C'est ce que l'on pourrait penser à la lecture de cette "sénégalaiserie" publiée dans SudOnLine (via l'"Observatoire de la Christianophobie" :
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C'est ce que l'on pourrait penser à la lecture de cette "sénégalaiserie" publiée dans SudOnLine (via l'"Observatoire de la Christianophobie" :
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C'est ce qu'on peut lire dans la "Matinale de la Vie" de ce lundi :
UN OBSERVATOIRE DE LA LAÏCITE EN FRANCE?
C'est ce qu'annonce un communiqué de l'Elysée, selon lequel le président "a saisi l'occasion [de la remise de la légion d'honneur au sociologue des religions Emile Poulat] pour rappeler que la loi de 1905 permet de répondre aux enjeux du temps présent et il a annoncé la mise en place en 2013 de l'Observatoire national de la laïcité, dont le principe est acquis depuis huit ans sans avoir jamais été traduit. L'observatoire aura aussi la charge de formuler des propositions sur la transmission de «la morale publique » pour lui donner une place digne d'elle au sein de l'école".
Du site "Marie de Nazareth", une synthèse rédigée par F. Breynaert :
Le rayonnement de ce sanctuaire italien est si grand que le calendrier liturgique catholique romain propose une mémoire liturgique pour célébrer la "Translation de la Sainte Maison de Lorette", le 10 décembre.
Le mot "translation" signifie "transport" : l'actuel sanctuaire, construit au XV° et XVI° siècle, abrite une maison, "la sainte Maison", dont les pierres sont une relique de la maison de la Vierge Marie de Nazareth.
Sixte V (pape de 1585 à 1590), fit graver en lettres d'or sur façade de la Basilique à peine achevée : « Maison de la Mère de Dieu où le Verbe s'est fait chair ».
Il est tout à fait saisissant d’entrer en ce lieu, de se prosterner là, et de penser qu’entre ses pierres, quand la Vierge prononça son Oui, le Verbe s’est fait chair dans son sein virginal, et qu’il a vécu parmi nous.
La Nova Bussola Quotidiana (Marco Respinti) présente "Un voyage inattendu" qui apparaîtra sur nos écrans d'ici quelques jours (traduction par nos soins) :
"Il y a plus de bon en toi que tu ne le soupçonnes, fils de l'aimable Ouest"
La lecture de Bilbo le Hobbit de JRR Tolkien (1892-1973) transposée à l'écran par un réalisateur de talent, le Néo-Zélandais Peter Jackson, auteur de l'excellente version du film Le Seigneur des Anneaux, arrivera dans les salles (italiennes) le 13 décembre, après une longue, longue attente. Il s'agira de la première partie, intitulée Un voyage inattendu, de trois blockbusters qui se suivront dans les années à venir. (...) ....ce sera un véritable succès, au-delà des gains et de l'écho médiatique, à la condition, sans être un doublon du livre (chose aussi impossible qu'inutile), de pouvoir en rendre pleinement la profondeur de l'inspiration.
Le Hobbit, en fait, est une histoire de maturité, raison pour laquelle il peut s'adresser à la fois aux plus grands et aux plus petits, abolissant, comme peu savent le faire une barrière méprisante et aussi un peu trop idéologique que la critique classe comme un obstacle infranchissable entre enfants et adultes. Le Hobbit est un conte sérieux, et pour cela, il sait aussi faire rire aux éclats au bon moment sans jamais tomber dans l'humour fielleux. Et Bilbo le Hobbit est une histoire vraie, parce qu'elle évoque des choses réelles, même si elles ne le sont pas toujours matériellement.
L'interview éclairante de Dominique Morin (via petrus.angel) :
Damien Meerman : Après être sorti de la drogue, de la violence et de l'errance sexuelle, vous avez appris que vous étiez malade du sida. Aujourd'hui, vous dénoncez le piège des drogues dites " douces " . Quelle a été votre première expérience de la drogue ?
Dominique Morin : J'ai d'abord découvert le cannabis dans des concerts de rock. A l'époque, je vivais un certain mal-être : absence de père, échec scolaire et angoisses existentielles. Le cannabis était proposé par les groupes de rock comme une expérience nouvelle et faisait partie d'une panoplie de rebelle, ce qui suffit à tenter un adolescent de 17 ans en crise. Et de fait, avec le cannabis, je me suis senti bien, au moins en apparence et à courte vue et j'ai eu l'impression d'exister. Je devenais subitement le héros d'un film. Fumer un joint me permettait de ressentir des sensations, d'apaiser mes tensions et d'oublier mes inhibitions. Ensuite, j'ai fréquenté d'autres fumeurs, je n'étaits plus seul. Puis, je suis entré dans un monde marginal avec ses rites et ses voyages initiatiques.
Damien Meerman : Pourquoi s'agit-il d'un piège ?
Dominique Morin : Contrairement à l'héroïne, le cannabis n'est pas une drogue qui a une image négative. On a le sentiment de pouvoir quand même assumer sa vie. De plus, le cannabis paraît une sorte de " médicament miracle " contre le mal de vivre. Il donne l'impression d'un bien-être, d'avoir des amis, alors que si ses effets anesthésient le malaise, qu'il rapproche ponctuellement et par intérêt égoïste les fumeurs, il empêche de chercher la solution à ses problèmes en permettant de les fuir et d'oublier la vie réelle. L'illusion paraissant plus belle que la réalité pourquoi se heurter à une vie avec ses combats, aux succès fragiles et aléatoires?
Damien Meerman : Mais le cannabis n'est-il pas officiellement classé comme une drogue "douce" ?
Connaissez-vous le catho style ? (source)
Tradi' ou charismatique, classique ou enthousiaste, grenouille de bénitier ou électron libre, super croyant ou en phase d'interrogation intense, tous les cathos devraient se retrouver dans ce clip jubilatoire qui n'a d'autre prétention que de faire rimer amour avec humour. Plus de 110 000 vues en trois jours. Bravo pour le buzz ! Les jeunes du Chemin Neuf qui ont conçu et réalisé ce film de 3 minutes s'en sont donnés à cœur joie !
Henri Hude a rédigé cette "Lettre ouverte aux conservateurs qui ont envie de rester dans l'opposition toute leur vie" (source : Magistro) :
La méthode garantie pour perdre
Mon intention est de montrer comment les conservateurs américains s’y prennent pour perdre. Ils sont "d'un gabarit exceptionnel".
Ils se répartissent en deux groupes : les ultralibéraux et les protestants moralisateurs. Les premiers expliquent au peuple qu’il aura moins d’argent, et les seconds moins de sexe.
L’idéal supérieur et l’amitié noble mis à part, il y a dans l’homme trois grandes pulsions : le pouvoir, le sexe et l’argent.
Pour ce qui est du pouvoir, en démocratie, le peuple en a fait son deuil depuis longtemps, pourvu que les dominants y mettent des formes. Mais pour le reste, il faut être humain. Alors, si on veut sauver la famille, il faut faire saigner la banque. Et si on veut peaufiner l’usurier, alors il faut tolérer la luxure. En un mot, on ne peut à la fois plumer le peuple et le puritaniser. Entre deux maux, il faut choisir. Les Républicains ne choisissent pas. Démos vote Obama.
Une invitation adressée aux mères de famille
Cette année nous aurons la joie de découvrir la magnifique région de Banneux, Pays des Sources au cœur des Ardennes Bleues
Notre Marche nous conduira jusqu’au sanctuaire de Banneux, où nous pourrons venir trouver réconfort et soutien auprès de la Vierge des pauvres.
Les inscriptions ont déjà commencé : ne tardez pas ... inscriptions limitées…
Cette année : c’est possible en un clic : docs.google.com
Infos complémentaires sur le site emmanuel.info
N’hésitez pas à y inviter vos amies, connaissances…
Nous lisons sur "juridique et culturel"
Profanation anti-catholique sur la base navale de Toulon
La base navale de Toulon est un centre industriel militaire qui emploie 20 000 personnes. C'est le premier port militaire d'Europe, il concentrerait environ 70 % des forces navales françaises. Vues les missions qui sont dévolues à l'armée, on pourrait croire à un environnement moral de haut niveau…
Via le Salon beige, voici un communiqué de Mgr Poignard, « vicaire général du diocèse aux armées françaises » :
« J'apprends ce samedi soir que la chapelle militaire de la base navale de Toulon a été profanée. On s'en est pris aux trois grands symboles de notre foi : le St Sacrement (tabernacle renversé et brisé, les saintes espèces répandues sur le sol), le baptistère totalement brisé et l'ambon (la Parole de Dieu jetée à terre et piétinée).
L'intolérance pénètre maintenant à l'intérieur des enceintes militaires : il y a de quoi être vraiment très inquiets.
FAITES CONNAITRE CET EVENEMENT ODIEUX... » (...)
Nous trouvons cette information sur Hérodote.net :
Le 9 décembre 1955, le comité des ministres du Conseil de l'Europe adopte officiellement le drapeau européen (...)
L'emblème a été conçu par l'Autrichien Arsène Heitz, modeste fonctionnaire, artiste à ses heures et... fervent catholique. Selon ses dires, il s'est inspiré de la médaille miraculeuse de la rue du Bac (Paris). Celle-ci représente la Vierge avec lacorona stellarum duodecimou couronne de 12 étoiles qu'évoque l'Apocalypse de Saint Jean («Un signe grandiose est apparu dans le ciel, une femme revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et sur sa tête une couronne de 12 étoiles», Apocalypse 12,1). Il lui a ajouté un fond bleu de la couleur traditionnelle du manteau de la Vierge.
Pour maints dirigeants chrétiens-démocrates à l'origine de la construction européenne, cette inspiration est bienvenue. Ne place-t-elle pas d'une certaine manière l'Europe sous la protection de la mère de Jésus-Christ ? Par un singulier hasard, le texte portant adoption du drapeau est d'ailleurs signé le 8 décembre 1955, fête de l'Immaculée Conception...
L'emblème européen est inauguré solennellement le 13 décembre de la même année à Paris. En 1983 enfin, le Parlement européen adopte le drapeau créé par le Conseil de l'Europe et préconise qu'il devienne également l'emblème de la Communauté Européenne. C'est ainsi que depuis lors, il préside à toutes les manifestations européennes. (...)
Le 21 janvier 2011, nous avions signalé la parution du livre suivant :
Mutien-Omer Houziaux. À contretemps. Regards politiquement incorrects, 288 pp., 15x20,50 cm., Editions Mols, coll. Autres regards. Wavre, 2010, prix librairie 22,50 €
Quelques exemplaires de ce livre qui n'a rien perdu de son actualité sont encore disponibles et seront adressés aux amateurs, dédicacés par l'auteur, aux conditions figurant au bas de cette note.
C’est du belge. Et même du liégeois. Mutien-Omer Houziaux, romaniste, ancien maître de conférence à l’Université de Liège, auteur de nombreuses publications touchant à la linguistique, à l’informatique appliquée, à la pédagogie et à la musicologie (il fut titulaire des orgues de la cathédrale de Liège) vient de publier aux éditions Mols (diffusion Desclée en France) un essai critique des mœurs contemporaines : un autre regard sur la bioéthique, la spiritualité et le scientisme ambiants.
Familles recomposées, homoparentalité, mort dans la dignité, la parole est aujourd'hui au politiquement correct. Né en 1980, au pays de l'american way of life, le politiquement correct n'a pas tardé à franchir l'Atlantique. Son discours, qui se réclame de la démocratie, est -en réalité- l'arme principale d'une pensée dominante, voire unique. Arme redoutable, la parole, notait déjà Talleyrand, a été donnée à l'homme pour déguiser sa pensée.
Sous prétexte de promouvoir le "vivre ensemble", la société, qui prône le libre arbitre individuel, devient en réalité liberticide. Pis encore, de contrainte sociétale, le politiquement correct se mue parfois, sournoisement, en contrainte légale: toute opinion politiquement incorrecte est alors bâillonnée par un pouvoir civil "démocratique".
Avec un humour parfois corrosif, Mutien-Omer Houziaux dénonce sans détour quelques-uns des effets délétères d'une dictature qui s'avance sous le masque du dialogue et de la tolérance comme dans le « meilleur des mondes » prédit par Aldous Huxley.
La préface de l’ouvrage a été rédigée, peu avant sa mort, par le regretté Mgr Michel Dangoisse, Elle condense excellemment la portée de cet ouvrage lucide et impertinent.
L’Union, Cercle royal des étudiants catholiques de Liège, tél.+32 (0)4.344.10.89 ou +32 (0)4.223.54.11, a contribué à cette publication et met l'ouvrage en vente au prix de faveur de 22,50 euros (port compris). Pour le recevoir à votre adresse postale, il suffit de verser cette somme au compte IBAN BE15 2400 0748 1330 BIC GEBABEBB de l'Union, Cercle Royal des Etudiants Catholiques de Liège asbl, Rue Vinâve d'île, 20 bte 64 à B- 4000 Liège, avec la mention "A contretemps".
La RTBF annonce un reportage qui sera diffusé mardi soir (11 décembre à 20H15) sur la Deux, dans le cadre de l'émission "Tout ça ne nous rendra pas le Congo"; on peut s'attendre au pire rien qu'en lisant la présentation sur le site de la RTBF (ci-dessous). La couleur y est clairement annoncée mais c'était couru d'avance lorsqu'on connaît la tonalité de cette émission qui a pris la relève de "striptease". La question se pose d'ailleurs de savoir si l'on est bien avisé de se prêter au jeu de ce genre d'émission où l'on se fait piéger à tous les coups...
Tout ça (ne nous rendra pas le Congo) nous emmène à la rencontre de jeunes missionnaires, qui se battent contre l’avortement et pour la vie. Et dans leur combat, ils ne sont pas soutenus par n’importe qui mais par Monseigneur Léonard en personne ! (...)
Les chrétiens, c’est comme les autres : il y en a de toutes sortes. Il y a ceux qui se souviennent de Dieu juste avant de mourir. Ceux-là ne fréquentent l’église qu’aux baptêmes, aux mariages et aux enterrements. Et mangent même de la viande le vendredi ! Et puis il y a les vrais, ces jeunes courageux qui nagent dans l’eau bénite en fumant de l’encens, luttant avec ferveur contre l’adultère, les vices contre nature, l’euthanasie et l’avortement. Ceux-là le proclament : " L’intolérance peut être belle ! ". Dieu merci, dans ce combat, les Croisés du Christ ne sont pas seuls : une star américaine du mouvement Pro Life les a formés au combat et Monseigneur Léonard leur montre la voie. Et même parfois la voix, n’hésitant pas à entonner Le temps des cerises, une chanson de ... révolutionnaires! Réalisation : Safia Kessas