Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Débats - Page 708

  • Que penser d'un "sans C" censé être sensé ?

    IMPRIMER

    Un ami nous écrit, à propos de ce "C" qui fait problème, tant aux universités, qu'aux scouts ou à d'autres institutions qui faisaient jadis partie du "pilier chrétien" :

    Un nouvel épisode du feuilleton du 'C' en Belgique. Ou que faut-il penser d'un "sans C" censé être sensé ? http://www.enmarche.be/Actualite/Editos/Editos_2012/20120315_MC_est_ce_sense_ou_sans_C.htm Question : le MOC sera-t-il le dernier à maintenir son 'C', alors qu'il milite pour un droit à l'avortement inscrit dans les droits de l'homme ? De qui se 'moque'-t-on ? "

  • L'avortement : un débat sur la RTBF qu'il faut écouter attentivement

    IMPRIMER

    Le dimanche 18 mars, la RTBF, sur la Première, a organisé un débat sur l'avortement dans le cadre de l'émission "Et Dieu dans tout ça". (Avec Françoise Kruyen, gynécologue, membre de la Commission nationale d'évaluation de la loi sur l'IVG ; Julia Laot, porte-parole de la "Plateforme pour le droit à l'avortement" ; Carine Brochier, membre de l'asbl "Institut Européen de Bioéthique" et Anthony Burckhardt, président de l'asbl "Génération pour la vie".)

    Il est intéressant de constater que nos jeunes amis de la "Marche pour la Vie" sont parvenus à faire rouvrir le dossier de l'avortement alors qu'il semblait bien que la cause était définitivement entendue depuis le vote da la loi dépénalisant cette pratique. On peut écouter l'enregistrement de ce débat (podcast) ici : http://www.rtbf.be/radio/player/lapremiere/podcasts?c=LP-DIEU&e=1010

    Carine Brochier et Anthony Burckhardt ont su intervenir, sereinement, pour défendre une position de respect de la vie, mais soucieuse - en même temps - de promouvoir des mesures de soutien aux femmes tentées de recourir à l'avortement parce que leur situation les y contraint. On saura gré à Madame Brochier d'avoir su mettre en évidence qu'il n'y a pas un "droit à l'avortement" et que l'embryon doit être considéré avec respect. Les intervenants ont tous fait preuve d'empathie à l'égard des femmes mais la différence entre les pro-life et les partisans des "droits-des-femmes-à-disposer-librement-de-leur-corps", c'est que les premiers prennent en considération l'embryon en tant qu'être humain - vivant, méritant d'être protégé et défendu -, tandis que les seconds le traitent comme un "je ne sais quoi" dépendant d'un "projet parental" susceptible de lui donner une consistance, assez vague d'ailleurs.

  • Monseigneur Nicolas Bux : le chant de la sirène

    IMPRIMER

    Lu sur le site du bimensuel « L’Homme Nouveau » :

    9782916053530.jpgDon Nicolas Bux, spécialiste de liturgie, professeur de liturgie et de théologie sacramentaire à l'Institut de théologie de Bari en Italie, est aussi consulteur de la Congrégation pour la doctrine de la foi et de la Congrégation pour les causes des saints et depuis septembre 2008, il est également consulteur au Bureau des Célébrations liturgiques du Souverain Pontife. Il est aussi l'auteur de plusieurs livres dont La réforme de Benoît XVI (Tempora). Il vient d'adresser une lettre à Mgr Bernard Fellay, supérieur général de la Fraternité Saint-Pie X pour lui demander d'accepter la proposition du Saint-Père. C'est cette lettre que nous publions ci-dessous (on la trouve aussi sur son propre blog).

    Lire la suite

  • Sur la mort cérébrale et le don d'organes

    IMPRIMER

    Jeanne Smits aborde, de façon approfondie, cette problématique délicate. On pourra trouver les trois parties d'un entretien avec le Dr Paul Byrne en cliquant sur les liens suivants :

    « Mort cérébrale » et don d’organes : « l’une des racines de la culture de mort »

    « Mort cérébrale » et don d’organes : « l’une des racines de la culture de mort » (II)

    « Mort cérébrale » et don d’organes : IIIe partie

  • Liège, 27 mars : Politique et religion dans la pensée grecque

    IMPRIMER

    Mardi 27 mars 2012 à 18h00

     Politique et Religion dans la Pensée grecque

     Présentation par

     André MOTTE

     Professeur hon. à l’Université de Liège

     Directeur de Kernos

     Revue internationale et pluridisciplinaire de religion grecque antique

    Le sujet est particulièrement intéressant parce que l'expérience des Grecs anciens, tout au long de leur histoire, n'a connu qu'une étroite imbrication entre le politique et le religieux. Dès lors, projeter dans leur culture des notions comme celle de neutralité étatique, de pluralisme ou encore de laïcité fait courir le risque d'un grossier anachronisme. On s'attachera d'abord à illustrer cette situation qui fut la leur et à tenter de l'expliquer.

    Chez plusieurs penseurs cependant, poètes ou philosophes, on observe certains phénomènes de distanciation à l'égard de la religion traditionnelle ou du complexe politico-religieux de l'époque, distanciation tantôt inspirée par l'humour, tantôt due à une volonté de critique voire de rejet, tantôt encore prenant la forme d'une véritable objection de conscience. On présentera quelques exemples concrets de cette distanciation qui préfigure peut-être certains aspects de notre modernité et, avant de conclure, on esquissera, s'agissant des rapports entre le politique et le religieux, les positions, très différentes, des deux penseurs grecs qui ont marqué le plus profondément le développement de la culture occidentale, Platon et Aristote.

    La rencontre se tient à la salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du 20 Août, 7, 1er ét. (accès par la grande entrée) . Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi du lunch-débat : de 18h15 à 20h00. P.A.F : 10 €  (à régler sur place). Inscription obligatoire trois jours ouvrables à l’avance par e-mail.

    RSVP le 25 mars 2012 au plus tard

     Tél. 04.344.10.89 ou info@ethiquesociale.org

     Internet : www.ethiquesociale.org

    Union des étudiants catholiques de Liège : Jean-Paul Schyns, Quai Churchill, 42 – 4020 Liège (tél. 04 344 10 89;  e.mail  jpschyns@skynet.be)

    Groupe de réflexion sur l’éthique sociale : Elio Finetti, Quai Orban 34, 4020 Liège (tél. 0475 83 61 61;  e.mail : finetti@ethiquesociale.org)

    Calpurnia - Forum de conférences, débats : Philippe Deitz, Rue Henri Maus, 92 - 4000 Liège (tél. 04 253 25 15, e.mail: calpurnia.musee@gmail.com)

  • Un arrêt de la CEDH constitue une sérieuse défaite pour le lobby homosexuel

    IMPRIMER

    Pour la Cour européenne des Droits de l’Homme (CEDH), la limitation de l’accès à l'AMP* aux couples hétérosexuels et le rejet de la demande d’adoption d’un enfant par la partenaire homosexuelle de sa mère ne sont pas discriminatoires (source : http://www.cpdh.info)

    Strasbourg, le 15 mars 2012 - La Cour européenne des Droits de l’Homme (CEDH) a jugé, dans un arrêt rendu dans l’affaire GAS et DUBOIS c. France (Requête no 25951/07), que la France n’a pas violé la Convention européenne des droits de l’homme en refusant à une femme homosexuelle la faculté d’adopter l’enfant de sa partenaire, et en limitant l’accès à l'aide médicale à la procréation (AMP*) avec donneur aux couples hétérosexuels.

    L’ECLJ salue cet arrêt qui apporte des précisions importantes sur la question de l’adoption et de la procréation artificielle pour les partenaires homosexuels. Cet arrêt confirme la tendance récente de la Cour à une plus grande retenue judiciaire. Enfin, cet arrêt est susceptible d’avoir d’importantes conséquences sur la négociation de la Recommandation sur les droits et le statut juridique des enfants et les responsabilités Parentales, ainsi que sur un certain nombre d’autres affaires pendantes devant la CEDH. Dans l’ensemble, on peut analyser cet arrêt comme une défaite sévère de la « cause homosexuelle »[1], la Cour européenne ayant fait preuve de modération et de rigueur dans son interprétation de la Convention.

    L’affaire concerne le refus par les tribunaux français de la demande d’une femme d’adopter l’enfant que sa partenaire de même sexe avait conçu à l’étranger par procréation artificielle avec tiers donneur anonyme. Les juridictions françaises avaient refusé l’adoption parce qu’elle aurait eu pour effet de priver la mère biologique de ses droits et de son autorité parentale sur l’enfant, et aurait par suite été contraire à l’intérêt de l’enfant.

    Lire la suite

  • Liège, 27 mars : Politique et religion dans la pensée grecque

    IMPRIMER

      Cycle de Débats

    NEUTRALITÉ OU PLURALISME

    Dialogue entre Religions et Philosophies non confessionnelles

     

     Mardi 27 mars 2012 à 18h00

     Politique et Religion dans la Pensée grecque

     Présentation par  

     André MOTTE

     Professeur honoraire à l’Université de Liège

     Directeur de Kernos

     Revue internationale et pluridisciplinaire de religion grecque antique

    La rencontre se tient à la salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du 20 Août, 7, 1er ét. (accès par la grande entrée) . Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi du lunch-débat : de 18h15 à 20h00. P.A.F : 10 €  (à régler sur place). Inscription obligatoire trois jours ouvrables à l’avance par e-mail adressé à  info@ethiquesociale.org

     RSVP le 23 mars 2012 au plus tard

     Tél. 04.344.10.89 ou info@ethiquesociale.org

     Internet : www.ethiquesociale.org

  • Création et évolution: quand Darwin secoue la foi

    IMPRIMER

     

    banniere_2_02_jpg_2.jpg

     

                                           (http://www.institutsophia.org).

    Chers amis,

    C'est demain, mardi 13 mars, qu'aura lieu la conférence du Pr. Dominique Lambert.
    Elle s'intitule:

    "Création et évolution : quand Darwin secoue la foi"

    Ouvert à tous
    PAF : 3 €

    Où ? :
    Institut d’Etudes Théologiques (auditoire 2e étage)
    24, Bd St-Michel – 1040 Bruxelles

    Inscription souhaitée :
    cycledesoireessophia@gmail.com
    ou 0477/04.23.67

    Nous vous y attendons nombreux !


    Astrid, Jean-Baptiste, Lorène, Louise, Marie-Madeleine et Véronique

    L’équipe organisatrice

    Prochaine date à retenir : le jeudi 10 mai de 9h à 15h30: Journée ouverte à tous de 7 à 77 ans: "Bonjour l'Europe!". Découverte sur le terrain et au sein des Institutions européennes des enjeux qui s'y jouent.

     

  • Faut-il élargir le conclave ?

    IMPRIMER

    Question de Frédéric Mounier dans le journal « La Croix » :

    « Intéressant débat lancé en Italie par le politologue Ernesto Galli della Logia. Dans le récent supplément culturel du « Corriere della Sera », cet analyste constate la faiblesse actuelle, sur le plan de l’organisation politique, du gouvernement pontifical et, partant, du pouvoir du pape : fuite de documents confidentiels et luttes internes se multiplient, mettant en jeu la crédibilité même de l’institution. Aux yeux de nombreux observateurs italiens, le pape ne semble pas à même d’y porter remède de façon opérationnelle. Le monarque absolu ne l’est pas autant qu’on le croit, ou que son image le laisse penser… D’où une proposition paradoxale, qui découle d’une réflexion sur la nature et l’exercice de la primauté pontificale. Pour renforcer le pouvoir du pape, et lui donner une réelle assise pour gouverner, il faudrait… élargir le collège des électeurs, le conclave, à l’échelle de l’Eglise universelle. Et faire voter tous les évêques ainsi que la plupart des supérieurs généraux d’ordres et de congrégations religieuses. On passerait ainsi d’un collège de 125 électeurs à… plus de 6000 ! E. della Logia explique qu’ainsi le système ne souffrirait plus des défauts d’une « oligarchie » (qualifiée par beaucoup de gérontocratique), et empêcherait par nature les luttes de clan et appétits de carrière. Les candidatures seraient recevables à partir d’un certain nombre de signatures (ce qui n’est pas sans rappeler le système français) .. mais suppose donc de véritables déclarations explicites de candidatures au siège de Pierre, aujourd’hui impossibles.

    En son temps, Paul VI avait envisagé un élargissement du conclave, mais limité aux patriarches orientaux non cardinaux et aux présidents de conférences épiscopales. La réflexion n’avait pas débouché, en partie parce qu’elle mettait en cause l’un des fondements essentiels de la primauté pontificale : le pape est pape, depuis toujours, parce qu’il est évêque de Rome, lieu du martyre de Pierre. Et les cardinaux l’élisent parce qu’ils sont, dès leur nomination, liés à une paroisse romaine. S’il s’agit d’élargir la base, alors il faudrait donner le droit de vote avant tout aux prêtres, et pourquoi pas aux fidèles, de la Ville Eternelle..

    Au-delà de l’anecdote (on peut en effet débattre à l’infini des mérites de tel ou tel système électif..), cette proposition pose à nouveaux frais une question de fond : l’Eglise catholique romaine est aujourd’hui l’une des (si ce n’est l’unique) institutions mondiales à « régner » sur 1,2 milliards de fidèles à partir d’un « centre », Rome. Or, depuis deux générations, l’organisation du monde a obéi, souvent dans les douleurs de l’enfantement, à une double tendance, centrifuge et centripète : uniformisation mondiale des modes de vie, de consommation, de pensée, combinée à une autonomisation grandissante des centres de décision. Les modes de gestion des Etats, des entreprises, des associations tendent ainsi à s’uniformiser, à la lumière d’une influence grandissante du management, du marketing, de la quantification des objectifs et des performances… Pour autant, on parle beaucoup de l’écoute indispensable de la base, de la participation des acteurs sans laquelle rien ne sera possible, etc…

    Sur cette ligne de crête, où peut (et veut) se situer l’Eglise ? Référence ici : Faut-il élargir le conclave ?

    L’Eglise n’est ni un Etat, ni une démocratie, mais une Communion d’Eglises au sommet de laquelle se trouve celle de Rome dont le Chef préside aussi à la charité entre elles, selon le mandat reçu du Christ lui-même. Il n’y a donc pas de raison de vouloir à tout prix lui imposer les modes d’organisation qui prévalent dans les sociétés politiques. Le sacré collège des cardinaux  de l’Eglise de Rome a près de mille ans d’existence. Aujourd’hui ni trop grand, ni trop petit, sa composition internationale  tient  compte la mission universelle du Pontife Romain à la tête des Eglises. Transférer les pouvoirs de cette institution à un concile oecuménique (où son équivalent)  a déjà eu lieu à la fin du moyen âge, pour résorber le « grand schisme d’occident » au cours duquel pape et anti-papes se disputaient la tiare. Mais ce fut, à l’époque, au prix d’un « conciliarisme » plaçant les pouvoirs de l’assemblée au dessus de ceux du pape : tentation récurrente, jusqu’au sein des débats de Vatican II sur la  constitution dogmatique « Lumen gentium ». Un train peut toujours en cacher un autre.  

  • Un débat sur l'avortement à la radio

    IMPRIMER

    Un débat radio sur la RTBF sera diffusé sur La Premiere de 11h a 12h, le dimanche 18 mars (émission "Et Dieu dans tout ça")
     
    Les intervenants seront :
    •  Dr Françoise Kruyen, gynécologue, pionnière de la lutte pour la dépénalisation de l'avortement ;
    • Julia Laot, porte-parole de la Plateforme pour l'avortement ;
    • Carine Brochier, membre de l'Institut Européen de Bioéthique ;
    • Antony Burckhardt, président de « Génération pour la vie »

  • Le numéro 1513 de l'Homme Nouveau (10 mars 2012)

    IMPRIMER

    Au sommaire du numéro 1513 daté du 10 mars 2012 (commande) :

    Evénement : Présidentielles françaises : Un juste vote ?

    Quelques réflexions sur le programme de divers candidats à l'aune de la doctrine catholique.

    Dossier : Liturgie

    Des évêques réagissent au sujet des traductions liturgiques.

    Actualités : Aux frontières de l'humain.

    Un congrès s'est tenu à Rome sur la personne humaine à l'heure de la révolution biotechnologique. Éclairant !

    Kevin Ford, un jeune fermier en Amérique.

    La contraception accessible à tous : Un rapport demande l'accès gratuit à toute contraception pour les mineur(e)s. Il montre en effet que ces derniers ne l'utilisent guère.

    Culture : Le père Frederick William Faber, avocat de l'Église et chantre du Salut.

    Saint François d'Assise selon les écrits de Padre Pio.

    Figure spirituelle : Catherine Drexel, mère et servante des Indiens et des Noirs.

    Magistère : Le Pape invite les cardinaux à avoir saint Pierre pour modèle.

    Tribune : Le frère Marie-Angel, soldat du feu, soldat de Dieu.

  • Journée de la femme : l'Eglise, misogyne ?

    IMPRIMER

    Le site "catholique.org" pose cette question :

    "Quelles relations entre l’Eglise et les femmes dans l’Histoire ?"

    et y répond de la manière suivante :

    Quelques idées reçues...

    "C’est la mysogynie du christianisme qui explique que la femme était autrefois considérée comme inférieure à l’homme."

    Au contraire !

    Le christianisme a révolutionné les mentalités en affirmant au sein d’un monde antique pénétré par l’idée d’infériorité de la femme, l’égale dignité des deux sexes aux yeux de Dieu. Saint-Paul n’affirme-t-il pas dans son épître aux Galates (III,28) : "Il n’y a plus ni juif, ni Grec, ni maître, ni esclave ; ni homme, ni femme. Vous n’êtes qu’un dans le Christ Jésus" ? Comme le souligne Monique Piettre : "désormais le rite d’élection n’est plus le signe, exclusivement réservé aux mâles et inscrit dans la chair, qu’était la circoncision hébraique, mais un sceau invisible imprimé sur les âmes et offert à tous et à toutes : le baptême". Cette égalité de dignité était déjà affirmée dans la Genèse : "Dieu créa l’homme à Son Image, à l’image de Dieu Il le créa, homme et femme il les créa".

    Par ailleurs, Dieu a tout de même choisi de s’incarner dans le sein d’une femme (il aurait pu descendre sur terre adulte...), et tout son plan de salut était suspendu au "oui" de cette femme, la Vierge Marie, qu’Il a donnée comme mère à tous les hommes...On devrait méditer davantage les propos de Jean Guitton : "la personne la plus parfaite de notre monde moral se trouve avoir été choisie dans le sexe le plus faible".

    Lire la suite