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Belgique - Page 74

  • 2 mars: Conférence sur le SAINT SUAIRE par Pierre de Riedmatten

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    2 MARS | CONFÉRENCE SUR « LE SAINT SUAIRE » PAR PIERRE DE RIEDMATTEN

    Le Saint-Suaire est le linge qui recouvrit le visage de Jésus de Nazareth ou bien le linceul qui servit à envelopper son corps après la mort – conformément au mode de sépulture en usage chez les Juifs – avant de le déposer au tombeau selon le Nouveau Testament.

    Le Saint Suaire ne cesse d’interpeller aujourd’hui. Il est une véritable question scientifique.

    Jean-Michel Forestier, vice-président de l’association MNTV qui a pour but la connaissance et la contemplation du Linceul de Turin, l’étudie depuis des années. L’orateur fera ressortir la beauté du mystère qui habite le linceul de Turin.

    LES PÉPITES DU MERCREDI
    « Le royaume des Cieux est comparable à un trésor caché dans un champ ; l’homme qui l’a découvert le cache de nouveau. Dans sa joie, il va vendre tout ce qu’il possède, et il achète ce champ. »
    Mt 13,44

    L’équipe des Pépites du mercredi vous propose d’aller à la recherche de ces trésors peu connus et de vous enrichir de Dieu.

    QU’EST CE QUE C’EST?
    Un parcours de formation chrétienne composé de deux cycles au choix.
    1 cycle= 1 conférence + 5 mercredis
    Ces rencontres se déclineront sous le mode interactif.
    Au programme : prière, lecture, partage de réflexion, exposé, débat.
    Prêt pour un « Update catho » ?

    Vous pouvez vous inscrire en cliquant sur ce lien.

    Pour avoir plus d’infos:
    pepitesdumercredi@gmail.com

    PAF pour un module:
    30€ (50€ solidarité)
    Ceci ne doit pas constituer un empêchement


    Date / Heure
    Date(s) - 02 mars 2021
    20h30 - 22h00

  • "Touche pas à mon culte" : une banderole suspendue sur les échafaudages du Palais de Justice de Bruxelles

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    20210226_064713.jpg

     

    Lu sur le site de la Libre :

    Une banderole "Touche pas à mon culte" suspendue sur les échafaudages du Palais de justice de Bruxelles

    L'action précède de quelques heures le Comité de concertation de ce vendredi.

    Ce vendredi matin, quelques heures avant une nouveau Comité de concertation qui doit statuer sur la prolongation ou non de mesures sanitaires, une banderole "Touche pas à mon culte" a été suspendue sur les échafaudages du Palais de justice de Bruxelles.

    Pour l’instant, l’action n’a été revendiquée par aucun des groupes qui ont organisé des manifestations (autorisées celles-là) ces dernières semaines, et deux pétitions qui ont recueilli plus de 10 000 signatures.

    Ce qui indigne ces croyants est le nombre des 15 personnes maximum autorisées à se tenir dans un édifice religieux, quelle que soit sa taille ou le nombre de ses pièces. Les manifestants, comme les évêques par la voie officielle, demandent donc à ce que cette jauge soit proportionnelle à la taille des édifices religieux, comme c’est le cas pour les magasins par exemple.

    Seront-ils entendus ce vendredi ? Ce n’est pas certain. À tel point que les chefs des cultes "demandent que les mesures soient revues pour le 25 mars", soit quelques jour avant la Pâque juive et la Pâques chrétienne, pouvait-on lire ce jeudi soir sur le site Cathobel.

    Sans que l’on puisse objectivement quantifier la gronde, cette attente fâche un nombre croissant de croyants de différentes confessions. Ils sont de plus en plus nombreux à témoigner auprès de La Libre de leur incompréhension devant cette mesure qu’ils jugent illogique face aux jauges permises dans les centres commerciaux notamment ; ils se disent également déçus "du peu de considération" avec laquelle le monde politique tiendrait la dimension spirituelle de leur vie.

  • La reprise des cultes : le 25 mars ou la semaine des quatre jeudis ?

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    De

    Cultes : une demande en attente

    Crédit photo : (C) basilique de Koekelberg

    Accueillir plus de pratiquants selon la taille de l’église: un leitmotiv pour le 25 mars?

    Toutes confessions confondues, des voix se font de plus en plus entendre dans la rue, sous forme de pétitions mais aussi dans les coulisses du ministère de la Justice qui est . Ceci afin d’assouplir la  de 15 personnes dans les lieux en fonction de leur taille. Les évêques confirment avoir adressé une lettre allant dans ce sens à leur ministre de tutelle et au Premier ministre.

    ll s’agit donc d’une nouvelle lettre, adressée par les chefs des différents cultes en vue des mesures qui seront présentées par le  comité de concertation de ce vendredi 26 février.  Ils demandent une fois de plus (voir Les cultes veulent plus de dialogue  et d’adaptation) de revoir la jauge de 15 personnes en fonction de la taille des édifices. Tommy Scholtes explique qu’ils rappellent d’abord que beaucoup de personnes vivent la situation actuelle comme une difficulté. « Tant les chefs de cultes que les pratiquants ont besoin de perspective », dit-il.

    Même s’il n’y a pas eu de communiqué officiel sur le sujet, les évêques ne restent pas les bras croisés. « Il y a des rencontres par zoom avec le ministre responsable des cultes, Vincent Van Quickenborne (MR). Nous essayons que tout le monde soit aligné même si ce n’est pas facile de parler d’une seule voix. Les chefs de cultes demandent en tout cas de pouvoir faire partie du débat. En ce qui concerne l’Eglise catholique, nous assurons une présence effective auprès du ministre; côté francophone, Mgr Harpigny veille à être présent. »

    Les chefs de culte demandent donc que les mesures soient revues pour le 25 mars. Leur souhait: en fonction de la taille des édifices, que les célébrations puissent accueillir jusqu’à cent personnes. La requête des évêques va donc dans le sens de la demande du mouvement « Libérez nos cultes », à savoir  « revenir à un protocole sanitaire plus juste » mais, précise Tommy Scholtes, « nous ne voulons pas apparaître comme ceux qui savent mieux que les autres. Nous voulons être solidaires et voir quels sont les assouplissements possibles. »

    Pourquoi le 25 mars? « Tout d’abord il est sans doute encore trop tôt pour envisager d’élever la jauge de 15 personnes et d’autre part c’est juste avant la Pâque juive et la fête de Pâques chrétienne ». Tommy Scholtes explique que, tant que chiffres ne sont pas franchement à la baisse, il n’est pas question de demander une exception. « Comparé aux secteurs de l’Horeca et culturel, nous avons la chance que les églises ne soient pas fermées; on peut célébrer mais avec peu de monde ».

    Les évêques et tous les chefs de culte espèrent donc être entendus et, bien sûr, que la situation sanitaire s’améliore.

  • RDC : Luca Attanasio, un martyr de plus dans une liste déjà longue au pays des grands lacs

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    fb-img-1614007109815.jpgL’histoire bégaye dans l’Est du Congo depuis les lendemains anarchiques de l’indépendance bricolée, voici soixante ans, par un gouvernement belge irresponsable.

    L’ambassadeur italien Luca Attanasio (43 ans), assassiné ce 22 février 2021 sur la route de Goma à Rutshuru (à hauteur du Nyiragongo, en plein parc des Virunga) est un martyr de plus dans la liste impressionnante jalonnant l’histoire du Congo depuis 1960. Diplomate au grand cœur, il   était aussi un chrétien ami des pauvres, en Italie et au Congo, comme le relate ici Colette Braeckman sur son blog hébergé par le journal  bruxellois « Le Soir » :

    "Luca Attanasio, l’ambassadeur d’Italie tué lundi matin au nord de Goma, dans la zone du parc des Virunga alors qu’il allait visiter un centre de distribution de vivres dans une école gérés par le Programme alimentaire mondial, était plus qu’un diplomate, qu’un politique. Il a laissé au Congo le souvenir d’un homme de cœur et les témoignages commencent à se multiplier. Depuis son arrivée au Congo voici 5 ans, d’abord attaché d’ambassade puis ambassadeur, il s’était donné une double mission : représenter son pays comme diplomate européen mais aussi se montrer attentif aux pauvres, faire pour eux ce qu’il pouvait, à titre personnel et avec son épouse mère de ses trois enfants.

    Proche des sœurs des pauvres de Bergame, il multipliait les visites auprès des plus humbles des Congolais, les malades, les vieillards, les enfants des rues. On le vit à la mission de Tumikia, à Kikoti. Son épouse et lui se rendaient régulièrement dans le home de vieillards de Masina où ils préparaient de la nourriture et partageaient le repas des personnes âgées  A Kisangani, où les religieuses manquaient de courant, ce qui mettait en danger les couveuses et la banque de sang, le diplomate trouva bien vite la solution : son épouse et lui achetèrent un groupe électrogène de 100 KVA et la livraison se fit sans caméras ni communiqué de presse.

    A Kinshasa, il organisa à l‘hôtel Pullman une collecte de fonds pour soutenir des actions de bienfaisance et sa femme ouvrit dans la capitale un centre appelé « Mama Sophia » destiné à accueillir les enfants de la rue. C’est là qu’il découvrit une fillette, presque à l’agonie et l’emmena à l’hôpital du Cinquantenaire, couvrant tous les frais d’une opération coûteuse…

    Son engagement social était bien antérieur à sa nomination au Congo : proche de la communauté Sant Egidio, il avait monté des projets pour les personnes handicapées, pour les vieillards et en Italie, il avait reçu le Prix Nassiryia, récompensant les œuvres de paix mais jamais il ne se vantait de cette distinction.

    Il connaissait bien l’Est du Congo et compatissait avec les victimes de la guerre. A plusieurs reprises il avait visité l’hôpital de Panzi où il avait rencontré le Docteur Mukwege. La veille de sa mort, il se trouvait à Bukavu, et avait assisté à une messe en compagnie du père Franco, très connu dans la ville et rencontré Marie Masson, une religieuse belge qui avait longtemps dirigé le bureau des œuvres diocésaines et qui s’occupe actuellement d’une organisation qui prend soin des personnes âgées, Wawe Wetu. L’ambassadeur s’était aussi informé de la situation des ressortissants italiens vivant au Sud Kivu dont plusieurs prêtres et religieuses. Avec de tels contacts, le diplomate engagé aux côtés des pauvres et des victimes n’ignorait rien des souffrances subies depuis un quart de siècle par les populations de l’Est du Congo et c’est discrètement, trop discrètement sans doute, qu’il rendait visite aux plus démunis et en compagnie de son épouse, tentait de les aider. Lors de sa mission au Nord Kivu, il avait emprunté une route classée « jaune » et pour laquelle aucune autorisation particulière n’était nécessaire et il n’était pas homme à se faire escorter par des caméras et précéder par des jeeps chargées d’hommes armés jusqu’aux dents…

    A son retour en Italie, l’ambassadeur mort en héros des pauvres reçut un accueil ému. Quant aux Congolais, ils se souviendront d’un homme qui les aimait vraiment et qui, à force de fréquenter et d’écouter les plus humbles d’entre eux, en avait peut-être appris trop sur les secrets de la région…"

    Ref. Luca Attanasio était l’ami des pauvres, en Italie et au Congo

    JPSC

  • Cultes : les mesures sanitaires seront-elles modifiées ce vendredi ?

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    De Bosco d'Otreppe sur le site de La Libre (extrait) :

    (...) Ce vendredi, les mesures sanitaires seront-elles revues en la matière (pour les cultes) ? Nul ne le sait encore. "Les chefs des cultes reconnus ont adressé une nouvelle lettre au ministre de la Justice Vincent Van Quickenborne" (Open VLD), précise Tommy Scholtès, porte-parole des évêques de Belgique. "Nous pensons que notre proposition est raisonnable. Nous ne demandons pas un assouplissement des règles, mais le fait qu'elles soient plus cohérentes entre elles, et que nous puissions donc ouvrir nos portes en fonction de la taille des édifices, comme c'est le cas dans les grandes surfaces. Nous constatons aussi que les Belges souffrent des mesures, et nous sommes convaincus que s'ils sont soutenus, aussi spirituellement, ils pourront mieux les affronter et plus longuement les respecter."

    Lors des dernières entrevues avec les chefs des cultes reconnus, le ministre de la Justice n'a jamais donné suite à leurs demandes, "mais il a promis que dès que des mesures d'assouplissement seraient prévues, les cultes seraient parmi les premiers concernés", ajoute Tommy Scholtès. Une promesse qui ne permet pas encore de savoir quand la basilique de Koekelberg, les églises, mosquées ou synagogues du pays retrouveront plus de 15 pratiquants.

  • La loi belge sur l’euthanasie est mauvaise sur le plan éthique, administratif et légal

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    L'article qui suit revient sur une étude déjà évoquée sur belgicatho; de Michael Cook traduit par Stéphane Seminckx sur didoc.be :

    La loi d’euthanasie en Belgique est mauvaise, selon une étude scientifique

    .

    Sa portée ne cesse de s’élargir et les garde-fous sont défaillants.

    De temps à autre apparaît un article de bioéthique qui est un réquisitoire si puissant contre l’injustice qu’il donne la chair de poule à ses lecteurs. En 1949, Leo Alexander a publié Medical Science under Dictatorship dans le New England Journal of Medicine, à propos des atrocités commises par les médecins nazis. En 1966, Henry K. Beecher a publié Ethics and Clinical Research, aussi dans le New England, dont le titre assez neutre cachait un message virulent sur les catastrophes éthiques de la médecine américaine contemporaine.

    Euthanasia in Belgium: Shortcomings of the Law and Its Application and of the Monitoring of Practice (Euthanasie en Belgique : manquements de la loi et de son application ainsi que du suivi de sa pratique) vient d’être publié dans The Journal of Medicine and Philosophy. Ce texte ne sera pas aussi sensationnel que les articles historiques que je viens de mentionner, mais il peut soutenir la comparaison.

    Depuis 2002, les lois sur l’euthanasie en Belgique et aux Pays-Bas ont servi de modèle pour des réformes légales dans d’autres pays. Le Canada les a suivis. Le Portugal est sur le point de le faire. L’Espagne va dans la même direction. En Belgique, l’euthanasie prend à son compte 2,4 % de tous les décès, et beaucoup plus en Flandre.

    Les auteurs de l’article du Journal of Medicine and Philosophy affirment en substance que la loi belge sur l’euthanasie est mauvaise sur le plan éthique, administratif et légal. Sa portée ne cesse de s’élargir et les garde-fous sont défaillants. La commission chargée de contrôler le respect de la loi par les médecins est inefficiente, voire complice d’un agenda pro-euthanasie. Pour appuyer ces affirmations étonnantes, l’article se réfère non pas à des scandales rapportés dans les médias mais à des études académiques minutieuses des 20 dernières années et sur les rapports de la commission de contrôle elle-même.

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  • Belgique : les maisons de religieux exclues des priorités de vaccination contre la pandémie de coronavirus

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    Les Belges sont-ils tous égaux devant les normes sanitaires ministérielles et autres relatives à la pandémie de coronavirus ? Après le numerus clausus impraticable limitant à 15 le nombre de fidèles autorisés à prendre part ensemble à un acte du culte dans une église, quelle qu’en soit la dimension, les pouvoirs publics en Wallonie et à Bruxelles auraient, maintenant, exclu des priorités de vaccination les résidents des maisons de repos de congrégations catholiques constituées pour les religieuses et religieux âgés. Un article de Sarah Poucet publié par le site web « cathobel » ce 24 février 2021 :

    mains-agees-275x150.jpg« Les maisons de repos de congrégations catholiques, accueillant religieux et religieuses, ne sont pas comprises dans les premières phases des plans de vaccinations bruxellois et wallon, alors que les maisons de repos classiques le sont. Discrimination ? L’affaire sera bientôt discutée au Parlement wallon.

    La Maison Saint-Claude La Colombière, située à Bruxelles, accueille une quarantaine de jésuites âgés qui terminent leur vie dans une maison qu’ils partagent. Comme dans des maisons de repos ordinaires, les résidents bénéficient de soins infirmiers avec un personnel soignant, de cuisine et d’entretien. Pourtant, les résidents de cette maison ne sont pas encore vaccinés. Après s’être adressé à Iris Care, en charge de la vaccination à Bruxelles, les responsables de l’établissement ont reçu une réponse indiquant que le vaccin arriverait en février. Depuis, plus de nouvelles et aucun vaccin à l’horizon. Si la Colombière a décidé de ne pas s’inquiéter et d’attendre patiemment, ce n’est pas le cas de tous les lieux de séjour pour religieux et religieuses. En effet, ils sont tous écartés des premières phases des campagnes de vaccination (wallonne et bruxelloise) qui concernent les homes et les collectivités comme les maisons pour personnes handicapées.

    Le Coreb, la Conférence des Religieux et Religieuses en Belgique, a décidé de fédérer les inquiétudes des différentes congrégations. Elle a envoyé ce vendredi 19 février une lettre aux ministres de la santé, dont Franck Vandenbroucke (sp.a), demandant que ces 1750 religieux et religieuses tout comme le personnel soignant de ces établissements, soient reconnus comme personnes à risque. Elle demande de mettre fin à cette différence de traitement avec les homes traditionnels en procurant rapidement le vaccin aux médecins référents de chaque communauté.

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  • La disparition d'un grand spécialiste du chant grégorien

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    Décès de M. Francis Pierrard (source)

    February 21, 2021

    Francis Pierrard est décédé. Comme le dit un de ses proches : « Nous devons à cet ami très cher une immense gratitude, car il nous a fait bénéficier de son abondante science du chant grégorien, de son talent de dirigeant, de son amour des arts inspirés de la foi catholique. C’est au cours de vingt-trois sessions estivales de chant grégorien, de cours et répétitions innombrables, de l’enregistrement de deux disques, de Semaines-Saintes très complètes et de fêtes grandioses qu’il nous a transmis la piété liturgique dont il était imprégné, et pour laquelle il suscitait l’enthousiasme."

  • Ils ont manifesté pour un assouplissement des mesures limitant les cultes

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    De l'Avenir.net :

    Juifs, musulmans et chrétiens manifestent à Bruxelles pour un assouplissement

    21 février 

    Des représentants des cultes juif, islamique et chrétien ont manifesté, dimanche, aux abords de la gare centrale à Bruxelles, pour réclamer des assouplissements aux mesures sanitaires qui touchent actuellement les cultes.

    Ils dénoncent notamment la limite de 15 personnes, qui selon eux entrave la liberté de culte, et demandent qu’elle soit adaptée.

    Depuis un arrêt du conseil d’État de début décembre, les lieux de culte sont accessibles et l’exercice collectif du culte y est autorisé. Les rassemblements y sont toutefois limités à 15 personnes, peu importe la taille ou le nombre de pièces dans le bâtiment de culte. Les enfants jusqu’à l’âge de 12 ans accomplis et le ministre du culte ne sont pas pris en compte.

    Les opposants à ces mesures jugées trop restrictives rappellent que la liberté de religion est garantie par la Constitution. Ils demandent également que la limitation du nombre de personnes au sein d’un lieu de culte tienne compte de la taille du bâtiment. Ils soulignent encore qu’il y a quelques mois, alors que la situation sanitaire n’était pas moins grave qu’actuellement, jusqu’à 200 personnes étaient admises lors d’une célébration religieuse.

  • Liège : enregistrée et diffusée depuis l’église du Saint-Sacrement en direct ce matin du 21 février 2021 à 10h, la messe traditionnelle (missel de 1962) du 1er dimanche du carême

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    Célébrant : Abbé M.-A Dor, Recteur

    Chants grégoriens : propre de la messe « Invocabit me »; Kyriale de la messe XI  « Orbis factor » (XIVe s.); Credo I (XIe s.);

    Orgue : Patrick Wilwerth

    Pour suivre la messe, cliquez ici :

    https://youtu.be/xLLoMSlODLw

    Ce dimanche, le premier de ceux qui se rencontrent dans la sainte « Quarantaine » (Carême), est aussi l’un des plus solennels de l’année. C’est aujourd’hui que le Carême apparaît dans toute sa solennité. On sait que les quatre jours qui précèdent ont été ajoutés assez tardivement, pour former le nombre de quarante jours de jeûne, et que, le Mercredi des Cendres, les fidèles n’ont pas l’obligation d’entendre la Messe.

    L’Introït est tiré du Psaume 90, qui forme à lui seul la matière de tous les chants de cette Messe. Tout nous y entretient de l’espérance que l’âme chrétienne doit concevoir dans le secours divin, en ces jours où elle a résolu de se livrer entièrement à la prière et à la lutte contre les ennemis de Dieu et d’elle-même. Le Seigneur lui promet, dans l’Introït, que sa confiance ne sera pas vaine.

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  • Va-t-on enfin entendre les cultes ?

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    D'

    Les cultes seront-ils (cette fois) entendus ?

    Revenir à un protocole sanitaire plus juste, c’est la demande adressée par des milliers de chrétiens, juifs et musulmans, signataires d’une nouvelle pétition adressée au gouvernement.

    Une nouvelle pétition a été lancée mercredi dernier. Elle circule sur les réseaux sociaux et dans les lieux de culte, pour demander que les mesures restrictives à la fréquentation des églises, synagogues et mosquées soient assouplies. Les initiateurs de cette pétition « Libérez nos  » veulent ainsi montrer au  qu’un grand nombre de croyants demandent la suppression de cette limite de 15 personnes par office. Le premier protocole sanitaire qui avait été établi l’année dernière après le déconfinement prévoyait une limite définie en fonction de la taille de l’édifice, qui allait jusqu’à 200 personnes, tout en respectant évidemment le port du masque, gel hydroalcoolique, distances entre les fidèles… La pétition rappelle que : « Un élargissement du nombre de personnes pouvant participer au culte est possible tout en prenant de justes mesures sanitaires. »

    Le père Marc Leroy, responsable de la pastorale francophone de la basilique de Koekelberg, est à l’initiative, avec d’autres, de cette pétition : « Dans quelques jours, se tiendra le prochain comité de concertation. Nous espérons pouvoir récolter un maximum de signatures pour montrer qu’il y a tout un peuple derrière. Des centaines de milliers de personnes pour qui Dieu a une place essentielle. » Des citoyens chrétiens, juifs et musulmans font cause commune à travers cette pétition mise en ligne depuis le 16 février.

    Se faire entendre

    Si l’objectif de 25.000 signatures était atteint, les initiateurs de cette mobilisation citoyenne pourraient aller la porter au Parlement pour faire entendre la voix des cultes. Lors des 24 premières heures, près de 5.000 signatures avaient déjà été récoltées. Du côté catholique, beaucoup de prêtres s’y sont engagés ainsi que Mgr Jousten, évêque émérite de Liège. Cette mobilisation prendra une autre forme visible ce dimanche puisqu’une délégation de 100 personnes représentatifs des différents cultes se rassemblera au carrefour de l’Europe.

    Le père Marc Leroy confie au micro de Régine Kerzmann (RCF Liège), la genèse de cette initiative

    http://audiostream.cathobel.be/uploads/2021/02/210219_Marc_Leroy.mp3

    La pétition en cours ainsi que la manifestation de dimanche prochain sont les nouvelles tentatives pour que les cultes soient reconnus lors des décisions gouvernementales dans la crise du coronavirus. Mi-janvier, une lettre avait été adressée de la part des représentants des cultes, au ministre de la Justice. Aucune réponse n’avait été apportée en retour. Et même plus grave, une heure avant que les représentants des cultes soient reçus au ministère, l’arrêté fixant les mesures sanitaires pour les cultes était publié. « Nous avons vu comment les évêques sont peu considérés« , résume le père Marc Leroy en colère. « Nous représentons aussi une activité essentielle« , ajoute-t-il

  • Une version spéciale 2021 de la Marche Saint-Joseph

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    Marche Saint-Joseph 2021 : version spéciale !

    2021, ANNÉE SPÉCIALE SAINT-JOSEPH
    DÉCRÉTÉE PAR LE PAPE !

    source

    La marche du 19 mars 2021 aura lieu par petits groupes autour d’abbayes trappistes et hauts lieux.

    SITE INTERNET DE LA MARCHE SAINT-JOSEPH

    La marche s’adresse à tous les hommes, pères, époux, de toutes générations et de toutes conditions physiques ou sociales, croyants ou en questionnement.

    Lumière au bout de la sapinière.

    Ne tardez pas à vous inscrire sur l’une des 18 routes si l’aventure vous tente ce vendredi 19 mars 2021.

    Nous marcherons autour de plus de 18 abbayes et hauts-lieux partout en Belgique.

    Nous formerons des groupes de maximum 16 (4 x 4) marcheurs, soit 15 + 1 prêtre (jauge pour les messes).

    Une initiative de membres et d’amis de la Communauté de l’Emmanuel de Belgique, en partenariat avec la Communauté du Verbe de Vie, RCF, CathoBel/Dimanche et EgliseInfo.

    Gentlemen, vous pourriez suggérer à votre dame de participer à la www.marchedesmeres.be le samedi 20 mars