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conférences, spectacles, manifestations - Page 42

  • 11 & 12/9 : Journées "Patrimoine et Femmes": 15 activités avec sainte Julienne

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    11 & 12/9 : Journées "Patrimoine et Femmes": 15 activités avec sainte Julienne

    La 33e édition des Journées du Patrimoine met en valeur des femmes dans le patrimoine – dans leur rôle, leur fonction, leur apport, leur gestion, leur empreinte, leur souvenir. A Liège et ailleurs, Sainte Julienne est mise à l'honneur avec plus de 15 activités proposées par 7 associations ! Directrice de l'hospice-léproserie de Cornillon vers 1230 et instigatrice de la Fête-Dieu, c'est une des plus grandes figures féminines liégeoises. A découvrir ou redécouvrir.

    Bloquez les samedi 11 et dimanche 12 septembre.

    Inscriptions nécessaires pour les activités guidées : Informations et inscriptions

    Voici déjà quelques idées...

    Balades guidées dans Liège au Moyen-Âge, sur les pas de sainte Julienne : samedi 11 à 14h00 et dimanche 12 à 14h00. 

    Inscriptions : info@circuits-sainte-julienne.be, sinon, informations

    RTC Liège vient de réaliser un beau reportage : Balade guidée familiale pour découvrir la magnifique vallée creusée par le ruisseau sainte Julienne: samedi 11 à 14h00 ou dimanche 12 à 14h00. 

    Inscriptions : info@circuits-sainte-julienne.be, sinon, informations

    Visites guidées du sanctuaire de sainte Julienne de Cornillon, de la basilique saint-Martin avec la bienheureuse Eve, Exposition à la cathédrale de Liège. 

    Informations et inscription

    Venez découvrir l'histoire du vieux puits retrouvé lors des travaux au sanctuaire de sainte Julienne de Cornillon. Il est témoin du plus vieil hôpital de Liège.

    Informations

  • Liberté du culte en Belgique : les mesures sanitaires préventives du Covid 19 font l’objet d’un nouveau protocole plus minutieux qu’annoncé

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    Contrairement à ce que nous aurions pu laisser entendre sur la foi d’informations de presse émanant de source ecclésiale (ici: 1er septembre 2021: fin des restrictions pour les messes en Belgique), le Ministère belge de la justice a rédigé, en concertation avec les cultes, un protocole qui ne remet pas en cause la fin des limitations au culte lui-même, sauf le port du masque, mais enjoint néanmoins au respect de règles de prudence qui méritent d’être soulignées.

    En voici les éléments principaux communiqués par le vicariat général du diocèse de Liège:

    1. À l'entrée: tout le monde doit se désinfecter les mains et mettre un masque buccal. Il s’agit aussi d'aménager une circulation à sens unique afin de guider les visiteurs à l'intérieur et à l'extérieur du bâtiment au moyen d'un parcours balisé. Si la circulation à sens unique n'est pas possible, appliquez des règles de priorité. Les visiteurs prennent place de manière à ce que les sièges les plus éloignés de l'entrée soient occupés en premier.
    1. À la fin du service: chacun reste à sa place jusqu'à ce qu’un responsable fasse sortir les personnes. En commençant près de la sortie, un responsable indique le chemin aux personnes présentes. Les réceptions avant ou après la cérémonie sont organisées conformément aux mesures en vigueur concernant les réunions privées.
    1. Un responsable corona est désigné. Celui-ci veille à ce que les activités se déroulent conformément aux mesures de prévention contre le coronavirus. Toutes les personnes présentes sont informées en temps utile et de manière claire sur les mesures (de sécurité) en vigueur ; les membres du personnel reçoivent une formation appropriée à ce sujet. Si le responsable corona, ou le ministre du culte constate que certains éléments sont contraires aux dispositions en vigueur, il doit exiger qu'il y soit remédié dans les plus brefs délais. Si la personne concernée refuse d’y donner suite, il lui sera demandé de quitter l'activité. En cas de refus, il est indiqué de faire appel à la police.
    1. Nettoyage et aération: Entre chaque service (du culte), le local est nettoyé et suffisamment aéré. Toutes les surfaces que les personnes présentes pourraient toucher sont nettoyées avant et après la réunion : loquets, portes, bancs, rampes, interrupteurs, robinets, chasses d’eau, lunettes de w.c. et autres surfaces touchées. Les locaux sont aérés au maximum (air frais et/ou ventilation interne). Il est prévu un micro individuel, une tribune et un siège (lavables), qui ne peuvent être utilisés que par le ministre. Si d’autres intervenants sont prévus, ils reçoivent chacun un micro, une tribune et un siège, sauf s’ils vivent sous le même toit ou si ces objets sont désinfectés après chaque intervenant. Dans la mesure du possible, des entrées et sorties séparées sont prévues. Toutes les portes et fenêtres restent ouvertes au maximum pendant le service (du culte).
    1. Collecte: Sans faire passer des plateaux, corbeilles, sacs, etc. mais à un ou deux points de collecte. Les points de collecte sont clairement indiqués et contrôlés. Le ministre du culte encourage les dons en ligne dans ses communications et durant la cérémonie.
    1. Éléments propres au culte: Le bénitier à l’entrée est couvert ou rendu inutilisable. De l’offrande jusqu’à la communion, la pale est posée sur le calice et les hosties sont couvertes sauf pour la consécration. Lors du Notre Père, on ne donne pas la main aux personnes qui ne vivent pas sous un même toit. Pas de poignée de main, d’embrassade ou d'autre contact lorsque des personnes ne vivant pas sous un même toit se souhaitent la paix. Seule une personne boit dans le calice.
    1. Communion: Le moins de personnes possible pour administrer la communion.  Celui qui administre la communion se désinfecte les mains et porte un masque bucco-nasal. La personne qui administre la communion et le communiant se tiennent largement à distance en tendant les bras le plus loin possible. La personne qui administre la communion laisse tomber avec déférence l’hostie dans la main tendue du communiant (sans toucher la main du communiant). Il n'est pas autorisé de déposer l'hostie sur la langue du communiant. Les personnes présentes avancent sur une file par allée et retournent à leur place par une autre allée.
    1. Funérailles: Pas de poignée de main pour présenter ses condoléances. Pas d’offrande impliquant un contact avec la croix ou la patène. Les souvenirs sont distribués avec des gants ou mis à disposition.
    1. Mariages: À l’issue de la célébration de mariage, les nouveaux mariés peuvent être félicités, sans poignées de main et embrassades.
    1. Baptêmes: Seule une personne touche un objet ; retrait de tout ce que les parents, le parrain et la marraine et le célébrant touchent ensemble (remise de la croix, cierge de baptême, robe blanche de baptême). Prévoir à chaque fois une nouvelle eau baptismale. Le ministre du culte se désinfecte les mains avant et après l’onction.
    1. Confession et onction des malades: La confession est possible à l'église, pas dans le confessionnal. Imposition des mains à distance sans contact. Onction des malades, si autorisée d’un point de vue médical et sans communauté. Le ministre du culte se désinfecte les mains avant et après l’onction. Dans une maison de repos et de soins, le règlement d’ordre intérieur en vigueur est respecté.

    Source : vicariat.general@evechedeliege.be.

    Référence: Protocole sanitaire cultes 20210901-Protocole-FR.pdf

    JPSC

  • XXXIIIe Journées du Patrimoine en Wallonie, les samedi 11 et dimanche 12 septembre 2021 : une découverte à Liège

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    En l’église du Saint-Sacrement au Bd d’Avroy :

    inauguration de la restauration d’un joyau architectural (1766)

    Animations « portes ouvertes »

    jp-logo-basse.pngÀ Liège, les 33e Journées du Patrimoine en Wallonie (11-12 septembre 2021) inaugurent cette année la restauration de la façade monumentale, des maçonneries et des charpentes de la nef de l’église du Saint-Sacrement: un joyau architectural de l’art néo-classique (XVIIIe siècle) à redécouvrir: au boulevard d’avroy, face à la statue équestre de Charlemagne !

    Le programme (ci-dessous) vous propose un double point de rencontre : une conférence animée par des projections audiovisuelles sur l’art et l’histoire de cet édifice emblématique (samedi 11 septembre à 16h00) et une audition concertante offerte par deux formations musicales liégeoises : le Chœur « Praeludium » et l’Ensemble instrumental « Darius » (dimanche 12 septembre à 16h00). Ces deux manifestations seront suivies d’une réception conviviale offerte à tous.

    Par ailleurs, des visites guidées s’échelonneront au cours du week-end.

    Une exposition sera également dédiée à la mémoire des religieuses du Saint-Sacrement qui se sont succédées dans le quartier d’Avroy de 1866 à 1993 (samedi 11 septembre, de 10h à 12h30 & de 14h00 à 18h00, dimanche 12 septembre, de 14h00 à 18h00).

    journées du patrimoine 2021 affiche_patrimoine2021 recto.jpg

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  • Ne dites plus : "Journées du Patrimoine"; c'est trop "genré"!

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    De Thierry Boutte et Bosco d'Otreppe sur le site de la Libre :

    Pascal Smet a-t-il eu raison de rebaptiser les Journées du patrimoine en Heritage Days ?

    Considéré trop genré, le label "les Journées du patrimoine" a été changé en “Heritage Days”. De plus, l’utilisation de l’anglais veut placer la région de Bruxelles sur la scène internationale. Une bonne idée ?

    25-08-2021

    Contexte

    Les 18 et 19 septembre 2021 se dérouleront les Heritage Days, nouvelle appellation pour les journées du Patrimoine en Région de Bruxelles-Capitale.Pourquoi Pascal Smet, le secrétaire d'État chargé de l'Urbanisme et du Patrimoine, a-t-il changé pour un nouveau vocable anglais ? L'anglais pour offrir une vitrine internationale au patrimoine bruxellois, glisse Marc Debont, son porte-parole. Après Washington, Bruxelles est la 2e ville la plus cosmopolite au monde. Aussi parce que le terme Heritage dépasse ce qui est communément inclus - des visites de bâtiment - dans le mot patrimoine ou openmonumentdag. Enfin, pour sortir de la dichotomie patrimoine-matrimoine avec un terme inclusif et neutre. Trop genré le mot patrimoine. Matrimoine l'est autant et devrait disparaître pour être englobé bientôt dans le Heritage Days.

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  • "La racine profonde du courage chrétien est le Christ"

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    De Vatican News :

    Meeting de Rimini: le Pape exhorte au courage chrétien

    Comme chaque année, la ville italienne de Rimini -sur la côte adriatique- accueille la rencontre «pour l’amitié entre les peuples», organisée par le mouvement Communion et Libération. Le Pape a envoyé un message aux participants de ce rendez-vous estival, prisé par de nombreux catholiques italiens.

    Dans ce message signé par le cardinal-Secrétaire d’État, Pietro Parolin, et adressé à l’évêque de Rimini, Mgr Francesco Lambiasi, le Pape revient sur le thème de cette édition 2021, tiré du Journal du philosophe danois Søren Kierkegaard : “Le courage de dire Je”. Un thème particulièrement significatif en ces temps où l’on parle de «nouveau départ», où chacun doit exercer en conscience sa liberté afin de ne pas gâcher les enseignements de la crise, ce qui serait pire que la crise elle-même, rappelle le Saint-Père.

    Une société est basée sur des personnes

    «La pandémie a remis au centre la personne, le moi individuel, en provoquant dans de nombreux cas un réveil des questions fondamentales sur le sens de l'existence et l'utilité de la vie qui étaient restées en sommeil ou, pire encore, censurées depuis trop longtemps. Elle a également suscité un sentiment de responsabilité personnelle. Beaucoup en ont témoigné dans différentes situations. Face à la maladie et à la douleur, face à l'émergence d'un besoin, de nombreuses personnes n'ont pas hésité et ont dit : “Je suis là”», peut-on lire dans ce message.

    Sans les personnes, et la «présence responsable» qu’elles sont appelées à devenir, la société en tant que telle n’existerait pas, elle se limiterait tout au plus à un «agrégat aléatoire d’êtres qui ne savent pas pourquoi ils sont ensemble». Ce seraient alors l’égoïsme, le calcul personnel et l’indifférence qui domineraient. «En outre, les idolâtries du pouvoir et de l'argent préfèrent traiter avec des individus plutôt qu'avec des personnes, c'est-à-dire avec un “je” centré sur ses propres besoins et ses droits subjectifs plutôt qu'un “je” ouvert aux autres, s'efforçant de former le “nous” de la fraternité et de l'amitié sociale».

    Le courage nait de la rencontre

    A l’aune des événements traversés, il apparait de plus en plus que la personne doit être le point duquel tout doit repartir. «Certes, il faut trouver des ressources et des moyens pour remettre la société en marche, mais il faut avant tout quelqu'un qui ait le courage de dire “je” avec responsabilité et non avec égoïsme, en communiquant avec sa propre vie pour que la journée puisse commencer avec un espérance fiable», poursuit le message.

    Ce courage, -pas toujours spontané, et souvent en butte au doute et à la mesquinerie- nait de la rencontre. «Depuis qu'Il s'est fait chair et qu’Il est venu habiter parmi nous, Dieu a donné à l'homme la possibilité de sortir de la peur et de trouver l'énergie du bien en suivant son Fils, mort et ressuscité», souligne le Pape, qui ajoute : «La relation filiale avec le Père éternel, qui se rend présent dans les personnes atteintes et changées par le Christ, donne de la consistance au “je”, le libérant de la peur et l'ouvrant au monde avec une attitude positive».

    La racine profonde du courage chrétien est le Christ, affirme encore le Saint-Père ; c’est en effet le Ressuscité «qui nous fait expérimenter une paix profonde au milieu des tempêtes de la vie». Et de conclure en souhaitant aux participants du meeting d’être des témoins de cette joie de l’Évangile «qui insuffle l’audace de parcourir de nouveaux chemins».

  • Après la tornade, Beauraing revit : pèlerinage et messe télévisée les 21 et 22 août

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    De Corinne OWEN sur cathobel.be :

    Messe télévisée à Beauraing: marcher vers la « Belle Dame »

    Célébration extérieure aux Sanctuaires de Beauraing © CathoBel

    En 1932, cinq enfants du village y verront une trentaine de fois celle qu’ils appelleront « la Belle Dame ». Ils avaient entre 9 et 14 ans et, si dans un premier temps, leur récit avait été très mal accueilli à la fois par leurs familles respectives et le clergé, leur bonne foi et les éléments surnaturels qui entouraient ces rendez-vous n’avaient pas tardé à attirer les foules. Des prêtres, des médecins, des avocats, des professeurs d’université avaient alors soumis les enfants à des interrogatoires serrés, essayant de les prendre en défaut par des questions croisées mais, jamais, ils ne s’étaient contredits. Après une étude minutieuse et une commission d’enquête, l’évêque de Namur de l’époque, Mgr André-Marie Charue, avait autorisé le culte public de Notre-Dame de Beauraing en 1949.

    Le message de la Vierge aux enfants avait été tout simple: « Priez, priez beaucoup, priez toujours ». Elle avait également demandé la construction d’une chapelle pour qu’on y vienne en pèlerinage. Ce fut chose faite dès la fin de la seconde guerre mondiale.

    Les pèlerins marchent du Castel Ste Marie vers les Sanctuaires © CathoBel

    En chemin vers Beauraing

    Dorénavant, il n’est pas rare de croiser dans les campagnes quelques processions, bannières au vent, qui marchent vers Beauraing.  Plusieurs routes sont balisées et sont appelées les routes du « cœur d’or ». Pour le chanoine Joël Rochette, recteur du sanctuaire, « c’est l’occasion, en marchant, de mettre en mouvement une part souvent enfouie de soi-même, une question, une épreuve, un espoir. De se retrouver soi-même par une rencontre, un temps de silence, une parole forte, une réconciliation… »

    Le pèlerinage pour la fête de « Marie Reine », le 21 août, est probablement le plus suivi. Dans le sillage de l’Assomption, cette fête a été instituée par le Pape Pie XII en 1954. La Vierge prend soin de l’Eglise comme une Reine le prendrait de son peuple. Une piété populaire haute en couleurs et en émotions. Du castel Ste Marie, un ancien château sur les hauteurs de la ville jusqu’aux pieds de la statue de la Vierge, les cantiques et les Ave rythment les pas d’un cortège de fidèles que grossiront peu à peu les curieux et les villageois. Ici, à Beauraing, Marie est l’amie de tous. Alors, croyants ou pas, on l’accompagne toujours un peu.

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  • Liège : Fête de l’Assomption le dimanche 15 août 2021 à 10h00 en l’église du Saint-Sacrement restaurée (Bd d’Avroy, 132)

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    Partageons une belle liturgie chantée en grégorien et motets classiques

    dédiés à la Madone de l’Assomption !

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    La messe de la fête sera célébrée selon le missel de 1962

    Évangile du Magnificat (Luc, 1, 41-50)  

    Chants grégoriens

    Propre de la messe « Signum Magnum »

    Kyriale IX « Cum Iubilo »  

    Trois extraits du répertoire classiques 

    « Priez pour Paix, douce Vierge Marie » de Francis Poulenc (texte de Charles d’Orléans)

    « Er segnet die den Herrn fürchten » (Il bénit ceux qui craignent le Seigneur) - Aria extrait de la Cantate BWV 196 de JS Bach

    « Ave Maria » de Franz Schubert 

    A l’orgue, Patrick Wilwerth, professeur au conservatoire de Verviers et directeur du choeur universitaire de Liège

     Pour écouter des extraits sonores du programme, cliquez ici :

    http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com/archive/2021/08/02/fete-de-l-assomption-le-dimanche-15-aout-2021-a-10h00-en-l-e-6330298.html

    Livrets à votre disposition au fond de l’église pour suivre la messe

    _________________

    Journées patrimoine IMG_001_crédit Atelier Nord.jpegSursum Corda asbl, association pour la sauvegarde de l’église du Saint-Sacrement au Boulevard d’Avroy, 132 à Liège.

    Siège social: rue Albert et Louis Curvers, 32, 4053 Chaudfontaine (Embourg) Tel. +32 (0)4 344.10.89. 

    E-mail : sursumcorda@skynet.be 

    JPSC

  • Bruxelles (UCL), 4 octobre : conférence internationale "Bioethics & Conscience"

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    https://www.ieb-eib.org/en/conference/

  • Dimanche 15 août 2021 à 15h : pèlerinage à l’Enfant Jésus de Prague présidé par le Père Abbé de Maredsous

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    Dimanche 15 août 2021 à 15h :

    Pèlerinage à l’Enfant Jésus de Prague, présidé par Dom Bernard Lorent, Père Abbé de Maredsous

    Du 15 août 2021 au 15 août 2022, nous allons fêter le 10ème anniversaire du Sanctuaire de l’Enfant Jésus de Prague de Horion-Hozémont. Ce sera l’occasion de rendre grâce à l’Enfant Jésus pour tous les pèlerins que nous avons rencontrés tout au long de ces années. Nous sommes dans l’émerveillement pour tant de signes et de miracles dont nous avons été les témoins directs. Nous revoyons tant de visages... Nous nous souvenons de tant de pèlerins qui ont trouvé la paix en se confiant le petit Roi.

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  • Participez aux Journées Mondiales de l’Eucharistie à Budapest du 5 au 12 septembre 2021

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    Vivre la joie des JMJ dans une formule pour adultes et avec le pape pour la messe finale !

    Participez aux JME, les Journées Mondiales de l’Eucharistie à Budapest du 5 au 12 septembre 2021.

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    Venez rencontrer Jésus à Budapest.

    « Toutes mes sources sont en Toi » Ps 87 :7

     Saviez-vous que ces journées ont été initiés en Belgique vers 1900 et ont rassemblé 2 millions de personnes à Cebu aux Philippines en 2016 ?

    La conférence épiscopale belge souhaite renouer avec cette dynamique missionnaire. Une double route belge, présidée par Mgr Jousten, évêque émérite de Liège, entouré d’une équipe, est organisée pour y participer : « route Danube » et « route Express ».

    Choix entre 2 formules :
    - Soit la semaine congrès-découverte sur la

    « Route Danube », environ 1.000 EUR incl. avion.

    - Soit les 3 derniers jours sur la « route express », environ 600 EUR, incl. avion.

    Avec des participants de plus de 60 pays, approfondissez le sens et l’expérience de l’Eucharistie.

    Combinez cela avec la découverte de la splendide ville de Budapest et de la Hongrie, traversée par le beau Danube bleu.

    Confions cette relance inespérée des Journées Eucharistiques de Budapest au bienheureux Carlo Acutis, ce « geek » italien, décédé à 15 ans d’une leucémie foudroyante en 2006, après avoir lancé un site internet et une exposition sur les miracles eucharistiques.

    Voyez plus de détails dans la lettre en annexe

    Infos et inscriptions pour la route belge : https://eucharistiebuda2020belgium.wordpress.com
    Places limitées, il s’agit de s’inscrire et de verser sa participation avant le 15 août. Profitez surtout du tarif avantageux avant le 31 juillet.

    Pour toute question, écrivez à eucharistie.budapest.belgium.2020@gmail.com

    Rejoignez le groupe Facebook belge

    Cordialement,

    Le comité belge délégué par la conférence épiscopale

    Mgr Aloys Jousten
    Chanoine Eric de Beukelaer
    Jacques Galloy

    Site officiel de l’évènement : https://www.iec2020.hu/en

  • A télécharger : l'Appel de Chartres (juin 2021)

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    cliquer sur l'image pour télécharger la publication

    Au sommaire:

    • Edito de Joseph Darantière
    • En revenant de Chartres: Jean de Tauriers, Président de NDC
    • Reconstruire: Philippe Maxence
    • La semaine Aquinas: Père Augustin-Marie
    • Portrait de pèlerin: Hervé, restaurateur du 7ème Vin
  • À Liège, ce samedi 12 juin 2021 à 18h en l’église du Saint-Sacrement, Mgr. Delville a commémoré solennellement la Fête-Dieu et béni les portes monumentales restaurées de l’église.

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    Nonobstant les contraintes en tous genres (spatiales en particulier) imposées par les normes sanitaires anticovid 19, limitant le nombre de fidèles dans la nef à 100 personnes (dont 20 choristes et instrumentistes), la messe s’est déroulée dans une atmosphère très participative, en particulier parmi les jeunes.

    Le reportage audiovisuel ci-dessous (cliquer sur le lien  https://youtu.be/Lc8ctnDmLnk) illustre la qualité de la musique liturgique (Sextuor grégorien de Drongen réuni et dirigé par Peter Canniere, Ensemble instrumental Darius, Choeur polyphonique Praeludium dir. Patrick Wilwerth, organiste) rehaussant une belle liturgie. Il se termine dans le narthex de l’église, avec le rite peu usité de la bénédiction des portes restaurées du sanctuaire, ouvertes à deux battants sur le Boulevard d’Avroy, en pleine circulation du samedi soir.

    On lira ci-dessous le texte de l’homélie prononcée par l’évêque de Liège au cours de cette messe commémorative de la Fête du Corps et du Sang du Christ célébrée dans la forme extraordinaire du rite romain :

    « Chers Frères et Sœurs,

    Cette messe du S.-Sacrement est placée sous le signe des retrouvailles. C’est la première fête que nous pouvons célébrer depuis huit mois en étant nombreux dans cette église. Nous avons découvert durant la période de confinement combien la participation directe à la liturgie nous manquait et combien nous désirions communier au corps du Christ. Le sens même du sacrement, comme signe sacré et efficace de la grâce de Dieu, nous apparaissait d’autant plus que nous en étions privés.

    Or Jésus a voulu, lors de la dernière Cène, donner un signe d’espérance à ses disciples et il leur a demandé de le reproduire en disant : « Faites cela en mémoire de moi ». Jésus a affirmé que le pain rompu était son corps et que la coupe de vin était « la nouvelle alliance en son sang » (1 Co 11,23-29). Cela signifie qu’il voyait son corps, bientôt rompu par sa mort sur la croix, comme une offrande brûlée en holocauste sur l’autel, comme l’agneau immolé qu’on offrait à Dieu dans le temple de Jérusalem : c’est un don fait à Dieu, qui est aussi un don de soi ; il monte vers Dieu, comme une fragile fumée d’encens monte vers le ciel. Quant à son sang versé, Jésus l’a vu comme le sang du sacrifice, le sang qui appartient à Dieu et qui retourne à Dieu. Cela manifeste que la force de vie de Dieu est présente dans ce sang et l’emportera sur la mort. C’est pourquoi il ajoute : « Chaque fois que vous mangerez ce pain et boirez cette coupe, vous annoncerez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il revienne. Jésus annonçait ainsi reviendrait ressuscité.

    Quant à nous, quand nous célébrons l’eucharistie, nous vivons aussi cette offrande et recevons le don de vie. Quand nous apportons à l’autel nos offrandes, le pain, le vin, parfois d’autres fruits de la terre, et même la collecte, nous offrons au Seigneur ce qui nous est cher, nous lui offrons toute notre vie, nous lui ouvrons notre cœur. Ce mouvement est souligné par la fumée de l’encens qui est répandue sur les offrandes et qui montre que nos dons sont agréés par Dieu. Puis, au moment de la consécration, le pain et le vin posés sur l’autel deviennent le corps et le sang du Christ, ils manifestent que la vie de Dieu est rendue présente en eux. Ce don s’accomplit dans la communion au corps et au sang du Christ, par laquelle Dieu fait alliance avec nous et nous fait entrer dans sa vie divine. Comme le disait Jésus dans l’évangile (Jn 6,56-59) : « Celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi et moi en lui. Celui qui mange ce pain vivra éternellement ». Dans la communion au Christ nous trouvons la vraie vie, et dans la communion à celui qui souffre, nous trouvons la vraie joie.

    Pour valoriser ce don que Dieu nous fait, nous célébrons avec solennité l’eucharistie dans cette église du Saint-Sacrement, dans la forme extraordinaire du rite romain, parce qu’elle a nous permet de garder la richesse de la liturgie ancienne, dans la beauté de ses gestes, de ses mots et de ses chants, qui évoquent le mystère d’amour de Dieu qui se donne à nous. Nous inaugurons aussi la fin des travaux réalisés en cette église du S.-Sacrement. La voûte et le toit ont été restaurés : cela ne se voit pas, mais cela vous garantit qu’ils ne vous tomberont pas sur la tête ! Mais ce qu’on voit, c’est la façade, magnifiquement restaurée, avec ses deux portes majestueuses, qui sont les plus grandes de Wallonie à être faites dans une seule pièce de bois. Leur restauration a été l’objet d’un travail minutieux réalisé par un ébéniste, de sorte qu’aujourd’hui on peut les pousser sans effort et sans les faire grincer. Nous les bénirons à la fin de cette célébration.

    Si sainte Julienne de Cornillon a reçu l’inspiration de faire célébrer la fête du Saint-Sacrement, c’est qu’elle avait compris combien le sacrement actualise en nous la vie du Christ. En effet la vie du Christ ne se résume pas à son aspect historique ; elle se prolonge en chacun de nous par un signe qui nourrit chacune de nos vies. Comme le Christ s’est livré à nous et s’est donné à nous, il nous invite à nous donner aux autres. Nous rejoignons l’intuition de sainte Julienne de Cornillon qui était d’abord au service des malades comme directrice d’un hôpital, la léproserie de Cornillon, avant d’être aussi la promotrice de la fête du Saint-Sacrement, fête destinée à favoriser l’union du chrétien au Christ par la communion eucharistique. Et nous portons fortement dans notre prière tous ceux qui se sont donnés pour leurs frères et sœurs durant cette crise du coronavirus. Je pense au personnel soignant, aux personnels des maisons de retraite, à tous ceux qui ont accompagné une personne en difficulté et à tous ceux qui ont souffert durant cette pandémie. Cette période difficile nous a aussi stimulés à trouver des gestes nouveaux pour nous soutenir les uns les autres. Elle a fait apparaître l’importance de l’affection et de la solidarité.

    Alors recevons avec foi le corps du Christ qui nous est donné en communion et, dans ce monde qui passe, soyons des témoins de la vie qui ne passe pas !

    Amen ! Alleluia ! »

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    JPSC