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Belgique - Page 91

  • Pandémie : à Petit Hallet (Hannut), le 25 septembre : Vénération de la Croix et prière pour les demandeurs d'emploi et les créateurs d'entreprise

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    De l'abbé Marie-Pravin Ertz, vicaire à l'UP Notre-Dame des Champs – Hannut :
     
    Vénération de la Croix et prière pour les demandeurs d'emploi et les créateurs d'entreprise

            Incroyable pandémie qui ne fait pratiquement plus de morts depuis le mois de juin, en Europe comme au Canada ! Voyez plutôt :
     
    Pr Toussaint (France) : https://www.youtube.com/watch?v=413PqjIMNWQ
    Pr Rosenberg (canada) : https://www.youtube.com/watch?v=tpWHuy2aMOY
    une 20taine de médecins belges témoignent (belgique) : https://www.youtube.com/watch?v=a7di65CV6Oc
     
    Toutes ces personnes, professionnelles de la santé, sont-elles toutes inconscientes? Complotistes ? Nazis ?
     
            Au nom de la Science on trouve des mesures sanitaires radicalement différentes d'un pays à l'autre : pour les uns il faut confiner et porter le masque même en rue (sauf pour fumer ! Il est permis de mourir du cancer du poumon, mais il est interdit de mourir du covid !), pour les autres, toutes ces mesures sont inutiles ! Que penser ? La Science est-elle à ce point différente d'un pays à l'autre ? Est-elle si peu objective ? Ou le virus s'est-il arrêté à la frontière nord de notre pays, épuisé par sa course ?

    Par contre, ce que l'on sait avec certitude, c'est que :

    des milliers de personnes ont perdu leur emploi,
    des milliers de familles ont sombré dans la pauvreté,
    des milliers d'enfants grandissent dans l'angoisse
    des milliers de jeunes sont dans l'incertitude quant à leurs études et à leur futur métier.
    Ce carnage se passe devant nos yeux sans aucune réaction de la population et dans une soumission inquiétante...
     
            Ce vendredi, à Petit-Hallet (18h30), lors de la Vénération de la Croix, nous prierons pour tous ceux et celles qui cherchent un emploi ou qui veulent créer une entreprise. Nous nous associerons à la prière de la Vierge Marie et de saint Joseph pour chacun d'eux et pour leur famille. Nous sommes sûrs qu'ils trouveront une issue heureuse à leur recherche (comme plusieurs témoignages l'ont confirmé).
  • Crise du coronavirus en Belgique : la forte surmortalité dans les maisons de retraite durant le mois d'août

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    De Jeanne Smits, sur son blog :

    Forte surmortalité dans les maisons de retraite belges en août : canicule et mesures COVID…

    Il y a eu quelque 1.500 décès de plus qu’attendu en Belgique au mois d’août, frappant en priorité les personnes les plus âgées. Cette surmortalité n’était pas liée au coronavirus chinois… sinon indirectement, car ce sont les « mesures COVID » conjuguées avec la canicule qui ont provoqué l’hécatombe. Ces morts s’ajoutent aux suicides, au décès qu’entraîneront retards et absences de soins et autres effets néfastes de la « gestion » de la crise du coronavirus, aussi désastreuse en Belgique qu’en France. Et ce sont une fois de plus les vieillards qui paient le plus lourd tribut, eux que les « mesures COVID » prétendent « protéger ».
     
    Très précisément, la surmortalité en Belgique a été estimée à 1.460 entre le 5 et le 20 août, la moitié des victimes ayant plus de 85 ans et la très grande majorité plus de 65 ans. Cela représente une surmortalité de 34,8 %.
     
    Celle-ci a frappé en priorité les centres de séjour pour personnes dépendantes, l’équivalent de nos EHPAD, qui se trouvaient face à une interdiction d’utiliser ventilateurs et air conditionné malgré des températures de 38°. Il fallait éviter le COVID, dont on pense qu’il se transmet peut-être via les systèmes de climatisation !
     
    Mais la solitude liée au confinement a également fragilisé les pensionnaires de ces maisons pour personnes âgées. Selon Jan De Lepeleire, professeur de médecine générale, « l’énorme » surmortalité pourrait bien avoir un lien avec cet isolement si mal vécu par les anciens qui ont tendance à « se laisser aller » plus vite. Des syndicalistes ajoutent que les maisons de retraite étaient en manque de personnel : ceux qui sont  partis en vacances, mais aussi les employés malades ou surmenés à la suite de la crise du COVID.
     
    Résultat : il n’y avait pas assez de soignants pour faire la ronde des chambres surchauffées afin de donner à boire aux habitants, tandis que – COVID toujours – les visites restaient limitées.
     
    Het Nieuwsblad raconte le cas poignant de Jeanine de Vylder, 76 ans. Cela faisait des années que son mari, Paul, passait quatre heures et demi auprès de sa femme malade d’Alzheimer, six jours par semaine, pour lui tenir la main, la promener, lui donner à manger, la coucher. Pendant le confinement, il a été privé de toute visite pendant deux mois ; par la suite, il a pu de nouveau aller la voir, mais pas plus de trois fois par semaine.
     
    Elle est morte le 16 août, dernier jour de la canicule.  Sans COVID. Paul avait tout fait pour essayer de la rafraîchir les jours précédents : lui passer des gants de toilette mouillés sur le front et les poignets, tenter de la faire boire… Dans sa chambre mal isolée du troisième étage sous le toit plat, pas de ventilation – c’était interdit – et la fenêtre était à peine ouverte. Les années précédentes, pendant les canicules, Paul pouvait encore faire sortir sa femme de sa chambre, l’emmener dehors ou dans un lieu frais. Impossible cette année : les mesures COVID fermaient toutes les portes, supprimaient toutes les chances de survie.
     
    Le 14 août, Paul a trouvé sa femme transpirant, la tête toute rouge, avec 38,7° de fièvre, déshydratée. L’hospitalisation d’urgence n’a pas permis de la sauver.
     
    Le certificat de Jeanine de Vylder ne portera pas la mention « coup de chaleur ». Margot Cloet, responsable d’un réseau de maisons de retraite en Flandre, précise que les causes des décès qui s’y sont produits pendant la vague de chaleur restent encore à déterminer.
     
    Intéressant, non ? La canicule, c’est tout le contraire du COVID : elle peut hâter la mort des personnes âgées et fragiles, mais il n’est pas question d’y voir la cause principale de la mort !
  • Mgr Delville, évêque de Liège: "Quelques bienfaits de la messe en latin"

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    Quelques bienfaits de la messe en latin 

    Interview donnée par 

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    MGR JEAN-PIERRE DELVILLE

     évêque de Liège 

    Emission sur RCF Liège « Trente minutes avec notre évêque » du lundi 29 juin 2020 à 16h03, rediffusée lundi 24 août 2020 à 16h03

    Ref. http://www.belgicatho.be/archive/2020/08/31/l-eveque-de-liege-explique-l-interet-de-la-messe-en-latin-6260342.html (13’30 à 25’45) 

    Ralph Schmeder

    Monseigneur, le 13 juin dernier, à l’occasion de la Fête-Dieu à Liège, vous avez célébré une messe en latin à l’église du Saint-Sacrement, célébration d’ailleurs retransmise par RCF-Liège, qu’on peut encore réécouter sur la page Facebook de la radio.

    En même temps, récemment les éditions ADF/Bayard musique ont publié un CD avec des musiques pour la messe en latin.

    Est-ce que ce sont des signes d’une renaissance de la messe dans les anciens rites ? Et d’ailleurs est-ce qu’il y a un public particulier pour ce genre de célébration ?

    Mgr Delville

    Effectivement cette année-ci, la messe a été retransmise par RCF et par Facebook. Quand j’ai accepté de célébrer cette messe que je célèbre chaque année dans l’église du Saint-Sacrement à Liège, en latin dans la forme ancienne de la liturgie, il n’était pas prévu de retransmission.

    Ici il y a eu la retransmission à cause du Covid et, en fait, j’ai insisté pour que la retransmission se fasse d’une manière (on va dire) dynamique et pédagogique, c’est-à-dire qu’on ne se contente pas de regarder de loin le prêtre qu’on voit de dos, mais qu’on ait des caméras qui montrent ce que le prêtre fait à l’autel, ce qui se passe autour de lui, etc. C’est une manière d’entrer plus activement dans les différents rites de la célébration de cette messe, c’est donc une modernisation au sens d’une manifestation plus explicite de ce qui se fait.

    Y a-t-il une renaissance de ce type de messe ? Ce que je trouve intéressant, c’est que c’est un patrimoine particulièrement riche dans notre histoire chrétienne. On fait beaucoup pour sauver le patrimoine architectural, on fait beaucoup pour restaurer les églises et les cathédrales - regardez ce qu’on fait pour Notre-Dame de Paris -, il faut reconnaître que la liturgie, c’est aussi un patrimoine, mais un patrimoine immatériel : c’est fait de chants, de gestes, de textes et d’attitudes de prière qui sont en quelque sorte un trésor spirituel. Je trouve qu’il serait dommage de le laisser uniquement couché dans les livres et dans les témoignages du passé, mais que cela vaut la peine de l’actualiser dans une célébration concrète.

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  • "Bâtir sa maison sur le roc" : des cycles de formation à l'amour et au mariage à Bruxelles, Rixensart, Leuven et OLV Waver

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    "Bâtir sa maison sur le roc"
     
    Nous avons le plaisir de vous signaler qu'une nouvelle saison de formation à l'amour et au mariage "Bâtir sa maison sur le roc" démarrera d'ici quelques semaines.

    Cette année, nous vous annonçons une forte expansion de cette initiative, en ce sens qu'il y aura 4 cycles en Belgique. En effet, pour la 5ème année d'affilée déjà, un cycle est organisé à Rixensart (première soirée le samedi 7 novembre 2020) et, après une interruption d'un an, un cycle à Bruxelles (première soirée le samedi 21 novembre 2020). Mais en plus de cela deux cycles "Je huis op de rots bouwen" démarreront en néerlandais, l'un à Leuven (Heverlee) et l'autre à Onze-Lieve-Vrouw-Waver.

    Nous comptons sur vous pour faire la promotion auprès de vos amis et connaissances! Tous les couples sont les bienvenus, fiancés, mariés ou réfléchissant à un engagement. Ils peuvent tous en tirer profit. Mais les inscriptions allant déjà bon train, qu’ils ne tardent pas à se manifester car le nombre de places est limité. Nous espérons évidemment que les mesures de protection liées à la pandémie du coronavirus ne contrarieront pas trop le déroulement des cycles prévus. 

    Pour toutes informations, y compris les dates des soirées des cycles de cette nouvelle saison, nous vous renvoyons à notre site www.batirsamaisonsurleroc.be, qui a été dédoublé en néerlandais (www.jehuisopderotsbouwen.be).

    Enfin, nous vous invitons à visiter notre page facebook, sur laquelle vous trouverez de nombreuses publications enrichissantes.
  • Bruxelles : une exposition consacrée à Carlo Acutis

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    Le jeune italien Carlo Acutis, décédé en 2006 à l’âge de 15 ans, sera béatifié le 10 octobre prochain.

    Amoureux de l’Eucharistie, il a créé une exposition sur les miracles eucharistiques qui ont eu lieu de par le monde au cours des siècles.

    Plusieurs miracles se sont déroulés en Belgique. Ces miracles sont des signes visibles de la Présence Réelle de Jésus dans l’eucharistie.

    L’exposition, qui comprend 56 posters, sera visible en entrée libre à l’église Saint-Pierre à Woluwé, tous les weekends jusqu’au 22 novembre 2020. Et en semaine sur demande.

    Des bénévoles vous proposeront des visites guidées, des animations pour enfants de tout âge, un temps de prière, des livres à acheter… dans le respect des normes sanitaires. L’église est accessible aux PMR.

    Visitez notre site web www.ExpoAcutis.be  pour connaitre les dates des conférences et autres évènements spéciaux.

    Venez découvrir qui est Carlo Acutis, cet ado exceptionnel, et sa collecte de phénomènes inexplicables par la science, qui révèlent la présence de Dieu.

  • cdH requiem ?

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    Les passages d'élus cdH (2 à 3 élus sur 5 à Bruxelles) au MR semble confirmer le diagnostic de Claude Demelenne paru dans le Vif le 7 septembre dernier. Tant il est vrai que lorsque le sel a perdu sa saveur, il n'est plus bon qu'à être foulé au pied par les passants... (Mt 5, 13)

    De Claude Demelenne en carte blanche sur le site du Vif :

    Le CDH survivra-t-il jusqu'en 2030? (carte blanche)

    07/09/20 à 09:28

    Le CDH est le grand malade du paysage politique francophone. Tôt ou tard, il sera mangé tout cru par le MR de Georges-Louis Bouchez.

    En 2030, la Belgique fêtera ses 200 ans. Il y aura peut-être un absent de marque aux cérémonies officielles : le CDH. Le parti de Maxime Prévot est en effet au plus mal. Le pronostic vital est engagé. Relégué partout dans l'opposition, le CDH risque de sombrer définitivement lors du prochaines élections.

    La reconstruction, mission impossible

    Mis sur la touche par les futurs partenaires du gouvernement "Vivaldi / Avanti", le CDH a l'ambition de se reconstruire. C'est une mission impossible. Dans l'opposition, les humanistes tourneront en rond comme des lions en cage. Ils parviendront difficilement à se faire entendre. D'abord, à cause de leur compagnonnage envahissant avec le PTB. Celui-ci fera beaucoup de bruit sur les bancs de l'opposition. Le parti marxiste sortira la kalachnikov pour descendre les projets du gouvernement. Avec leurs petites carabines en bois, les cinq élus du CDH à la Chambre feront pâle figure.

    Si le CDH ramera dans l'opposition, c'est aussi parce que, sur le fond, il n'aura sans doute pas grand chose à reprocher au futur gouvernement. Celui-ci appliquera, pour l'essentiel, une ligne centriste qui a tout pour plaire au CDH. Maxime Prévot et ses troupes feront donc semblant de s'opposer à une politique fédérale qu'ils appliqueraient avec entrain si Paul Magnette et Georges-Louis Bouchez ne leur avaient pas claqué la porte au nez.

    Un oiseau pour le chat

    Aujourd'hui, le grand parti centriste, en Belgique francophone, c'est le MR. Il n'y a pratiquement plus de place pour le CDH. C'est d'autant plus vrai depuis la percée de Sophie Wilmès. La toujours Première ministre s'est imposée comme une personnalité globalement centriste, tout sauf une politicienne de droite bornée. C'est une évidence, une part non négligeable des électeurs du CDH se sentent proches du libéralisme soft de Sophie Wilmès. Son éclosion rapide aggravera l'hémorragie pour le CDH. Bon nombre d'humanistes n'attendent qu'une chose : se jeter dans les bras accueillants de la "grande Sophie".

    Georges-Louis Bouchez a une occasion en or de réaliser son rêve : phagocyter le CDH à l'horizon 2024. Au plus tard, en 2030. Pour ce faire, il fera patte douce. Par delà ses foucades, il ne faut pas sous-estimer le président du MR. L'homme est un fin stratège. Il sent que le CDH n'est plus qu'un oiseau pour le chat. Si les libéraux veulent contester le leadership socialiste en Wallonie et à Bruxelles, ils doivent réussir l'opération "CDH requiem". Ils ne manquent pas d'atouts, dont le principal est sans doute le flou idéologique du parti humaniste à la recherche d'une identité de plus en plus introuvable.

    Quelle spécificité pour le CDH ?

    La chance du MR - et le problème existentiel du CDH - c'est qu'on ne discerne plus très bien quelle est encore la spécificité du parti de Maxime Prévot. Même sur la question de l'avortement, le CDH est un parti "ouvert" au débat. Il y a belle lurette qu'il n'est plus ce repaire de "cathos réacs" dénoncé jadis par les anti-calotins du PS (soulignement de belgicatho). Le CDH se dit "humaniste". Certes, mais tous les partis démocratiques ne sont ils pas "humanistes" ? Maxime Prévot a annoncé un changement de nom. Sans doute une condition nécessaire pour un hypothétique renouveau, mais elle est loin d'être suffisante.

    Un parti qui ne compte plus

    La dégringolade du CDH peut sembler injuste, car même affaibli, ce parti conserve dans ses rangs de nombreux élus de qualité, notamment à l'échelon local. Il n'empêche que le CDH apparaît désormais comme un parti de losers, un parti qui a fait son temps.

    Le CD&V a ajouté un clou au cercueil du CDH, en principe son parti-frère, en n'exigeant pas sa présence autour de la table de négociations pour former un gouvernement fédéral. Cette attitude du CD&V est tout à fait incompréhensible. A moins qu'elle n'acte définitivement la relégation du CDH au rang de parti poids plume de la scène politique, un parti qui ne compte plus et sur lequel plus personne ne compte pour construire la Belgique de demain. Et qui, tôt ou tard, sera mangé tout cru par le MR de Georges-Louis Bouchez.

  • Liège, dimanche 20 septembre 2020 : Solennité de la Fête de saint Lambert en l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132)

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    Messe en grégorien, plain-chant liégeois et orgue  

    Exposition photographique

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    consacrée à la châsse et au reliquaire du saint Patron du diocèse de Liège

    Ce dimanche 20 septembre 2020 à 10h00, l’église du Saint-Sacrement (Bd d'Avroy, 132 à 4000 Liège) organise la célébration de la Solennité de la Fête de saint Lambert, dont le martyre au lieu même de la place qui porte aujourd’hui son nom au cœur de la Cité ardente est à l’origine de la Ville de Liège devenue ensuite le siège du diocèse.

    La messe sera chantée en grégorien et en plain-chant liégeois, accompagnés à l’orgue par Patrick Wilwerth.

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  • Un reliquaire du Padre Pio inauguré à Yvoir (Dinant) le 20 septembre

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    RELIQUAIRE CONTENANT UNE MITAINE DE PADRE PIO À YVOIR. INAUGURATION LE 20/09

    Reliquaire contenant une mitaine de Padre Pio à Yvoir. Inauguration le 20/09
    Reliquaire contenant une mitaine de Padre Pio à Yvoir. Inauguration le 20/09
  • 3 octobre : Journée d'accueil pour les personnes séparées ou divorcées avec Mgr Léonard

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  • L'ordination de Quentin Collin

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    De l'Avenir.net :

    15 septembre 2020

    Quentin, ému par son ordination 

    Quentin Collin, 30 ans, de Habay-la-Neuve, a été ordonné prêtre dimanche, à Namur. … Dans son homélie, l’évêque a eu ces mots: « Bien cher Quentin, tout porte à croire que tu seras, pour le plus grand bonheur de Dieu et des communautés chrétiennes, un prêtre rayonnant. Non sans émotion, je vais maintenant accueillir et rendre effective ta volonté d’être prêtre.» … L’abbé Quentin Collin s’est, à la fin de l’ordination, adressé à l’assemblée: « Je confie à votre soutien à tous et à vos prières mon ministère à venir: l’aventure commence, mais avec beaucoup de joie. Oui, MERCI… 5 petites lettres anodines mais qui brûlent de toute la charité avec laquelle je veux vraiment vous les adresser. De tout cœur, à votre service, pour la gloire de Dieu et le salut du monde, merci! »

    Récit détaillé sur le site du Diocèse de Namur

  • Quelle métaphysique pour les lois scientifiques ? Cinq cours de Michel Ghins à l'UDA

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    Quelle métaphysique pour les lois scientifiques ?

    Bruxelles Woluwe

    Michel Ghinsprof. émérite de la Faculté de philosophie, arts et lettres donnera cinq cours de 2h, accessibles à tous, sur la Métaphysique des lois scientifiques dans le cadre de l’UDA (Université des Aînés).

    Quelle métaphysique pour les lois scientifiques ?

    Qu’est-ce qu’une loi scientifique ? Dans quelle mesure sont-elles vraies ? Quelles sont les réalités susceptibles de les rendre vraies ? Les lois régissent-elles les changements dans la nature ou faut-il avoir recours à des réalités encore plus fondamentales ? Ces réalités sont-elles alors des entités métaphysiques, c’est-à-dire inaccessibles à l’observation, mais dont nous avons de bonnes raisons de croire qu’elles existent ?

    Pour répondre à ces questions, de nouvelles métaphysiques de la nature sont aujourd’hui proposées. Elles s’inspirent de traditions platonicienne ou aristotélicienne, tout en tenant compte des acquis récents de la philosophie et des sciences contemporaines. Ce cours a pour objectif d’évaluer les mérites et les difficultés de ces métaphysiques, et ce dans un langage accessible à tous.

    Quand ? Les mardis 20, 27 octobre et 10, 17, 24 novembre de 10h45 à 12h45

    Mardi 20 octobre : Qu’est-une théorie scientifique ?

    Mardi 27 octobre : Nos meilleures théories scientifiques sont-elles vraies ?

    Mardi 10 novembre : Comment argumenter en faveur de la vérité (partielle et approximative) des lois scientifiques ?

    Mardi 17 novembre : Les conceptions empiristes des lois sont-elles satisfaisantes ?

    Mardi 24 novembre : Comment le recours à des pouvoirs causaux, semblables aux puissances aristotéliciennes, permet-il de fonder la nécessité des lois de la nature ?

    Les cours auront lieu sur le campus de l’UCL à Bruxelles (Woluwé-Saint-Pierre). L’auditoire n'est pas encore fixé mais sera communiqué via la page Facebook de Michel Ghins.

    Rendez-vous le mardi 20 octobre à 10h15 aux bureaux de l'UDA Av. de l'Assomption 73 à Bruxelles. Le cours débute à 10h45.

    Plus d'info sur :

    https://bit.ly/2Zt2lt3

  • Avortement : l'intervention de l'Institut Européen de Bioéthique sur le plateau de la RTBF

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    Du site de l'Institut Européen de Bioéthique :

    Réforme de l'avortement en Belgique : l'IEB intervient sur la RTBF

    10/09/2020

    A l'occasion d'un débat télévisé à la RTBF ce lundi 7 septembre, Constance du Bus, juriste à l'Institut Européen de Bioéthique, pointe les défis actuels autour de l'avortement en Belgique. Les situations de détresse des femmes enceintes en difficultés, évoquées dans les rapports de la Commission d'évaluation de l'avortement, posent la question des pressions sociales, économiques et relationnelles à l'origine de la plupart des avortements. 

    Constance du Bus revient également sur l'extension du délai légal pour avorter, telle que prévue par la proposition de loi débattue. L'extension du délai de 3 à 4 mois et demi de grossesse a des implications par rapport à la méthode d'avortement et à la charge psychologique de ce geste pour les professionnels de la santé.

    Un débat avec le Dr Dominique Roynet, médecin au planning familial de Rochefort, et  le Dr Jean-François Legrève, gynécologue-obstétricien à la maternité de Braine-l'Alleud, animé par Julie Morelle.

    Lien vers l'émission : ICI