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Enseignement - Education - Page 128

  • Allemagne : quand les cours d'éducation sexuelle vont trop loin

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    Allemagne : préservatifs, positions et plaisir au menu des cours d'éducation sexuelle

    Source : Le Point (Pascale Hugues - 15/02/2015)

    Le sexe n'a pas de secret pour les petits Allemands, qui participent à des stages éducatifs dès la primaire. Certains parents crient au scandale.

    Dès la primaire, les enfants allemands participent à des stages d'éducation sexuelle dans des centres, accompagnés par leurs instituteurs (illustration).

    Apprendre à enfiler un préservatif de la bonne taille sur un concombre... Être rassuré sur toutes les questions qu'on se pose sans oser les aborder avec ses parents : érection, masturbation, phimosis, acné, taille des seins ou du pénis, éjaculation précoce, frigidité... Et rentrer chez soi avec trois paquets de préservatifs de couleurs et de goûts différents. Dès l'école primaire, les petits Allemands, accompagnés de leurs enseignants, vont régulièrement suivre des stages d'éducation sexuelle dans un centre spécialisé.

    Il est loin, le temps où ils jouaient au docteur sous la couette du lit de leur chambre d'enfant, achetaient sous cape un magazine érotique au kiosque à journaux de la gare ou étaient solennellement convoqués dans le bureau du père "pour parler en quelques minutes de certaines choses"... Les jeunes Allemands d'aujourd'hui sont incollables quand il s'agit de sexe. Ce ne sont plus seulement les méthodes contraceptives et les dangers des maladies vénériennes ou du sida qu'ils apprennent, mais aussi les différentes positions, le moyen le plus sûr de donner du plaisir à son partenaire, les incertitudes et les ratés de la sexualité. Les cours d'éducation sexuelle actuels ne laissent plus rien au hasard des premières expériences.

    Trop tôt, trop explicite, trop cru

    Mais, depuis un an, les parents d'élèves défilent par centaines dans les rues allemandes sous la bannière "Parents inquiets". Ils s'opposent aux cours d'éducation sexuelle à l'école qui, selon eux, blessent la pudeur de leurs enfants et risquent de les traumatiser à vie. Trop tôt, trop explicite, trop cru, se plaignent ces parents montés sur les barricades. Ils estiment que c'est dans le giron de la famille et selon les normes de celle-ci que les enfants doivent apprendre "les choses de la vie et de l'amour". "Bas les pattes ! Ne touchez pas à nos enfants !", "Les enfants ont besoin d'amour, pas de sexe !" s'exclament ces parents scandalisés que ces cours soient obligatoires. En effet, ceux qui refusent que leurs enfants participent à ces stages sont passibles de poursuites judiciaires. Une manifestation est prévue chaque mois dans une grande ville : en mars à Munich, en avril à Kassel.

    Soupçonné d'avoir été récupéré par des chrétiens intégristes, des extrémistes de tout bord et des groupuscules homophobes, le mouvement prône le retour à la famille traditionnelle et à ses solides valeurs. Les militants les plus durs accusent l'école de recommander le libertinage sexuel et de pousser les jeunes à l'homosexualité. Béatrice Bourges, cofondatrice de la Manif pour tous en France et désormais présidente du groupuscule Printemps français, est venue apporter son soutien l'an dernier à Cologne à ces "parents inquiets"...

  • Le Sacrement de Pénitence dans tous ses états

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    Pour commencer le Carême, quoi de mieux que de parler du sacrement de réconciliation ? N'est-ce pas en effet à la pénitence que nous sommes invités en ce début du mois de mars ? Ce sacrement, appelé aussi bien " confession ", que " sacrement de pénitence " ou " de réconciliation " relève d'une démarche personnelle qui ne semble pas toujours évidente. Alors, faut-il se confesser ? Y a-t-il des raisons particulières à recevoir ce sacrement même si on " se sent bien " dans sa vie et que notre conscience ne semble pas troublée plus que d'ordinaire ? L’an dernier à pareille époque, le père François Potez, curé de Notre-Dame-du-Travail à Paris et le père Arnaud Toury, délégué diocésain à la Pastorale liturgique et sacramentelle du diocèse de Reims apportaient un éclairage selon le cœur et l’esprit. C’est à (re)voir ci-dessous. JPSC :

     

    Source: KTO Le sacrement de réconciliation

  • Dieu ou rien : entretien sur la foi

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    Dieu ou rien : entretien sur la foi

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    Auteur : Cardinal Robert Sarah  avec Nicolas Diat

    Editeur : Fayard
    Nombre de pages : 260

    Des entretiens passionnants,  où le cardinal Robert Sarah, actuel préfet de la congrégation romaine du culte divin, revient sur son parcours en abordant les thèmes d'actualité de l'Eglise : gouvernement, papes, réforme, etc., et en exposant ses réflexions sur le monde, la politique internationale, l'économie ou la morale. Il est interrogé par Nicolas Diat, l’auteur d’un essai remarquable consacré, voici peu,  à Benoît XVI : « L’homme qui ne voulait pas devenir pape » (Albin Michel). La manchette annonce que le pape émérite lui-même préface son dialogue avec le cardinal Sarah. Publié chez Fayard. JPSC

    Lu sur le site de « Famille chrétienne » :

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    « L’Afrique pourrait devenir le fer de lance de l’Église dans son opposition à la décadence occidentale, comme l’illustre un livre d’entretien avec le cardinal guinéen Robert Sarah.

    Enfant, ses parents lui sourient gentiment lorsqu’il leur dit qu’il veut suivre l’exemple des missionnaires spiritains présents dans son village de Guinée : un Noir ne peut pas devenir prêtre de l’Église catholique ! Aujourd’hui, ce fils de cultivateurs nommé à 32 ans archevêque de Conakry par Paul VI est l’un devenu des principaux responsables de la Curie romaine.

    Dans ce livre d’entretien réalisé avec Nicolas Diat, le cardinal Robert Sarah, préfet de la Congrégation pour le Culte divin et la discipline des sacrements, raconte avec humilité et profondeur son incroyable histoire. Un récit étayé de réflexions personnelles franches, argumentées et parfois directes, notamment sur le néo-colonialisme idéologique exercé en Afrique par l’Occident décadent. Décapant, émouvant, tonifiant. »

    Ref. Dieu ou rien : entretien sur la foi

     

  • Confiance, j’ai vaincu le monde

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    Extrait de l’éditorial de Mgr Marc Aillet, évêque de Bayonne, dans Notre Église n°55 - Février 2015 :  

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      […] Quand Jésus inaugura son ministère public, il ne vint pas avec éclat et majesté, mais il se mit au rang des pécheurs, attendant son tour pour être baptisé par Jean dans le Jourdain. Désigné comme l'Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde, il n'avait pas besoin de ce baptême de repentir, mais par ce geste de son immersion, il annonçait prophétiquement la modalité de sa mission de salut : c'est par l'humiliation de la passion et la mort sur la croix, qu'il libérerait l'humanité.

    Nous aussi nous attendons un libérateur pour notre temps, dont le pape Benoît XVI avait identifié le problème majeur : « En ce moment de notre histoire, le vrai problème est que Dieu disparaît de l’horizon des hommes et que tandis que s’éteint la lumière provenant de Dieu, l’humanité manque d’orientation, et les effets destructeurs s’en manifestent toujours plus en son sein ». En gommant les racines chrétiennes de notre culture, en faisant l’apologie d’une conception matérialiste, hédoniste et relativiste de l’existence qui conduit à ce que le pape François a appelé « le grand vide d’idées auquel nous assistons en Occident », nous faisons le lit du fondamentalisme religieux et de tous les extrémismes. En effet, comme le Saint-Père le rappelait devant le Parlement européen, en citant le Pape émérite, « c’est l’oubli de Dieu, et non pas sa glorification, qui engendre la violence ».

    Ceux que l’on appelle les « islamistes radicaux », qui semblent rallier de plus en plus d’adeptes tant dans les pays à majorité musulmane qu’en France, où le nombre de conversions à l’Islam grandit, ont décidé de punir cette conception du monde qu’ils identifient de manière sommaire avec la civilisation chrétienne : c’est pourquoi les chrétiens, comme nous le constatons au Moyen Orient, au Nigéria ou au Pakistan, sont des cibles privilégiées de leurs exactions. Il s’agit pour eux de conquérir le monde à l’Oumma, en recourant à la violence la plus aveugle pour servir un idéal à la fois politique et religieux.

    Nous ne saurions répondre à cette grave crise par le seul recours à une laïcité qui accompagne ce que saint Jean Paul II a appelé « une apostasie tranquille et silencieuse ». Aujourd’hui, après les attentats du mois de janvier à Paris, on semble même avoir oublié les victimes désarmées au profit d’idées que l’on appelle pompeusement les « valeurs de la République » : « Maintenir vivante la démocratie en Europe demande d’éviter les « manières globalisantes » de diluer la réalité : les purismes angéliques, les totalitarismes du relativisme, les fondamentalismes anhistoriques, les éthiques sans bonté, les intellectualismes sans sagesse » (Pape François devant le Parlement européen). Aveuglés sur les vrais enjeux, on s’obstine à idolâtrer la liberté d'expression. Mais une liberté d’expression qui n'est pas au service de l'affirmation des droits humains les plus fondamentaux, comme le droit à la vie et le droit à la liberté religieuse, peut devenir destructrice : en sombrant dans l'insulte et la dérision, elle attise la haine, engendre la violence et érige le manque de respect de l'autre en principe du vivre ensemble! Les événements récents en ont apporté la navrante démonstration.

    Ni la violence, ni le laïcisme ne sont une réponse adéquate à la crise que nous vivons. La réponse des chrétiens est tout autre : c'est la grâce de l'Esprit Saint reçue au baptême ! Ce don est seul capable, en nous unissant réellement au Christ mort et ressuscité, de changer radicalement notre cœur, c'est-à-dire de le transformer à la racine, où se cachent les pensées perverses dont Jésus parle dans l'Evangile. On a beaucoup évoqué les islamistes radicaux ou radicalisés, qui exercent une violence inouïe au nom de leur croyance ou de leur religion. La radicalité du baptême se situe à un autre niveau, au plus intime de nous-même, dans la seule contestation qui soit efficace, celle qui s'attaque non aux autres, mais à la racine du mal qui est tapi dans les cœurs : une révolte d'amour contre l'esclavage des passions. En nous établissant dans une relation d'amitié avec le Christ, constamment nourrie par la Parole et les sacrements, la foi nous donne de vaincre le monde ! Alors, nous pourrons avec le Christ transformer l’histoire.

    + Marc Aillet

    Ref: Confiance, j’ai vaincu le monde

     JPSC

  • Le modernisme: genèse et bilan - Entretien avec l'abbé Guillaume de Tanoüarn / Cercle Henri Lagrange

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    De saint Pie X à nos jours : petit voyage dans la galaxie de la réaction traditionaliste. Vu sur le « metablog » de l’abbé de Tanoüarn :

    JPSC

  • Les manuels scolaires bientôt détrônés ?

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    Du blog de la liberté scolaire :

    Sans titre.pngUN QUASI WIKI-MANUEL SCOLAIRE

    Voici une initiative astucieuse et prometteuse dans son principe (sans préjuger de la qualité du contenu des manuels). Elle émane d’une entreprise récemment fondée par un jeune diplômé d’HEC, Raphaël Taieb, qui est en train de se tailler une part de marché significative aux dépens des grands éditeurs scolaires. Il s’agit de http://lelivrescolaire.fr/. Les manuels scolaires ont la particularité d’être rédigés par une communauté composée de centaines de professeurs, à partir d’une structure générale découlant des programmes en vigueur. Le manuel scolaire est gratuit dans sa version en ligne et payant dans sa version imprimée. À ce manuel sont associés des exercices interactifs divers. L’entreprise accepte aussi de vendre l’outil informatique qui permet de rédiger de manière participative des manuels et d’y joindre des exercices interactifs. Avis aux amateurs ! À quand des manuels scolaires issus de la coopération désintéressée des meilleurs professeurs des écoles indépendantes en lien avec les meilleurs professeurs de tous horizons ?

  • La lettre d'un professeur à ses anciens élèves musulmans

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    Source : eecho.fr

    Lettre à mes anciens élèves musulmans

       Selon le rituel que vous connaissiez bien au début de chaque heure de cours, j’ai appelé Mohamed, Aïcha, Ibrahim, Kamel, Leïla et Moussa, avant ou après Jonathan, Sylvia, David, Samuel et Amandine, au gré de l’initiale de votre patronyme, et la liste de la classe s’est déroulée, comme une écharpe bayadère tricotée de noms sans frontière. Je n’ai oublié ni Lily, ni Oussama, ni Coralie, ni Maxime, ni Aziz, pas plus que Jennifer, Léa, Fatima, Linda, Bilal et Marco. Je vous ai tous appelés… Mais ce jour-là, la moitié d’entre vous n’a pas répondu, car vous fêtiez l’Aïd-el-Kébir en famille, échangeant des cadeaux et des paroles aimables. « C’est comme Noël pour vous, Madame, m’aviez-vous expliqué la veille, en me prévenant de votre absence. » Là, il y avait erreur sur le fond de la comparaison, mais comment vous en vouloir, puisque personne encore ne vous avait dit avec foi et ferveur ce qu’est véritablement Noël pour un chrétien…

       Dix ans plus tôt, en telle circonstance, vos parents n’auraient pas osé dire le motif de l’absence de vos frères et sœurs aînés qui, lorsqu’ils retournaient en classe le lendemain, présentaient un billet d’absence stipulant une « raison familiale », une « raison personnelle » ou un « problème de santé », fort bénin sans doute puisqu’ils revenaient si vite… Désormais, vos parents inscrivent clairement le motif : « Fête religieuse », et vous donnez votre billet avec fierté, et même parfois, avec un brin d’arrogance ou d’ironie. La religion, cette affaire classée par l’Etat en zone privée, vous ne craignez plus de la passer sous silence, et c’est elle qui vous distingue des autres, en classe, dans un collège républicain et laïc… Pour preuve de votre bonne foi, vous toquiez gentiment à la porte de la salle des professeurs avec une assiette garnie des pâtisseries délicieuses que vos mères avaient confectionnées pour l’occasion. Et vos camarades, baptisés ou issus de baptisés, indifférents ou incroyants, puisque chez eux on ne parle plus de Dieu, ou seulement sur le ton de la dérision, ces camarades vous enviaient presque, ce jour-là, d’avoir quelque chose à croire ou quelqu’un à craindre, eux dont les parents n’ont ni Dieu ni maître…

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  • Université de Liège, le mercredi 4 mars à 18h00: la famille, nature et culture: l'équivoque freudo-marxiste

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    Une initiative du groupe éthique sociale et de l'union des étudiants catholiques de Liège:

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    La famille : nature et culture, l’équivoque freudo-marxiste

    Lunch Débat à Liège avec Paolo Sorbi,

    Professeur ordinaire de Sociologie à l’Università Europea de Rome.

    L’analyse d'un sociologue catholique italien qui, après avoir adhéré à l’idéologie marxiste dans les années ’60, a redécouvert les valeurs sociales chrétiennes comme celles de la famille naturelle et a des affinités intellectuelles avec le magistère de Benoît XVI.

    La crise actuelle de la famille est attribuée à une culture qui refuse la stabilité de la nature humaine. Cette culture a été développée par le courant freudo-marxisme de l’Ecole de Francfort  (« Frankfurter Schule») : la pensée de Freud et de Marcuse a voulu détruire la figure du « père-maître » qui aurait été la cause de l'autoritarisme allemand  et la pensée de Marx a servi d’instrument pour promouvoir un égalitarisme entre homme et femme à tous les niveaux .Sous l’effet de ce coktail explosif, destructeur de la notion de «père» et de «mère», la famille est alors perçue comme une «prison» liberticide.

    Mercredi 4 mars 2015 à 18h00, Université de Liège, Bâtiment du Rectorat, Salle des Professeurs, Place du 20 août, 7, 1er étage (accès par l’entrée principale, parcours fléché).

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    Si vous désirez prendre part à ce  lunch débat, votre inscription est requise (avant le 27 février).

    A cet effet, cliquez ici :http://www.ethiquesociale.org/conference/la-famille-nature-et-culture-lequivoque-freudo-marxiste/remplissez le formulaire et cliquez sur la case réserver. Vous pouvez aussi téléphoner au n° 04.344.10.89  

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  • Don Bosco - 1815-2015

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    Don Bosco - Anniversaire 1815 - 2015

                DVD            -   Bande-dessinée      -   Biographies      -  Souvenirs autobiographiques !

     

    PLUS DE LIVRES SUR DON BOSCO

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  • Denis Crouan publie un guide pratique sur "l’art de célébrer" la liturgie

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    Ecrit à la demande de prêtres et de laïcs, ce Guide a pour but d'aider les fidèles catholiques à retrouver le sens du sacré, en renouvelant la vie liturgique des paroisses, dans la fidélité aux normes du concile Vatican II, et le respect des enseignements pontificaux, notamment ceux du Pape émérite Benoît XVI.

    " L'art de célébrer doit favoriser le sens du sacré et l'utilisation des formes extérieures qui éduquent à un tel sens, comme par exemple l'harmonie du rite, des vêtements liturgiques, de l'ameublement et du lieu sacré.(...) La simplicité des gestes et la sobriété des signes, effectués dans l'ordre et dans les moments prévus, communiquent et impliquent plus que le caractère artificiel d'ajouts inopportuns. L'attention et l'obéissance à la structure propre du rite, tout en exprimant la reconnaissance du caractère de don de l'Eucharistie, manifestent la volonté du ministre d'accueillir, avec une docile gratitude, ce don ineffable." Benoît XVI, exhortation Sacramentum caritatis.

    Clair et facile à lire, cet ouvrage permet de redécouvrir le service du sacristain, le sens et l'utilisation des objets et des vêtements liturgiques, le déroulement de la messe, le rôle des servants de messe, l'attitude des fidèles, la place des chants et de la musique.

    L'auteur, Denis Crouan, est Docteur en théologie, professeur de Lettres et d'Histoire, organiste et maître de choeur. Il a publié de nombreux ouvrages sur la liturgie qui font aujourd'hui autorité.

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  • Le pape favorable à la fessée; buzz sur le net

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    Lors de l'Audience générale de mercredi dernier, le pape a laissé entendre qu'une correction - pourvu qu'elle soit juste et digne - pouvait être administrée aux enfants. Cette déclaration suscite l'émoi comme on pourra s'en rendre compte en introduisant les termes "pape" et "fessée" dans un moteur de recherche : https://www.google.be/search?q=pape+fess%C3%A9e&oq=pape+fess%C3%A9e

    Lire : ce-que-le-pape-n'a-pas-dit-sur-la-fessee-