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Politique - Page 483

  • Vous avez dit : "projet parental" ?

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    Lu sur "Le coin des experts" du site de Gènéthique (Benoît Bayle) :

    LE PROJET PARENTAL LÉGITIME-T-IL LA VENUE DE L’ENFANT ?

    Introduit à l’occasion des lois de bioéthique successives, le « projet parental » devait au départ préciser les conditions d’accès d’un couple homme-femme à la procréation médicalement assistée (PMA). Au fil des années, ce concept s’est de plus en plus assimilé au désir d’enfant, qui légitimerait seul la dignité de l’embryon. Gènéthique fait le point avec le docteur Benoît Bayle. 

    Le projet parental est devenu une notion clé qui étaie l’édifice procréatique : « De l’avortement aux techniques de procréations [artificielles], c’est la toute-puissance du ‘projet parental’ qui fait le lien. Confrontée à une absence de projet parental ou, aussi bien, à un projet qui se révèle décevant, défaillant, une femme avorte. Animées par un projet parental que la nature refuse de servir, des personnes vont demander à la technique la réalisation de l’enfant rêvé »[1]. C’est également au nom d’un projet parental que le couple choisit d’avoir recours à la contraception, ou décide de l’arrêter. Le projet parental constitue un incontestable fil conducteur dans la gestion de l’engendrement. Très en vogue, prolongement du paradigme de l’enfant dit « désiré », il gouverne nos mentalités, car il procède d’une sorte d’arrangement sociétal, qui permet de justifier, non seulement la pratique de l’avortement comme le suggère le sociologue Luc Boltanski[2], mais aussi, plus largement, l’instrumentalisation de l’être humain conçu depuis sa première forme embryonnaire jusqu’à des stades prénataux plus tardifs.

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  • ONE OF US lance son forum européen

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    ONE OF US lance son forum européen par KTOTV

  • La liberté de religion et la liberté d’expression sont appelées à coexister en tant que droits humains fondamentaux

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    Lu sur ihsnews.net

    Le Saint Siège aborde la liberté d’expression et de religion à L’ONU

    « La liberté de religion et la liberté d’expression sont appelées à coexister en tant que droits humains fondamentaux », déclare Mgr Gyhra.

    Mgr Richard Gyhra, chargé d’Affaires (ad intérim) de la Mission permanente du Saint-Siège auprès des Nations Unies et des autres Organisations internationales à Genève, est en effet intervenu à la 31ème Session du Conseil des droits de l’homme.

    Son intervention, du 9 mars 2016, à Genève, portait sur l’ « Article 3 » : «Rapport du Rapporteur spécial sur la liberté de religion ou de croyance ».

    « Pour le Saint-Siège, a-t-il notamment rappelé, la liberté de religion et la liberté d’expression sont appelées à coexister en tant que droits humains fondamentaux. Il y a cependant une vérité qui ne doit pas être négligée : à savoir, que chacun a le droit de pratiquer sa religion librement, sans offenser les autres. En outre, nous ne devons pas offenser les autres croyants, faire la guerre ou tuer au nom de notre religion, au nom de Dieu. »

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  • Le Rapporteur des Nations unies sur la liberté de religion ou de conviction s'exprime en faveur du droit à l'objection de conscience face à l'avortement et à l'euthanasie

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    Le Rapporteur des Nations unies sur la liberté de religion ou de conviction s'exprime en faveur du droit à l'objection de conscience face à l'avortement et à l'euthanasie

    A l’occasion d'une conférence organisée par l'ECLJ au siège des Nations unies à Genève, le Professeur Heiner Bielefeldt, Rapporteur spécial des Nations unies sur la liberté de religion ou de conviction, s'est exprimé en faveur du droit du personnel médical de refuser de participer à un avortement ou à une euthanasie. Il a notamment cité le cas d'une sage-femme très lourdement condamnée en Suède pour avoir refusé de participer à un avortement et contrainte à « l'exil professionnel ».

    Il estime que ce droit, fondé sur la liberté de conscience, doit bénéficier au personnel médical participant directement à l'acte en cause, dès lors que leur objection est fondée sur une conviction forte et profonde. Le Rapporteur spécial a indiqué que le doit à l’objection de conscience n’est pas seulement fondé sur le droit à la « liberté de conscience », mais aussi sur l’article 1er de la Déclaration universelle des droits de l’homme qui reconnaît que tout être humain est « doué de raison et de conscience ».

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  • Belgique : « La loi ne crée pas un droit à l’euthanasie »

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    Keuleneer.jpgLu sur le site « Cathobel » des diocèses francophones de Belgique,  cette interview de Me  Fernand Keuleneer  (9 mars 2016) 

    « Fin 2015, Mgr De Kesel, archevêque de Malines-Bruxelles, s’exprimait en faveur du droit des institutions catholiques de refuser l’euthanasie. Aujourd’hui, une proposition de loi déposée à la Chambre voudrait remettre en question ce droit, en vue d’ "assurer la clause de conscience " du médecin qui veut pratiquer une euthanasie. Que dit la législation actuelle sur l’objection de conscience institutionnelle?

    C’est la question que nous avons posée à Me Fernand Keuleneer (photo), avocat au Barreau de Bruxelles. Mais d’abord, nous lui avons demandé ce que dit la loi au sujet de la possibilité, pour un médecin, de refuser de pratiquer une euthanasie.

    Pour Me Keuleneer, les choses sont très claires en ce qui concerne cette question. L’article 14 de la loi de 2002 dépénalisant l’euthanasie « dispose qu’aucun médecin n’est tenu de pratiquer une euthanasie, et qu’aucune autre personne n’est tenue de participer à une euthanasie« , nous a-t-il répondu. « C’est clairement la liberté de conscience de chaque médecin ou de toute autre personne« .

    Pas de droit à l’euthanasie

    Cela dit, ce qui vaut pour les personnes physiques est-il également possible pour une institution? Pour Fernand Keuleneer, ce qui est en jeu ici, c’est ce que l’on appelle la liberté institutionnelle. En l’occurrence, la liberté, pour une institution, de refuser la pratique de l’euthanasie dans ses murs. Or, c’est cette question qui est actuellement en débat.

    L’article 14 de la loi stipule: aucune personne n’est tenue de participer à une euthanasie. Or, cette clause ne se limite pas aux médecins et aux infirmiers, mais concerne toute personne, y compris un pouvoir organisateur, un conseil d’administration, un comité de direction… Par ailleurs, la loi de 2002 est une loi qui dépénalise l’euthanasie, dans certaines circonstances, et moyennant certaines conditions. « C’est une dépénalisation, mais la loi ne crée pas, pour autant, de droit à l’euthanasie. L’euthanasie n’est pas un droit du patient« , nous dit Me Keuleneer. « Et comme la loi ne crée pas un droit à l’euthanasie, je ne vois pas sur quelle base on pourrait obliger les institutions qui ne souhaitent pas pratiquer l’euthanasie, à devoir effectivement la pratiquer. »

    Liberté institutionnelle, liberté constitutionnelle

    Lors des travaux parlementaires qui ont précédé le vote de la loi de 2002, tous les membres de la commission ont confirmé que cette liberté institutionnelle existait bel et bien, et donc qu’aucune institution ne pouvait être obligée de pratiquer ou de permettre la pratique de l’euthanasie en ces murs. Cette interprétation de la loi, et de la clause de conscience qui l’accompagne, a été confirmée en séance plénière, et se trouve consignée dans les actes des travaux parlementaires. « Il y a donc une base solide pour dire que c’est effectivement une interprétation correcte » de la loi, selon Me Keuleneer.

    L’argument-clé, insiste le juriste, c’est que la loi ne crée pas de droit à l’euthanasie. Par contre, le principe de la liberté institutionnelle se trouve dans la Constitution, qui prévoit la liberté fondamentale de créer des institutions qui ont une certaine orientation philosophique. Bref, Fernand Keuleneer ne voit pas « comment une loi qui dépénalise une certaine pratique pourrait annuler ces libertés fondamentales, qui sont constitutionnelles« .

    Glissement

    Si la liberté institutionnelle est garantie par la Constitution belge, quels sont dès lors les arguments de ceux – dont l’ "Association pour le droit de mourir dans la dignité " – qui voudraient interdire à toute institution, en l’occurrence des hôpitaux ou des maisons de repos catholiques, de refuser la pratique de l’euthanasie? Pour Me Keuleneer, leur argument repose sur un supposé droit à l’euthanasie. En 2002, certains ont voulu, en fait, créer un droit à l’euthanasie, mais la loi n’est pas allée aussi loin. Or, ce que certains avaient prédit est aujourd’hui en train de se produire: on assiste à une évolution, celle d’aller d’une simple dépénalisation vers l’affirmation d’un droit. Et si on arrivait à faire passer l’idée selon laquelle une institution n’a plus cette liberté constitutionnelle, on montrerait, à rebours, que l’euthanasie est effectivement un droit, éventuellement même un droit individuel fondamental.

    Ce qu’il faut craindre aujourd’hui, pour Fernand Keuleneer, c’est qu’une certaine jurisprudence, arbitraire, créée à partir de certains arrêts récents émanant de la Cour européenne des droits de l’homme, ou de la Cour constitutionnelle belge, donne des arguments à ceux qui voudraient limiter la liberté institutionnelle en Belgique.

    Christophe Herinckx (Fondation Saint-Paul)

    Retrouvez l’intégralité du dossier spécial « Euthanasie » dans Dimanche n° 10 du 13 mars 2016. Pour vous abonner, cliquez ici. »

    Ref. Me Fernand Keuleneer : « La loi ne crée pas un droit à l’euthanasie »

    …pas plus qu’elle ne crée de droit à l’avortement.

    JPSC

  • « La France doit être davantage laïque »

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    Et que dire alors de la Belgique, où le débat refait une fois de plus surface ?  Sur son blog, le Père Michel Viot commente les paroles du pape François aux « poissons roses » que le Saint-Père a reçus en audience privée pendant une heure et demie :

    7782148300_les-poissons-roses-avec-le-pape-francois.jpg« Cette affirmation ne vient pas du Grand Maitre du Grand Orient de France, ni du président de la Libre Pensée, ni du président de la République, mais du Saint Père lui- même, lors d’une audience accordée aux « poissons roses » (socialistes chrétiens se nommant eux- mêmes ainsi). Je n’ai pu avoir le texte complet et c’est dommage ! Il semble qu’il soit difficilement accessible. Aussi ne puis-je me fier qu’à Famille chrétienne, journal catholique à qui l’on peut faire confiance (n° du 03/03/2016).

    Il n’est pas douteux, que cette affirmation sera utilisée telle quelle tant par un certain « catholicisme » que je préfère ne pas qualifier, que par les laïcards de tout poil ! Aussi importe-t-il de citer quelques autres mots du Pape accompagnant cette affirmation et que rapporte Famille Chrétienne. Le Pape a poursuivi en précisant que la bonne laïcité devait toujours permettre la recherche et l’ouverture à la transcendance, et que c’était dans ce sens que la France devait être d’avantage laïque. Mieux encore, le Pape a ajouté que la laïcité à la française était un produit du siècle des lumières, où la religion n’est considérée que comme étant une sous culture.

    Ainsi le Pape François ne change strictement rien à la position de ses prédécesseurs qui se sont exprimés sur le sujet. Pour m’en tenir aux plus récents, je citerai Pie XII qui, dans une allocution à l’Union catholique de l’enseignement public le 26 mars 1951, mettait en garde vis-à-vis de « la déviation des grands mots équivoques de neutralité et de laïcité ». Dans un autre discours de mars 1958, il remplaçait, de sa main, l’adjectif « légitime » par « saine » concernant la laïcité. Paul VI parlera de « juste laïcité ». Jean Paul II appliquera le même adjectif à la séparation des pouvoirs politiques et religieux. Benoit XVI en juin 2005 évoquera pour l’Italie une saine laïcité … qui n’exclut pas les « références éthiques qui trouvent leur fondement ultime dans la religion »(1).

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  • « One of us » invite les citoyens européens à s’engager pour la défense de la vie

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    D'Adélaïde Pouchol le dans Éthique et tac sur le site de l'Homme Nouveau :

    Forum "One of us" du 12 mars 2016 :
    entretien avec Thierry de la Villejégu

    Forum ''One of us'' du 12 mars 2016 : <br />entretien avec Thierry de la Villejégu

    Entretien avec Thierry de la Villejégu, directeur général de la Fondation Jérôme Lejeune

    Propos recueillis par Adélaïde Pouchol

    « One of us », fédération d’associations européennes de défense de la vie, lance son premier forum le 12 mars prochain. En quoi cela consiste-t-il exactement ?

    Historiquement, « One of us » est le nom de l’une des premières Initiatives citoyennes européennes, dispositif que l’Union européenne a mis en place pour développer « la démocratie participative en Europe ». En 2015, l’initiative « One of Us » dénonçait le financement de la recherche sur l’embryon humain et des campagnes d’avortement extra-Union, par le budget européen. Et ceci, en contradiction avec les compétences juridiques de l’Union et en compétition avec celles des États membres qui pour certains interdisent ce type de recherche. Plus de deux millions de citoyens européens ont signé la pétition, faisant de « One of us », la première Initiative par le nombre de citoyens mobilisés. Ce très grand succès populaire n’a hélas pas été transformé en succès politique, car malheureusement la Commission de Bruxelles n’a pas joué le jeu. Elle a écarté toute discussion sur ce sujet brûlant, qui aurait pu l’amener à se prononcer sur l’identité humaine de l’enfant à naître.

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  • Quel type de politique peut et doit être menée au nom de Jésus ?

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    Lu sur le blog de Denis Sureau "Chrétiens dans la Cité" :

    ob_368e17_etrangers-dans-la-cite014.jpgEtrangers dans la cité : l'Eglise comme alternative politique

    Dans leur livre à succès Étrangers dans la cité, que les Éditions du Cerf ont eu l’excellente idée de traduire en français aux (288 pages, 19 €), et dont l’édition américaine aurait été vendue à un million d’exemplaires, deux théologiens américains protestants mais plutôt « crypto-catholiques » – Stanley Hauerwas et William H. Willimon – réveillent vigoureusement les chrétiens, défiant les catégories habituelles.

    Quel type de politique « peut et doit être menée au nom de Jésus » ? (p. 43). Saint Paul déclare : « notre citoyenneté est dans les cieux » (Ph 3,20). Pour Hauerwas et Willimon, l’Église est une communauté visible, une nouvelle polis, une structure sociale contre-culturelle, pérégrine, et les chrétiens des exilés résidant en terre étrangère. Elle « incarne une alternative sociale qui n’est pas réductible à la logique du monde ». (56)

    L’effondrement d’une certaine culture chrétienne (chrétienté constantinienne) entre 1960 et 1980 oblige de se poser de vraies questions. « Le travail du théologien n’est pas d’ajuster l’Évangile au monde moderne, mais d’ajuster le monde moderne à l’Évangile. » (64)

    La théologie protestante libérale a conduit les chrétiens à des compromis moraux avec un pouvoir immoral (solution finale, Hiroshima, Dresde, avortement…). La gauche comme la droite « avancent des solutions comme si le monde n’avait pas fini et commencé en Jésus. » (69) Dans les années 60, les pasteurs poussaient les chrétiens à s’engager en politique, à soutenir la démocratie tout en lui « rajoutant une vague coloration religieuse », oubliant qu’elle a pour objet premier l’individu soucieux de la satisfaction de ses désirs et revendiquant ses droits, ceux-ci étant garantis par l’État omnipotent.

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  • 6ème semaine pour la Vie au Parlement européen le 15 mars : venez nombreux !

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    Week-for-Life-2016-final-1.jpgLa 6ème semaine pour la Vie du Parlement Européen de Bruxelles se déroule le 15 mars et a pour thème « démographie contre enfants à la carte : quel futur pour l’Europe ».

    De 9 h à 12 h, des experts vont intervenir sur des thèmes comme « transhumanisme et démographie » - « le protocole de Groningen : entre eugénisme et compassion, quel visage de la démographie européenne » - « le prix de la globalisation : fabrique de la vie »- « comment améliorer l’homme grâce à la génétique ? »

    Mobilisez vous pour y assister, montrer que la défense de la vie compte pour vous, ne pas laisser ces quelques députés européens courageux seuls.

    Inscrivez vous sur https://docs.google.com/forms/d/1SPU9oyTwhXGPYa7YycCtGYLgENUFRoR6Fjikqy_e1W8/viewform

    ATTENTION :  carte d’identité/passeport obligatoire pour vous inscrire. Et à la question « One of Us Member Entity » répondre : "Fondation Lejeune".

  • Droits sexuels et reproductifs : de nouveaux droits de l'homme ?

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    Lu sur genethique.org :

    ONU : LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS ÉRIGÉS EN NOUVEAU DROIT DE L'HOMME ?

    Dans un commentaire adopté par 18 membres indépendants du Comité des droits économiques, sociaux et culturels (CESCR), et publié le 8 mars, les experts des Nations unis estiment que le droit à la santé sexuelle et reproductive est inséparable des autres droits de l’homme (cf. ONU : le secrétaire général ajoute l’avortement aux objectifs humanitaires).

    Leur commentaire général concerne l'article 12 du Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (PIDESC), qui fait référence aux meilleures normes en matière de santé.
     
    Dans ce nouveau commentaire juridique qui doit faire autorité, les experts soulignent que le droit à la santé sexuelle et reproductive est une partie intégrante du droit général à la santé, et qu’il est fondamentalement liée à la jouissance des autres droits de l'homme, y compris les droits à l'éducation, le travail et l'égalité, ainsi que les droits à la vie, la vie privée et de la liberté de la torture, et l'autonomie individuelle
     
    Les membres du CESCR mettent en évidence les nombreux obstacles juridiques, de procédures, pratiques et sociaux des personnes qui ne sont pas en mesure d’accéder ni aux soins de santé sexuelle et reproductive, ni à l'information, et de la violation des droits de l'homme qui en résulte.
     
    Pour ces experts, par exemple, « le manque de services de soins obstétricaux d'urgence ou le refus de l'avortement conduisent souvent à la mortalité et la morbidité maternelles, qui à son tour constitue une violation du droit à la vie ou à la sécurité, et dans certaines circonstances, peuvent être assimilées à la torture, ou traitements cruels, inhumains dégradants ».
     
    Le commentaire général codifie les vues du Comité sur cette question et veut donner aux États qui ont ratifié le Pacte un éclairage sur leurs obligations en matière de santé sexuelle et reproductive.
     
    Pour autant, ce Commentaire général ne lie pas les Etats, il n’a pas force de loi. Par ailleurs, le traité PIDESC ne mentionne pas la santé sexuelle et reproductive, et consacrer toute un commentaire à cette question semble excessif. Enfin, le droit à l'avortement n’apparait dans aucun des traités de l'ONU, mais souligne la volonté de l’organisation mondiale de promouvoir sa vision de la santé reproductive, incluant l'avortement, auprès d’un certain nombre d’Etats encore réticents.
  • Liège, 14 mars : conférence d'Andrea Riccardi : "Ecrire une nouvelle page d'histoire avec la miséricorde"

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    A l’invitation de l'évêque de Liège, Mgr Delville, le professeur Andrea Riccardi donnera une conférence le lundi 14 mars 2016 à la cathédrale de Liège dans le cadre de l’année jubilaire de la miséricorde. Elle portera le titre : « Ecrire une nouvelle page d’histoire avec la miséricorde ». Andrea Riccardi est fondateur de la communauté de Sant’Egidio, et professeur d’histoire du christianisme à l’université de Rome.

  • Marcher pour la Vie à Bruxelles le 17 avril prochain

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    De Mars voor het Leven 2016 zal een groot succesverhaal worden; we zullen er allen verenigd zijn om de eerbied voor het menselijk leven, vanaf de bevruchting tot zijn natuurlijke einde, te verdedigen.

    La Marche pour la Vie 2016 s’annonce être un grand succès, nous y serons tous unis pour défendre le respect de la vie humaine de sa conception jusqu’à sa mort naturelle.

    http://marchforlife.be/le-17-avril-2016/ - https://www.facebook.com/March4LifeBrussels/?fref=nf