Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Culture - Page 309

  • BXL, 18 octobre : Concert Bach par le Laudantes Consort et l'Orchestre Osmose

    IMPRIMER

    Laudantes Consort et l'Orchestre Osmose

    Concert Bach.

    Le jeudi 18 octobre, ne ratez pas le prochain concert Bach du Laudantes Consort, qui se produira pour l’occasion avec le nouvel ensemble instrumental Osmose ! A travers la programmation des messes BWV 235 et 236 de JS Bach, aussi magnifiques que rarement exécutées, le Laudantes et l’ensemble Osmose mettront en lumière l’art de la parodie du génial compositeur allemand, qui s’inspira directement de ses propres cantates pour composer ces messes remarquables. Un moment de découvertes et d’émotions musicales que le Laudantes et l’Ensemble Osmose sous la conduite de Guy Janssens partageront avec vous ce jeudi 18 octobre à 20h30 à la Chapelle du Sacré-Cœur de Linthout. Réservation souhaitée et drink offert à l’issue du concert. Parlez-en autour de vous, le Laudantes a besoin de votre soutien pour continuer à vous faire découvrir ce répertoire avec un œil nouveau !GANISATEUR

    Laudantes Consort Tél. : 0477-65.65.01

    Théâtre du Sacré Coeur de Lindthout, av. des Deux Tilleuls 2, 1200 Woluwé-Saint-Lambert

    15 (€)

  • Avant d'épouser un musulman, autant savoir...

    IMPRIMER

    Un site intitulé "Islam clair et net" propose d'étudier "Le cas d'Élodie"

    Une amie raconte

    Élodie, ma filleule, m'appelle un soir pour me parler de sa rentrée en terminale et de ses amours. Elle ajoute : "il est turc et musulman… il est beau, musclé, un vrai garçon !"

    Je suis surprise. Je vais la voir. Elle pense que cet amour ne regarde qu'elle : "je suis majeure et lui aussi". Élodie ne voit pas ce qui fait problème… En fait, je m'aperçois qu'elle ne connaît rien à l'islam.

    Les parents d'Élodie "tombent des nues". Ils ne connaissent rien non plus à l'islam et aux règles qui encadrent le mariage d'une non-musulmane avec un musulman… (...)

    À savoir

    Mathématiquement, le problème des "rencontres" entre jeunes musulmans et jeunes non-musulmans ne peut que se poser de plus en plus fréquemment dans les familles.

    La plupart du temps, les intéressés (parents et "amoureux") se retrouvent devant une situation à laquelle ils n'ont jamais réfléchi, situation créatrice de tensions, de crises et de ruptures…

    Mieux vaut savoir avant sur quel terrain on risque de se trouver et se préparer à de telles éventualités.

    Lire la suite

  • "Ainsi soient-ils" ou quand la provoc d'Arte fait pschit

    IMPRIMER

    Critique de cette série télévisée sur "PadreBlog"

    "Une immersion inédite dans les couloirs de l’Eglise : c’est ainsi qu’Arte présente « Ainsi soient-ils », la série qui sort ce 11 octobre.

    Faut-il craindre le pire ? Nous avons visionné pour vous les huit épisodes.

    Les affiches sont partout ou presque : orchestrée par une agence de publicité parisienne, la promotion d’Ainsi soient-ils a fait le choix de la provocation. Les visuels sont sans ambiguïté : une aube, un calice, mais aussi des mains tatouées, une liasse de billets de banque, une main de femme enserrant la taille. C’est le cocktail classique violence/pouvoir/sexe.

    Les slogans sont accrocheurs : « Dieu reconnaîtra les siens » ; « vous pouvez faire une croix sur vos jeudis soirs ». Bref, après Golgota Picnic et Piss Christ, on imagine une énième tentative pour salir et choquer.

    Caricatures, grisaille et tristesse

    Si la réalisation est soignée et les acteurs crédibles (Michel Duchaussoy en cardinal autoritaire et imbu de sa personne est même assez fascinant), on n’y retrouve rien ou pas grand chose de la vraie vie du séminaire. Quel curieux lieu que ce « séminaire des capucins » où les candidats au sacerdoce n’ont ni cours, ni exposés, ni examens, ni mémoires à rendre, ni recherches en bibliothèque ! ...

    ...lire la suite
  • Repenser la notion de "famille" ?

    IMPRIMER

    "En plein débat sur la famille (en France), Anne Josnin et François-Xavier Huard, de la Fraternité des Chrétiens indignés, nous proposent (sous le titre "Vous avez dit "famille traditionnelle") leurs réflexions sur l’urgence qu’il y a à repenser la notion même de famille aujourd’hui." 

    Le débat qui occupe en ce moment nos concitoyens porte sur la famille, telle que nous la voyons aujourd’hui. Il est de bon ton dans nos milieux de s’en référer comme à un mantra à la « famille traditionnelle ». Encore faudrait-il savoir ce qu’on entend par là. La famille de l’Antiquité était cellule économique et éducative autant que cellule reproductive et consommatrice, et par le chef de famille, membre de sa corporation, siégeant au conseil de village, etc, acteur politique. C’est ainsi que le bœuf, ou mieux l’esclave, selon Aristote, en faisaient partie : ils partageaient la pitance et la chaleur du foyer. Ce qui caractérise la famille d’alors, c’est donc à la fois qu’elle a toutes les prérogatives de la société, en « mini », et ceci peut-être regretté, oui, mais aussi qu’elle se fonde sur l’inégalité des rapports, homme-femme d’une part, maître –esclave de l’autre, avec un droit de vie ou de mort sur l’enfant comme sur l’esclave : on retrouve donc au cœur de la famille la violence constitutive des mœurs de l’Antiquité. On voit donc que si elle peut nous être source d’inspiration, en aucun cas elle ne peut servir de modèle pour aujourd’hui.

    Lire la suite (sans oublier les commentaires)

  • Jean XXIII et les "prophètes de malheur", un diagnostic avisé ?

    IMPRIMER

    Lors de l'ouverture du concile Vatican II, le 11 octobre 1962, le pape Jean XXIII prononça un discours célèbre où il fustigea les "prophètes de malheur". Les évènements postérieurs lui ont-ils donné raison ? Chacun est libre d'en juger...

    Extrait (voir l'intégralité de ce discours ici)

    (...) L'OPPORTUNITÉ DE LA CÉLÉBRATION DU CONCILE

         Sur ce point, vénérables frères, il est une autre chose sur laquelle il est bon d'attirer votre attention. Pour que soit plus complète la sainte joie qui en cette heure solennelle remplit nos coeurs, qu'il Nous soit permis de dire devant cette grande assemblée que ce Concile oecuménique s'ouvre dans des circonstances particulièrement favorables.

    Les prophètes de malheur.

         Il arrive souvent que dans l'exercice quotidien de Notre ministère apostolique Nos oreilles soient offensées en apprenant ce que disent certains qui, bien qu'enflammés de zèle religieux, manquent de justesse de jugement et de pondération dans leur façon de voir les choses. Dans la situation actuelle de la société, ils ne voient que ruines et calamités; ils ont coutume de dire que notre époque a profondément empiré par rapport aux siècles passés; ils se conduisent comme si l'histoire, qui est maîtresse de vie, n'avait rien à leur apprendre et comme si du temps des Conciles d'autrefois tout était parfait en ce qui concerne la doctrine chrétienne, les moeurs et la juste liberté de l'Eglise.

         Il Nous semble nécessaire de dire Notre complet désaccord avec ces prophètes de malheur, qui annoncent toujours des catastrophes, comme si le monde était près de sa fin.

         Dans le cours actuel des événements, alors que la société humaine semble à un tournant, il vaut mieux reconnaître les desseins mystérieux de la Providence divine qui, à travers la succession des temps et les travaux des hommes, la plupart du temps contre toute attente, atteignent leur fin et disposent tout avec sagesse pour le bien de l'Eglise, même les événements contraires.

    La liberté d'action de l'Eglise.

         On peut facilement en faire la constatation, si on considère attentivement les très graves questions et controverses actuelles d'ordre politique et économique. Elle préoccupent tellement les hommes qu'elles les empêchent de penser aux choses religieuses qui ressortent du magistère de l'Eglise. Cette attitude n'est certainement pas bonne et elle doit être réprouvée. Personne cependant ne peut nier que les nouvelles conditions de vie ont au moins cet avantage d'avoir supprimé d'innombrables obstacles par lesquels autrefois les fils du siècle entravaient la liberté d'action de l'Eglise. (...)

  • Démystifier les croisades

    IMPRIMER

    Notre amie de "Benoît-et-moi" s'est appliquée à traduire un long article d'un universitaire américain procédant "à un argumentaire complet pour contrer le discours simpliste et politiquement correct qui a cours actuellement sur les Croisades, et qui est la grille de lecture habituelle des relations Occident-Islam."

    "L'auteur, Paul Crawford, est un universitaire américain, spécialiste de l'histoire des Croisades, professeur d'histoire à la California University of Pennsylvania (cf. chronique wikipedia en italien http://it.wikipedia.org/wiki/Paul_Crawford... "

    "Cet article est paru au printemps 2011 dans la Intercollegiate Reviewhttp://www.firstprinciplesjournal.com/ "
    En 2001, l'ancien président Bill Clinton prononçait un discours à l'Université de Georgetown où il discutait de la réponse de l'Occident aux récentes attaques terroristes du 11 Septembre. Le discours contenait une référence brève mais significative aux croisades. M. Clinton faisait remarquer que «lorsque les soldats chrétiens prirent Jérusalem [en 1099], ils . . . se sont mis à tuer chaque femme et chaque enfant musulman sur le Mont du Temple». Il a cité «des compte-rendus contemporains de l'événement» décrivant «des soldats qui marchaient sur le Mont du Temple... avec le sang coulant jusqu'aux genoux». Cette histoire, a déclaré sur un ton emphatique M. Clinton, continuait à être «racontée aujourd'hui au Moyen-Orient et nous continuons à payer pour cela».
    Cette vision des croisades n'est pas inhabituelle. Elle imprègne les manuels scolaires comme la littérature populaire. Un autre livre, en général fiable, sur la civilisation occidentale, affirme que «les croisades ont fusionné trois impulsions médiévales caractéristiques: la piété, la pugnacité, et la cupidité. Toutes les trois étaient indispensables»
  • Rémy Brague salue la pensée de Benoît XVI

    IMPRIMER

    De ZENIT.ORG (Propos recueillis par Anne Kurian, avec A. Bourdin)

    Benoît XVI possède « une vraie pensée, bien charpentée, informée par une vaste culture, servie par une réflexion solide, et exprimée clairement, souvent de manière imagée », déclare Rémi Brague.

    Mais surtout, « son style de pensée » est libéré de ce qui favorise les extrémismes de la pensée : un « débordement de l’affectif qui empêche de raisonner la tête froide », estime le philosophe.

    Le philosophe français Rémi Brague, lauréat du « Prix Ratzinger 2012 » (cf. Zenit du 28 septembre 2012), a accordé cet entretien à Zenit.

    Zenit - En vous présentant au Vatican, le cardinal Ruini a parlé d'« un vrai philosophe » et d’un « grand historien de la pensée et de la culture » : en quoi est-ce que philosophie et histoire s'enrichissent mutuellement dans votre expérience ?

    Rémi Brague - Je laisse au cardinal Ruini, qui a, je crois, beaucoup fait pour que je sois désigné pour ce prix, la responsabilité de ses éloges, qui me flattent extrêmement. Le mot « philosophe » est démonétisé en France. Il y désigne avant tout un type de beau gosse capable de prendre un air pénétré pour asséner des banalités à la télévision. Je rêve d’un équivalent de l’Ordre des médecins qui surveillerait la profession de philosophe. Il existe bien un délit d’exercice illégal de la médecine… Mais quand il s’agit de l’esprit des gens, on laisse n’importe qui l’empoisonner.

    Lire la suite

  • La guerre déclarée à la dévotion populaire

    IMPRIMER

    Sur le site ami "Benoît-et-moi", à propos du prochain pèlerinage de Benoît XVI à Notre-Dame de Lorette, notre amie, sous le titre "Le piège d'une religion pure", met en ligne un large extrait d'une conférence faite le 20 septembre dernier, devant le Réseau marial européen, par le cardinal Antonio Maria Veglio à propos de la dévotion populaire et de ce qu'il en advint après le concile-dont-on-fête-cette-année-le-cinquantième-anniversaire; nous prenons la liberté de le reproduire ici :

    "Dans l'évaluation négative de la religiosité populaire, on voit l'influence à la fois de causes internes et externes à la communauté ecclésiale.
    Parmi les premières ressortent l'existence de lectures partielle et sélectives des textes conciliaires au cours de la période post-conciliaire, ainsi qu'une interprétation partiale et intéressée de sa doctrine.
    Parmi les secondes, on doit recenser l'influence considérable qu'exercèrent les théories de la sécularisation. L'accueil (l'acceptation) que de nombreux cercles ecclésiaux réservèrent à la théologie de la sécularisation comportait le mépris d'un christianisme manifesté dans les formes extérieures, dont l'exemple le plus évident est, bien sûr, la religiosité populaire.

    Celle-ci fut considérée comme un catholicisme superficiel, séparé de la vie et des engagements historiques.

    L'un des résultats du Concile fut la définition de l'Église comme Peuple de Dieu, chose qui encouragea les associations laïques. Dans ce contexte, apparurent de petits groupes qui se considéraient comme plus engagés. Ces «catholique d'engagement» ou «catholiques progressistes» adoptèrent une attitude d'opposition aux chrétiens qui participaient aux manifestations de la piété populaire, les considérant comme simples, ritualistes, incapables de s'adapter aux temps nouveaux et appelées à se purifier.

    Lire la suite

  • En Europe aussi, les chrétiens sont discriminés

    IMPRIMER

    De la COMECE (en anglais, traduction  par nos soins):

    Le 2 Octobre, avec la participation de plusieurs intervenants de haut niveau provenant de différents pays, le Groupe du PPE, la Commission des Conférences épiscopales de la Communauté européenne (COMECE), et le groupe ECR ont organisé au Parlement européen un séminaire d'une demi-journée consacré à l'évaluation de la situation actuelle des chrétiens et de la liberté de religion en Europe. Les intervenants ont convenu que des efforts importants sont nécessaires pour éliminer les mesures discriminatoires à l'encontre des chrétiens et que la liberté de religion doit être assurée non seulement pour les minorités, mais aussi pour les chrétiens. L'attention du public doit être attirée sur des questions qui ne sont pas couvertes par les médias et un dialogue permanent doit être mis en place sur les grandes questions. De même, des initiatives venant de diverses  parties doivent également jouer un rôle accru dans ce processus.


    Dans son discours, Jan Olbrycht (MdPE), Vice-Président du Groupe PPE chargé des relations inter-culturelles, a déclaré: «Toute forme de discrimination et de mesures discriminatoires est inacceptable et va à l'encontre des fondements mêmes de l'Union européenne. Il existe plusieurs processus inquiétants à caractère discriminatoire contre les chrétiens en Europe, contre lesquels nous devons nous mobiliser conjointement et de manière décisive. Par ailleurs, nous devrions examiner comment ces cas pourraient nous aider, car certaines de ces violations majeures pourraient contribuer à accroître la sensibilisation du public et intensifier les efforts de lutte contre la discrimination des chrétiens qui se perçoivent de plus en plus comme une minorité en Europe. " 


    Dans son discours, Konrad Szymanski, MdPE (groupe ECR) a déclaré: «En Europe, nous sommes prompts à évoquer les droits de l'homme, l'égalité des droits, la non-discrimination au niveau des principes dans le monde entier. Il est bon que nous nous sentions appelés de cette façon à la protection de la dignité humaine. Cependant cela ne signifie pas que notre propre démocratie libérale ne peut pas évoluer vers un système discriminatoire ou vers un système qui tolère la discrimination. Les chrétiens se sentent de plus en plus discriminés. La présence de la Croix et le christianisme lui-même sont mis à mal. Dans certains pays, la protection des droits des minorités sexuelles provoque une limitation de la liberté de critique et de la liberté d'expression. La liberté de conscience, en particulier dans les professions médicales, est également mise à mal." 


    Lors de la première session, on a entendu l'intervention de John Deighan qui a souligné la situation particulière du Royaume-Uni, principalement en ce qui concerne la discrimination contre les agences d'adoption catholiques, le port de symboles religieux chrétiens en public (par exemple sur le lieu de travail), ainsi qu'une tentative visant à redéfinir le mariage. Daniel Lipsic a évoqué la nécessité d'une approche plus équilibrée et cohérente par la Cour européenne des Droits de l'Homme concernant l'incitation à la propagande haineuse. 


    Lors de la deuxième séance, Francisco Javier Borrego a souligné que, dans certains cas, l'interprétation idéologique de la Convention européenne des droits de l'homme par la Cour de Strasbourg. Le professeur Rocco Buttiglione a mis en évidence l'écart entre les minorités agissantes qui influencent le processus décisionnel et la majorité silencieuse des chrétiens qui ont peur de prendre une place centrale dans l'effervescence de l'ordre du jour politique. D'autres experts ont rappelé la résolution de l'Assemblée parlementaire de l'OSCE, qui identifie des zones très particulières dans lesquelles les droits fondamentaux et les droits civils des chrétiens doivent être protégés. "Une question clé est la protection des décisions prises en conscience pour des motifs religieux", a expliqué Mgr. Kolfhaus (Secrétariat d'État du Saint-Siège). "Inutile de dire que l'Eglise est contre la discrimination. Mais toute forme de discrimination n'est pas discriminante: il ya aussi le droit d'être différent ". 


    Dans son allocution, Mgr Piotr Mazurkiewicz, Secrétaire général de la COMECE, a évoqué les résultats positifs récents protégeant l'égalité et la liberté religieuse au sein du Conseil de l'Europe et de la Cour de Luxembourg. Tout au long du séminaire, il y avait un consensus partagé que le Parlement européen et les autres institutions européennes devraient tenir compte des questions susmentionnées et de faire preuve de la volonté politique nécessaire pour trouver des solutions pratiques à cet égard.

    Les textes des interventions sont accessibles sur le site de la COMECE

  • La livraison d'octobre 2012 de La Nef

    IMPRIMER

    SOMMAIRE DU N°241 D’OCTOBRE 2012

    NB : de nombreux articles sont en ligne; il suffit de cliquer sur les liens pour y avoir accès


    ÉDITORIAUX
    L’économie à la dérive, par Christophe Geffroy
    Contre-Culture : Chassez le sacré, par Jacques de Guillebon

    ACTUALITÉ
    Hildegarde de Bingen Docteur, par Aliénor Rousseau
    La Syrie, zone à risques, entretien avec Frédéric Pichon
    Islam en France : Paris sous influence étrangère
    par Karim Ouchikh
    Vie de l’Église : Qui a « pété les plombs » ?, par Loïc Mérian
    Série Vatican II (9) : Dei Verbum (2) : les débats, 
    par l’abbé Christian Gouyaud
    Benoît XVI au Liban : le pèlerin de la paix, 
    par Annie Laurent
    L’exhortation Ecclesia in Medio Oriente, par Annie Laurent
    Géopolitique d’abord : L’Orient simplifié
    par Paul-Marie Coûteaux
    Échos d’Orient : Un regard faussé, par Annie Laurent
    Chronique Vie : Eugénisme high-tech
    par Pierre-Olivier Arduin

    ENTRETIEN
    Au service des jeunes
    entretien avec l’abbé Jean-Pierre Gac 

    DOSSIER : LA CRISE DE LA CATECHÈSE
    Catéchèse : histoire d’une crise
    par l’abbé Christian Gouyaud
    Propositions pratiques, par l’abbé Laurent Spriet
    Une catéchèse éclatée, par Denis Sureau
    Transmettre, par Pierre Louis
    Le Catéchisme : vingt ans après, 
    par le P. Thierry-Dominique Humbrecht, op
    Témoignage : A l’école de Marie, par l’abbé Laurent Guimon
    Témoignage : Un témoin heureux, par l’abbé Cyril Gordien
    Témoignage : L’exemple des Chartreux, par l’abbé Matteo Lo Gioco
    Le devoir de transmettre
    entretien avec Mgr Raymond Centène

    VIE CHRÉTIENNE
    À l’école du Poverello d’Assise (2/2), par Falk van Gaver
    Question de foi : Notre-Dame des sans-abris, 
    par l’abbé Hervé Benoît

    CULTURE
    Une gnose chrétienne ?, par Falk van Gaver
    Au fil des livres : Si je t’oubliais Irlande…, 
    par Philippe Maxence 
    Notes de lecture, chroniques musique, cinéma, sortir,
    Internet, livres jeunes 
    Un livre, un auteur : Cécile Reboul

    BRÈVES
    Toutes nos annonces du mois en ligne

  • Quand l'abbé de Beukelaer "recadre" le Professeur De Duve

    IMPRIMER

    A lire, sur le site de Eric de Beukelaer, et cela va bien plus loin qu'un simple "recadrage" du prix Nobel.

    Extrait : 

    "Je cite ce savant de réputation mondiale:

    "Les gens n’ont pas appris à raisonner avec la rigueur et l’honnêteté intellectuelle qu’essaient d’observer les scientifiques, à pratiquer le doute méthodique dont parlait Descartes. Ils manquent d’objectivité et sont obnubilés par des croyances et des certitudes qui ne se fondent sur aucune réalité démontrable. C’est vrai du Pape qui parle de “vérités révélées” et donc, non contestables et qui est pourtant suivi par 1,5 milliard de gens."

    Comment un homme aussi intelligent et respectable, qui a baigné bien plus que moi dans un catéchisme à l’ancienne, peut-il sortir une phrase aussi énorme du point de vue épistémologique? Comment peut-il tomber à pieds joints dans le piège du « rationalisme concordiste », qui consiste à prétendre que la méthode scientifique est la seule qui fasse sens? Comment peut-il à ce point confondre une affirmation scientifique visant la réalité finie et quantifiable avec une adhésion de foi, touchant à l’infini et donc à l’indémontrable?  Et quid de la poésie et de la danse? Leur vérité sont-elles démontrables? Je pense que le professeur de Duve a longtemps été un pratiquant non croyant, avant de se reconnaître agnostique. Il a adhéré durant sa jeunesse à des « preuves de l’existence de Dieu » et des « raisons de croire », avant de les laisser tomber comme peu crédibles. Mais jamais, sans doute, ne fit-il l’expérience intime du Ressuscité."

  • Europe : et si la crise économique et financière était le révélateur d'une crise bien plus profonde ?

    IMPRIMER

    ZENIT.ORG (ANITA BOURDIN)

    Les racines de la crise économique et financière de l’Europe sont plus profondes qu’on ne croit, estiment les évêques d’Europe : elles sont d’ordre philosophique et spirituel. « Si l’Europe est en crise au plan financier, monétaire, économique, c’est peut-être parce qu’elle n’a pas suffisamment enraciné son projet spirituellement », a résumé Mgr Léonard.


    Mgr André-Joseph Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles, a en effet résumé pour la presse, en fin de matinée, vendredi 28 septembre, les trois interventions qui ont nourri la réflexion des 11 cardinaux et 33 évêques présents à l’assemblée plénière du Conseil des conférences épiscopales d’Europe, en Suisse, à Saint-Gall (27-30 septembre).


    Voici notre transcription de sa synthèse.


    ***Pour affronter cette question des défis à la fois culturels, sociaux et spirituels de l’Europe, nous avons entendu ce matin trois interventions : une de M. Kuno Schedler, professeur d’économie d’entreprise à l’université de Saint-Gall, sur les enjeux surtout de l’ordre de économique ; ensuite une intervention de Mme Marta Cartabia, qui est professeur de droit et juge à la Cour constitutionnelle en Italie ; et ma propre intervention sur le point de vue philosophique et théologique.

    Lire la suite