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Enseignement - Education - Page 171

  • Pour les vocations

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    Nous sommes invités à prier et à marcher pour les vocations. C'est bien volontiers que nous relayons cet appel en faisant remarquer que, si les réponses à l'appel de Dieu se font rares, c'est parce qu'il n'y a plus de véritable culture religieuse, non seulement dans notre société, mais surtout dans nos familles, dans nos écoles, dans nos mouvements de jeunesse. Les rares vocations qui fleurissent aujourd'hui sont le fait de jeunes qui, grâce à une "culture familiale" ouverte à la présence de Dieu, ou à l'occasion de rencontres avec des gens (enseignants, animateurs, aumôniers...) vivant leur foi avec radicalité, ont été sensibles aux appels du Seigneur. Quand on ne prie pas dans les familles, lorsqu'on ne "pratique" plus, lorsque les écoles "chrétiennes" cessent de relayer l'Evangile, lorsque les mouvements de jeunesse rejettent leur appartenance chrétienne, ..., il n'y a pas lieu de s'étonner devant l'absence de vocations religieuses. Et cela ne se vérifie pas qu'à ce niveau. Il devient difficile, aujourd'hui, de trouver des bénévoles laïcs pour s'engager dans les services d'entraide, dans les visites aux malades, dans les équipes pastorales, dans les fabriques d'églises, etc. Des valeurs comme la solidarité, la gratuité, l'engagement... ne peuvent fleurir que sur un terreau approprié et non dans la friche spirituelle d'une société où ne comptent que l'argent, la rentabilité, la recherche du plaisir, ou l'individualisme.

  • Neutralité ou Pluralisme dans l'Espace public

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    « Lunch-débat » à l’Université de Liège, le mercredi 25 avril à 18h00  

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    avec le Professeur Francis Delpérée

    delperee_photo.jpgDans le cadre de son cycle de rencontres 2011-2012, l’Union des Etudiants catholiques de Liège et le Groupe « Ethique sociale » organise avec le forum de conférences « Calpurnia », un lunch-débat sur le thème «Neutralité ou Pluralisme dans l’Espace public ».

    La parole sera donnée à un éminent spécialiste doublé d’un excellent pédagogue: Francis DELPÉRÉE, sénateur et professeur ém. de droit constitutionnel à l’Université Catholique de Louvain (U.C.L.)

    Les collectivités publiques peuvent-elles se passer de références fondamentales en amont de la loi positive qu’elles édictent ? Comment aboutir à un consensus sur la reconnaissance de ces valeurs ? Existe-t-il un droit naturel fait de postulats ou d’acquis irréversibles pour l’humanité ? Les Eglises, les communautés religieuses ou les organisations philosophiques ont-elles un rôle à jouer dans l’espace public pour construire les collectivités politiques nationales ou internationales qui rassemblent les citoyens ? Quel est le statut de ces Eglises ou communautés dans le droit belge ? Peut-on comparer leur rôle dans la société belge à celui du communautarisme aux Etats-Unis ? En quoi le régime des cultes en Belgique diffère-t-il de la laïcité de l’Etat qui prévaut dans le modèle français ?

    Réponse au lunch-débat que le Professeur Francis animera le mercredi 25 avril prochain à 18 heures à l’Université de Liège, place du XX août, 7, 1er étage (accès par la grande entrée, parcours fléché). Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi du lunch-débat : de 18h15 à 20h00. P.A.F :10 € (à régler sur place).

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    Inscription obligatoire le 23 avril au plus tard 

    par tél. 04.344.10.89 ou info@ethiquesociale.org 

  • Un petit traité des grandes questions historiques

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    La remise en cause des « mythes » historiques est devenue une pratique courante à une époque qui voit à la fois l’imposition d’une certaine « doxa » historique, au moins concernant certains sujets, et la diffusion, plus ou moins souterraine, d’informations contradictoires. Il y a quelques années la revue La Nef avait ainsi publié sous le titre éloquent de « Grands mythes de l’Histoire », un hors-série qui a connu plusieurs éditions. Ce fut ensuite Jean Sévillia qui chez un grand éditeur de livres d’Histoire destinés au grand public s’était lancé dans la réfutation de l’Historiquement correct, titre même de son livre, lequel vient d’ailleurs d’être renforcé par la publication d’un nouvel ouvrage au titre proche : Historiquement incorrect.

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  • Pour l'école libre

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    index.jpgLe 14 avril, vingt mille personnes manifestaient à Milan pour la liberté de l'enseignement. Le cardinal Scola en était.

    Isabelle Cousturié, sur ZENIT.org.

    « Le manque de liberté dans l’éducation est une blessure très grave pour la société civile: nous devons le dire à haute voix », a déclaré l’archevêque de Milan, le cardinal Angelo Scola, en rencontrant samedi 14 avril dernier, les enfants de l’ « Andemm al Domm 2012 », la marche des écoles catholiques de son diocèse.

    La marche, qui en était à sa 30ème édition, a rassemblé 20.000 enfants et adultes qui, malgré le mauvais temps, sont partis de la place du Duc d’Aoste pour atteindre la place de la Cathédrale (Duomo), où les attendait le cardinal Scola.

    Le thème de la marche était : «  L’école catholique est tournée vers l’avenir : la famille, le travail, la fête »,  en lien avec le thème de la  prochaine rencontre mondiale des familles prévue à Milan du 30 mai au 3 juin. Et les participants portaient sur leurs tee-shirts le logo de ce rendez-vous avec le pape.

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  • Un diagnostic sans prescription

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    nomination_nicolas_brouwet.jpgPour le « Figaro », Jean-Marie Guénois a interrogé le plus jeune évêque de France, Nicolas Brouwet, 49 ans, qui est aussi, depuis le 11 février, le nouvel évêque de Tarbes et Lourdes. Il a beaucoup travaillé en aumôneries avec des jeunes et incarne une nouvelle génération d'évêques.

     LE FIGARO. - Confirmez-vous par votre expérience cet intérêt nouveau des plus jeunes générations pour la religion?

    Nicolas BROUWET. -Je constate deux choses: tout d'abord que les jeunes n'ont plus les préventions de leurs aînés vis-à-vis de la religion. Dans notre société très laïque, la foi en Dieu n'est plus portée par des structures sociales, par des comportements de masse; du coup elle apparaît à des jeunes comme un espace où la liberté peut s'exercer pleinement, quitte même à devenir un lieu d'expression personnelle dont les parents non croyants n'ont pas la clé. Par ailleurs, là où leurs aînés rejetaient la foi dans une mentalité positiviste et libertaire, les jeunes voient dans la religion une chance de nouer des relations profondes et une école de vie alors qu'ils manquent de boussole et de balises pour leur vie quotidienne.

    Mais pourquoi les chrétiens ne parviennent pas à transmettre leur héritage religieux quand les juifs et les musulmans réussissent?

    Le christianisme, en Occident, vient d'affronter une terrible crise de la foi, ce qui n'est pas le cas, je crois, chez les juifs et chez les musulmans. À cette crise de la foi correspond automatiquement une crise de la transmission. Quand on n'est plus certain de ce en quoi on croit, on ne sait plus en parler à ses enfants. Par ailleurs, le christianisme insiste beaucoup sur une appropriation personnelle de sa propre foi. Il y a ce que des parents veulent transmettre et ce que des enfants ont envie ou non de reprendre à leur compte. C'est la liberté humaine qui est en jeu. Aucune structure ne peut garantir le maintien de la foi d'une génération à l'autre. Ce travail d'appropriation personnelle et de confrontation de la foi à la raison est tout à l'honneur du christianisme mais, du coup, il fragilise, pour ainsi dire, sa transmission.

    Comment se fait-il qu'une partie des catholiques doute à ce point des enseignements de l'Église?

    Je crois qu'il y a tout d'abord un esprit de doute méthodique qui est très français et qui empêche la raison d'accepter de se laisser dépasser par la foi. Par ailleurs il me semble que nous manquons de formations à l'ensemble organique de la foi chrétienne pour l'étudier dans son unité, et en comprendre sa cohérence comme le propose, par exemple, le catéchisme de l'Église catholique. Enfin nous travaillons très peu, y compris dans le catéchisme des enfants, sur la manière d'exprimer notre foi. Ce qui donne des chrétiens embarrassés pour répondre aux questions qu'on leur pose.

    Que révèle, selon vous, l'intérêt significatif des Français pour la spiritualité?

    Cela traduit une lassitude et une déception. Beaucoup de gens comprennent   que consommer ou se préoccuper de son confort ne suffit pas à combler une existence. Il leur faut autre chose qui ne se mesure pas, que l'on ne peut pas acheter et qui demande un engagement personnel et sin­cère. «Les jeunes voient dans la religion une chance»

    Des aînés libertaires, des jeunes déboussolés, des formateurs incohérents. Soit, mais alors quoi, docteur ? Une chose est de diagnostiquer le sida, mais trouver le remède ce serait encore mieux.

  • L’évêque d’Anvers en remet une couche

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    1194991884264.jpgDécidément, l’évêque d’Anvers Johan Bonny aime s’épancher dans les médias. Voici quelques semaines, il avait communiqué dans la presse flamande  -le « Standaard » et le  « Morgen »- son point de vue fort positif concernant la pièce provocante de Castellucci « Sur le concept du visage du Fils de Dieu » qu’il avait été voir au Singel d’Anvers, le 4 février 2012.

    Mais Mgr Bonny a encore d’autres flèches dans son carquois. Pour Pâques, c’est à nouveau dans le « Standaard » qu’il a choisi de s’exprimer en reprenant, avec quelques précautions oratoires qui ne trompent personne, une antienne bien connue du psautier moderniste :

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  • Qu'est-ce que la messe ?

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    vanderweyden_croix1.jpgLa messe de la Dernière Cène qui se célèbre au soir du Jeudi-Saint -premier jour du « triduum pascal »- commémore l’institution de l’Eucharistie par le Christ « pridie quam pateretur » : à la veille du jour de sa passion. Telle fut la première messe indissociable du sacrifice de la croix qu’elle signifie.

    Sur une page du livre d’intentions ouvert au fond d’une église liégeoise, un fidèle anonyme a écrit : « Qu’est-ce que la messe » ? et consigné la réponse que lui a faite un prêtre : « c’est un repas… ». Essayons donc d’expliciter, humblement, ces points de suspension.

    Dans un petit livre pénétrant, "Ce qu'est le mystère à l'intelligence" (1), Louis Salleron s'est interrogé, après tant d'autres, sur l'"essence" du christianisme, qui se trouve être, pense-t-il, dans le sacrifice:

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  • Amérique latine : Benoît XVI devait-il entreprendre un périple si épuisant ?

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    Réponse de Jean-Marie Guénois (« Le Figaro ») sur son blog (extraits) :

    485101-pape-benoit-xvi-santiago-cuba.jpgA Cuba Benoit XVI est allé au bout de ses forces. Mais les jours qui l'attendent à Rome sont les plus chargés de l'année. Ce dimanche des Rameaux, il préside la messe la plus longue du cycle liturgique. Puis il entrera dans la semaine sainte, très dense en célébrations. Et le matin de Pâques, sept jours seulement le sépareront de ses 85 ans...(…)
    On pourrait se demander à juste titre pourquoi Benoît XVI a entrepris dans ces conditions de tel périple ? Il avait une dette vis-à-vis de l'Amérique Latine hispanophone qu'il n'avait jamais visité en sept ans de pontificat mais n'avait réellement, aucune obligation. S'il avait renoncé, les catholiques lui auraient, à l'avance, pardonné.(…)  Handicap supplémentaire : ce voyage était celui d'un Pape, héritier de son prédécesseur. Au Mexique, il a découvert pour la première fois de son pontificat l'intensité de la passion déchaînée des foules du deuxième pays le plus catholique du monde pour le Pape. On lui a réservé une fête « à la Jean-Paul II ». Partout des foules agglutinées, pas un mètre libre de trottoir, des cris, des chants, du mouvement. De jour, de nuit, une fête incessante.

    A Cuba (…), Benoît XVI a développé son style. Il a ses combats - la belle liturgie, la réconciliation foi et raison, le lien entre liberté et responsabilité. Mais il se sait le successeur d'un Pape qu'il a admiré et que beaucoup de ceux qui sont venus le voir ou l'écouter, au Mexique ou à Cuba, admirent encore. Jamais en tout cas, Benoît XVI n'a cherché à « jouer » du Jean-Paul II. Il est lui-même.

    La dynamique profonde de ce 23° voyage hors d'Italie de ce Pape est peut-être ailleurs. Ce « témoin du Christ » est le témoin d'un monde qui passe. C'est une évidence à Cuba. On ne voit pas comment un tel régime pourra durer une fois les « Castro » disparus. On a beau avoir dessiné un immense portrait - quasi christique - de Fidel, en fer forgé, sur la façade d'un très haut immeuble de la Place de la révolution à la Havane, où le Pape a dit la messe, cet homme de chair et de sang ne va pas, au-delà de sa mort, « sauver » son peuple. Les vrais ennuis vont commencer.(…)

    De même, au Mexique, un monde passe. La maladie chronique de ce pays, « sous » les Etats-Unis au sens géographique mais aussi moral, n'est pas plus porteuse d'avenir. Elle est un mélange de consumérisme, de « schizophrénie » le mot est de Benoît XVI entre éthique publique, visible, et éthique personnelle, secrète. Et d'exploitation outrancière de l'homme par l'homme.

    La grande curiosité, donc, est de voir cette vieille dame, l'Eglise catholique, usée, vilipendée, avec les gros défauts de ses deux millénaires, regarder, avec un regard de jeune fille, ces deux sociétés mal en point après des grandes heures d'arrogance. Comme si l'Eglise était pleine d'une autre énergie que politique, jamais battue et génératrice d'espérance. Il fallait voir le regard de Raul Castro sur Benoît XVI à la fin de la messe à la Havane. Ses yeux qui ont tout vu, et le pire, exprimaient une forme de reconnaissance impossible à feindre.

    Voilà la faiblesse-force de l'Eglise catholique. Pluri culturelle, pluri séculaire, elle l'une des veilles de l'humanité. Quand cette humanité, construite sur elle-même, étouffe ou n'en peut plus, l'Eglise catholique, peut donner à respirer. Elle n'est pas la seule à dispenser cette vertu mais c'était une évidence pendant ce voyage. Voir ici :  Benoît XVI devait-il entreprendre un périple si épuisant ?

  • ONU : des droits sexuels et procréatifs pour les enfants à partir de dix ans ?

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    L'information nous vient du Friday fax : "l'ONU pourrait reconnaître l'existence de droits sexuels pour les enfants de 10 ans"

    NEW YORK, 30 mars (C-FAM) la commission de l'ONU sur la population et le développement est en train d'étudier un document visant à faire bénéficier de droits sexuels et procréatifs pour les enfants à partir de 10 ans.

    Même le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-Moon y est favorable. Dans une déclaration publiée récemment, il affirme : « les jeunes, comme toutes les autres personnes, partagent un droit humain à la santé qui inclut les droits à la santé sexuelle et procréative. ». Suite

  • L'Arboretum College : une initiative à suivre

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    La Libre fait écho à cette initiative audacieuse d'une mère de famille qui a décidé de créer une école secondaire :

    (...) Muriel de Bergeyck en a assez de constater les multiples défaillances des écoles et de voir que rien n'est fait pour changer cette situation. Cette mère de famille a donc décidé d'ouvrir son propre établissement scolaire à Crainhem, l'Arboretum College Brussels, à la rentrée de septembre 2012 : « Il est essentiel que cette école indépendante, uniquement prévue pour le secondaire, redonne aux adolescents le goût d'apprendre, et en priorité les langues (français, néerlandais et anglais), si mal enseignées en Belgique. »

    La fondatrice de cette école, qui dispose d'une licence en sciences ainsi que d'une agrégation de l'enseignement secondaire supérieur, n’est pas la seule à faire le constat d’une école « en échec avec des élèves et enseignants démotivés ». En 2009, l'OCDE indiquait dans un rapport: « En Belgique, près de 80% des élèves n'aiment pas leur école secondaire». Le constat étant partagé, le slogan est tout trouvé : « Arrêtons de subir, il est temps d’agir »... mais encore fallait-il avoir l'audace pour fonder sa propre école trilingue et personnalisée qui pourra accueillir jusqu’à 240 élèves.

    L’Arboretum College est destiné aux parents qui souhaitent investir dans une éducation « all in ». Cette formule en dehors du cadre scolaire habituel a évidemment un coût : 13.000€/an. Tous les élèves munis de leur CEB ou équivalent de fin de 6e primaire et maîtrisant au moins une des trois langues de l'école, sont visés par la fondatrice de l’école et peuvent d’ores et déjà s’inscrire.

    Cette initiative peu habituelle de la part d’une mère de famille est soutenue par le réseau Entreprendre Bruxelles, qui en a fait une lauréate. Cette reconnaissance signifie que l'école pourra bénéficier pendant 3 ans des conseils et du savoir-faire des membres de ce réseau. Car à n'en pas douter, derrière une telle audace, se cache un risque financier évident.

    Lien vers le site de l'école: http://www.arboretumcollege.be

  • Le Foyer Saint-Paul inauguré à Louvain-la-Neuve

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    image003.jpgInauguration du Foyer Saint-Paul à Louvain-la-Neuve

    Une Maison Étudiante de l’Emmanuel www.foyersaintpaul.be

    - Communiqué de presse -

    Louvain-la-Neuve, mardi 27 mars --- Un nouveau foyer pour 44 étudiants et étudiantes à Louvain-la-Neuve est inauguré ce 27 mars. Entourant le cloître de l’ancien séminaire Saint Paul de Louvain-la-Neuve, ce foyer ouvre de nouvelles perspectives pour la vie étudiante. Unifier études, développement personnel et chemin de vie chrétienne. En collaboration avec la paroisse universitaire interdiocésaine, les évêques francophones en ont confié la responsabilité à la communauté de l’Emmanuel. Le recteur de l’UCL, Mr Bruno Delvaux, ainsi que Mgr Léonard et Mgr Hudsyn feront des allocutions.

    Bruno Vermeire, directeur du Foyer :

    « Le Foyer Saint-Paul, dans les bâtiments de l’ancien Séminaire Saint-Paul, est une Maison Étudiante de l’Emmanuel. Les Évêques de Belgique, après le regroupement des séminaristes francophones à Namur, souhaitaient que pareil endroit conserve sa vocation de pôle de vie chrétienne au cœur du plus grand campus universitaire de Belgique francophone.

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  • L'autorité éducative en crise

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    Vivien Hoch, sur Itinerarium, propose une réflexion sur "La crise de l’autorité éducative"

    « Pourquoi et comment poser des limites à son enfant ? ». Telle est l’énigmatique question à laquelle nous invitait à réfléchir une conférence récemment organisée par la ville de Sceaux et animé par très médiatique pédiatre Aldo Naouri. Aussi improbable que cela puisse paraître, ce genre d’évidences est aujourd’hui de plus en plus l’objet d’interrogations pour nombres de parents visiblement dépassés par leur rôle éducatif. Les raisons de poser un cadre, de faire respecter des règles, de dire non à son enfant ne relève manifestement plus de l’ordre du bon sens. Quoi de plus normal, me direz-vous, dans une société aliénée par la consommation et l’injonction constante à la « jouissance sans entrave » ? Asséné à longueur de spots publicitaires à nos esprits lobotomisés par le flux médiatique, ce leitmotiv hédoniste rend de plus en plus inacceptable à nos contemporains toute idée de frustration.

    Voir la suite sur itinerarium.fr : la crise de l’autorité éducative