Pendant que la crise politique s'éternise, la Belgique est de plus en plus délaissée par les investisseurs étrangers. Les hommes et femmes politiques responsables de cet enlisement passeront-ils à la caisse? Evidemment non... Les calculs politiciens à court terme se moquent du bien commun.
"166 nouveaux projets ont été accueillis en 2010, c'est le plus mauvais chiffre depuis 2003. C'est le constat de l'étude annuelle d'IBM Global Business Services.
Le plus inquiétant, c'est ce que la perte de vitesse de la Belgique survient dans un contexte où les investissements étrangers augmentent à peu près partout dans le monde, même dans les pays occidentaux.
Pour cause de crise politique ?
Pour les experts, cela ne se voit pas dans les chiffres ou plutôt pas encore car une crise politique qui se prolongerait plus une dégradation de la notation financière seraient du plus mauvais effet."
Sous le titre : "Tourisme procréatif d’ovocytes : les françaises débarquent en Belgique", l'Institut Européen de Bioéthique (I.E.B.) vient de publier,
Notre vigilante amie de "Benoît-et-moi" s'attarde sur le dernier roman d'Umberto Eco qui fait actuellement recette en librairie et relaie la critique éclairée qui en a été faite par Massimo Introvigne :
C'est assez inattendu et c'est à découvrir sur le site de Famille Chrétienne :
Oui, la société libertaire a tout de même ses codes : non seulement pénal mais moral. L’homme est un animal social. Sans un minimum de règles, sa vie même s’effondrerait. A ce titre, la société condamne donc un certain nombre de comportements. A bon droit, la pédophilie en fait naturellement partie. Et sur ce point, le milieu ecclésiastique a toutes raisons d’adopter un profil modeste.