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  • Un "digest" du "Genre démasqué" d'Elizabeth Montfort

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    gender-demasque.jpgElizabeth Montfort a accepté de réaliser un "digest" de son livre, sous la forme d’un argumentaire de 24 pages, pour vous aider à informer vos amis, vos enfants et vous permettre d’argumenter en toutes circonstances.

    Commandez-le (5€ seulement),  diffusez-le ! (pour le commander, cliquez ici)

    Communiqué de la FSP : "Cette Note n'est plus en vente. Je vous remercie d'en informer vos lecteurs et de les inviter à commander le livre lui-même auprès de l'éditeur, Peuple Libre, au prix de 12€ l'unité."


    La mode actuelle est au genre. Théorie qui avance masquée, travestie sous les traits du progrès social ou de la lutte contre les discriminations (comme l’homophobie), pour mieux tromper et séduire. Le genre se substitue au mot sexe dans les traités internationaux, les programmes scolaires, les lois dans le but de promouvoir une autre idée de l’homme et de la société. Homme ou femme ? Là ne serait plus l’avenir...

    Avec le gender, mot magique et ambigu, les féministes radicales et le lobby gay et lesbien investissent les instances internationales (ONU, Conseil de l’Europe, Parlement européen, UNESCO, etc.) pour imposer leur vision et dé-naturer des réalités structurantes comme la différence sexuelle, le mariage ou la filiation... L’objectif : construire une société où l’on choisit librement son orientation sexuelle... faisant fi du donné biologique. Et mettre fin à la domination de l’hétérosexualité. Il est urgent de démasquer l’imposture.

    Elizabeth Montfort

    Juriste et philosophe, Elizabeth Montfort est ancienne vice-présidente du Conseil régional d’Auvergne et député au Parlement européen (1999-2004), elle est aujourd’hui présidente de l’Association pour un nouveau féminisme européen et porte-parole de la Fondation de Service politique.

  • Ce que vous ferez au plus petit des miens... Mt 25, 40

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    Georges Brassens nous a quittés, il y a trente ans...

    http://www.youtube.com/watch?v=R4YTPeNobjo

  • Débaptisation : l'évêque de Coutances en appel d'une décision du tribunal

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    Coutances, le 28 octobre 2011

    Communiqué

    À propos de la décision du Tribunal de Grande Instance de Coutances en date du 6 octobre 2011, les médias ont récemment relaté la décision du Tribunal de Grande Instance de Coutances au sujet d'une demande de désinscription du registre des baptêmes. Le tribunal ordonne à l'association diocésaine de Coutances et Avranches de procéder à l'effacement définitif sur ce registre d'une mention de baptême. Cette décision est motivée par la notion de droit au respect de la vie privée.

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  • L'Eglise, une force de cohésion et d'espérance en ces temps de crise

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    df268cc22d5428a73005658ee191add4.jpgLe Communiqué final de la COMECE

    COMECE Press 28/10/2011

    Une vision politique européenne à long terme est nécessaire pour surmonter la crise

    En pleine crise financière de l’Eurozone, les évêques de la COMECE appellent l’Union européenne et ses citoyens à s’abstenir de se faire des reproches mutuellement; au contraire nous devons assumer ensemble nos responsabilités pour trouver des solutions à la crise. Les évêques appellent les dirigeants européens à adopter une perspective de long terme pour surmonter la crise. Voilà les principaux messages de l’Assemblée plénière d’automne de la COMECE, qui s’est tenue du 26 au 28 octobre 2011 à Bruxelles sur le thème de “La crise financière et l’avenir de l’intégration européenne.

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  • Récupérer une oeuvre de Rubens volée lors de la Révolution française ?

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    "Nord Eclair" nous relate ce fait assez extraordinaire : la France est toujours en possession d'un tableau de Rubens volé à la cathédrale de Tournai lors de la Révolution française. Certains élus voudraient effectuer les démarches nécessaires auprès des autorités françaises pour qu'elles aient la civilité de nous restituer ce chef d'oeuvre appartenant à notre patrimoine. Y parviendront-ils? On peut en douter quand on sait que des peintures de Véronèse dérobées au Palais des Doges de Venise durant la période napoléonienne trônent au Louvre...

    "Qui l’eût cru? Le dernier tableau de Rubens en Wallonie, qui se trouve à la cathédrale, a un frère: un autre Rubens, volé à la Révolution française, qui se trouve aujourd’hui... au musée des Beaux -Arts de Nantes.

    Le tableau en question, c’est un fameux Rubens intitulé “ Triomphe de Judas macchabée ” peint à la fin du XVIè siècle et commandé à l’époque par l’évêque de Tournai. En 1600, il était déjà dans la cathédrale de Tournai.

    C’est le député Wallon Richard Miller qui a soulevé le lièvre, mardi, lors d’une question à la ministre de la Culture Fadila Lanaan: “ J’ai parlé de ce tableau avec Monseigneur Harpigny et le chanoine conservateur de la Cathédrale, Pierre-Louis Navez, qui m’ont appris qu’il avait été volé par les Français. Il fait partie d’un ensemble de deux tableaux de Rubens, et l’autre est toujours à la cathédrale de Tournai ”, explique le député...."

    lire la suite ici : http://www.nordeclair.be/

  • Célébration des défunts à Tourinnes-la-Grosse

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    55669195.jpgCe mercredi 2 novembre à 19H00
    en l'église romane

    de Tourinnes-la-Grosse

    (Brabant wallon, près de Hamme-Mille et de Beauvechain),

    l'archevêque de Malines-Bruxelles, Monseigneur André-Joseph Léonard,

    célébrera en latin

    la messe des fidèles défunts.

    La messe sera chantée en grégorien par des membres de l'Académie de Chant grégorien.

    En espérant vous y rencontrer.

  • Halloween vs Toussaint

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    "...Halloween est un résidu folklorique de la fête tra­ditionnelle celtique de Samain.

    Une fête d’outre-Atlantique !

                Halloween demeure un déri­vé du syncrétisme américain, une contre-fête servant de relais au matérialisme ambiant ! Il faut méditer sur ce détourne­ment de sens et sur les amal­games opérés entre Samain et Halloween. En effet, la perver­sité du monde moderne réside dans le fait de vanter explicitement Halloween, pour des rai­sons qui appartiennent à un hédonisme pratique, à un ludisme jouisseur et à une transgression de la religion et de la mora­le chrétienne tout en favorisant consciemment ou inconsciemment un satanisme festif. C’est en tout cas, au nom de la réha­bilitation d’une fête « tradition­nelle » que les publicistes et chargés de communication des grandes entreprises revendi­quent leurs marques associées à Halloween. On est pourtant là en présence d’une contrefaçon d’une fête traditionnelle. Il n’est guère étonnant que les manipulateurs de symboles que sont les agents de communication fassent leur sale boulot. Toute l’année, ils lancent des campagnes de publicité en utilisant les termes de jeunesse, de liberté, d’abondance - toutes valeurs traditionnelles inscrites dans tous les grands textes sacrés - mais comprises cette fois-ci dans un sens exclusivement matériel et non plus spirituel. Halloween participe du même processus où l’on se sert d’un vernis identitaire pour une entre­prise de désintégration spirituel­le et culturelle. « Pour la civili­sation celtique, comme d’ailleurs pour les autres civilisations tra­ditionnelles, la société ne peut se construire que sur le Beau, le Bon et le Vrai, toutes valeurs que l’on ne retrouve nullement dans la fête d’Halloween contemporaine », affirme avec raison Tugdual de Kervran, bon spécialiste de la tradition celtique. Il ajoute: « De plus, l’intégrité de la tradition cel­tique s’exprimait dans le sacerdo­ce druidique et uniquement en lui, nous pourrions dire para­phrasant la tradition chrétienne ‘hors du sacerdoce des druides, point de salut !’ (...) S’il a survécu quelques traits celtiques dans la fête d’Halloween, ils ne peuvent qu’être extrêmement altérés par le passage de la tradition celtique à la tradition chrétienne et surtout par le passage d’une réalité spiri­tuelle réservée, quant à sa com­préhension profonde, aux seuls initiés à des réjouissances pro­fanes ne bénéficiant en aucune façon de l’encadrement traditionnel nécessaire »[1)

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  • Un intéressant portrait de Pierre Cauchon, le juge de Jeanne d'Arc

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    , sur "Le temps d'y penser", présente le dernier ouvrage de Jean Favier : Pierre Cauchon : « Comment on devient le juge de Jeanne d’Arc »

    "L’ouvrage s’attache moins au procès de Jeanne d’Arc qu’à la mentalité du milieu universitaire des maîtres parisiens, de la fin du XIVème – début du XVème siècle, et au parcours qui amena l’un d’entre eux, Pierre Cauchon, à s’engager aux côtés du parti anglo-bourguignon jusqu’à condamner Jeanne au bûcher. Autrement dit, il s’agit de comprendre comment l’institution universitaire a pu à ce point dévier de sa vocation initiale, la recherche et la transmission du savoir, pour se mêler des affaires du monde, au prix de choix erronés.

    L’ouvrage insiste sur les motivations de l’intéressé: soif de reconnaissance; envie de peser sur les débats de son temps (la réforme de l’Eglise et du royaume dans le contexte du grand schisme et de la vacance du pouvoir suite à la folie de Charles VI ); aspiration à la paix qui semble à portée du parti anglo-bourguignon après le traité de Troyes (1420).

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  • Assise III : un événement ramené à ses justes proportions

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    Le Figaro de ce matin commente :

    « Vingt cinq ans après l'initiative de Jean-Paul II, Benoît XVI a invité, le 27 octobre, les religions du monde à Assise pour renouveler solennellement leur engagement pour la paix. Après les critiques essuyées à l'intérieur de l'Église catholique, Benoît XVI a accepté de convoquer cette troisième édition à condition que tout risque de syncrétisme - la confusion des religions - soit totalement écarté.

    « Mis à part l'engagement public, en fin d'après-midi près de la basilique Saint-François, des treize grandes traditions religieuses, en faveur de la paix ce sommet religieux ne comportait pas de prière commune (et cet engagement n’en était d’ailleurs pas vraiment une ndlr). Chacun, dans sa tradition, a pu prier de façon individuelle après le repas pris en commun.

    « La nouveauté, voulue par Benoît XVI, a été d'inviter des représentants du monde des «incroyants». Dont Julia Kristeva qui a pris la parole pour défendre la valeur et l'enjeu de ‘l'humanisme’ (« féministe », ajoute « La Croix »…). Un monde des incroyants dont le Pape a d'ailleurs pris en quelque sorte la défense. Benoît XVI est allé jusqu'à justifier le doute des agnostiques - à ne pas confondre avec les athées qui nient totalement l'existence de Dieu - en raison du contre-témoignage souvent donné par ceux qui croient en Dieu. Les agnostiques, dit le Pape, ‘souffrent à cause de l'absence de Dieu’. Ils cherchent ‘ce qui est vrai et bon’ et ne ‘perdent pas l'espérance que la vérité existe’.

    « Plus classique, la réflexion du Pape sur les religions et la violence qui est souvent à la source de la déformation de l'image de Dieu : la violence, a-t-il profondément insisté, n'est pas le seul fait des croyants. Benoît XVI a alors distingué ‘deux typologies’ des ‘nouvelles formes de violence’.

    "Le terrorisme tout d'abord. Et ‘nous savons’ a-t-il précisé, mais sans désigner une religion particulière, que ‘souvent le terrorisme est motivé religieusement et que justement le caractère religieux de ces attaques sert de justification pour la cruauté impitoyable’.(…). La seconde typologie de la violence repose à ses yeux sur ‘une motivation exactement opposée’. C'est ‘la conséquence de l'absence de Dieu : le non à Dieu produit une cruauté et une violence sans mesure’ ». On songe ici à la démonstration du « drame de l’humanisme athée » faite par le Père de Lubac, dans un livre paru en 1944 déjà. Un classique à lire et à relire : il n’a pas pris une ride.

    Mais le pape s’est « surtout   focalisé sur ‘la violence qui devient une chose normale’ dans un monde où une ‘décadence de l'homme - silencieuse donc plus dangereuse’ - conduit à un ‘changement du climat spirituel’. Il l'a ainsi défini: l'adoration de l'argent, de l'avoir et du pouvoir, se révèle être une contre-religion, dans laquelle l'homme ne compte plus mais seulement l'intérêt personnel».

    Un excellent discours que nous avons déjà reproduit sur ce blog :  Le discours du pape à Assise Auparavant un long défilé de responsables religieux « de premier plan » - le dalaï-lama, absent, était excusé - a pris la parole, patiemment écoutée par le Saint-Père.

    Au total, jusqu’ici peu de commentaires dans la grande presse sur cet événement qui avait été ramené à ses justes proportions par le pape lui-même. On peut se réjouir de ce que, cette fois, la manifestation ait été soigneusement balisée pour éviter tout dérapage syncrétiste (comme ce fut malheureusement le cas en 1986, lors de la première édition de ces rencontres, sous le pontificat de Jean-Paul II) tout en demeurant fort… « agnostique » sur l’utilité de ce genre de rassemblement hétéroclite égrenant, avec plus ou moins de bonheur, un  chapelet de discours  de valeur fort inégale. N’est pas Benoît XVI qui veut…

    Tout l’article est ici, sous la signature de Jean-Marie Guénois : Le Figaro - International : Le Pape appelle les religions à œuvrer pour la paix

  • Abandonner l'impasse de la recherche sur les cellules souches embryonnaires

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    C'est généthique.org qui nous fait part de cette nouvelle :

    Dans son éditorial du 17 octobre 2011, la revue New Scientist, identifiée comme "promoteur de la recherche sur l'embryon humain", suppose que des traitements seront plus rapidement découverts à partir de cellules souches adultes plutôt qu'à partir de cellules souches embryonnaires humaines.

    Ce qui caractérise de tels traitements, issus de travaux sur les cellules souches adultes, "c'est qu'ils sont éminemment pratiques et éthiquement incontestables (...). En outre, il est beaucoup plus simple de travailler avec", précise l'éditorial. En conclusion, il affirme que "toutes les avenues de recherche sur les cellules souches devrait se poursuivre, notamment parce que le travail sur des embryons donne des aperçus fondamentaux. Mais il est payant de continuer à chercher de nouvelles approches (...). Bien qu'il n'y ait jamais de réponses faciles, parfois il y a celles qui de façon inattendue s'avèrent simples."

  • Crise : restaurer la confiance

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    df268cc22d5428a73005658ee191add4.jpgComment restaurer la confiance, intervention de Jean-Pierre Jouyet à la COMECE 27/10/2011

    Comment restaurer la confiance

     La confiance, facteur crucial pour résoudre la crise

     

    Eminences, Excellence, Monseigneur Dupuy, Nonce apostolique, Excellence, Monseigneur Van Luyn , Président de la COMECE, Excellences,

     

    C’est un grand honneur d’avoir été invité à m’exprimer lors de votre assemblée plénière et je vous en remercie vivement. J’espère ainsi, modestement, contribuer à vos réflexions.

    L’Europe est dans la tourmente de la crise financière. Il n’est pas hélas exagéré de dire que nous vivons une crise sans précédent. Lorsque j’ai dit il y a un mois que nous étions au bord d’une crise systémique, certains y on vu un pessimisme excessif.  En début de semaine on parlait de sommet de la dernière chance. Il ne s’agit pas de jouer les cassandre, mais de regarder la réalité telle qu’elle est afin d’en prendre la mesure et d’apporter des réponses à la hauteur de la situation.

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  • 7 milliards de Terriens ce 31 octobre ?

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    Y en aura-t-il un peu plus ou un peu moins, ce n'est évidemment pas cela qui compte. Il s'agit évidemment de dénoncer ces inconscients qui s'obstinent à ne pas vouloir limiter la natalité, au premier rang desquels figurent les catholiques censés s'opposer à toute forme de planning familial.

    Face à cette nouvelle campagne de propagande savamment orchestrée, rappelons quelques évidences:

    - l'allongement de la durée moyenne de la vie est le premier facteur "responsable" de cette croissance démographique;

    - la natalité est particulièrement développée là où les gens sont les plus pauvres; lutter contre le sous-développement et la misère, c'est contribuer à développer une démographie plus équilibrée;

    - les pays les plus prolifiques appartiennent pour la plupart à d'autres religions et ne font pas des encycliques romaines leurs livres de chevet; certaines religions poussent les femmes à multiplier le nombre de leurs enfants pour assurer le triomphe de leur foi sur d'autres qui sont en plein déclin démographique;

    - la dénatalité est particulièrement grave dans les pays de culture catholique (l'Italie en est l'exemple le plus typique); diverses enquêtes montrent que les catholiques n'observent généralement pas les préceptes de leur Eglise dans ce domaine;

    - l'Eglise n'est pas opposée au planning familial et promeut des méthodes de limitation des naissances dans une optique rigoureusement écologique (sans recourir à des méthodes mécaniques ou chimiques peu respectueuses du corps de la femme et de ses rythmes naturels);

    - les données démographiques mises en avant par les propagandistes du "stop démographique" sont souvent tronquées et infirmées par des études plus sérieuses qui montrent que les projections faisant croire à une augmentation continue de la population mondiale sont démenties dans les faits;

    Mais il est bien clair que les propagandistes de la dénatalité ne veulent rien savoir de tout cela et travaillent à culpabiliser les naïfs dont nous sommes qui ont encore l'audace de croire que la vie est un don de Dieu et une promesse d'avenir.