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Enseignement - Education - Page 171

  • Le Foyer Saint-Paul inauguré à Louvain-la-Neuve

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    image003.jpgInauguration du Foyer Saint-Paul à Louvain-la-Neuve

    Une Maison Étudiante de l’Emmanuel www.foyersaintpaul.be

    - Communiqué de presse -

    Louvain-la-Neuve, mardi 27 mars --- Un nouveau foyer pour 44 étudiants et étudiantes à Louvain-la-Neuve est inauguré ce 27 mars. Entourant le cloître de l’ancien séminaire Saint Paul de Louvain-la-Neuve, ce foyer ouvre de nouvelles perspectives pour la vie étudiante. Unifier études, développement personnel et chemin de vie chrétienne. En collaboration avec la paroisse universitaire interdiocésaine, les évêques francophones en ont confié la responsabilité à la communauté de l’Emmanuel. Le recteur de l’UCL, Mr Bruno Delvaux, ainsi que Mgr Léonard et Mgr Hudsyn feront des allocutions.

    Bruno Vermeire, directeur du Foyer :

    « Le Foyer Saint-Paul, dans les bâtiments de l’ancien Séminaire Saint-Paul, est une Maison Étudiante de l’Emmanuel. Les Évêques de Belgique, après le regroupement des séminaristes francophones à Namur, souhaitaient que pareil endroit conserve sa vocation de pôle de vie chrétienne au cœur du plus grand campus universitaire de Belgique francophone.

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  • L'autorité éducative en crise

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    Vivien Hoch, sur Itinerarium, propose une réflexion sur "La crise de l’autorité éducative"

    « Pourquoi et comment poser des limites à son enfant ? ». Telle est l’énigmatique question à laquelle nous invitait à réfléchir une conférence récemment organisée par la ville de Sceaux et animé par très médiatique pédiatre Aldo Naouri. Aussi improbable que cela puisse paraître, ce genre d’évidences est aujourd’hui de plus en plus l’objet d’interrogations pour nombres de parents visiblement dépassés par leur rôle éducatif. Les raisons de poser un cadre, de faire respecter des règles, de dire non à son enfant ne relève manifestement plus de l’ordre du bon sens. Quoi de plus normal, me direz-vous, dans une société aliénée par la consommation et l’injonction constante à la « jouissance sans entrave » ? Asséné à longueur de spots publicitaires à nos esprits lobotomisés par le flux médiatique, ce leitmotiv hédoniste rend de plus en plus inacceptable à nos contemporains toute idée de frustration.

    Voir la suite sur itinerarium.fr : la crise de l’autorité éducative

  • Québec : les autorités publiques imposent aux écoles un cours « interconvictionnel » de morale et de culture religieuse

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    Au Québec, des parents catholiques réclamant pour leurs enfants l’exemption d’un « Cours d'éthique et culture religieuse » ont été déboutés. C’est l’occasion de découvrir les enjeux d’une telle demande et de la réponse de la cour. L’association des parents catholiques du Québec (APCQ) présente ces enjeux, et l’enjeu principal : la liberté religieuse. Extraits de l’interview de Mme Morse-Chevrier par Anita Bourdin :

     « Zenit – Madame Jean Morse-Chevrier, vous êtes présidente provinciale de l'Association des parents catholiques du Québec: quels sont ses objectifs ?

    Mme Jean Morse-Chevrier - (…) promouvoir un système scolaire axé sur le primat de la personne humaine et sur son épanouissement dans toutes ses dimensions :  physique et intellectuelle, morale et religieuse, professionnelle, civique et culturelle. Mais aussi promouvoir l’éducation et la culture chrétiennes dans tous les milieux de vie de l’enfant et de la jeunesse, propager et appliquer les principes du droit naturel et de la doctrine de l’Église en matière d’éducation et de culture (…).Enfin, nous voudrions aider à former de véritables familles chrétiennes(…).

    Le combat pour la vraie liberté d'enseignement semble se faire plus difficile depuis quelques années au Canada? Pourquoi?

    En ce qui concerne le Québec, il y a eu,  depuis 50 ans, des manifestations nombreuses politiques de volonté de déconfessionnaliser le système scolaire (…).

    En février, des parents de Drummondville qui réclamaient une exemption pour ses enfants du Cours d'éthique et culture religieuse (ECR) a exprimé sa déception après avoir été débouté par la Cour suprême. Qu’est-ce que les parents objectent au cours d’ECR?

    Nous avons formulé dix objections principales. Primo, ce cours banalise la religion en plaçant toutes les religions, spiritualités, mouvements religieux et visions du monde sur un pied d’égalité.

    Plus encore, il représente faussement la religion, en la présentant sans sa dimension transcendante. Par exemple dans les noms du divin on ne trouve pas le nom de Jésus.

    Le cours ne permet pas non plus de comprendre chacune des religions, car aucune d’elle n’est présentée dans son entièreté. Chacune est présentée de façon partielle à travers un ensemble de thèmes où les contenus d’une religion sont juxtaposés aux contenus des autres religions. Par ex. on parle des célébrations et on met côte à côte, Noël, Sukkoth, Wesak, Divali, la Fête des mères etc. À la fin de ce cours,  on peut prévoir que l’enfant ne connaîtra ni sa propre religion ni celle des autres et qu’il aura une très grande difficulté à démêler l’une de l’autre.

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  • Offrir aux jeunes des raisons de croire

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    arton9323-88b65.jpgC'est France Catholique qui fait cette proposition que nous relayons bien volontiers tant il est rare de trouver quelque chose de semblable dans l'univers de la culture "jeune". Il suffit de parcourir les rayons de BD dans les librairies pour en faire le constat et pour réaliser combien nos enfants sont en voie de déchristianisation complète.

    Offrons aux jeunes des raisons de croire … vérifiables. Double album « les indices pensables ». (Tomes 1 et 2)

    C’est la grande nouveauté et la grande raison d’espérer de ces dernières années : pour réfléchir à la question de Dieu, il y a du neuf, car désormais, nous disposons d’un bon nombre d’indices vérifiables.

    Nous pouvons y voir un véritable cadeau du Ciel, car ce que demande cette génération, de plus en plus formée à la démarche scientifique, c’est précisément de pouvoir vérifier toute affirmation.

    Non pas que les découvertes des sciences soient en mesure de nous parler de Dieu de façon directe, mais parce qu’elles nous y conduisent, de façon indirecte, en confirmant l’intuition de saint Augustin qui disait : il existe deux « Livres » pour connaître le Créateur. Celui de la Révélation (Ancien et Nouveau Testament) et celui de… la Création elle-même.

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  • France:un site web consacré à la doctrine sociale de l’Eglise

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    Lu sur le site de “La Vie”, sous la signature de Laurent Grzybowski:

     L'actualité de la doctrine sociale de l'Eglise sera désormais accessible sur internet grâce à un site internet lancé par les jésuites et la Conférence des évêques de France.

     « La doctrine sociale catholique ? C'est le secret le mieux gardé de l'Eglise ! », s'était un jour exclamé le père Peter J. Henriot, théologien américain, auteur d'un ouvrage de référence sur la question. Désormais, grâce au site internet créé par les jésuites du Centre de recherche et d'action sociales (Ceras), www.doctrine-sociale-catholique.fr, cette doctrine ne sera plus un secret pour personne. En quelques clics, le grand public va pouvoir découvrir textes fondateurs, analyses de théologiens et repères historiques. Mais, pour le directeur du Ceras, le père Bertrand Hériard, « plus qu'une simple ressource documentaire, ce nouveau site voudrait aussi encourager les catholiques à passer à l'action et à s'engager face à la crise ».

    « La doctrine sociale n'est ni une idéologie, ni un simple courant de pensée », a commenté le père Luc Dubrulle, de l'Institut catholique de Paris, lors d'une conférence de presse organisée le 8 mars au siège de la Conférence des évêques de France. « Elle est une manière pour les chrétiens d'être présents au monde». » Toujours en chantier, depuis le texte fondateur du pape Léon XIII, Rerum novarum (Les choses nouvelles) en 1891, qui portait sur la condition des ouvriers, cet enseignement social n'attendait plus que la Toile pour entrer dans une véritable interactivité où « pratique et réflexion pourront se nourrir l'une l'autre ». En retraçant la genèse du discours social de l'Eglise, le site aide à comprendre comment une doctrine s'est élaborée en croisant la tradition de l'Eglise, le questionnement théologique et l'apport des sciences humaines.(…)

    Ce site, qui dégage huit principes autour desquels l'institution articule sa parole sur la société (bien commun, charité, destination universelle des biens, dignité de la personne humaine, justice, option préférentielle pour les pauvres, solidarité et subsidiarité), pourra aider chacun à trouver son chemin. De nombreux articles sont déjà en lignes. Il ne manque plus que celui sur la politique, il est encore en débat... Les élections approchent, il va falloir faire vite.” Voir ici:  La doctrine sociale de l'Eglise tisse sa toile

    Une bonne valorisation de cette doctrine a aussi été faite à la lumière des enseignements de l’encyclique « Caritas in Veritate « du pape Benoît XVI  exposés à l’Université de Liège, par Herman Van Rompuy, Rocco Buttiglione et Mgr Michel Schooyans, lors d’un Symposium organisé  par l’Union des Etudiants Catholiques. Les communications peuvent être consultée ici : Devant plus de 500 personnes

    Elles ont aussi été  publiées aux éditions "Fidélité" (Rue Blondeau 7  B-5000 Namur) sous le titre : "Un développement humain intégral. La pensée sociale de Benoît XVI dans l'Encyclique Caritas in Veritate.". Pour obtenir ce document (prix: 6 euros) vous pouvez laisser un message par courriel à sursumcorda@skynet.be  ou prendre contact avec les éditions Fidélité (www.fidelite.be) 

  • "Dépassée", la philosophie scolastique ?

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    Pas du tout, comme le signale Antoine Besson sur le site de Liberté Politique

    Parler de philosophie scolastique, c’est souvent déclencher une adhésion totale ou une répulsion absolue. Les uns reconnaîtront, dans cette filiation même, la certitude d’avoir la vérité et le pouvoir de la défendre quoiqu’il arrive dans un monde relativiste. Les autres refuseront toute pertinence à une manière médiévale, donc dépassée, de faire de la philosophie. Au mieux, la scolastique rencontrera l’intérêt suscité par une période déterminée de l’histoire des idées.

    Et pourtant, contre toute attente – contre toute logique diront d’autres –, la Faculté de Philosophie de l’Institut Catholique de Toulouse ouvre à la rentrée 2012 un Master Actualité de la philosophie scolastique pour que des clercs et des laïcs recherchent activement la vérité par une réflexion authentiquement métaphysique. Rien ne semble plus contradictoire que cet intitulé universitaire qui rapproche actualité et scolastique ! Les maîtres se seraient-ils découvert un tout récent sens de l’humour ou bien est-ce là une filière de spécialistes réservée à une élite réduite et autosuffisante qui rumine encore et toujours des idées et concepts dépassés comme d’autres collectionneurs, chasseurs ou sportifs astiquent leurs trophées ? Cette nouveauté est toutefois l’occasion de nous arrêter un instant sur ce qu’est réellement la scolastique.

    Lire la suite ici : http://www.libertepolitique.com

  • Création et évolution: quand Darwin secoue la foi

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                                           (http://www.institutsophia.org).

    Chers amis,

    C'est demain, mardi 13 mars, qu'aura lieu la conférence du Pr. Dominique Lambert.
    Elle s'intitule:

    "Création et évolution : quand Darwin secoue la foi"

    Ouvert à tous
    PAF : 3 €

    Où ? :
    Institut d’Etudes Théologiques (auditoire 2e étage)
    24, Bd St-Michel – 1040 Bruxelles

    Inscription souhaitée :
    cycledesoireessophia@gmail.com
    ou 0477/04.23.67

    Nous vous y attendons nombreux !


    Astrid, Jean-Baptiste, Lorène, Louise, Marie-Madeleine et Véronique

    L’équipe organisatrice

    Prochaine date à retenir : le jeudi 10 mai de 9h à 15h30: Journée ouverte à tous de 7 à 77 ans: "Bonjour l'Europe!". Découverte sur le terrain et au sein des Institutions européennes des enjeux qui s'y jouent.

     

  • Les scouts sans Dieu : réaction du CJC

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    On a déjà pu lire les timides réactions de Mgr Kockerols, l’évêque « référendaire  pour la  pastorale  de la jeunesse » et le théorème du P. Delhez s.j. tendant à démontrer que contrairement aux apparences le cercle est aussi un carré. Voici un autre son de cloche publié sur « Cathobel » (extraits) :

    « Le Conseil de la Jeunesse Catholique (CJC) a tenu a réagir aux récentes décisions de la Fédération des Scouts Baden-Powell de Belgique. Julien Bunckens, le secrétaire général, prend position et revendique l’identité chrétienne, qu’il considère comme « une force face à nos missions d’éducation »

    « La place de l’Eglise institutionnelle dans la vie des Belges ou le rapport qu’ils ont à la religion ont considérablement changé au cours des décennies précédentes, tout comme les autres dimensions de la vie en société d’ailleurs. Pour autant, « l’Eglise » ou la « foi » ne sont qu’une partie d’une « identité chrétienne » qui reste largement répandue dans la société. Cette identité a marqué et marque encore le rapport des gens entre eux, dans leurs rapports individuels et institutionnels. Pour en pointer quelques éléments, relevons que cette identité passe par une attention particulière à l’autre, à l’impact des actes que nous posons sur les autres, par l’empathie et l’altérité. Elle suppose également une reconnaissance de l’unicité et de l’importance de chaque personne, quelles que soient ses caractéristiques.  Elle se caractérise par une vision de la construction de la personne qui passe par le groupe, par le fait d’intégrer l’identité de ceux avec lesquels on vit, au-delà de nos seules expériences personnelles. Elle se traduit par le choix d’une éthique solidaire, vécue en priorité avec les plus pauvres et précarisés. Elle passe par un rapport aux institutions qui vise à rapprocher le plus possible l’action publique de la réalité de vie des gens, des entités et niveaux de pouvoirs proches d’eux, ce qu’on appelle la subsidiarité. (…)

    Cette identité « chrétienne » concerne évidemment aussi, mais donc pas seulement, le rapport à la religion, à Dieu, à la spiritualité et au sens. Sur ces dimensions, le CJC et ses membres ont une position totalement libre, critique et franche. Le choix d’une approche chrétienne de ces dimensions signifie faire le choix de poser la question de Dieu à partir de l’Evangile tout en acceptant des réponses différentes à la question; le choix d’un rapport non possessif à la vérité qui permette d’être davantage chercheurs que détenteurs de celle-ci. (…)

    Le choix d’une identité chrétienne dans nos organisations de jeunesse nous pousse à aborder ces questions et à les traiter au regard de l’apport de la tradition chrétienne. Il ne s’agit pas de dire ce qui est vrai et ce qui est faux mais d’interroger, avec force et ténacité, le Bon, le Beau, le Bien, le Juste ou encore la Responsabilité. Il s’agit de chercher ce qui transcende l’homme pris individuellement pour mettre des mots sur ce qui fait la particularité de l’Homme et de sa destinée à travers les millénaires. (…) Nous sommes convaincus que la tradition chrétienne, au-delà de la question de la foi, est riche d’enseignements dans la construction de nos identités individuelles, collectives, politiques et sociales. Nous sommes également convaincus que vivre cette tradition chrétienne aujourd’hui laisse le libre choix et ouvre l’esprit. »

    http://www.cjc.be/ 

  • Troisième Marche pour la vie à Bruxelles : un appel convaincant de l’Association pour la Famille

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    Action pour la famille soutient la Marche pour la vie organisée par un collectif d’étudiants qui partira le dimanche 25 mars à 14h du Mont des Arts (près de la statue du roi Albert I) à Bruxelles. Pour plus d’informations http://www.marchforlife.be

    Malgré les campagnes en faveur de l’usage des contraceptifs et des cours d’éducation affective et sexuelle dans les écoles, le nombre d’avortements ne cesse de progresser en Belgique. Selon les chiffres du dernier rapport de la commission d’évaluation sur l’interruption de grossesse, nous sommes passés de 13 474 avortements en 2003 à 19 421 en 2009, alors que le nombre de femmes en âge d’avoir des enfants est en diminution constante. Plus inquiétant encore : la proportion de jeunes femmes (moins de 25 ans) qui subissent une IVG ne cesse d’augmenter.

    Ne nous voilons pas la face : que l’on soit pro-choice ou pro-life, nous devons admettre qu’il y a un problème de l’avortement en Belgique. Plusieurs décennies d’utilisation de plus en plus répandue et efficace de méthodes contraceptives nous montrent qu’elles sont impuissantes à enrayer cette tendance à la hausse.

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  • Les droits des parents de moins en moins reconnus

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    "La Cour suprême du Canada a rejeté vendredi la demande d'une famille québécoise catholique tendant à faire reconnaître le droit des parents à ne pas faire assister, ou plutôt faire subir à leur enfant le programme officiel d'éthique et de culture religieuse avec lequel ils sont en désaccord.

    Les commentateurs juridiques locaux y voient un renversement total de l'appréciation du droit parental : selon l'avocat de la famille, Me Jean-Yves Côté, « l'Etat est désormais en mesure d'imposer dans le cadre des écoles publiques une idéologie qui ne correspond pas à la foi des parents ». « Aux termes du code civil, le parent délègue son autorité à l'enseignant. Désormais il y a un glissement de perspective. L'autorité de l'enseignant ne lui vient pas des parents, mais de l'Etat », a-t-il ajouté."

    Lire la suite sur le blog de J. Smits : Canada: les droits des parents attaqués à l'école

  • Rien de tel que l'école catholique...

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    Dans "De Standaard" du 14 février 2012 (Maxie Ecker)

    'Over seks willen we alles weten'(= Nous voulons tout savoir sur le sexe)

    Chlamydia in opmars bij jongeren (= La chlamydia (une MST) augmente chez les jeunes)

    ("Chapeau" de l'article :)

    MECHELEN - In welke vormen en maten kun je condooms kopen? Hoe zeg ik dat ik veilig wil vrijen? De leerlingen van het Sint-Romboutscollege nemen geen blad voor de mond. 'Open over seks praten beschermt hen tegen soa's.'

    (trad. : MALINES: Dans quelles formes et tailles acheter des préservatifs? Comment dire que je veux avoir des rapports sexuels en toute sécurité? Les élèves du Collège Saint-Rombaut ne ​​mâchent pas leurs mots. Un dialogue ouvert sur ​​le sexe les protège contre les MST.)

    L'article, photo à l'appui, explique comment ces jeunes apprennent à se servir de préservatifs qu'ils enfilent sur des pénis en plastique, car, comme le souligne leur professeur de religion, "les jeunes parlent ouvertement de sexe, plus que jamais. Une bonne évolution, je pense"... C'est pour la bonne cause. Pour endiguer la chlamydia.

  • Quebec: Big brother pense désormais pour vous

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    Lu dans les matinales de “La Vie”:

    L'affaire a débuté en 2008. Jusque-là, l'enseignement public dans les écoles québécoises dispensait aux enfants, selon le choix des parents, un cours d'enseignement moral et religieux catholique ou protestant. Cette année-là, le gouvernement décide de mettre en place un cours d'éthique et de culture religieuse (ECR) qui propose non plus de l'instruction confessionnelle, mais de l'éducation morale et religieuse, c'est-à-dire une présentation laïque des différentes confessions et des cours de morale civique, dans tous les établissements publics et privés de la Belle-Province. Depuis sa mise en place, les demandes de dérogation, sans être nombreuses, ont été significatives, venant aussi bien de particuliers (2.300 demandes) que d'établissements privés confessionnels demandant à pouvoir enseigner ce cours selon leur propre positionnement religieux. Dans l'affaire dite de Drummondville, ce sont deux parents catholiques qui ont demandé aux tribunaux de pouvoir dispenser leurs enfants de ces cours, arguant que "le relativisme auquel seraient exposés les élèves qui suivent le cours ECR entraverait leur capacité de transmettre leur foi à leurs enfants". Déboutés par la Cour supérieure du Québec, puis par la Cour d'appel, les deux parents ont porté l'affaire devant la juridiction canadienne suprême. Celle-ci vient de les débouter également. Pour les juges suprêmes, en effet, l'obligation de suivre les cours d'ECR "ne contrevient pas à la liberté de conscience et de religion". "Suggérer que le fait même d'exposer des enfants à différents faits religieux porte atteinte à la liberté de religion de ceux-ci ou de leurs parents revient à rejeter la réalité multiculturelle de la société canadienne et méconnaître les obligations de l'État québécois en matière d'éducation publique", écrit ainsi l'une des juges, Mme Deschamps. Pour autant, bien qu'ayant pris cette décision à l'unanimité, deux des neuf juges de la Cour suprême ouvrent la porte à de futures poursuites pouvant cette fois-ci aboutir: "Par ailleurs, l'état de la preuve ne permet pas non plus de conclure que le programme et sa mise en application ne pourront éventuellement porter atteinte aux droits accordés aux appelants et à des personnes placées dans la même situation". Les regards se tournent maintenant vers l'affaire du collège Loyola, établissement privé catholique qui avait obtenu, lui de pouvoir dispenser les cours d'ECR "dans une perspective catholique" par un jugement de la Cour supérieure du Québec qui a été porté devant la Cour suprême par le gouvernement. Jugement attendu dans les prochains mois. Référence: Québec: les cours de culture religieuse jugés conformes aux libertés

    La Belgique n’en est pas encore là, mais le “melting pot” relativiste prêché dans les cours de religion et de morale prépare l’avènement de cette religion séculière unique. De lege ferenda, des projets  existent en ce sens, tant du côté flamand que francophone. Chers parents, Big brother vous veut du bien et il pense pour vous…