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Belgique - Page 18

  • L'archidiocèse de Malines-Bruxelles expulse la paroisse Don Bosco de Buizingen de l'Église catholique

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    Des informations démenties par le Vicariat de l'archidiocèse...

    Du site de la VRT (Jeroen Guns) :

    L'archidiocèse de Malines-Bruxelles expulse la paroisse Don Bosco de Buizingen de l'Église catholique

    L'archidiocèse de Malines-Bruxelles a exclu la paroisse Don Bosco de Buizingen de l'Église catholique en raison de son progressisme. Il s'agit de l'ancienne paroisse du pasteur Rik Devillé, qui s'occupe des victimes d'abus sexuels dans l'Église catholique. La paroisse deviendra désormais une communauté de foi distincte.

    26 mars 2024

    Les célébrations de la messe dans la paroisse Don Bosco se déroulent sans prêtre depuis un certain temps et sont souvent dirigées par des femmes. L'église est également utilisée à d'autres fins, comme des cours de yoga et de danse. La paroisse deviendra désormais une communauté de foi distincte, largement séparée de l'Église catholique.

    "J'espère honnêtement qu'elle ne sera pas complètement en dehors de l'Église catholique", déclare la coordinatrice Els Paridaens. "Les discussions sur les implications juridiques et financières vont maintenant suivre. Nous savons d'ores et déjà que nous pourrons continuer à utiliser l'église.

    Une église laboratoire :

    "On nous a dit que les gens appréciaient notre fonctionnement. Mais pour avoir une place dans la structure plus large de l'Église catholique, nous devons être une paroisse. Nous aimerions être une 'église-laboratoire', un projet expérimental, dans lequel les gens peuvent également trouver leur place", explique Mme Els. "Et c'est difficile. (...)

    "Cela ne change rien au fait qu'il y a beaucoup d'émotions, de tristesse, de regret pour une occasion manquée, d'impuissance et de colère. Nous entamons à présent des pourparlers avec le diocèse et espérons en retirer beaucoup de choses utiles. Nous continuerons à faire ce que nous faisons".

    Malgré cette détermination, de nombreuses questions subsistent quant à l'avenir de la communauté religieuse, y compris pour Els. "Nous pourrions rencontrer des problèmes financiers. Nous allons gérer nous-mêmes le bâtiment de l'église, nous devons donc supporter ces coûts. Le diocèse veut toujours voir comment il peut nous aider, mais il y a certainement des conséquences financières."

    Le fonctionnement progressif de la communauté Don Bosco de Buizingen existe depuis 15 ans. Pourtant, son expulsion de l'Église catholique n'a pris de l'ampleur que récemment. Est-ce lié au rôle de Rik Devillé, l'ancien curé qui travaille pour les victimes d'abus sexuels dans l'Église catholique ?

    "J'espère que non. Je n'y crois pas", affirme Els avec conviction. "Je pense que c'est lié au choix que nous avons fait il y a 15 ans. Rik a été notre source d'inspiration et le restera pour beaucoup de gens. Mais je ne crois pas que ce soit lié à cela. C'est plus important que cela."

    Et

    Du Standaard (Klaas Maenhout) :

    Une paroisse progressiste de Buizingen expulsée de l'Église catholique

    L'église Don Bosco de Buizingen, ancienne paroisse du prêtre Rik Devillé, a été expulsée par l'archidiocèse de Malines-Bruxelles. "Nous pensons que c'est une occasion manquée", a-t-il déclaré.

    26 mars 2024

    Au début de la Semaine Sainte, après une série d'entretiens, la paroisse de Buizingen a reçu le message final de l'archevêché de Malines-Bruxelles : en raison de la "nature fondamentale des divergences de vues", l'église Don Bosco ne peut plus continuer à exister en tant que paroisse dans la zone de Halle.

    La paroisse de Buizingen est une exception en Flandre. Pas seulement à cause du baby-foot, des cours de danse ou de la table ronde en bois qui sert d'autel dans l'église. Depuis le départ en 2009 de Rik Devillé, le prêtre qui luttait depuis des décennies contre les abus sexuels au sein de l'Église, la paroisse se passe de prêtre. De la liturgie dominicale aux mariages, les célébrations sont présidées par des laïcs. Chaque semaine, un membre différent de l'église dirige le service. Les femmes sont également les bienvenues derrière l'autel.

    Au cours des derniers mois, la paroisse et le vicariat du Brabant flamand et de Malines se sont entretenus à plusieurs reprises afin de trouver une solution, mais les divergences se sont avérées trop importantes. "Nous nous sommes assis ensemble de manière constructive et respectueuse. Mais finalement, les deux parties ont senti que l'eau était trop profonde", explique Laurens Vangeel, du Vicariat du Brabant flamand et de Malines.

    C'est surtout "la vision de la célébration et de la présidence des sacrements" (c'est-à-dire le rôle du prêtre lors des naissances, des mariages et des funérailles, entre autres) qui a constitué un point de rupture pour l'Église, selon la communication officielle que De Standaard a pu consulter.

    "Nous avons tellement insisté pour pouvoir être une église-laboratoire", répond Els Paridaens (53 ans), coordinatrice de la paroisse. "Mais cela s'est avéré trop difficile. Je peux le comprendre, mais je trouve cela très regrettable. Nous pensons que c'est une occasion manquée, surtout à la lumière du processus synodal en cours (l'église réfléchit actuellement à son avenir, ndlr). Nous pensons nous-mêmes que nous méritons cette place. Et que nous sommes bons pour réfléchir de manière innovante à ce que l'Église peut signifier dans notre société."

    Tristesse, mais aussi soulagement

    La décision, communiquée lors de la célébration de dimanche, a été très difficile à prendre pour les 117 bénévoles et paroissiens, explique Mme Paridaens. "Toutes les émotions étaient présentes", dit-elle. "Il y avait de la tristesse, mais aussi du soulagement, du courage et de l'espoir. Certains ont dit 'Enfin'. En attendant, nous continuons à croire en notre projet, nous continuons à aller de l'avant".

    La paroisse s'entretiendra avec le vicariat dans les semaines à venir pour concrétiser la décision. Don Bosco Buizingen est désormais considéré comme une communauté de foi ou une organisation indépendante, informe le diocèse. "Nous espérons que cela donnera un avenir au fonctionnement de la communauté de foi Don Bosco Buizingen et de la zone pastorale de Halle, et que de nouvelles possibilités de coopération pourront éventuellement voir le jour".

  • Belgique : la Chambre des représentants a adopté un nouveau système de sanctions en cas de violation de la loi sur l’euthanasie

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    Une synthèse de presse de gènéthique.org :

    Euthanasie en Belgique : la Chambre adopte le système de sanctions « graduel »

    22 mars 2024

    Le 21 mars, la Chambre des représentants belge a adopté en séance plénière un nouveau système de sanctions en cas de violation de la loi sur l’euthanasie, pour répondre aux demandes de la Cour constitutionnelle après l’affaire de Tine Nys (cf. Belgique : aucun dommage et intérêt contre le médecin qui a euthanasié Tine Nys, Euthanasie en Belgique : vérifier la volonté du patient serait seulement « formel » ?).

    La nouvelle loi prévoit une peine de 10 à 15 ans de prison en cas de violation des conditions « de base » exigées dans le cadre du recours à l’euthanasie, et une peine de 8 jours à 3 ans en cas de violation des conditions « procédurales » comme la consultation d’un deuxième médecin ou, si nécessaire, d’un pédopsychiatre (cf. Belgique : un système de sanctions « graduel » en cas de non-respect de la loi sur l’euthanasie). Les autres violations ne seront plus considérées comme des infractions pénales.

    Le texte adopté répond aussi à des arrêts précédemment rendus par la Cour constitutionnelle ou de la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH)

    Le « formulaire d’inscription » rempli par le médecin après l’euthanasie, pour examen par la Commission de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie, sera  simplifié et numérisé pour suite à un arrêt de la CEDH.

    La Chambre a par ailleurs adopté une disposition sur la gestation par autrui (GPA) afin de répondre à un arrêt de la Cour constitutionnelle rendu le 30 mars 2023. Elle prévoit qu’en cas de GPA, la présomption de paternité du mari de la gestatrice puisse être contestée, quand les époux n’ont pas de projet parental commun. Enfin, le projet de loi adopté limite la possibilité de demander la révision d’une adoption à la personne adoptée elle-même, ce dès sa majorité.

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    Source : RTBF (22/03/2024) 

  • Congrès Mission 2024 : le reportage de KTO

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    De KTO Télévision :

    Pour sa deuxième édition, le Congrès Mission Bruxelles a lieu du 15 au 17 mars à la Basilique Nationale du Sacré-Coeur de Koekelberg. L'objectif de cet événement est de mettre en lumière les diverses initiatives des paroisses et de favoriser les rencontres et le partage pour mieux témoigner de l'amour du Christ.

  • Plus de 1000 séances d'exorcismes auraient lieu en Flandre chaque année

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    Du site de la RTBF :

    L’exorcisme se répand en Flandre : plus de 1000 séances y auraient lieu chaque année

    20 mars 2024

    Le démon s’emparerait-il de plusieurs citoyens flamands ? Au nord du pays, les séances d’exorcisme se multiplient rapporte la VRT. Cette tendance est symptomatique d’un monde en crise plutôt que liée à l’augmentation de phénomènes paranormaux. Explications dans L’Œil sur la Flandre de Matin Première.

    On aurait tendance à croire que l’exorcisme est plutôt une pratique du passé, mais c’est en réalité loin d’être le cas. Ce rituel religieux, qui consiste à libérer une personne du démon qui l’habite, gagne même en popularité, à tel point que différentes paroisses flamandes affirment aujourd’hui avoir du mal à répondre à la demande. Durant la dernière décennie, on estime qu’environ 1000 séances d’exorcisme auraient eu lieu chaque année au nord du pays. L’abbaye d’Averbode semble être l’un des endroits où l’on en pratique le plus, d’après une enquête de la VRT. Elle accueille jusqu’à trois séances par semaine. D’après Geert (nom d’emprunt), l’un des trois prêtres exorcistes de l’abbaye, cette tâche prendrait pas mal de temps, puisqu’il doit d’abord longuement écouter les histoires des personnes concernées avant de tenter de chasser le Diable. Lui-même en effectue trois par semaine et "pas un jour passe" sans qu’il ne reçoive de nouvelles demandes.

    Une pratique antédiluvienne mais peu spectaculaire

    Exorciser quelqu’un doit se faire suivant une procédure bien précise. Interrogé par la VRT, l’historien de la KU Leuven, Kristof Smeyers, avance que le métier d’exorciste serait l’un des plus vieux au monde, sachant que ce rituel existe depuis des millénaires. Mais c’est au 17e siècle que l’Église catholique a décidé de rédiger une procédure, point par point. Elle n’a d’ailleurs pas beaucoup changé depuis. Concrètement, les séances ne se passent vraiment pas comme dans le film d’horreur L’Exorciste. Elles n’auraient même rien de très spectaculaire. Le rituel débute généralement par une conversation exploratoire avec la personne qui se sent habitée. L’exorciste entame ensuite une longue prière, il l’asperge également d’eau bénite, et s’attelle à la lecture d’un texte pour tenter d’entrer en dialogue avec le diable qui se trouverait dans ce corps.

    L’exorcisme marche-t-il vraiment ?

    Autant que la mode du spiritisme au tournant du 20e siècle qui s’est avérée être une grande supercherie, peut-on aussi raisonnablement penser que ce rituel fonctionne ? Le diagnostic d’un éventuel trouble psychique n’est pas écarté : la souffrance intérieure n’est pas automatiquement attribuée au démon. Les prêtres exorcistes affirment d’ailleurs travailler étroitement avec des médecins pour être sûrs qu’il ne s’agit par exemple pas d’une psychose. Une prudence qui découle sans doute aussi du fait qu’une partie des ecclésiastiques ne croit pas à l’idée que le Diable puisse posséder un corps.

    La question divise donc l’Église, ce qui n’empêche pas pour autant la tenue d’un congrès qui rassemble tous les deux ans quelque 200 prêtres exorcistes venus d’une trentaine de pays. Depuis 2005, le Vatican propose aussi une formation mise en place pour répondre à la hausse du nombre de demandes d’exorcisme.

    Concernant l’efficacité de cette pratique, il est évidemment difficile d’affirmer quoi que ce soit, mais d’après l’historien Kristof Smeyers, qui mène une étude approfondie sur l’exorcisme en Flandre, la moitié des personnes qui se sont soumises à ce rituel indiquent qu’elles se sentent mieux depuis lors.

    Un phénomène en hausse

    Kristof Smeyers s’est aussi penché sur les profils de ces personnes "habitées par le diable" et à la typologie de leurs souffrances.

    D’après lui, il n’existe pas vraiment de symptômes uniformes, et ces symptômes ont d’ailleurs changé au fil du temps. Au 19e et au 20e siècle, on évoquait surtout des symptômes physiques, comme des comportements anormaux ou asociaux, ou encore des changements de voix. Mais l’historien souligne aussi une différence entre les personnes qui sont elles-mêmes convaincues d’être possédées et celles dont l’entourage en est persuadé. Dans ce dernier groupe, Smeyers constate aussi une présence disproportionnée de femmes prétendument habitées par le Diable, une situation qui serait liée à la théorie selon laquelle les femmes seraient, depuis Adam et Eve, plus enclines au mal et aux péchés.

    On notera que de nos jours, et selon le témoignage de Geert, les personnes qui font appel à l’exorcisme sont souvent des personnes qui se sentent bloquées, qui n’arrivent plus à avancer dans leur vie, et qui attribuent cette situation à une force surhumaine.

    D’après les différents exorcistes qui ont témoigné cette semaine, le climat d’insécurité aurait une influence sur ce regain de popularité, tout comme les difficultés engendrées par la situation économique. On notera d’ailleurs que les exorcistes qui se sont exprimés dans la presse ont préféré rester anonymes, par peur d’être assaillis de demandes suite à la médiatisation du sujet. Tous conseillent également de commencer par consulter un médecin avant d’envisager une exorcisation.

  • L’ancien évêque de Bruges, Roger Vangheluwe, a été renvoyé de l’état clérical

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    De Vatican News :

    L’ancien évêque de Bruges Roger Vangheluwe renvoyé de l’état clérical

    Accusé d’agressions sexuelles qu’il avait reconnues, l’ancien évêque de Bruges vient d'être démis de son statut de prêtre et privé de son titre d’évêque par le Pape François. Un communiqué de la nonciature de Belgique précise qu'il a demandé à résider dans un lieu de retraite afin de se dédier à la prière et à la pénitence.

    Dans un communiqué publié ce jeudi 21 mars, la nonciature près du Royaume de Belgique a annoncé le renvoi de l’état clérical de Roger Vangheluwe. Évêque de Bruges pendant 26 ans, il avait remis sa démission en 2010 après des accusations d’attouchements sexuels provenant de sa famille. Il était depuis reclus dans une abbaye et n’exerçait plus aucune activité pastorale.

    La décision annoncée aujourd'hui a été prise en conformité avec l’article 26 des Normes sur les délits réservés à la congrégation pour la Doctrine de la foi, mises à jour par un rescrit de François le 7 décembre 2021, fait savoir le communiqué de la nonciature à Bruxelles.

    Une demande acceptée par le Pape François

    Ces derniers mois, «de nouveaux éléments graves» ont été rapportés au dicastère pour la Doctrine de la foi qui a jugé nécessaire un réexamen du dossier. «Suite à une nouvelle enquête, le dicastère a décidé d’entendre la défense du prélat» souligne le communiqué. 

    Lors d’une audience avec le Pape François, le préfet du dicastère, le cardinal Víctor Manuel Fernández, a proposé de démettre Roger Vangheluwe de l’état clérical. La demande a été acceptée par le Souverain pontife le 11 mars et la décision notifiée à l’intéressé le 20 mars. Le Pape François a réitéré «sa proximité avec les victimes d'abus et son engagement pour que ce fléau soit éradiqué de l'Église». 

    Une vie de prière et de pénitence

    Ayant appris la décision du Saint-Siège, l’ancien évêque, âgé de 87 ans, a pris acte de la sanction et a demandé à pouvoir «résider dans un lieu de retraite sans plus aucun contact avec le monde extérieur afin de se dédier à la prière et à la pénitence» conclut le communiqué.

    Le documentaire «Les Oubliés de Dieu»

    La documentaire en quatre épisodes, intitulé «Godvergeten» («Les Oubliés de Dieu»), relatif aux abus sexuels dans l’Église belge diffusé a partir de septembre 2023 en Flandre, puis en Wallonie, avait provoqué un véritable émoi dans la population du pays. Une commission d’enquête parlementaire avait été ensuite mise sur pied, chargée d’émettre des recommandations concernant le traitement des abus sexuels dans l’Église.

    Réaction des évêques belges 

    À la suite de cette annonce, les évêques belges ont publié un communiqué dans lequel ils rappellent avoir eux-aussi demandé ce renvoi de l'état clérical et «espèrent que cette laïcisation pourra aider les victimes à se remettre de ces abus qui les marquent si profondément, elles et leurs proches, pour la vie».

  • Banneux, 14 avril : Conférence "Regards croisés" sur le 75ème anniversaire de la reconnaissance des Apparitions de Beauraing et de Banneux

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    Le comité de Liège de l’association Pro Petri Sede a le plaisir de vous inviter à Banneux le dimanche 14 avril prochain à 17h30 pour y assister à une conférence intitulée : Regards croisés sur Beauraing et Banneux. Cette conférence sera donnée « en duo » par les recteurs des deux sanctuaires, l’Abbé Leo Palm et l’Abbé Joël Rochette, à l’occasion du 75ème anniversaire de la reconnaissance des apparitions mariales dans les deux sites.

    La conférence aura lieu à la Chapelle du Message de Banneux. Elle sera précédée à 16 heures par l’eucharistie dominicale à laquelle vous êtes bien entendu invités à participer (www.banneux-nd.be).

    La participation à la conférence est libre mais une inscription est souhaitée auprès de Fabian Delarbre (0477 62 82 50 ou pps.liege@gmail.com).

    Pro Petri Sede, « Pour le Siège de Pierre », est une association de soutien à l’action du Pape, successeur de l’apôtre Pierre, premier évêque de Rome. Ce soutien s’exprime dans trois directions : la prière pour le Pape, l’information concernant son action au travers d’une revue trimestrielle et d’un site internet, et enfin l’aide financière à ses œuvres sociales.

    Le comité liégeois de Pro Petri Sede a son siège à Banneux et associe étroitement la Vierge des Pauvres à la prière pour le Pape, notamment par la méditation du Rosaire, le 3ème jeudi du mois.

    Pour en savoir plus, vous pouvez bien sûr consulter le site internet de l’association : www.propetrisede.org.

  • Echos du Congrès Mission 2024

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    De RCF (16/17) :

    Analyse et extraits d'interviews du Congrès Mission 2024

    18 mars 2024

    La deuxième édition du Congrès Mission a été une réussite en réunissant près de 2000 participants ! Grandes célébrations, ateliers, tables rondes, village de stands, rencontres fraternelles, comment fonctionne un Congrès Mission, quel est son objectif ?

    REPORTAGES VIDÉOS DU CONGRÈS MISSION

    ⏯️ disponibles sur les canaux Facebook et Youtube de 1RCF Belgique

    Résumé de la première journée Réactions de participants, de volontaires, le cœur de l’homélie de Mgr Lode Aerts et l’esprit missionnaire de Mgr Jean-Pierre Delville.

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    Shimon-Pierre et Zachée sont venus à pied de Jérusalem pour participer au Congrès Mission. Leur vie a changé le jour où ils ont rencontré Yeshoua. Ecoutez leur incroyable récit

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    Partage, solidarité, joie lors du 1er banquet fraternel organisé par le Congrès Mission Bruxelles. Mathieu nous explique tout cela dans ce reportage
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    Reportage sur une des trois grandes veillées proposées le samedi soir : louange, témoignages, adoration. Une trentaine de prêtres ont donné le sacrement de réconciliation. 
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    Résumé du dimanche : 10 tables rondes et 70 ateliers de créativité et de partage d’expériences missionnaires. Dans son homélie, Mgr Luc Terlinden invite l’Eglise à revêtir un costume avec une taille plus petite.
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    >> Cliquez ici pour accéder à l'album complet <<

     

  • La conférence du cardinal Ambongo à Bruxelles (13 mars)

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    De cathobel sur youtube :

    Découvrez la captation vidéo réalisée par CathoBel, de la conférence du cardinal Fridolin Ambongo, archevêque de Kinshasa, à Bruxelles. Cet évènement s'est déroulé le mercredi 13 mars 2023 durant la visite du cardinal en Belgique.

  • À Liège, Semaine sainte et pascale 2024 : à l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132)

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    À Liège, Semaine sainte et pascale 2024 :

    à l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132)

    Tous renseignements: 

    sursumcorda@skynet.be  Tel. 04 344 10 89

  • Quand éduquer à la sexualité revient à plaquer sur les enfants et adolescents des préoccupations d'adultes

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    Le contexte est celui de la France mais on sait qu'il en va de même chez nous avec le processus éducatif de l'EVRAS imposé dans nos écoles.

    Une tribune de Christian Flavigny relayée sur gènéthique.org :

    « Education à la sexualité » : plaquer sur les enfants et les adolescents des préoccupations d’adultes

    14 mars 2024

    Dans un texte très attendu et publié le mardi 5 mars dernier, le Conseil supérieur des programmes (CSP) préconise une « éducation à la sexualité » (cf. Education sexuelle : trois associations attaquent l’Etat en justice). Ce faisant, il confirme la confusion qui règne au ministère de l’Éducation nationale sur la place de l’école dans l’épanouissement psychoaffectif de l’enfant. Il y serait traité de la sexualité comme d’une discipline parmi d’autres, comme on rajouterait un cours de langue qui permettrait la découverte de « la langue de l’autre », sous le vertueux principe d’aider l’enfant et l’adolescent à s’affirmer dans le « respect de l’autre ». Cette démarche est une erreur, et c’est une faute.

    « Trouver sa place dans la société » ?

    Il s’agit d’une approche « gestionnaire » de la vie sexuelle, omettant que la sexualité est d’abord pour l’enfant un questionnement existentiel : « pourquoi y a-t-il deux sexes ? ». La réponse qu’il ébauche cherche sa réponse dans la vie familiale : il y a son papa et sa maman, dont l’union a détenu le pouvoir de faire venir au monde les enfants – il a compris qu’ils avaient jadis été petit garçon et petite fille. Son interrogation devient : « qu’est-ce donc qui les a rapprochés, faisant leur désir que je vienne, moi, entre eux, depuis eux, comme leur enfant ? »

    Le CSP veut aider chacun à « trouver sa place dans la société ». Cette question est celle des jeunes adultes. Pour l’enfant, il s’agit de s’inscrire dans sa vie familiale, donc dans le lien filial qui l’unit à ses parents, depuis son vœu d’incarner les attentes qui ont porté sa venue au monde – non sans se distinguer d’elles pour affirmer sa personnalité : c’est l’enjeu psychoaffectif de l’enfance.

    Le préalable à la découverte de l’autre, c’est pour l’enfant de s’établir soi-même avec confiance. C’est d’abord la relation à ces « grands Autres » que sont les parents, qui justement deviennent les parents parce qu’ils tissent le lien d’identification (« faire identique ») à leur enfant : le lien de « mêmeté » soude la vie familiale ; cela leur permet de le comprendre tout en assumant leur rôle protecteur. Cependant l’enfant rêve de devenir « grand », ce qui est pour lui devenir plus tard parent comme aujourd’hui sont ses parents. Quant à la différence des sexes, elle est tôt constatée corporellement par l’enfant (garçon ou fille) ; mais son identité sexuée se construit depuis l’appui du lien d’identification : du fils au père (transmission du masculin), de la fille à la mère (du féminin). Ce que prétend gérer le programme du CSP, la vie familiale en est le creuset.

    Des préoccupations actuelles d’adultes

    La sexualité ne s’enseigne pas. Elle est une découverte maturative chargée d’interrogations pour l’enfant : « et si j’avais été de l’autre sexe ? » (serais-je plus sûrement aimé d’eux ?). Ces questions animent son jeu, authentique méditation sur la vie, avec pour enjeu crucial, non pas la sexualité des adultes, mais l’amour : un mot qui s’applique autant aux relations entre adultes, les ouvrant au partage de vie sexuelle, qu’à celles entre parents et enfants, par nature désexualisées pour respecter la maturation enfantine.

    Ces questions agitent l’éveil imaginaire de l’enfant : « et si … ? » Il lui faut s’approprier les réalités, celle de son corps sexué et celle des attentes de ses parents, et les concilier pour s’inscrire comme leur fils ou leur fille – conciliation parfois difficile, comme le montre le désarroi aujourd’hui dénommé « transgenre ». L’amour entre adultes est l’émotion de retrouver en l’autre cette image de « moi-même qui eus été de l’autre sexe », cette image qui avait été enfouie pour s’établir dans son sexe propre (au sens de se l’être approprié) ; l’être aimé devient son alter ego, son « autre soi-même ».

    Le programme d’ « enseignement à la sexualité », recommandé par le CSP, plaque sur les enfants et les adolescents des préoccupations actuelles d’adultes. C’est embarrasser leur maturation, même en prétendant intégrer l’aspect affectif et relationnel : celui-ci relève d’une intimité que la vie collective ne peut aborder sans risquer de lui faire effraction, d’autant qu’elle en méconnaît la source psychique. Ce programme est donc une erreur. Mais c’est aussi une faute : celle de prétendre gérer ce qui ressortit de la vie familiale.

    La sexualité, cela ne s’enseigne pas, cela se vit. Dans l’enfance, dans l’adolescence, cela interroge, cela se construit : qu’est-ce qui différencie, et qu’est-ce qui rapproche ? Une démarche scolaire respectueuse de l’enfant peut l’instruire sur la sexualité comme condition générale de la reproduction du vivant et peut aviser l’adolescent sur les mesures de prévention relatives au partage de vie sexuelle. Pour le reste, elle n’est pas compétente, et risque d’embarrasser la maturation psychique qui est l’enjeu délicat de leur âge.

    Cette tribune de Christian Flavigny a été publiée initialement par Causeur et l’Institut Thomas More sous le titre La sexualité ne s’enseigne pas, elle se vit!.

  • Le Congrès Mission commence ce vendredi 15 mars!

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    Congrès Mission - Missiecongres

    Le Congrès Mission commence ce vendredi 15 mars!

    Il est temps pour nous de vous donner les derniers détails pratiques de ce weekend exceptionnel. Lisez-bien ce message, vous y trouverez une quantité d'informations:

    Les ouvriers de la dernière heure étant récompensés aussi largement que les autres, il est encore temps de nous aider en devenant volontaires! <img class="an1" draggable="false" src="https://fonts.gstatic.com/s/e/notoemoji/15.0/1f607/32.png" alt="