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Culture - Page 268

  • Liège, 14 novembre 2014 : Journée d'études sur l'Orfèvrerie mosane

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    Le vendredi 14 novembre 2014 :

     

    Journée d’études 
    « L’Oeuvre de la Meuse »

    8h15  Accueil des participants

    8h50 : mot de bienvenue par Freddy  Joris
    Administrateur général de l’Institut du Patrimoine wallon

    9h - 9h10  :  Accueil par Philippe George
    Conservateur du Trésor de la cathédrale de Liège
    L’œuvre de la Meuse : 
    orfèvrerie mosane (XIIe-XIIIe siècles). 
    Bilan et perspectives


    La matinée est placée sous la présidence de 
    Jannic Durand, 
    Directeur du Département des Objets d’Art du Musée du Louvre


    9h15 - 9h40 Marcello Angheben
    Maître de conférences habilité d’histoire de l’art médiéval 
    à l’Université de Poitiers

    De la sépulture à la résurrection : 
    les vicissitudes du corps saint dans l’orfèvrerie mosane


    9h40 - 10h05 David Strivay
    Directeur du Centre européen d'archéométrie de l'ULg, 
    Des fonts de Saint-Barthélemy aux émaux du Curtius, bilan et perspectives d'archéométrie

    10h05 - 10h30  Christine Descatoire,
    Conservatrice en chef au musée de Cluny, 
    Un ensemble d'émaux de la seconde moitié du XIIe siècle,

    les plaques de la cathédrale de Troyes, influences et spécificités

    10h30 - 11 h Collation

    11h - 11h30  : Jacques Toussaint,
    Conservateur en Chef-Directeur du 
    Musée des Arts Anciens de Namur,

    Le Trésor d'Oignies et ses avatars


    11h30 - 12h  : 
    Marc Gil, 
    Maître de conférences en Histoire de l'art du Moyen Âge, Université Lille 3 (IRHIS-CNRS)

    Huit plaques émaillées mosanes d'un évangéliaire 
    de l'abbaye Saint-Pierre-le-Vif de Sens

    12h - 14h : Lunch

    L’après-midi est placé sous la présidence de 

    Neil Stratford,
    Conservateur honoraire au British Museum

    L'après-midi
     débutera par une courte communication 
    du Président de séance,
    Deux additions au Corpus des émaux septentrionaux


    14h - 14h30  : 
    Simonetta Castronovo, 
    Conservatrice des Arts décoratifs du Palazzo Madama,
    Museo Civico d'Arte Antica de Turin.

    Orfèvreries mosanes et septentrionales en Piémont 
    et Vallée d'Aoste

    14h30 - 15h  : 
    Sophie Balace, 
    Assistante aux Musées Royaux d’Art d’Histoire de Bruxelles

    L’orfèvrerie mosane et les collectionneurs


    15h - 15h30 :
     Collation

    15h30 - 16h  : Frédéric Tixier,
    Maître de conférences en histoire de l'art médiéval 
    CRULH, Université de Lorraine 

    Un certain goût pour l'orfèvrerie mosane au XIXe siècle : remarques sur la collection parisienne de Basilewsky

    16h - 17h  Débat & conclusions

    Les conclusions seront tirées par
    Jean-Pierre Caillet, 
    Professeur émérite d’Histoire de l’Art du Moyen Âge à l’Université de Paris-Nanterre


    18h30 Walking dinner à l’Archéoforum avec possibilité de visite du site archéologique

    (sous la place Saint-Lambert ; entrée à droite du tunnel des bus)

    Après chaque communication, une part importante est réservée à la discussion et nous pouvons, dès à présent, annoncer la présence de nombreux collègues internationaux, La journée d'études fera l'objet une publication.

     

    Détails et inscriptions

  • "Plus je vieillis, plus je crois en Dieu"

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    Lu sur le site du Point :

    "Interstellar" - McConaughey : "Plus je vieillis, plus je crois en Dieu"

    Propos recueillis par Phalène de La Valette (extraits)

    L'histoire est si classique à Hollywood qu'elle tient de la parabole : un jeune acteur talentueux multiplie les choix hasardeux dans sa filmographie et se retrouve prisonnier de son image. Jusqu'au jour où, dans un sursaut de lucidité, il opère un changement de cap radical et renaît au cinéma. Estampillé playboy pour des films aux titres aussi évocateurs que Comment se faire larguer en dix leçons ou Hanté par ses ex, Matthew McConaughey décide, en 2010, de reprendre sa carrière en main. Quatre ans plus tard, le voilà oscarisé (pour Dallas Buyers Club), adulé des cinéphiles et des sériephiles, à l'affiche d'Interstellar, dernier blockbuster de l'incontournable Christopher Nolan. Rencontre avec un Texan qui n'a honte de rien et vous le dit droit dans les yeux.

    (...)

    Le Point : Vous avez défrayé la chronique en mars dernier en remerciant Dieu sur la scène des Oscars... 

    Matthew McConaughey : Ouais, c'est ce que j'ai fait (rires). Je suis juste surpris que tant de gens aient été surpris... 

    Il est assez inhabituel de voir une star hollywoodienne parler publiquement de Dieu ! 

    Je croyais en Dieu avant d'être une star ! Et plus je vieillis, plus je trouve de raisons de croire. Ma foi est pour beaucoup dans l'homme que je suis, elle guide mes choix, m'aide à ne pas m'abandonner à mes faiblesses. Elle m'aide aussi à m'amuser ! Prenez le livre de l'Ecclésiaste - c'est le livre rock'n'roll de la Bible -, il dit que tout est vanité, que rien n'a d'importance et qu'on ferait donc bien de manger et de boire et de profiter des joies simples de la vie quotidienne. Mais je ne suis pas un fataliste, je ne suis pas en train de dire que tout est écrit quoi qu'on fasse. À mes yeux, Dieu veut qu'on soit responsable de notre propre destin. C'est un peu ce que dit Interstellar, d'ailleurs...

  • Rome : nouveau souffle et nouvelle lumière sur la chapelle Sixtine

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    topic (17).jpgVingt ans après sa grande restauration, la chapelle Sixtine dévoile ses tout nouveaux systèmes d’aération et d’éclairage, pour une expérience artistique inédite. Lu sur le site « aleteia » :

    Le lieu que le directeur des musées du Vatican, Antonio Paolucci, aime à surnommer « Somme théologique du christianisme », vient de faire peau neuve, après trois années de recherches et de travaux rigoureux.

    Comme celui-ci l’annonçait cet été à Aleteia, un colloque intitulé « la Chapelle Sixtine vingt ans après, nouveau souffle, nouvelle lumière » s’est tenu au Vatican les 30 et 31 octobre. L’événement était organisé à l’occasion du double anniversaire des 450 ans de la disparition de Michel-Ange et des 20 ans de la fin des travaux de restauration des fresques de l’artiste, par Fabrizio Mancinelli et Gianluigi Colalucci.   

    Antonio Paolucci a présenté aux journalistes du monde entier les nouveaux dispositifs permettant une meilleure préservation et une perspective magnifiée de ce grand symbole de la Renaissance et de la dévotion chrétienne, inauguré en 1512 par le pape Jules II.  

    L’inestimable Jugement dernier pourra désormais respirer grâce à un système de climatisation en mesure de protéger, contrôler et réguler aussi bien la température que l’humidité, et ce quelles que soient les conditions météorologiques. Des caméras compteront automatiquement le nombre de personnes présentes dans la pièce de façon à ce que la température soit maintenue en permanence entre 20 et 25 degrés, et le taux d’humidité entre 50 et 60 %,rapporte l’agence italienne ANSA. Ces mesures étaient devenues une absolue nécessité, dans un contexte de tourisme de masse. Rien qu’en 2013, la chapelle dans laquelle les cardinaux élisent les papes a accueilli quelque 6 millions de visiteurs, un chiffre en constante augmentation.
     
    Mais ces fabuleux progrès techniques n’ont pas uniquement profité à la longévité de l’un des principaux trésor des musées du Vatican, ils en ont également rehaussé la beauté, offrant aux visiteurs une perspective sans précédent de son plafond. Les visiteurs se tenant debout au sol pourront désormais avoir une perception des fresques en trois dimensions. Le nouveau système d'éclairage ultrasophistiqué est constitué de 7000 lampes LED, qui fournissent un éclairage à la fois intense et discret. Elles permettent la mise au jour de détails et personnages jusqu’alors dissimulés par des zones d’obscurité, tout en garantissant une économie d’énergie de plus de 60% par rapport à l’ancien système. Une véritable révolution, pour un coût total de 3 millions d’euros, financés à hauteur de 870 000 euros, d’après La Repubblica, dans le cadre d’un projet de l’Union européenne.
    Outre le chef-d’œuvre de Michel-Ange, ce sont les grands classiques de ses contemporains qui retrouvent pour l’occasion toute leur splendeur : La Tentation du Christ de Botticelli, Le voyage de Moïse et Le Baptême du Christ par Le Pérugin, ou encore La Cène et La Résurrection de Ghirlandaio.   

    Ref. Rome : nouveau souffle et nouvelle lumière sur la chapelle Sixtine

    JPSC

  • Fabrice Hadjadj et l'art contemporain

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    Lu sur FigaroVox (Paul Piccarreta) :

    FIAC, McCarthy... L'oeil de Fabrice Hadjadj sur l'art contemporain

    FIGAROVOX/ENTRETIEN - Quelques jours après la clôture de l'édition 2014 de la FIAC, le philosophe Fabrice Hadjadj revient pour FigaroVox sur sa vision de l'art contemporain, ses beautés et ses dérives.

    Fabrice Hadjadj est directeur de l'institut européen d'études anthropologiques Philanthropos à Fribourg. Il est écrivain et philosophe. Son dernier ouvrage «Qu'est-ce qu'une famille? suivi de La Transcendance en culottes», est paru en septembre aux Editions Salvator (249 p., 20 €). Il avait publié auparavant un essai «Puisque tout est en voie de destruction», (Le Passeur Éditeur, avril 2014).

    FigaroVox: La FIAC (Foire Internationale de l'art contemporain) s'est terminée le week-end dernier. Comme chaque année, la polémique enfle. D'un côté, les laudateurs, de l'autre les contestataires. En ce qui vous concerne, vous passez régulièrement pour un défenseur de la création contemporaine. Et pourtant, vous écrivez aussi contre la modernité. Comment tenez-vous les deux bouts?

    Fabrice HADJADJ: Toutes les époques, il y a eu des nuls et des imposteurs. Mais le nom de FIAC m'a toujours indisposé: les acronymes sont déjà des échecs artistiques et n'augurent rien de bon, d'autant que mon oreille tend à n'y entendre que le mot-valise de la «fiente en frac». Cela foire, effectivement. Aujourd'hui chacun sait qu'il n'y a rien de plus ringard que de militer sous la bannière des avant-gardes. Quant aux partis-âneries, comme vous dites, elles tombent toujours dans les affirmations massives: l'accueil en masse ou la condamnation en bloc. On veut s'épargner un vrai travail de discernement, quelque chose qui ne soit pas que de l'adhésion mondaine ou du rejet épidermique, mais qui se pense à partir de la considération des recherches formelles et d'une mise en perspective dans l'histoire de l'art. Parmi les contemporains, il y a des charlatans, certes, mais il y a aussi de vrais artistes, dignes des grands de jadis. Je pense à Gerhard Richter, à Bill Viola, à James Turell, à Yuri Ancarani, à Rineke Dijkstra et tant d'autres. Tous ceux-là ne prétendent pas à un avant-gardisme en complète rupture avec le passé. Ils entendent au contraire s'inscrire dans la plus pure tradition, revendiquant même un lien avec le Quattrocento ou le Moyen-Âge.

    Lire la suite sur FigaroVox

     

  • Académie de chant grégorien à Liège. Cycle 2014-2015. Cours d’initiation avec Stéphan Junker. 11 leçons et une journée festive de clôture (samedi 9 mai 2015, de 16h00 à 19h00) avec la Schola Resupina de Vienne (Autriche)

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    Les inscriptions sont ouvertes. Renseignements et inscriptions :

    ● S’adresser à Jean-Paul Schyns, Quai Churchill, 42/7 4020 Liège. Tél. 04.344.10.89 (en cas d’absence, tél portable 0498.33.46.94 de Ghislain Lahaye). E-mail : jpschyns@skynet.be

    ● Informations générales et inscriptions en ligne sur le site de l’académie :http://www.gregorien.com

  • Académie de chant grégorien à Liège. Cycle 2014-2015. Cinq week-ends de formation avec Marcel Pérès et une liturgie de clôture (dimanche 20 septembre 2015, 16h00) avec l’interprétation des vêpres primitives de saint Lambert

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    Les inscriptions sont ouvertes. Renseignements et inscriptions :

    ● S’adresser à Jean-Paul Schyns, Quai Churchill, 42/7 4020 Liège. Tél. 04.344.10.89 (en cas d’absence, tél portable 0498.33.46.94 de Ghislain Lahaye). E-mail : jpschyns@skynet.be

    ● Informations générales et inscriptions en ligne sur le site de l’académie :http://www.gregorien.com

  • La religion catholique, un formidable marteau pour taper sur la tête des enfants

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    artoff8347.jpgLe supplément "Culture" de la Libre présente aujourd'hui, sur deux pleines pages, le film allemand "Chemin de croix" ("Kreuzweg") avec ce titre: "La religion catholique est un formidable marteau pour taper sur la tête des enfants". Dans l'article les scénaristes  - qui ont obtenu l'Ours d'argent à Berlin - précisent qu'ils veulent dénoncer les intégrismes à travers le portrait d'une famille catholique (appartenant à une mouvance du type de celle de Mgr Lefèbvre) mais ils font remarquer que "ce qui est intéressant avec ce groupe de catholiques en particulier, c'est que ce qu'ils vous disent n'est pas très différent de ce que dit l'Eglise catholique majoritaire"

    C'est donc bien le catholicisme qui est visé à travers ce film dont l'angle d'attaque ne manque pas d'habileté...

    Voir la critique de ce film (qui mérite apparemment bien moins de bienveillance que celle manifestée par Hubert Heyrendt dans la Libre Culture) : http://www.critikat.com/actualite-cine/critique/chemin-de-croix.html

  • Histoire : à propos de la « condamnation » des prêtres-ouvriers

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    L’intitulé de notre « post » sur Madeleine Debrêl n’a pas plu à tout le monde, dès lors qu’il différenciait son apostolat en milieu ouvrier de celui des prêtres du même nom. C’est pourtant un fait. L’aventure des prêtres-ouvriers c’est autre chose. Voici soixante ans (1954), Pie XII décida d’y mettre fin, sans trop y réussir d’ailleurs. Mais tout cela, qui a frappé notre jeunesse est devenu étranger au monde d’aujourd’hui : nous ne savons plus trop ce qu’est un « ouvrier » ni, parallèlement, ce qu’est « un prêtre ». Il y a des identités qui se perdent. Reste l’éclairage des historiens. Voici quelques considérations à ce sujet,  extraites d’un article déjà ancien paru sous le titre  «Nouvelles perspectives historiographiques sur les prêtres-ouvriers (1943-1954) » . 

    JPSC

    « (…) Rarement on aura observé un tel contraste entre le retentissement de cette affaire en 1953-1954 et l’oubli dans lequel elle a sombré depuis. Qui peut croire aujourd’hui qu’un esprit aussi attentif aux « signes des temps » que le dominicain Marie-Dominique Chenu a pu y voir à l’époque « l’événement religieux le plus important depuis la Révolution française » ?

    Au point de départ, un livre célèbre, « La France, pays de mission ? »  des abbés Daniel et Godin, dont la sortie en librairie le 12 septembre 1943 a, au dire des contemporains, éclaté comme une « bombe » dans le milieu catholique. 100 000 exemplaires sont vendus en quatre ans et l’ouvrage quadrille d’emblée, et pour plusieurs années, le débat apostolique  (…).

    « La France, pays de mission ? « » est directement à l’origine de la Mission de Paris qui va jouer un rôle matriciel dans l’histoire des prêtres-ouvriers. Le cardinal Suhard, archevêque de Paris depuis 1940, était depuis longtemps préoccupé par le problème de la déchristianisation. Il a fondé la Mission de France le 24 juillet 1941, dans le but de fournir des prêtres aux diocèses les plus dépourvus et de les former pour ce genre d’apostolat (…).  

    Ils prennent rapidement la mesure de l’incroyance du milieu ouvrier, qui se révèle très différente, par-delà les analogies superficielles, du paganisme des hommes de l’antiquité ou des indigènes des colonies. L’anticléricalisme, qui fait partie de la culture du mouvement ouvrier, fait barrage à la réception du message religieux des nouveaux missionnaires. Du reste, sous la direction du parti communiste et de ses organisations satellites, jamais la classe ouvrière n’a été plus nombreuse, plus organisée et plus cohérente qu’au moment où ils entreprennent d’en faire la conquête. Enfin, ils découvrent la réalité de la lutte des classes, subie au quotidien avant d’être une notion sociologique ou un outil politique, et face à laquelle la doctrine sociale de l’Église, qui la récuse, leur paraît inadaptée.(…) 

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  • Fabrice Hadjadj et son approche rafraichissante de la famille

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    Lu sur migrosmagazine.ch :

    Fabrice Hadjadj: «La famille est l'union du vieux con et du jeune abruti...»

    Le philosophe Fabrice Hadjadj défend dans son dernier ouvrage une idée revigorante de la famille: fondée sur le sexe, antérieure à l’idéologie et à l’Etat, déjouant tous les plans et attentes.

    «Sans vous je n’aurais rien su de tout cela», cette dédicace à vos parents, vos enfants et votre épouse signifie-t-elle qu’on ne peut parler de la famille que par expérience?

    La philosophie a eu tendance à définir l’homme comme un individu raisonnable, et à oublier qu’il est d’abord un fils, issu d’une union sexuelle. Au fond, on se voudrait self-made-man, ou être au moins sorti de la cuisse de Jupiter. Mais voilà qu’on est fils de ces deux vieux, Raymond et Christiane… Notre orgueil en prend un coup. Voilà pourquoi la star ne se montre guère en public en compagnie de ses vieux parents. Et pourtant la vérité est là. C’est cette vérité de notre origine charnelle et de notre vie quotidienne que j’essaie de penser…

    Vous affirmez que «La transcendance est dans la culotte», qu’est-ce à dire?

    D’abord, ce n’est pas moi qui l’affirme. C’est la Bible. Dès le départ, elle déclare qu’on ne se rapproche pas de Dieu en s’éloignant de la sexualité, mais en y entrant en profondeur.

    Dans la Genèse, il est écrit: Dieu créa l’homme à son image, mâle et femelle il les créa. Cela suggère que l’image de Dieu est dans nos slips, c’est-à-dire dans la différence sexuelle.

    Pourquoi cela?

    Parce que la relation des sexes est quelque chose qui nous pousse toujours au-delà de nous-mêmes. Souvent, quand on désire quelque chose, c’est pour le ramener à soi. Avec le sexe, c’est le contraire: je me tourne vers une femme peut-être pour la ramener à mon petit plaisir, et voilà que c’est tout autre chose – elle me fait face, elle me tient tête, tantôt déesse, tantôt dragon. J’ai beau l’embrasser, elle n’en est que plus incompréhensible… L’union sexuelle n’abolit donc pas la différence, elle l’accomplit et la multiplie: la femme devient encore plus femme, par son souci de plaire à l’homme, sans doute, mais surtout à travers la maternité.

    Lire la suite sur Migros Magazine.ch

  • A votre agenda! Concert de Noël à la Cathédrale de Liège, le samedi 13 décembre à 16 heures

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    « Gloria »

    Avec le Chœur Universitaire de Liège

    et le Choeur de Chambre "Praeludium"

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  • Ainsi soient-ils; réflexions sur une série manipulatrice

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    Nous vous recommandons le site suivant, consacré à cette série : http://www.ainsisoientils.com/

    Ensuite la lecture de ces deux articles :

  • Concert de Musique sacrée à Verviers le 15 novembre (20h, église N.-D. des Récollets)

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    carte envoi electronique.jpg

    Paf: 12 euros, 10 euros

    Prévente chez Digital Signature, rue Jardon à Verviers

    Renseignements: tél. 087.31.58.37