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Médias - Page 7

  • C'est demain ! Invitation vernissage et exposition de peintures au profit de KTO Belgique

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    Chers amis de KTO Belgique,

    Le vernissage de cette belle exposition est dans 2 jours !

    Il sera suivi de 3 jours d'exposition pendant lesquels vous pourrez choisir des cadeaux de Noël ou vous offrir des tableaux, cartes de voeux, sets de table… et soutenir KTO Belgique par la même occasion !

    Retrouvez toutes les informations ci-dessous, nous nous réjouissons de vous y retrouver et de faire plus ample connaissance autour d'un verre !

    À jeudi !

    Philippe Le Hodey                                Lambertine de Béthune

    Président de KTO Belgique                    Directrice

    Invitation vernissage KTO Belgique du 28.11.24 au 01.12.24

    Venez y découvrir de jolies peintures,
    des sets de tables élégants, des cartes de voeux !

    Une belle occasion pour trouver vos cadeaux de Noël originaux tout en soutenant KTO Belgique.

    boulevard saint michel 24, Bruxelles
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  • Une chaîne de télévision française condamnée à une amende pour avoir qualifié l'avortement de principale cause de mortalité dans le monde

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    Du site d'European Conservative (Hélène de Lauzun) :

  • Israël génocidaire ? Quand le Pape se lance dans la guerre des mots

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    De Sandro Magister sur Settimo Cielo (en français sur diakonos.be) :

    Israël génocidaire ? Quand le Pape se lance dans la guerre des mots

    Selon Edith Bruck, l’écrivaine juive survivante de la Shoah qui a eu, il y a deux ans, la surprise de recevoir chez elle la visite du Pape François, ce dernier « n’a pas le contrôle de ce qu’il dit ». En particulier d’un mot : « génocide ».

    Mme Bruck faisait référence à ce que François avait déclaré dans son énième livre annoncé le 17 novembre en Italie par « La Stampa » et en Espagne par « El País » : « Je pense à ceux qui abandonnent Gaza au beau milieu de la famine qui frappe les frères Palestiniens face à la difficulté de faire entrer l’aide et la nourriture dans leur territoire. Selon certains experts, ce qui est en train de se passer à Gaza a les caractéristiques d’un génocide. Il faudrait analyser attentivement pour déterminer si cela s’inscrit dans la définition technique formulée par les juristes et les organismes internationaux. »

    Mais les faits interdisent de penser que le Pape aurait laissé échapper le mot « génocide » par erreur. Il y a un an, le 22 novembre 2023, il avait rencontré au Vatican la famille de Palestiniens détenus dans les geôles israéliennes et déjà à l’époque, aux dire de tous ceux qui étaient là, il avait qualifié de « génocide » l’attaque à Gaza en cours depuis quelques semaines seulement. Et une heure plus tard, à l’audience publique générale du mercredi, il avait ajouté de lui-même, s’écartant de son texte écrit, que « ce n’est pas faire la guerre, ça, c’est du terrorisme ».

    La secrétairerie d’État avait bien essayé d’ouvrir le parapluie. « Il est irréaliste que le pape ait parlé de génocide », avait déclaré le cardinal Pietro Parolin. Mais le 10 mai de cette année, les diplomates du Vatican ont à nouveau été mis en difficulté quand, place Saint-Pierre, à l’occasion d’une rencontre mondiale sur l’encyclique « Fratelli tutti », le Yéménite Tawakkol Karman, le prix Nobel de la paix 2011, a encore une fois accusé Israël de « nettoyage ethnique et de génocide ». Cette fois-là, le Vatican n’avait publié aucun rectificatif.

    Pareil après cette autre sortie du pape qui, comme les précédentes, est arrivée un peu par surprise, totalement à l’insu de la Secrétairerie d’État. Le cardinal Parolin s’était borné à commenter que : « il faut toujours étudier ces choses, parce qu’il y a des critères techniques pour définir le concept de génocide. Le pape a dit ce que nous avons toujours répété ».

    Alors qu’en revanche, certains ont lu bien plus que cela dans les déclarations du pape, comme l’archevêque et théologien Bruno Forte, qui lui était déjà proche pendant les premières années de son pontificat, et qui, dans une interview au « Corriere della Sera », a déclaré qu’il était juste « d’appliquer la définition de génocide à ce que le gouvernement israélien est en train de faire à Gaza », si l’en s’en tient à la manière dont les Nations Unies l’ont définie en 1948 : « l’intention de détruire en tout ou en partie un groupe national ethnique, racial ou religieux en tant que tel ».

    Bref, en ce qui concerne le Pape, il s’agit davantage d’un choix délibéré qu’un accident verbal, avec la volonté de prendre part, en tant que protagoniste non neutre, à une controverse qui se fait de plus en plus vive, aussi bien chez les catholiques que chez les juifs, quant à savoir si Israël serait coupable non seulement de génocide mais également de nettoyage ethnique, d’« apartheid », de colonialisme oppresseur et de crimes contre l’humanité.

    Du côté juif, on peut citer Anna Foa, une historienne réputée, dont le dernier livre intitulé « Il suicidio d’Israele » lui a valu une grande interview dans les colonnes de « L’Osservatore Romano » du 13 novembre.

    Interpellée après la sortie du Pape sur le génocide, elle a déclaré à « La Stampa » que Jorge Mario Bergoglio a exprimé « un doute légitime » et que « même s’il ne s’agissait pas d’un génocide, ces dizaines de milliers de victimes palestiniennes à Gaza sont certainement un crime contre l’humanité ».

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  • 1789 : l'histoire falsifiée

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    De L'Incorrect (newsletter) :

    L’Histoire falsifiée – 1789 : Mythos et sans culottes

    Dans 'Il nous fallait des mythes', l’historien Emmanuel de Waresquiel, spécialiste de la Restauration, montre avec maestria comment certains épisodes révolutionnaires ont été mythifiés par ses laudateurs, bien loin de toute vérité historique, pour construire une nouvelle sacralité laïque.

    Pourquoi fallait-il des mythes à la Révolution ?

    D’une certaine façon, les conditions dans lesquelles les députés du tiers convoqués par Louis XVI aux États généraux se sont emparés de la souveraineté le 17 juin 1789 s’apparente à une sorte de coup d’État. Le roi et les députés des deux autres ordres du royaume, le clergé et la noblesse, sont mis devant le fait accompli. On ne leur demande pas leur avis. Si l’on ménage encore le roi, le climat général est à la guerre civile sur fond de revendication égalitaire contre les ordres privilégiés, accusés de vouloir entraver le processus révolutionnaire. Le complot est au cœur de la dynamique révolutionnaire jusqu’à la Terreur, et l’on soupçonne déjà en juin 1789 les aristocrates de vouloir comploter contre les patriotes.

    La nouvelle souveraineté de la nation proclamée le 17 juin quand les députés du tiers se constituent en Assemblée nationale, réaffirmée et étendue le 20 juin par le serment du Jeu de paume, est née de façon brutale et unilatérale. On sort en quelques jours de mille ans de souveraineté monarchique. Les révolutionnaires ont très vite éprouvé le besoin de trouver des mythes fondateurs à leur nouvelle légitimité sociale et politique. On invente donc une nouvelle version laïque du serment désormais prêté « à la romaine » debout et bras levé, de nouvelles icônes, de nouveaux martyrs, de nouveaux monuments, de nouvelles fêtes désormais consacrées à la liberté, à l’égalité, à la fraternité, à la famille, à la nature, etc.

    Dans un passionnant parallèle entre foi religieuse et foi révolutionnaire, vous écrivez : « La Révolution n’aurait pas été ce qu’elle est sans le poids du catholicisme. La langue missionnaire et biblique sert de modèle inversé aux discours les plus radicaux. » Qu’entendez-vous par là ?

    La Révolution est une guerre de religion entre l’ancienne sacralité monarchique de droit divin et la nouvelle sacralité laïque du peuple, tout en étant l’héritière du catholicisme d’Ancien Régime. N’oublions pas que les curés jouent un rôle essentiel à la construction de la souveraineté nationale en juin 1789 en se ralliant aux députés du tiers état. Il faut revenir en arrière, aux Lumières, au déisme des loges maçonniques, à la persistance aussi des idées jansénistes à travers tout le XVIIIe siècle pour comprendre ce rêve porté par une partie du clergé d’un retour à une Église primitive, débarrassée de ses ors et aussi égalitaire que possible. N’oublions pas qu’un conventionnel sur dix était d’origine cléricale. On porte encore le saint sacrement en procession dans les rues de Paris en mai 1793 le jour de la Fête-Dieu.

    Elle a même mis les mots de la religion à son service : « missionnaires de la liberté, « catéchisme révolutionnaire », « apostolat ». Les sociétés populaires sont autant de « noviciat(s) » de la République et la guillotine se métamorphose avec l’exécution de Louis XVI le 21 janvier 1793 place de la Révolution en une sorte d’autel métaphorique de la souveraineté du peuple. On y fait couler le sang du roi en expiation de ses « crimes ». On y sacrifie au nom du peuple son corps physique autant que son corps spirituel. Il n’y aurait pas de République sans ce sacrifice fondateur. Souvenez-vous du grand discours prononcé par Robespierre à la Convention le 3 décembre 1792 : « Louis ne peut être jugé, il est déjà condamné ; il est condamné ou la République n’est point absoute. » Ce faisant, la guillotine en est comme sanctifiée. Ces expressions-là pullulent dans les correspondances et les comptes rendus révolutionnaires : « Sainte guillotine, priez pour nous », « Notre sainte mère la guillotine », etc.

    Ces ambiguïtés révolutionnaires sur la laïcité éxpliquent en partie les controverses actuelles sur le sens que nous voudrions lui donner : une laïcité envisagée comme une simple règle du jeu censée protéger les libertés de conscience et de culte, ou une laïcité de combat, « une théocratie à froid, aurait dit Victor Hugo, sans prêtres et sans Dieu ».

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  • Rencontre avec Pierre Manent, l’un des principaux penseurs politiques de notre temps (KTO)

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    De KTO TV :

    Rencontre avec Pierre Manent

    17/11/2024

    Cette semaine, dans Rencontre avec, Régis Burnet reçoit l’un des principaux penseurs politiques de notre temps : Pierre Manent. Normalien, agrégé de philosophie, il a été l’assistant et le disciple de Raymond Aron. Dans ces nombreux ouvrages, il se présente tour à tour comme un défenseur passionné de la pensée libérale, mais aussi comme un critique sévère des droits de l’homme. Il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages, qui visent à articuler une pensée cohérente, à la fois philosophique, politique et religieuse. Sa pensée puise à des sources aussi diverses qu’Aristote, Saint Thomas d’Aquin ou encore Léo Strauss. "Ce que je reproche à ce que sont devenus aujourd’hui les droits de l’homme, c’est qu’au lieu d’être à la base de la construction d’un corps civique, d’un modèle de vie comme la République, ils en sont devenu l’horizon et l’objectif ! En conséquence, ils sont devenus le prétexte d’une extension indéfinie des droits individuels. Paradoxalement, au lieu de garantir le bien commun, ils tendent à devenir l’instrument de son dévoiement."

  • Mercredi rouge dans plus de 20 pays pour sensibiliser à la persécution des chrétiens; des initiatives en Belgique et en France aussi

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    De zenit.org :

    CHRÉTIENS PERSÉCUTÉS

    Ce qui avait commencé comme une simple journée de solidarité s'est transformé en une série de veillées de prière © Aide à l'Église en détresse

    Ce Qui Avait Commencé Comme Une Simple Journée De Solidarité S'est Transformé En Une Série De Veillées De Prière © Aide À L'Église En Détresse

    Mercredi rouge dans plus de 20 pays pour sensibiliser à la persécution des chrétiens Des initiatives en Belgique et en France aussi

    13 novembre 2024

    L’initiative mondiale inclura également le Chili, qui a été témoin d’incendies répétés d’églises, et le Mexique, où des prêtres ont été assassinés pour avoir dénoncé les injustices et lutté pour la dignité humaine. En Colombie, Sœur Gloria Narvaez, enlevée au Mali par des terroristes, partagera son témoignage. En Europe, en Amérique et en Océanie, environ 300 événements de l’Aide à l’Église en Détresse (AED) se tiendront dans des centaines de villes.

    Ce qui n’était au départ qu’une journée de solidarité, au cours de laquelle les églises et les bâtiments séculiers étaient illuminés en rouge, s’est transformé en une série de veillées de prière, de témoignages, de conférences et d’expositions qui dureront une semaine, voire un mois, dans de nombreux pays. Certaines régions ont même adopté l’expression « Semaine Rouge » ou « Novembre Rouge » pour englober ces activités prolongées. 

    L’un des temps forts du Mercredi rouge de cette année est la publication de l’édition 2024 du rapport « Persécutés et oubliés ? ». Le rapport de l’AED analyse la situation des chrétiens dans 18 pays particulièrement touchés par la persécution et révèle que la situation des chrétiens dans la plupart de ces pays se sont aggravées ou sont restées inchangées, seul un pays montrant de légers signes d’amélioration. Le rapport a été officiellement lancé en octobre dans les pays anglophones, néerlandophones et francophones. Les versions allemande, italienne et espagnole seront publiées en novembre. L’Australie se concentrera principalement sur la persécution et la souffrance des chrétiens en Terre Sainte.

    Au total, 22 diocèses géographiques et cinq éparchies catholiques orientales d’Australie se sont engagés à commémorer l’événement d’une manière ou d’une autre, et nombre d’entre eux illumineront leurs principales cathédrales en rouge. Cela représente le double du nombre de diocèses participant en 2023. Cette année, pour la première fois, deux diocèses néo-zélandais participeront également à Novembre rouge. 

    Au Canada, une messe spéciale sera célébrée à Montréal le 20 novembre et le dôme de l’Oratoire Saint-Joseph, le plus grand sanctuaire de Saint-Joseph au monde, sera illuminé en rouge en commémoration. Une veillée du Mercredi Rouge sera également organisée à Toronto.  Le Chili, qui a été le théâtre d’incendies répétés d’églises, et le Mexique, où des prêtres ont été assassinés pour avoir dénoncé les injustices et lutté pour la dignité humaine, prendront également part à l’initiative mondiale. En Colombie, Sœur Gloria Narvaez, enlevée par des terroristes au Mali, partagera son témoignage L’Europe en rouge  La plupart des activités et événements du Mercredi rouge se dérouleront en Europe. 

    Aux Pays-Bas, en Suisse et en Allemagne, des centaines d’églises seront illuminées en rouge. L’Allemagne mise également sur une approche œcuménique et a obtenu le soutien d’un groupe de musique évangélique local bien connu, « Koenige und Priester » ou « Rois et prêtres ». Le groupe donnera un concert auquel devraient assister jusqu’à 1 200 personnes et qui sera retransmis en direct sur les chaînes de radio et de télévision catholiques et évangéliques. Le jeudi 21 novembre, le rapport « Persécutés et oubliés ? » sera officiellement lancé dans le diocèse de Fulda lors d’une retransmission en direct. Depuis plusieurs années, la France organise la Nuit des Témoins, avec des témoignages de première main de victimes de persécutions religieuses.

    Cette année, pour la première fois, cet événement à grand succès sera intégré à la Semaine Rouge. La Nuit des Témoins fera le tour de plusieurs cathédrales françaises, accompagnée d’une exposition sur les persécutions des chrétiens. L’AED France mettra l’accent sur la situation en Arménie, au Pakistan et au Burkina Faso.

    Cette année, le Mercredi Rouge prévoit un programme complet d’événements, dont une exposition itinérante intitulée « La beauté du martyre », qui sera présentée à Madrid, Séville et Saragosse avant de se rendre dans divers diocèses et universités catholiques d’Espagne. La cathédrale de l’Almudena, la Sagrada Familia de Barcelone et la basilique de Covadonga seront illuminées en rouge, de même que l’Amphithéâtre de Tarragone, d’une grande valeur symbolique puisqu’il s’agit du lieu où les premiers martyrs de ce qui est aujourd’hui l’Espagne ont été tués pour leur foi. Au Royaume-Uni, les écoles catholiques participent activement au Mercredi Rouge depuis plusieurs années. Cette année, l’AED organisera une émission en direct d’une heure au cours de laquelle différentes écoles pourront partager ce qu’elles ont fait pour sensibiliser le public à la persécution des chrétiens.

    Le 20 novembre au soir, la messe annuelle du Mercredi Rouge se tiendra à l’Oratoire de Brompton à Londres, où le prix « Courage d’être chrétien » sera décerné. En outre, le bureau national britannique de l’AED organisera des événements au Palais de Westminster à Londres et au Parlement écossais à Édimbourg pour mettre en lumière les difficultés rencontrées par les chrétiens déplacés, en particulier les enfants, en raison des conflits et de la persécution dans le monde. 

    Le 20 novembre, 24 des 26 cathédrales irlandaises seront illuminées en rouge, de même que la plus grande statue de saint Patrick au monde, au sommet de la montagne Slieve Patrick. Le sanctuaire national marial et eucharistique de Knock sera également illuminé en rouge pour mettre en lumière la persécution des chrétiens dans le monde, dans le cadre de la Semaine du Témoignage de l’AED Irlande. Les événements du Mercredi Rouge ont été confirmés dans de nombreux autres pays, dont le Portugal, la Slovaquie, l’Autriche, l’Italie, la Belgique, Malte et les Philippines. Ceux qui souhaitent organiser leurs propres initiatives ou à en savoir plus sur celles qui existent déjà doivent contacter leur bureau national local ou, si leur pays n’a pas de délégation de l’AED, elles peuvent contacter AED International directement.

    #Mercredi rouge dans plus de 20 pays pour sensibiliser à la persécution des chrétiens | ZENIT - Français

  • Découvrez l'histoire de la basilique Saint-Pierre dans le nouveau modèle 3D en ligne de Microsoft amélioré par l'IA

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    De Courtney Mares sur CNA :

    Découvrez l'histoire de la basilique Saint-Pierre dans le nouveau modèle 3D en ligne de Microsoft amélioré par l'IAsharethis sharing button

    Basilique Saint-Pierre de l'AILe Vatican et Microsoft ont créé un modèle numérique 3D de la basilique Saint-Pierre en utilisant les dernières avancées en matière d'intelligence artificielle pour offrir une nouvelle façon de découvrir l'histoire de près de 2 000 ans du tombeau de Saint-Pierre. | Crédit : Microsoft La Basilique Saint-Pierre : une expérience améliorée par l'IA
    Basilique Saint-Pierre de l'AIPhoto prise lors de la visite de presse de l'exposition « Pétros ení » au Vatican, dans le cadre de Microsoft La Basilica Di San Pietro: AI-Enhanced Experience, un modèle 3D virtuel de la basilique Saint-Pierre généré à l'aide de l'IA à partir de plus de 400 000 images haute résolution de la basilique prises par des drones à l'aide de techniques avancées de photogrammétrie. | Crédit : Courtney Mares/CNA
    Basilique Saint-Pierre de l'AIRecréation numérique du site du tombeau de Saint-Pierre tel qu'il apparaissait en 67 après J.-C., à partir de la visite de presse de l'exposition « Pétros ení », qui fait partie de Microsoft La Basilica Di San Pietro : une expérience améliorée par l'IA. | Crédit : Courtney Mares/CNA
    Basilique Saint-Pierre de l'AIRecréation numérique de la basilique Saint-Pierre originale construite par Constantin au IVe siècle, issue de la visite de presse de l'exposition « Pétros ení », qui fait partie de Microsoft La Basilica Di San Pietro : une expérience améliorée par l'IA. | Crédit : Courtney Mares/CNA
    Basilique Saint-Pierre de l'AIReprésentation numérique d'une mosaïque à l'intérieur de la basilique Saint-Pierre originale construite par Constantin, issue de la visite de presse de l'exposition Pétros ení, qui fait partie de Microsoft La Basilica Di San Pietro : une expérience améliorée par l'IA. | Crédit : Courtney Mares/CNA
    Basilique Saint-Pierre de l'AIUne reconstitution numérique de l'apparence qu'aurait eue la basilique Saint-Pierre aux yeux des pèlerins du XVe siècle, à partir de la visite de presse de l'exposition « Pétros ení », qui fait partie de Microsoft La Basilica Di San Pietro : une expérience améliorée par l'IA. | Crédit : Courtney Mares/CNA
    Basilique Saint-Pierre de l'AIImage du dôme de la basilique Saint-Pierre. | Crédit : Microsoft La Basilique Saint-Pierre : une expérience améliorée par l'IA
    Basilique Saint-Pierre de l'AIUne image générée par l'IA d'un sarcophage en marbre. | Crédit : Microsoft La Basilique Saint-Pierre : une expérience améliorée par l'IA
    Basilique Saint-Pierre de l'AIUne image générée par l'IA de la basilique Saint-Pierre la nuit. | Crédit : Microsoft La Basilique Saint-Pierre : une expérience améliorée par l'IA
    Basilique Saint-Pierre de l'AIL'entrée de l'exposition « Pétros ení » sur la terrasse de la basilique Saint-Pierre. | Crédit : Daniel Ibañez/CNA
    Basilique Saint-Pierre de l'AIL'exposition « Pétros ení » sur la terrasse de la basilique Saint-Pierre. | Crédit : Daniel Ibañez/CNA
    Basilique Saint-Pierre de l'AIL'un des théâtres de l'exposition « Pétros ení » dans la basilique Saint-Pierre. | Crédit : Daniel Ibañez/CNA
    Basilique Saint-Pierre de l'AIUne image rapprochée de la mosaïque située tout en haut du dôme de la basilique Saint-Pierre. | Crédit : Microsoft La Basilique Saint-Pierre : une expérience améliorée par l'IA
    Basilique Saint-Pierre de l'AILe pape François a eu un aperçu du nouveau modèle numérique de la basilique Saint-Pierre lors d'une réunion avec l'équipe Microsoft et l'organisation Fabric of St. Peter le 11 novembre 2024. | Crédit : Vatican Media
    Pape François Brad SmithLe pape François salue le président de Microsoft, Brad Smith, le 11 novembre 2024, au Vatican. | Crédit : Vatican Media

    Le Vatican et Microsoft ont créé un modèle numérique 3D de la basilique Saint-Pierre en utilisant les dernières avancées en matière d'intelligence artificielle pour offrir une nouvelle façon de découvrir l' histoire de près de 2 000 ans du tombeau de Saint-Pierre.

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  • Les cent ans de France Catholique

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  • Le regard perçant de Jean Quatremer sur le paysage politique et médiatique belge

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    De 21 News :

    Jean Quatremer : « Il n’y a pas de véritable pluralisme dans la presse belge francophone »

    Correspondant européen de Libération depuis 1990, Jean Quatremer est à la fois l’un des journalistes de référence sur l’Union et un fin connaisseur de notre pays. L’occasion pour nous de le rencontrer et d’évoquer sa vision de Bruxelles depuis vingt ans, ce qu’il pense des partis politiques belges ou du pluralisme dans la presse francophone et enfin d’évoquer sa vision de la commission von der Leyen II.

    21news.be : Comment avez-vous vécu l’évolution de Bruxelles depuis les années 90 ?

    Jean Quatremer : Ce qui m’a frappé lorsque j’ai découvert cette ville, ce sont les gens, leur gentillesse et leur sens de l’accueil accompagné d’une bonne dose d’humour. En outre, sur un plan très pratique, le pays n’était pas cher, que ce soit les logements ou la vie quotidienne – là aussi une vraie différence par rapport à Paris, beaucoup de restaurants vous servaient jusque tard la nuit. Aujourd’hui, tout s’est inversé : les rapports humains se sont dégradés, l’accueil dans les commerces et restaurants est déplorable et je ne parle pas des taxis bruxellois en passe d’entrer dans la légende… En outre, Bruxelles, la capitale de l’Europe, excusez du peu, est restée une désespérante ville de province où tout ferme à 18h30, où les restaurants ne vous servent plus après 21h30, où les dimanches et jours fériés sont d’une tristesse infinie, où la vie culturelle est réduite à la portion congrue. Alors que dans le même temps, le reste de l’Europe changeait pour vivre 24h sur 24h, Bruxelles est restée coincée dans les années 60. Ça peut avoir son charme pour certains, mais c’est désespérant de conservatisme pour moi. 

    La saleté à Bruxelles, une vieille histoire

    21 News : On se souvient aussi d’un papier pour Libération en 2013, « Bruxelles pas belle » où vous décriviez le chaos urbain et la saleté de la ville. Vous ne vous êtes pas fait que des amis…

    J. Q. : À ma grande surprise, alors que je décrivais la réalité d’une ville que la Belgique n’a jamais aimée et a consciencieusement détruite, j’ai subi un déchaînement de haine politico-médiatique. C’est à ce moment que j’ai compris à quel point la presse ne jouait pas son rôle critique dans ce pays, puisque mon article ne disait pas autre chose que ce que disaient les citoyens et associations, et qu’il y avait une vraie francophobie locale décomplexée. Si l’article avait été écrit par un Américain ou un Allemand, cela aurait conduit à une introspection. Moi, j’ai eu droit, y compris de la part de responsables socialistes, évidemment, à des « retourne en France si t’es pas content ». Ambiance.  

    21 News : Revenons aux médias belges. Comment les situez-vous par rapport aux médias français ? Quel est votre regard de journaliste sur la RTBF ?

    J. Q. : Ce qui est frappant, c’est la porosité extrême entre monde médiatique et politique. Lorsque vous parlez à un journaliste, rien ne dit que le lendemain, il ne sera pas porte-parole du Parti socialiste, le surlendemain député, bourgmestre, ministre régional voire ministre des Affaires étrangères… Et puis, il peut redevenir journaliste. Certes, on a le droit de changer de métier, mais ce sont ces allers-retours qui me gênent et qui expliquent largement la mollesse de la presse locale : on ne va pas mordre la main qui va peut-être vous nourrir demain. Imaginez la confiance que doivent accorder des sources qui risquent leur emploi à des journalistes, sachant que ces derniers pourraient, demain, se retrouver en position de pouvoir.

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  • Holocauste au Congo; l'omerta de la communauté internationale

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    Du site PUELAQ :

    Holocauste au Congo

    28 octobre 2024


    Plus de 10 millions de morts, au moins 500 000 femmes violées, des enfants martyrisés et torturés, l’un des pires crimes contre l’humanité depuis 1945 se déroule en ce moment et depuis presque 30 ans en RD Congo.

    Pourquoi une telle impunité et ce silence médiatique ?

    Entre avril et juillet 1994, l’est du Congo-Zaïre est pris d’assaut par un afflux de réfugiés rwandais. Les dirigeants zaïrois et plusieurs organisations humanitaires internationales croient alors qu’il s’agit-là d’une conséquence directe du génocide rwandais.

    La réalité est tout autre.

    Le politologue Charles Onana démontre ici que l’on assiste déjà, sans le savoir, à l’exécution du plan d’invasion du Congo-Zaïre dans le but de prendre le contrôle total des énormes ressources minières de l’est du Congo-Zaïre en y exterminant le maximum de populations.

    L’auteur s'appuie sur des archives de la Maison Blanche et sur les documents du Pentagone mais aussi sur plusieurs rapports de l’ONU et de l’Union Européenne.

    Qui sont les auteurs de ces actes criminels et les bénéficiaires de ce pillage en bande organisée ?  Que fait la communauté internationale devant cette situation insoutenable qui dure maintenant depuis 28 ans ?

    Ce livre brise enfin le mur du silence et apporte des preuves.

    Charles ONANA est docteur en science politique. Spécialiste de l'Afrique des Grands Lacs et des conflits armés, il est l’auteur de plusieurs ouvrages de référence.

    Le préfacier, Charles MILLON, était ministre de la Défense de Jacques Chirac entre 1995 et 1997.

    Holocauste au Congo: 
    L'Omerta de la communauté internationale
    de Charles Onana,
    préface de Charles Millon,
    chez L'Artilleur,
    à Paris,
    le 12 avril 2023,
    504 pages,
    ISBN-13 : 978-2810011452

  • Trois ans plus tard, les allégations de « fosses communes » au Canada restent sans fondement

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    Du NCR :

    Trois ans plus tard, les allégations de « fosses communes » au Canada restent sans fondement

    Malgré le manque de preuves à l'appui, un projet de loi a été présenté au Parlement fédéral du Canada le mois dernier qui criminaliserait les déclarations qui s'écartent du discours dominant sur les pensionnats.

    Cette absence totale de preuves a été soulignée dans un article du 14 octobre de la chroniqueuse du Wall Street Journal Mary Anastasia O'Grady, intitulé « Le scandale non prouvé des fosses communes au Canada ». L'article faisait référence à un projet de loi présenté le mois dernier à la Chambre des communes du Canada qui criminaliserait « le fait de tolérer, de nier, de minimiser ou de justifier le système des pensionnats indiens au Canada par des déclarations communiquées autrement que dans le cadre d'une conversation privée ».

    La première allégation concernant la découverte de tombes anonymes a été formulée en mai 2021 à Kamloops, en Colombie-Britannique. Sur la base des résultats d’un levé géoradar d’un verger situé à côté de l’ancien pensionnat indien de Kamloops, Rosanne Casimir, chef de la Première Nation Tk’emlúps te Secwépemc, a publié un communiqué de presse indiquant que le levé avait fourni « la confirmation des restes de 215 enfants » qui avaient été élèves à l’école et dont le décès n’avait pas été documenté.

    Mais fin mai de cette année, le journaliste canadien Terry Glavin a rapporté dans le National Post que Casimir avait désormais abandonné l’élément central de sa déclaration concernant les résultats de l’enquête par radar à pénétration de sol. Dans un communiqué de presse commémorant le troisième anniversaire de sa déclaration de 2021, Casimir a omis sa précédente référence aux enfants morts, déclarant seulement qu’il y avait eu « confirmation de 215 anomalies ».

    Bien que Casimir n’ait pas utilisé l’expression « fosses communes » dans son communiqué de presse initial, de nombreux médias canadiens et internationaux ont immédiatement utilisé cette formulation dans des reportages sensationnalistes sur son annonce, y compris un article publié le lendemain par le New York Times intitulé « ' Horrible History': Mass Grave of Indigenous Children Reported in Canada ».

    En fait, le géoradar n'avait identifié que des « anomalies » sous la surface du site de Kamloops. De telles anomalies indiquent seulement qu'une certaine perturbation du sol s'est produite, et non la présence certaine de corps humains. Malgré cette incertitude, jusqu'à cette année, la Première Nation Tk'emlúps te Secwépemc refusait de reconnaître que l'existence de tombes d'enfants n'était pas prouvée.

    L’article de Glavin dans le National Post a noté que les dirigeants de la Première Nation étaient au courant des failles associées à son relevé au radar terrestre depuis au moins 2022, lorsqu’ils ont reçu une analyse indépendante du site sur l’activité historique qui s’est déroulée sur le site depuis la fondation du pensionnat en 1890. Et selon un article de juin 2023 dans The Dorchester Review , une revue canadienne qui a publié un certain nombre d’articles remettant en question le récit dominant concernant les pensionnats financés par le gouvernement et gérés par l’Église catholique et d’autres confessions chrétiennes, il aurait dû être évident avant même qu’ils ne soient publiés que les conclusions de Kamloops étaient hautement discutables. En effet, des documents d’archives facilement accessibles documentaient que des tranchées, bordées de tuiles d’argile, avaient été creusées sur le site comme champ d’épuration en 1924, et on sait que de telles tranchées ne peuvent pas être distinguées des tombes par un radar à pénétration de sol.

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  • L’avenir de l’Europe se joue en Pologne

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    Du site de la NBQ :

    L’avenir de l’Europe se joue en Pologne

    Le cas significatif de la Pologne depuis les années sombres du régime communiste illuminée par l'élection de Wojtyła et de prêtres comme le bienheureux Popiełuszko jusqu'à l'actuelle Pologne de Tusk, liberticide mais appréciée des oligarchies européennes. De la réunion vidéo avec Włodzimierz Rędzioch.

    Lire également : Le bienheureux Popiełuszko, martyr du communismede Stefano Chiappalone

    19_10_2024

    Ces derniers mois, c’est-à-dire depuis l’entrée en fonction du troisième gouvernement Tusk (13 décembre 2023), les choses évoluent rapidement en Pologne, au détriment de son identité chrétienne. Et si jusque dans les années 1980 la liberté était étouffée par le régime communiste, aujourd'hui le nouveau danger est représenté par la laïcité cultivée par les oligarchies bruxelloises qui ont tout fait pour favoriser la nouvelle orientation politique polonaise. Ces sujets ont été abordés hier dans l'émission en direct de vendredi della Bussola, intitulée : « L'avenir de l'Europe se joue en Pologne ». Direction Stefano Chiappalone. Invité Włodzimierz Rędzioch, signature connue des lecteurs de la NBQ.

    Rędzioch a rappelé ce que signifiait pour les Polonais l'élection de l'archevêque de Cracovie, le cardinal Karol Wojtyła, à la papauté. Le premier pape non italien depuis Adrien VI (†1523), au moment de son élection (16 octobre 1978), était pratiquement inconnu de la majorité des Polonais, étant donné que les journaux, la télévision et la radio étaient hégémonisés par le parti communiste. Ce fut à la fois « une grande surprise et une grande joie » car les Polonais comprirent que l'élection de leur compatriote pape, qui avait connu le totalitarisme nazi et communiste, « changerait d'une certaine manière l'histoire non seulement de l'Église en Pologne, mais aussi de la Pologne et du monde" dans leur intégralité.

    Le premier voyage historique de Saint Jean-Paul II en Pologne (1979) a fait perdre la peur à de nombreuses personnes et a mobilisé les meilleures énergies de la société civile. L'année suivante, Solidarność est né.

    Entre -temps, est apparue la figure d'un jeune prêtre , le bienheureux Jerzy Popiełuszko (1947-1984) , dont marque aujourd'hui le 40e anniversaire du martyre in odium fidei par trois responsables des services secrets communistes. Rędzioch, qui a dédié au Père Popiełuszko un livre fraîchement sorti (voir la critique de Chiappalone ), rappelle que le bienheureux « était un simple prêtre », non politisé et sans aspiration à un héros, qui est devenu une référence pour les ouvriers, « symbole de résistance pacifique contre l’oppression communiste. » L'occasion en était la proximité de sa paroisse avec les grandes aciéries de Varsovie, "symbole des usines communistes", où en 1980, pour la première fois depuis trente ans, un prêtre, Popiełuszko, entra, en solidarité avec les ouvriers qui demandaient de meilleures conditions de travail. Un prêtre animé par une devise paulinienne : « Vaincre le mal par le bien ». Rędzioch reconstitue : « À cette époque, on découvrait que ce n'était pas le parti communiste, mais l'Église, qui était le seul défenseur du monde ouvrier, de la liberté de l'homme et de sa dignité. C'est précisément à cette époque que le Père Jerzy commença à célébrer des messes pour la Patrie." Des messes auxquelles, à un moment donné, des milliers de personnes de toute la Pologne se rassembleront. Tout cela a rendu Popiełuszko particulièrement détesté par le régime communiste, qui a fini par le torturer et le tuer brutalement.

    Mais le bienheureux Popiełuszko n'est qu'un exemple des persécutions contre l'Église polonaise, car à l'époque toute une structure du ministère de l'Intérieur « ne s'occupait que des prêtres. Pratiquement tous les prêtres étaient enregistrés et surveillés presque quotidiennement. » Un sombre héritage de cette période sont aussi certains faux dossiers sur des hommes du clergé, qui sont encore périodiquement évoqués aujourd'hui (voir la récente campagne contre Jean-Paul II et les calomnies sur la dissimulation de prêtres accusés de pédophilie).

    Concernant les relations entre la Pologne et l'Union européenne, Rędzioch rappelle que Jean-Paul II souhaitait que son pays adhère à l'UE, mais dans le cadre d'un projet conforme à celui de De Gasperi, Adenauer et Schuman, il restait donc essentiellement fidèle aux racines chrétiennes de l'Europe. Au lieu de cela, aujourd’hui, le point de référence pour la plupart de l’élite bruxelloise est Altiero Spinelli, qui équivaut à « une Europe socialiste, sinon communiste, qui détruit les identités nationales ».

    C’est précisément ce dernier modèle européen qui a continuellement attaqué la Pologne au cours des huit années, de 2015 à 2023, où elle était dirigée par un gouvernement conservateur. Que la Pologne, «gouvernée par des hommes politiques qui voulaient respecter notre histoire religieuse et culturelle, respecter le christianisme, la vie, en introduisant des lois pour la défense de l'enfant à naître, n'était pas appréciée par Bruxelles». Les dirigeants européens ont utilisé tous les prétextes pour ne pas fournir de fonds européens à la Pologne elle-même, accusant le gouvernement dirigé par le PiS (Droit et Justice) de violer ce qu'on appelle « l'État de droit ».

    Aujourd’hui, reconstruit Rędzioch, la Pologne est gouvernée par une coalition de partis très hétérogènes, unis uniquement par l’aversion pour le gouvernement précédent. Il semble désormais que l’objectif de Tusk soit de « détruire complètement l’opposition ». Et il le fait en violant la Constitution, en violant les lois. » Parmi les premiers signes inquiétants de ce processus, il y a la descente de police du 20 décembre 2023 - une semaine après l'installation du nouveau gouvernement Tusk - au siège de la télévision TVP Info, avec l'expulsion forcée des dirigeants indésirables. Puis, pour la première fois dans l'histoire de la Pologne depuis l'époque de Jaruzelski, le signal de télévision fut interrompu. «Toute dérive dictatoriale commence par l'occupation des médias», observe Rędzioch.

    Et si auparavant il existait une coalition de médias libéraux et anticléricaux, sous Tusk, la situation s'aggrave. Aujourd’hui, les campagnes médiatiques contre les hommes politiques du PiS et contre les réalités et les hommes d’Église affluent. Rędzioch cite l'attaque en cours contre la Radio Maria polonaise et le traitement indigne – ​​décrit dans plusieurs articles de la Bussola – que subit le père Michał Olszewski, arrêté par des policiers cagoulés, soumis à des tortures physiques et psychologiques et accusé de charges de temps en occasionnellement de nouveaux qui apparaissent comme "de simples prétextes pour le maintenir en prison". Mais aujourd’hui, le respect de « l’État de droit » en Pologne, « maintenant qu’elle est dirigée par le pro-européen Tusk », ne surprend plus.