflit. Selon le cardinal, 25 000 personnes se trouveraient encore dans les camps.

    source : https://www.facebook.com/note.php?note_id=10150294241212800

  • La population congolaise (RDC) toujours menacée par les rebelles

    IMPRIMER

    AED Internationale (Adaptation Robert Lalonde, AED Canada)

    « La guerre n’est pas finie et les rebelles nous menacent toujours. » C’est en ces termes que Mère Petronella Nkaza, prieure de la congrégation « Les Filles de la Résurrection », a décrit la situation au diocèse de Bukavu, situé dans le centre-est de la République Démocratique du Congo.

    À la fin juillet, les rebelles ont cassé les fenêtres de quelques-unes de leurs maisons et les sœurs ont dû fuir dans d’autres communautés. « Dans notre paroisse, à Ciherano, les catholiques ne sont plus les bienvenus », a-t-elle déclaré, le 3 août dernier, lors d’une visite à l’œuvre internationale catholique de bienfaisance, l’Aide à l’Église en Détresse (AED).

    Lire la suite

  • L'ONU et la "Population bomb", on remet ça...

    IMPRIMER

    C'est ICI

    "Ce n'est pas nouveau. Mais ça va mieux en le répétant de temps en temps : ONG et organisations internationales veulent à tout prix imposer au monde entier le contrôle de la population « choisi » par les femmes à travers la contraception.

    Mercredi dernier, organisé par l'Aspen Institute (qui est parrainé par Mary Robinson, Madeleine Albright et bien d'autres grands noms de la planète bien-pensante) un séminaire à Washington D.C. dans une série consacrée aux « 7 milliards » se penchait sur « La bonne gouvernance et le rendement-femmes ». Invitée d'honneur : Michelle Bachelet, ancienne présidente du Chili et directeur exécutif d'ONU-Femmes, et Vaira Vike-Freiberga, ancienne présidente de Lettonie.

    Il n'y a qu'une solution à l'explosion démographique (mais oui, on nous rejoue la Population Bomb d'Ehrlich qui s'était si lourdement trompé) : c'est de rendre la contraception plus accessible dans le monde en voie de développement, tel était le leit-motiv."

    Lire la suite ici : http://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2011/09/7-milliards-dhommes-il-faut-plus-de.html

  • Lefebvristes : encore une audience « décisive » chez le cardinal préfet du Saint-Office le 14 septembre ?

    IMPRIMER

    h-20-2467540-1302877661.jpgSelon Jean-Marie Guénois (correspondant du Figaro) ce mercredi 14 septembre, l'Eglise catholique «  va probablement résoudre pour de bon la crise lefebvriste qui l'empoisonne depuis quatre décennies. Ce sera une date à retenir pour l'histoire mais ce sera surtout un marqueur pour le pontificat de Benoît XVI (…) »

    Le journaliste estime que l’échec des interminables négociations doctrinales entre la Fraternité Saint-Pie X et le Saint-Siège « n’est qu’une apparence ».

    « Ces discussions, écrit-il, avaient pour objet d'établir l'inventaire des points de désaccords à propos du Concile Vatican II. Essentiellement : la liberté religieuse, le dialogue avec les autres religions, l'œcuménisme (unité des chrétiens), la réforme de la liturgie de la messe ».

    Lire la suite