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Pèlerinage de Banneux à Chèvremont le 26 octobre
Les pèlerins sont attendus à 10h à Banneux pour se rendre à la Basilique de Chèvremont. Il s’agit d’une procession pédestre de 18 km avec le Saint-Sacrement et avec la statue de Notre-Dame de Fatima. Les pèlerins font le parcours à leur rythme et peuvent à tout moment rejoindre ou quitter le groupe grâce aux navettes. Si vous êtes fatigué et ne pouvez pas marcher longtemps, 8 voitures suiveuses sont à votre disposition. Itinéraire par les routes et les chemins de campagne menant à Chèvremont. Départ à 10h à la Chapelle des apparitions à Banneux.
Chapelle des apparitions - 4140 - Sprimont
T 0474 95 12 07 - jappy@skynet.be
Communiqué de Presse :
Conférence Lytta Basset 18 oct. 2013 à Bruxelles
Valeur cardinale de bien des religions, la compassion est aujourd’hui mal comprise : on a en effet tendance à la confondre avec l’amour, la charité, la pitié ou l’empathie… Selon Lytta Basset, on ne décide pas d'être "pris de compassion" ou "pris aux entrailles", selon l'expression des évangiles. Cela peut arriver face à un "ennemi" ou une personne très dysfonctionnante! Sans préavis, on se met à com-pâtir: à vibrer/sentir/souffrir-avec autrui, pas à sa place,... et c'est par le corps que cela se passe. Désormais, on verra l'autre avec des yeux neufs: on aura partagé avec lui la plus grande vulnérabilité de la condition humaine ... jusque dans cette profondeur du cœur et du corps où se tient le Tout-Autre en Sa compassion.
Philosophe et théologienne protestante, Lytta Basset est l’auteure d’une douzaine d’ouvrages. Elle s'est fait connaître du grand public par son approche renouvelée des thèmes bibliques. Parallèlement à son activité de professeure à l'Université de Neuchâtel (Suisse), elle donne de nombreuses conférences et anime des sessions de formation dans les pays francophones. Elle dirige la revue internationale de théologie et de spiritualité La Chair et le Souffle
Thème :
« La fragilité … tous concernés ?
S’ouvrir à la compassion.»
Venue : 18 oct. 2013 à 20h à l’ICHEC Montgomery rue du Duc, 132 à 1150 Bruxelles
Prix : 8 €
Organisateurs : L’Arche, OCH, Foi et Lumière, avec le soutien de : Média Catholiques, Bayard, Rive Dieu
Info : www.larche.be – 02/772 79 54
« L’avenir de l’humanité passe par la famille! Il est donc indispensable et urgent que tout homme de bonne volonté s’emploie de toutes ses forces à sauvegarder et à promouvoir les valeurs et les exigences de la famille. Je me sens poussé à demander à ce sujet un effort particulier aux fils de l’Eglise. Dans la foi, ils ont une pleine connaissance des merveilleux desseins de Dieu, ils ont donc une raison de plus de prendre à cœur la réalité de la famille, dans ce temps d’épreuve et de grâce qui est le nôtre. » (Familiaris Consortio)

« FAMILLE, DEVIENS CE QUE TU ES » (Jean-Paul II)
EGLISE DES PÈRES CARMES
45 Avenue de la Toison d’Or - Métro ligne 1 ou 6 : LOUISE
Pout tout renseignement, contacter le 02 502 05 89

Messe pour le personnel
médical et para-médical
à l'occasion de la fête de saint Luc
Vendredi 18 octobre à 19h
Notre-Dame du Finistère (rue Neuve - Métro De Brouckère, Rogier - Parking: rue du marais 117 (Institut Saint-Louis)
Contact: Carine De Geeter - 02 533 29 51
À l'invitation de Mgr Kockerols évêque auxiliaire pour Bruxelles
À l’issue de la célébration, rencontre avec collation
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on nous prie d'annoncer :
Mgr Léonard donne un enseignement
ce mercredi 11 septembre à 20h
à la salle paroissiale de N-D de l'Assomption
90 av. E Vandervelde
1200 Woluwé-Saint-Lambert
"L’objet de la conférence de Mgr Léonard sera le Credo : ce qu’on y dit, sa compréhension, sa place dans la messe… et dans notre vie, etc
Sa présentation sera suivie d’un débat, avec questions-réponses, puis du verre de l’amitié."
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Le 20e Pèlerinage de Leffe à Foy-Notre-Dame aura lieu le
Dimanche 29 septembre 2013
« La foi catholique, porte du Salut »
* * *
20de Bedevaart onze lieve Vrouw Van Foy
Zondag 29 september 2013
« Het katholiek Geloof, poort van de Verlossing »
(source) Décédé à Louvain (Leuven) en 1981, Mgr Boleslas Sloskans a été, pour de nombreux belges qui l’ont connu, le symbole des chrétiens persécutés, et même, l’image du bon Pasteur qui a souffert pour ses brebis. Aujourd’hui, en Belgique, la mémoire de Mgr Sloskans se perd un peu. Ce colloque pourrait être l’occasion de découvrir l’actualité de cette figure qui peut nous faire respirer des deux poumons de l’Europe, selon l’expression du bienheureux Jean Paul II. Arrivé en Belgique en 1948 après avoir souffert dans les prisons et les camps soviétiques et en déportation en Sibérie (1927-1933), il a été fidèle jusqu’au bout de l’amour, fidèle à sa devise épiscopale : Hostia pro fratribus, « Offrande pour ses frères ».
L’Union soviétique a montré, plus particulièrement dans sa période la plus sombre, que la haine de Dieu ne peut être, en même temps, que la haine de l’homme. À cette haine, Mgr Sloskans a répondu par la foi et l’amour, par sa foi extraordinaire et sa fidélité absolue à l’amour du Christ et de son Église, en aimant tout homme, sans exception, même celui qui, apparemment, ne mérite aucun amour. Alors qu’en 2013, l’Union soviétique n’existe plus et que le communisme « réel » n’est présent plus que dans cinq pays du monde, tout spécialement en Corée du Nord, le christianisme est encore actuellement la religion la plus persécutée et beaucoup parlent même d’une persécution « soft » dans nos démocraties occidentales. La béatitude des « persécutés pour la justice » (cf. Mt 5, 10-12) que Mgr Sloskans a tout spécialement incarnée reste donc plus que jamais d’actualité.
L’archidiocèse de Malines-Bruxelles a ouvert, en 1999, son procès de béatification qui a déjà abouti, en 2004, à la proclamation de l’héroïcité de ses vertus. Par sa vie, le vénérable évêque nous rappelle que la force du pardon est la réponse de Dieu à la haine, à la violence, à l’injustice, au péché. À la suite du Christ, ne répétait-il pas souvent en pensant à ses persécuteurs : « Père, pardonne-leur : ils ne savent pas ce qu’ils font » (Lc 23, 34). L’humble sainteté souriante de MgrSloskans qui, après avoir souffert dans des conditions extrêmes, s’est consumé dans la vie ordinaire peut être une lumière pour tous. Il peut nous apprendre à laisser la puissance de l’amour de Dieu transfigurer notre fragilité. Il peut nous guider ainsi sur le chemin de la résurrection, alors que « toute la création jusqu’à ce jour gémit en travail d’enfantement » (Rm 8, 22).
Pour en savoir plus
sur le colloque du 28 septembre : voir l’affiche ci-dessus et www.iet.be
cliquer sur "l'affiche" pour accéder aux informations
C’est le site « Pro Liturgia » qui attire notre attention sur cette rencontre :
Le Cercle des anciens étudiants du Professeur Ratzinger a tenu sa réunion annuelle à Castel Gandolfo. C’est le philosophe et historien Rémi Brague qui était invité. Les cardinaux Christophe Schönborn et Kurt Koch ont assisté à la rencontre. Pour la première fois, le Pape émérite Benoît XVI n’a pas participé aux débats et aux conférences qui portaient sur « la question de Dieu dans l’horizon de la sécularisation ». Benoît XVI a toutefois célébré, dans la chapelle du Gouvernorat du Vatican, la Messe dominicale à laquelle ont pu assister ses anciens collègues et étudiants.
Dans son homélie, il a notamment déclaré :
« Dans l’histoire, tous cherchent la bonne place : sur la scène de la vie, chacun veut trouver sa place. Mais la question est : quelle place est la bonne et laquelle est juste ? La première place peut rapidement devenir une très mauvaise place et cela, non seulement lors du jugement dernier, mais déjà sur cette terre. L’échelle qui établi ce qui est une bonne ou une mauvaise place, c’est Jésus. Celui qui sera poussé devant, donc à la première place, doit être conscient du danger. Il doit d’autant plus avoir le regardé fixé sur Dieu, se mesurer à lui, à la responsabilité qu’il a des autres, il doit devenir celui qui sert, celui qui sait en vérité se mettre aux pieds des autres, et ainsi être celui qui béni et devient béni. Je pense que tout cela doit passer par le cœur, lorsque nous regardons Celui qui est le premier être de la Création et celui né dans une étable et mort sur une croix. Les bonnes places sont auprès de Lui et selon sa mesure, malgré les places vers lesquelles la vie nous mène.
