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La Vierge Marie est apparue à trois jeunes filles à Kibeho, petit village du sud du Rwanda, du 28 novembre 1981 au 28 novembre 1989. Le message de ces apparitions porte sur la prière, la conversion des cœurs et sur le risque que le monde tombe dans un gouffre si les chrétiens ne se convertissent pas.
En 2001, mgr Augustin Misago, évêque du diocèse de Gikongoro, prononce la reconnaissance officielle de ces apparitions. Kibeho devient un centre de pèlerinage connu même à l’extérieur du pays. L’année passée, le Vatican a également reconnu ces apparitions. Plus d’informations : https://www.materdolorosakibeho.com/
le dimanche 5 décembre 2021 à 16h00 en l’église du Saint-Sacrement
à Liège (Bd d’Avroy 132)
Nous pensions être sécurisés par nos découvertes scientifiques, technologiques et consuméristes mais depuis bientôt deux ans la pandémie persistante de la Covid 19, les violences climatiques et autres calamités nous perturbent.
Alors, en ce temps de l’Avent 2021, quelles raisons d’espérer ?
L’abbé Claude GERMEAU, directeur du Foyer des Jeunes de Herstal, vous en parlera le dimanche 5 décembre 2021 à 16 heures en l’église du Saint-Sacrement, Boulevard d’Avroy, 132 à Liège (face à la statue équestre de Charlemagne). Respect des mesures sanitaires requises.
Colloque de Rome 2021 sur St Thomas : un tournant ?
A l’initiative du Comité Pontifical des sciences historiques, le colloque sur l’apôtre Thomas, initialement prévu en octobre 2020, s’est tenu à Rome (Vatican) les 27-29 octobre 2021. En quelque sorte, il consacre des efforts faits depuis de nombreuses années, et en particulier le colloque d’EEChO de fin 2012 avec l’AED.
« Enquête sur l’histoire des premiers siècles de l’Église »
__ Comme l’indiquait l’annonce web de ce colloque mené de main de maître par le président de ce Comité Pontifical, le Révérend Père Bernard Ardura : « Des traces du christianisme antique ont été identifiées en effet jusqu’en Inde et en Chine, terres qui, selon la tradition, ont été évangélisées sous l’impulsion de l’apôtre Thomas, donc dès le 1er siècle de notre ère. L’archéologie contemporaine a permis de mieux retracer cette étonnante expansion du christianisme, souvent liée à des échanges commerciaux impliquant des matières n’existant pas en Europe, par exemple la soie et l’ivoire. Des chercheurs venus de différents horizons pourront donc partager des connaissances qui n’étaient pas encore intégrées dans l’historiographie du christianisme selon les modèles étudiés il y a 30 ou 40 ans. »
__ Renseignements pris, certains intervenants invités n’ont hélas pas pu se déplacer : Mmes M.-F. Baslez, Sherly Avedian (son texte en rapport avec la Perse à partir du 3e siècle fut lu) et Ilaria Ramelli (celle-ci enverra, espérons-le, sa contribution sur La Gens Annaea et le christianisme primitif), ainsi que Mgr Yousif Thomas Mirkis, archevêque chaldéen de Kirkouk (Irak) et les deux invités indiens qui ont transmis une vidéo de leur contribution, respectivement le P. Jiphy F. Mekkattukulam sur les Actes de Thomas, et Thattunkal Mani sur le manuscrit Charition (Oxyrhynchus Pap 413) suggérant la présence au port indien de Muziris d’une communauté chrétienne célébrant en araméen au 2e siècle.
__ A ce colloque ont pris part des partisans de la constitution tardive (et gréco-latine) du christianisme, tels que l’exégète protestant Daniel Marguerat (Suisse) et l’historien Danilo Mazzoleni (Italie), ce dernier contestant l’attribution chrétienne des signes identifiés comme chrétiens à Pompéi et Herculanum. Cependant, devant la mise en lumière de l’apostolat de l’apôtre Thomas en Inde et en Chine, la perception s’imposa d’un « mouvement précoce de coordination et de synthèse de la religion chrétienne », au-delà du « défi de l’altérité des cultures », comme le suggérait déjà l’annonce du colloque.
__ Dans les questions soulevées, on n’aborda pas la question de la précocité de la composition des évangiles (plausiblement d’abord orale et en araméen), mais les découvertes relatives à St Thomas permettent de la poser sous un jour nouveau. Cette question exégétique fondamentale devrait être sans doute l’objet d’un colloque en soi mais celui-ci supposerait qu’une partie des participants soit à l’aise avec la langue araméenne, notamment avec ses formes du 1er siècle, et c’est beaucoup demander pour le moment…
__ Des interventions remarquées, on peut citer celle de Maxime Yevadian (Chaire de recherche sur l’Eurasie, Lyon) qui fit découvrir des données peu connues et ici capitales relativement à la multiplicité des « routes de la soie », un réseau transcontinental, et ses acteurs à l’époque de la dynastie Han (206 av. J.-C. – 220 ap. J.-C.), une question qu’il avait abordée au colloque de Kochi en 2019, en ajoutant des informations générales sur la présence hébraïque sur ces routes. Il faut signaler aussi la contribution de Pierre Perrier sur L’hymne de la Perle, une composition araméenne qui est incluse dans les Actes de Thomas mais qui leur est antérieure (elle est présentée ici). Dans les articles de M. Yevadian sur Academia, on trouvera le détail du programme de ces trois journées (ou ici en PDF).
__ Il convient de relever particulièrement les interventions rigoureuses et très documentées des deux spécialistes chinois, qui furent marquantes – pour beaucoup des participants, elles constituaient même des nouveautés inattendues.
__David Linxin He, maître de conférences à l’Université de Paris I -Sorbonne et polyglotte étonnant, a repris l’étude du miroir provenant d’une tombe princière du 2e siècle et décoré sur son revers par des dessins et par une inscription circulaire – une sorte de mantra – qui glorifie la « Mère du Fils de l’Homme » ; dans une présentation très rigoureuse, il a partagé les derniers résultats de la compréhension de cette inscription en chinois classique, caractéristique de l’époque, et nécessitant des connaissances approfondies.
Les cours sont gratuits. Ils se déroulent dans les locaux de l’église (Bd d’Avroy, 132), au rythme de l’année académique, un jeudi par mois, de 19h00 à 21h00, sous la forme d’une leçon suivie d’un lunch-débat convivial.
Le premier cycle (année académique 2021-2022) est dédié à la doctrine sociale de l’Eglise. L’enseignement sur ce thème est assuré par Mme Anne-Marie Libert, licenciée en philosophie et en sciences religieuses, chargée de cours au Séminaire de Namur (SND) et professeur à l’Institut Diocésain de Formation (IDF-Namur).
Le cycle s’est ouvert le jeudi 21 octobre dernier par un exposé introductif de Mme Libert sur la vision anthropologique qui fonde l’enseignement social de l’Eglise. On trouvera ci-après une synthèse paraphrasant l’exposé littéral.
La prochaine rencontre aura lieu le jeudi 11 novembre 2021 de 19h00 à 21h00. Elle sera dédiée à la notion de Bien Commun.
« Je n’ai que mon âme », le nouvel album inspiré de Natasha St Pier
Thomas Braut; Natasha St Pier.
4/11/21
Après le succès de ses trois derniers albums sur les poèmes de sainte Thérèse de Lisieux, Natasha St Pier revient le 19 novembre avec un tout nouvel album intitulé "Je n'ai que mon âme". À l'intérieur, des nouveautés mais aussi ses plus grands succès, que le public pourra retrouver lors de sa tournée actuelle dans les églises de France.
De retour dans les églises de France depuis septembre pour sa tournée, Natasha St Pier fait à nouveau le bonheur de ses fans qui avaient hâte de réentendre ses plus belles chansons ! Car depuis ses derniers albums consacrés aux poèmes de sainte Thérèse de Lisieux, le succès de la chanteuse ne tarit pas.
Et cette nouvelle tournée, qui s’annonce bien chargée avec 65 dates prévues au total, verra se mélanger quelques nouveautés mais aussi les chansons préférées de son public en version plus « authentique ». Les fans auront ainsi la joie de réentendre ses plus beaux succès comme « Je n’ai que mon âme », « Vivre d’amour » (en duo avec Anne Sila), ou encore « Aimer c’est tout donner ». Parmi les nouveautés, quatre titres enregistrés avec Vincent Niclo et les petits chanteurs à la Croix de bois. Ensemble, ils revisiteront des titres phares de Noël comme « l’Ave Maria » ou « Il est né le divin enfant ». « Plus qu’un simple album live, je voulais partager l’émotion, l’histoire de mes titres […] cet album promet de belles découvertes », a confié la chanteuse.
Avec la validation par l’Assemblée nationale de Denis Kadima au poste de président de la Commission électorale (CENI), le Congo replonge dans une crise pré-électorale profonde qui rappelle la fin cahotique du mandat de Joseph Kabila entre 2015 et 2018. Lu sur le site web « Afrikarabia » :
« La deuxième nomination du président de la Commission électorale congolaise sera-t-elle la bonne ? A l’été 2020, le nom de Ronsard Malonda avait créé la polémique, et sa candidature avait été rejetée par le président Félix Tshisekedi. En cause : sa trop grande proximité avec le FCC de l’ancien président Joseph Kabila. Aujourd’hui, c’est au tour du nom de Denis Kadima, qui vient d’être entériné par l’Assemblée nationale, de susciter la controverse. Ironie du sort, une grande partie de la classe politique congolaise l’accuse d’être trop proche du président Tshisekedi, qui brigue un second mandat en 2023.
Le problème, c’est que Félix Tshisekedi n’avait que des mauvaises solutions devant lui face au tollé soulevé par la candidature Kadima. En la validant, il ouvre une crise ouverte avec le FCC de Joseph Kabila, Lamuka de Martin Fayulu et Adolphe Muzito, mais également avec certains de ses alliés de l’Union sacrée : Ensemble de Moïse Katumbi et le MLC de Jean-Pierre Bemba. Mais surtout, Félix Tshisekedi risque de se mettre à dos la très puissante église catholique et les protestants, qui ont tous les deux récusés Denis Kadima, après avoir subi des pressions en coulisse pour imposer sa candidature.
Des églises politisées
A l’inverse, si le chef de l’Etat ordonnait à sa majorité de repoussé le nom de Kadima, Félix Tshisekedi se brouillait alors avec les six confessions qui avaient voté pour cet expert électoral, internationalement reconnu. « A six voix contre deux, c’est bien la majorité des églises qui ont penché pour Kadima » nous explique un membre de l’Union sacrée, pourtant pas très à l’aise avec cette candidature. « Et la majorité doit l’emporter faute de consensus » finit-il par lâcher, « c’est la règle ! ». Si l’Union sacrée plaide pour son bon droit, le vote à l’Assemblée nationale a été très houleux pour entériner les nouveaux membres de la CENI.
Il faut dire que le mode de désignation de la Commission électorale par les confessions religieuses pose question en RDC. Censées être « neutres », « impartiales » et « représentatives », les églises au Congo sont tout le contraire. En l’absence de l’Etat qui manque à toutes ses missions premières : santé, éducation, emploi… les religieux ont comblé le terrain. L’Eglise catholique, omniprésente et particulièrement puissante, s’est souvent substituée à un Etat défaillant, éveillant la jalousie des politiciens. Depuis les années 1990, l’Eglise catholique s’est vu confiée des tâches de médiations politiques à chaque crise institutionnelle… et elle y a pris goût.
Des «petites » confessions majoritaires
La nomination du président de la CENI par les confessions religieuses est donc un rôle éminemment politique, où prélats, pasteurs et imams sont régulièrement courtisés par les partis et les plateformes politiques de tout bord. Le hic, c’est que sur les huit confessions religieuses, deux représentent plus de 80% de la population congolaise (ce sont les catholiques et les protestants), alors que les six autres, à peine 20%. Et dans la controverse autour de la désignation de Denis Kadima, ce sont les six églises « minoritaires » qui ont porté sa candidature, alors que les deux plus puissantes confessions, s’y sont opposées. Le poids et la représentativité des églises ne sont donc pas respectés dans un vote majoritaire.
Le vote de l’Assemblée nationale ouvre donc une période institutionnelle troublée à un peu plus de deux ans d’une présidentielle très incertaine et attendue. La « dépolitisation » de la CENI est maintenant devenue une des principales revendications de l’opposition à Félix Tshisekedi. Ce week-end, une dizaine de milliers de manifestants ont défilé à Kinshasa pour dénoncer la candidature de Denis Kadima, craignant que les élections de 2023 soient verrouillées pour assurer la réélection de l’actuel chef de l’Etat. D’autant que le nouveau président de la Cour constitutionnelle, Dieudonné Kaluba, est lui aussi proche de Félix Tshisekedi. « Le président de la CENI annonce les résultats provisoires des élections et le président de la Cour constitutionnelle les valide ! La présidentielle est écrite d’avance ! » fustigaient les manifestants dans les rues de Kinshasa ce week-end.
La crainte d’un nouveau glissement
La crise politique prend également une nouvelle tournure pour les alliés de Félix Tshisekedi au sein de l’Union sacrée. Avec au premier plan, le parti Ensemble de Moïse Katumbi. L’ancien gouverneur du Katanga, qui vise la présidentielle de 2023, avait fortement contesté la désignation de Denis Kadima. Au sein de sa formation, on dénonce la volonté du président Tshisekedi de vouloir organiser des élections « ni inclusives, ni équitables ». La participation d’Ensemble à l’Union sacrée sera « réévaluée » selon un récent communiqué. La plateforme katumbiste représente la deuxième force politique au sein de l’Union sacrée.
A 26 mois des prochaines élections, la RDC replonge dans une crise pré-électorale dont le scénario est malheureusement bien connu, pour l’avoir déjà vécu en 2016, avec le « glissement », puis le report du scrutin en 2018. Avec son lot de manifestations et de répression. Pourtant, le président Tshisekedi garde encore la main sur les événements. Car, après le vote de l’Assemblée nationale, le chef de l’Etat doit valider le nom du nouveau président de la CENI. Ce qui n’est pas encore fait. Il reste donc une dernière chance au président de la République pour ne pas passer en force. Mais les tractations risquent encore d’être longues, faisant peser la crainte d’un glissement du calendrier électoral. Un report qui prolongerait le mandat de Félix Tshisekedi.
Quand les enfants de la lumière rencontrent la culture de la mort...
Où était le cardinal Schönborn ? - La police viennoise a menacé les radicaux de gauche avec des armes à feu - Les journaux gratuits viennois rivalisent pour la bêtise du mois en matière de reportage - Un reportage de Vienne sur la Marche pour la vie -
Selon les organisateurs, environ 2500 personnes se sont rendues sur la place Saint-Étienne et à la marche qui a suivi, parmi lesquelles, comme les années précédentes, de nombreuses familles, des jeunes et des enfants. Cette année, le thème spécifique était également de manifester contre l'introduction prévue de l'euthanasie suite à un arrêt controversé de la Cour constitutionnelle autrichienne. Avant la marche, plusieurs services religieux ont eu lieu, la Sainte Messe dans l'église Saint-Pierre a été célébrée par l'évêque auxiliaire viennois Scharl.
Au début, deux nouvelles très positives ont été présentées. Tout d'abord, le père Bruno Meusburger a présenté l'initiative nouvellement créée "Prêtres pour la vie", puis le groupe autrichien "Pro Life Music" s'est produit pour la première fois. La chanteuse principale, avec sa musique soul grandiose, pourrait bien rivaliser avec les meilleurs dans l'émission musicale "The Voice".
Anna Bonetti, célèbre militante pro-vie, née sourde en raison d'un défaut génétique, est venue directement d'Italie. Elle est impliquée dans le mouvement pro-vie depuis 4 ans. Elle a souligné que la grossesse n'est pas quelque chose qui peut simplement être interrompue. "Un enfant perdu à cause de l'avortement est perdu pour toujours ! Chaque jour, nous perdons des milliers d'enfants qui n'auront jamais la chance d'être les amis, les partenaires ou les camarades de classe de nos enfants."
Lors de la marche qui a suivi dans le centre de Vienne, plusieurs contre-manifestations ont été organisées par des radicaux de gauche. Des centaines d'agents de police, un hélicoptère de la police et plusieurs chiens policiers ont protégé les participants. Une situation tendue s'est produite sur le Ring de Vienne lorsque celui-ci a été bloqué par les radicaux de gauche. La police a donné un ultimatum de 5 minutes et a menacé d'utiliser la force armée contre la contre-manifestation non enregistrée qui bloquait illégalement la marche. Au moins, cela a fait impression, car la rue a finalement été dégagée. L'un des slogans utilisés par les opposants l'année dernière était : "Vos enfants seront comme nous" - un slogan qui était apparemment destiné à déstabiliser les parents présents. Eh bien, à cela nous devons répondre : nos enfants sont présents à la marche et voient par eux-mêmes à quel point vous vous comportez mal, effrayant d'autres personnes avec des fumigènes, des cris, du bruit, des barrages et un comportement agressif et voulant empêcher leur libre expression pacifique d'opinion. Nos enfants aiment y participer et veulent s'impliquer dans des groupes tels que "Jeunesse pour la vie", qui se renforce chaque année. Chaque année, la nouvelle génération pro-vie grandit.
Il est remarquable que les pro-vie veuillent maintenant aussi se défendre légalement contre ces attaques. Des plaintes ont été portées contre plusieurs participants à la manifestation de gauche pour insulte à une religion. En outre, les organisateurs ont annoncé qu'ils allaient intenter un procès parce qu'une manifestation non autorisée a massivement perturbé une manifestation autorisée. En attendant, les preuves sont déjà rassemblées, et l'affaire risque d'avoir des répercussions juridiques.
Le point culminant de l'événement lui-même s'est produit à la fin. Theresa Habsburg a prononcé un excellent discours de clôture et a appelé tous les participants à contacter leurs parlementaires pour éviter l'introduction de la soi-disant "euthanasie" en Autriche.
Et maintenant une petite revue autour de l'événement, dans laquelle des choses remarquables sont à noter :
Tout d'abord, l'écho médiatique. Deux journaux gratuits viennois (oe24 et Heute), financés à l'aide des millions d'argent des contribuables, ont rendu compte de l'événement, l'un ne se basant manifestement que sur un message Twitter, l'autre ne reprenant que les inepties des radicaux de gauche. Tous deux ont évidemment participé au concours "Qui écrit le plus de bêtises ?".
Toutefois, le plus gros point négatif - comme le montrent les réactions des croyants - est le manque de soutien des évêques autrichiens à l'événement. Alors qu'aux États-Unis, plusieurs centaines d'évêques ont participé ces dernières années à la célèbre Marche pour la vie, en Autriche, c'est à nouveau le "silence dans la forêt". Aucun évêque diocésain en exercice ne s'est présenté. Le cardinal viennois Schönborn, d'ailleurs, n'avait envoyé aucun mot de salutation. Même le cardinal Marx ou l'archevêque Bätzing le font régulièrement en Allemagne. Le cardinal Schönborn aurait dû peut-être faire 500 mètres de marche pour se rendre au lieu de réunion, mais il n'est pas venu. D'autres ont parcouru des centaines de kilomètres, certains avec des enfants, restant assis pendant des heures dans des voitures et des bus. Le cardinal viennois a certainement une "bonne excuse" - comme chaque année. Il n'y a pas d'autre façon de le dire : il est vraiment dommage que les évêques ne se montrent jamais ici. Cela devrait changer. (...)
P.S. Il convient de mentionner qu'au moins quelques politiciens de l'ÖVP ont participé à la marche, et qu'un politicien du FPÖ aurait également été présent.
Vous souvenez-vous de la proposition de loi pour un avortement à 14 semaines ?
Cette proposition de loi inventée et soutenue par la députée extrémiste Albane Gaillot (à gauche sur la photo), avait été retirée en février 2021 grâce, notamment, à VOTRE mobilisation.
Cette loi revient aujourd'hui sur la table. Le sinistre Christophe Castaner, aujourd'hui patron de la majorité à l'Assemblée Nationale, projette même de l’adopter avant la fin du quinquennat ! Elle sera à l'ordre du jour dès fin novembre 2021.
Tout avortement est une atrocité, et plus il est tardif plus celle-ci est manifeste.
L’avortement à 14 semaines c’est disséquer le bébé pour le sortir du ventre.
Le fœtus à 14 semaine est un être humain au visage déjà bien dessiné, des expressions faciales et des réflexes, des empreintes digitales… Il commence même à sucer son pouce !
Il est donc bien plus difficile de l’éliminer… Opposé à cette loi, le Professeur Israël Nisand affirme :
« La tête du fœtus à 14 semaines est ossifiée et il faut l'écraser ».
Ce n'est pas gagné pour la bande à Albane Gaillot. Le président de la République et le Syndicat national des gynécologues-obstrétriciens de France (Syngof) sont opposés à cette proposition de loi.
NOUS AVONS UNE CHANCE DE FAIRE RECULER CETTE PROPOSITION DE LOI.
Avec vous, la Marche pour la vie prépare une mobilisation inédite :
Nicole Verhaeghe de Naeyer est heureuse de vous inviter au concert des jeunes talents de la Musica Mundi School au profit de KTO Belgique le dimanche 17 octobre à 15 h 30 Rue de la Croix 21a à 1410 Waterloo (dans l’ancien bâtiment du monastère de Notre-Dame de Fichermont) Une réception sera offerte à l’issue du concert, de 17 h à 18 h.
Réservation pour le 15 octobre. Nombre de places limité. Par mail : lambertine.debethune@ktotv.com ou par téléphone 0485 71 83 79. Adultes : 40 € — de 6 à 25 ans : 20 € — moins de 6 ans : gratuit Virement à KTO Belgique ASBL BE04 7360 3279 2431 avec en communication : « Nom, prénom, nombre de places adultes / enfants » Le montant total récolté ira intégralement à KTO Belgique. Durée du concert : 1 h. Parking aisé.
Musica Mundi School est une école primaire et secondaire d’enseignement musical professionnel et d’études générales destinée à des jeunes talents venant du monde entier. L’école a ouvert ses portes en 2018 dans les bâtiments de l’ancien monastère de Notre-Dame de Fichermont. Plus d’informations sur musicamundischool.org
KTO vit de votre générosité et ne reçoit aucune aide, ni de l’Église, ni de l’État. Merci pour votre soutien !
Les dons faits à KTO Belgique ne sont pas déductibles.
Belgique : dons sur le compte IBAN BE04 7360 3279 2431
Comme chez François Mitterrand et bien d’autres vedettes du théâtre d’ombres que constitue cette vie passagère, la dimension religieuse n’était pas absente dans le répertoire de Bernard Tapie. Jusqu’à quel point? C’est le secret intime entre Dieu et chaque créature humaine. Sur le site « aleteia » de ce jour, Lauriane Vofo Kana écrit :
« Bernard Tapie est mort ce dimanche 3 octobre des suites d'un cancer de l'estomac et de l'œsophage. Parmi les milles facettes du personnage, il y avait celle du "croyant". Vers la fin de sa vie, l'homme d'affaires avait évoqué à plusieurs reprises la foi qui l'animait.
Homme d’affaires, acteur ou encore ministre, les vies de Bernard Tapie ont été nombreuses. C’est entouré des siens qu’il est décédé ce dimanche 3 octobre à Paris, à l’âge de 78 ans. Bernard Tapie n’avait pas caché son combat contre le cancer de l’estomac et de l’œsophage. Dès l’annonce, en septembre 2017, il avait voulu apparaître déterminé dans l’épreuve qui le mettait face à la mort. Une mort que le « croyant » ne vivait pas comme une fatalité : « La mort c’est l’épisode ultime de la vie. Celui qui a peur de la mort a peur de la vie », confiait-il sur France 2.
« Ça m’est tombé dessus »
Durant ses quatre années de lutte contre la maladie, Bernard Tapie s’est livré à des confidences sur son parcours de fils d’ouvrier, sa vie de président de l’Olympique de Marseille ou encore de patron de presse. Quelques fois, il s’est aussi attardé sur la foi qui l’animait : « Je veux rester ce que j’ai toujours été face à la religion, un pratiquant monolithique, convaincu que c’est la loi du cœur ».
Invité sur le plateau de BFMTV à l’hiver 2020, l’habitué des coups d’éclat était revenu pudiquement sur les origines de sa foi. « Ça ne m’est pas tombé dessus parce que mes parents me l’ont inculquée ! Ça m’est tombé dessus parce que je jouais au violon le dimanche matin dans une église et qu’un jour, je n’ai pas joué du violon comme les autres fois. » Dans ses mémoires [Bernard Tapie, leçons de vie, de mort et d’amour, Ndlr], écrits par Franz-Olivier Giesbert, on découvre un homme qui se met à « genoux » pour prier chaque matin. Même dans les moments de difficulté, cette habitude ne l’aurait pas quitté.
Tous les soirs à 18 heures lorsqu’il était en prison, il avait un rite avec Dominique, sa femme. […] Ils priaient l’un et l’autre et ils faisaient comme s’ils se tenaient la main, et ça l’aidait à passer la nuit et à repartir pour la journée.
Mis en cause dans le match truqué Marseille-Valenciennes en 1993, Bernard Tapie est condamné à huit mois de prison en 1995. Un proche de l’ancien homme d’affaires assure même que tout le temps de sa détention le businessman Tapie serait resté attaché à la prière : « Tous les soirs à 18h lorsqu’il était en prison. Il avait un rite avec Dominique sa femme. […] Ils priaient l’un et l’autre et ils faisaient comme s’ils se tenaient la main, et ça l’aidait à passer la nuit et à repartir pour la journée. »
Une messe en mémoire de Bernard Tapie sera célébrée ce mercredi en l’église Saint-Germain-des-Prés, à Paris, à 11h.
Mais c’est à Marseille, sa ville de cœur, que ses obsèques auront lieu vendredi à la Major, cathédrale Sainte-Marie-Majeure. Elles seront présidées par l’archevêque de Marseille, Mgr Jean-Marc Aveline, à 11h.