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BELGICATHO - Page 2285

  • Sud-Soudan : " mais où est la communauté internationale ? "

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    Les combats se poursuivent à Kadugli, la capitale du Sud Kordofan, à la frontière entre le nord et le Sud Soudan, entre l'armée du nord et celle du sud. « Sur les Monts Nuba, les écoles sont fermées et les enseignants ont été évacués » déclare à l'Agence Fides Soeur Carmen, une missionnaire combonienne mexicaine qui oeuvre dans la zone. Les Monts Nuba font partie du Sud Kordofan. « Les hôpitaux continuent à être opérationnels. Dans l'un d'entre eux, géré par les missionnaires, ont été hospitalisés 85 militaires blessés lors des affrontements à Kadugli. Il faut plus de personnel pour faire face à l'urgence » ajoute la missionnaire.

    « De jour, la population fuit sur les hauteurs qui entourent les villages pour revenir dans leurs maisons le soir. De nuit en effet, il n'y a pas de bombardements parce que les avions de Khartoum ne disposent pas de systèmes de visée nocturne » déclare Soeur Carmen, qui a assisté personnellement à un bombardement effectué par les avions de Khartoum. « Voici deux jours, alors que j'accompagnais un certain nombre de personnes dans la zone de Kauda - raconte Soeur Carmen - j'ai assisté personnellement à un bombardement aérien. J'ai vu des avions de combat s'approcher rapidement et, après une rapide reconnaissance, revenir à basse altitude pour lancer les bombes et faire feu avec les armes du bord. Nous nous sommes jetés à terre alors qu'autour de nous les bombes explosaient. Cela a été terrible ».

    Soeur Carmen conclut en indiquant la question que lui pose continuellement la population locale : « Mais où est la communauté internationale ? » Selon un communiqué envoyé à Fides par la Caritas internationalis, plus de 60.000 personnes ont été contraintes à fuir les combats au Sud Kordofan alors que la situation humanitaire est grave du fait du manque de nourriture, d'eau et de médicaments. (L.M.) (Agence Fides 16/06/2011)

  • Quand ils se marient...

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    Denis Gagnon propose cette réflexion sur la signification du mariage :

    "Dans quelques jours, j’irai aux noces. Jovanni, le fils d’un de mes amis, se marie avec sa Sophie. Les deux tourtereaux se sont rencontrés, il y a quelques années. Lentement, ils se sont apprivoisés. Et l’amour est né. L’amour a grandi au point de devenir le bonheur. Un bonheur qu’ils souhaitent goûter tout le reste de leur vie.
     
    C’est tellement bon, ce bonheur, que ces fiancés pourraient en demeurer là, le vivre doucement dans leur foyer, à l’abri des intempéries. Mais nos deux amoureux ne se croient pas les propriétaires exclusifs de l’amour qui les habite. Ce qu’ils vivent, ils considèrent que c’est une part du trésor de la société. L’harmonie qu’ils ont créée ensemble fait partie des efforts de tous les citoyens pour des relations harmonieuses dans la ville, dans le pays, dans le monde. En s’aimant, ils construisent avec d’autres la paix sociale.

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  • Frère David et Frère Olivier

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    Les infos sont disponibles sur le site de la Fraternité :http://www.tiberiade.be/fr/intercession-pour-david-et-olivier.html

  • Au sommaire de l'Homme Nouveau

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    Au sommaire du numéro 1496 de l'Homme Nouveau daté du 18 juin 2011:

     

    Dossier

    Le Gender dans les manuels scolaires

    Analyse d'une subversion totalitaire qui distille l'idéologie du Gender jusque dans les manuels scolaires.

     
    Actualités

    États-Unis : Une oasis spirituelle

    Des carmes se sont lancés dans l'aventure audacieuse de la construction d'un monastère gothique au pied des Rocheuses.

    Asie : Yémen sous tension

    Pris en tenaille entre différents courants, le Yémen affronte une de ses crises les plus graves.

    Croatie : rempart de la chrétienté.
     
    Culture

    Entretien : le Traité de l'Amour de Dieu en français contemporain.

    Maximilien Kolbe : une nouvelle biographie.
     

    Figure spirituelle

    Le bienheureux Marie-Joseph Cassant, humble trappiste.

     
    Magistère

    Le trésor de la liturgie, lieu de la tradition vivante.

  • Accusations de pédophilie : une carte blanche qui en dit long

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    La carte blanche qui suit figure sur le site de "Enseignons.be" :

    Carte blanche de Y.M. Boucher, A. Dahin, P. Heymans, P. Matheys et L. Penninckx.

    Nous cinq, anciens directeurs et enseignants du collège Saint-Pierre d’Uccle, entendons mettre en cause la capacité de notre système judiciaire à rendre justice à tous les innocents, dont nous sommes, passés entre ses mains. Nous espérons que cet appel sera suivi d’effet et que l’exposé de notre cas singulier entrainera* à l’avenir une juste compensation pour ceux qui, comme nous, auront été blanchis par la justice après avoir été salis par elle. Un bref mais édifiant rappel de notre histoire s’impose pour que le lecteur se souvienne de notre calvaire, lequel a duré huit ans.

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  • Information ou désinformation : le rôle des grandes agences de presse

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    L'information passe essentiellement par le canal des grandes agences de presse : Reuters, AP, AFP, Belga, etc. Ce sont elles qui "fournissent" les infos, souvent reproduites telles quelles par les quotidiens, les hebdomadaires et même les instituts de radio-diffusion. Le rôle qu'elles jouent est donc loin d'être bénin : elles informent (ou désinforment) en donnant un éclairage souvent partisan sur les évènements et peu de gens se rendent compte combien "les nouvelles" qu'ils reçoivent pour argent comptant sont, en fait, des produits élaborés qui sont tout sauf le reflet fidèle et objectif de ce qui se passe réellement.

    Enquête&Débat publie, à ce propos, un excellent article au sujet d'une de ces agences de presse (et pas la moindre) que l'on trouvera ICI

  • A Bruxelles, un monument censuré...

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    Le passé belge, particulièrement son passé colonial, doit être revu et corrigé à la lumière de la modernité et du multiculturalisme. C'est ce qui s'est fait dans la pierre d'un monument bruxellois, semble-t-il.

    C'est à découvrir sur le site du Causeur dans un billet intitulé "Monument sans maures - La Belgique esclave de son passé?" rédigé par Bernard Swysen, scénariste et dessinateur:

    "Qu’il est agréable de déambuler nonchalamment dans le Parc du Cinquantenaire à Bruxelles ; de passer, insignifiante fourmi, sous les imposantes arcades surmontées par un immense quadrige représentant le Brabant – qui n’était pas encore divisé en Brabant-Flamand et Brabant-Wallon ; de flâner parmi les arbres et les monuments à la gloire d’un pays qui fut en son temps l’une des premières puissances économiques mondiales ; de parcourir les riches Musées Royaux d’Art et d’Histoire, le Musée de l’Armée ou même l’Autoworld (le Musée de l’automobile) qui y sont implantés… (Faites-moi penser à réclamer mon obole à l’Office du tourisme !). Et qu’il est doux et rassurant de s’allonger au soleil sur ses fraîches pelouses à regarder glisser de jolis cumulus..."

    découvrir la suite ICI

  • Une jolie parabole à méditer...

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    ...découverte sur le blog d'un "idiot attentif" :

    "Deux jumeaux sont dans le ventre de leur mère. Ils discutent philosophie.

    - Tu crois qu’il y a une vie après la naissance?

    - Evidemment. Il doit forcément exister quelque chose au-dehors, car il me semble que nous sommes ici précisément pour nous préparer à ce plus tard.

    - Mais non! Ce n’est pas possible, et c’est même inepte. Il n’y a pas de vie après la naissance. Si c’était le cas, quelqu’un nous en aurait parlé. Donc, cela n’existe pas. Mais imaginons, comment serait ce monde futur?

    - Je ne sais pas, mais il y aurait certainement plus de lumière. Peut-être pourrions-nous même courir? Manger avec nos mains et notre bouche?

    - Mais non, c’est une aberration! On ne peut pas courir! Et qui a vu une personne manger en utilisant sa bouche! C’est le cordon ombilical qui nourrit l’homme, c’est prouvé scientifiquement.

    - Ecoute, je ne sais pas, mais ce que j’imagine, c’est que nous verrons nos parents et ils prendront soin de nous. Maman nous donnera le sein…

    - Maman??? Tu crois en Maman? C’est juste un concept abstrait sans fondement objectif, scientifique. Qui est Maman pour toi?

    - C’est grâce à elle que nous vivons. Nous tirons notre vie d’elle, nous n’existerions pas sans elle.

    - Je ne crois pas! Je n’ai jamais vu Maman, donc, elle n’existe pas.

    - Comment peux-tu dire cela? Lorsque nous sommes en silence et que nous ne nous bagarrons pas, nous pouvons entendre comme une sorte de chant qu’elle fredonne et nous percevons la manière dont elle ressent le monde extérieur. Lorsque tu es triste, tu aimes bien te coller à l’ombre de ce que nous avons appelé sa main, faute d’autre définition. Tu aimes lorsque tu as l’impression que cette main te caresse… Tu sais, je pense que la vraie vie commence plus tard…"

  • Pour se détendre un peu...

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    Voici les meilleures "perles du BAC" proposées par "La Dépêche" :

    1. « Quand il y a des problèmes dans le monde, l’ONU envoie des casquettes bleues »

    2. « Mitterand est mort du cancer de l'utérus. »

    3. « A l'heure actuelle, je ne peux pas vous donner le PIB du Japon en 1960, mais si vraiment ça vous intéresse, vous le trouverez sans doute sur Google. »

    4. « Les deux intestins sont le gros colomb et l'intestin grec. »

    5. « La deuxième guerre mondiale a duré de 1939 à 1946. Si c'est pas les bonnes dates, c'est parce qu'elle a peut être duré plus longtemps mais tout le monde le savait pas à l'époque. »

    6. « En 1968, c'était la guerre. La France sombrait peu à peu dans le chaos. Les ténèbres avaient obscurcis le ciel. A l'horizon, le néant menaçait d'engloutir la jeunesse. De lointains murmures annonçaient des heures sombres. L'espoir n'était plus qu'un rêve. »

    7. « La physique a été découverte par hasard dans l’antiquité par Larry Stote. »

    8. « La faucille et le marteau sont des organes internes de l’oreille. »

    9. « Picasso a représenté les Demoiselles d’Avignon sous forme de cubes. C’est sa période cubaine. »

    10. « Le taux de fécondation chez les PD (pays développés) tend vers zéro. »

    11. « La meilleure pièce de Molière est "L'Ami Zantrope". »

    12. « Quand le chlore est entièrement dissous dans l’eau, on dit qu’il y a dix solutions. »

  • Seigneur, donnez-nous des saint François Régis

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    1294391423_SAINT_FRANCOIS_REGISSITE.jpgOn le fête aujourd'hui : "Régis naît à Fontcouverte en Languedoc en 1597. Son nom de famille va devenir grâce à lui un prénom. La France sort des Guerres de Religion et connaît un vrai printemps d'Eglise, avec des saints comme François de Sales ou Vincent de Paul.

    Avec "un visage épanoui, un abord gai, riant, franc et familier", sans parler de son mètre 92, c'est une vraie force de la nature, ce qui lui permet d'intervenir, vigoureusement au besoin, pour fermer la bouche des blasphémateurs, pour défendre des prostituées du Puy contre leurs souteneurs, ou simplement pour parcourir sans relâche les montagnes du Vivarais, des Cévennes et du Velay. Sa ferveur mystique impressionait : "On aurait dit qu'il respirait Dieu seul … ", de même la chaleur de son accueil pour les montagnards venus par temps de neige à sa rencontre : " Venez, mes enfants, je vous porte tous dans mon cœur ".

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  • Collège Saint-Louis ( Liège ) : ne gérons pas l'ingérable !

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    Un directeur de collège appartenant au réseau de l'enseignement libre catholique, le collège Saint-Louis à Liège, est au centre d'une tourmente orchestrée par les lobbies gays et largement relayée sur les "réseaux sociaux", sur facebook en particulier. Il est coupable d'avoir voulu interdire l'accès du bal des élèves de dernière année ("rhétos") à des couples homosexuels. Scandale immédiatement relayé par "enseignons.be", au nom du sacro-saint principe de la non-discrimination, de la liberté sexuelle et de l'égalité des individus, quelle que soit leur orientation sexuelle. Comme la loi belge va dans ce sens, voilà notre directeur bien mal pris et embarrassé dans des explications qui ne convainquent pas.

    Un ami me demande ce que nous pourrions bien dire à ce propos. Notre réponse est simple : il faut éviter de devoir gérer l'ingérable. Il n'est donc plus possible ni souhaitable d'organiser des bals dans les écoles dans le contexte où nous vivons et qui charrie tout ce que nous savons : licence sexuelle, alcoolisme, consommation de "produits", provocations en tout genre. Il faut ajouter qu'on ne peut même plus compter sur l'appui d'un certain nombre de parents qui sont privés de repères, tout autant que leurs enfants. Il en va de même pour d'autres activités telles que les voyages scolaires : comment surveiller les grands adolescents (et même les plus jeunes) la nuit? Et il ne s'agit plus aujourd'hui de se limiter à empêcher les allées et venues entre les chambres des garçons et celles des filles...

    Cela nous mène tout droit à ouvrir le débat sur les écoles qui bénéficient de la caution "catholique" au sein d'un enseignement libre patronné par nos évêques. Est-ce honnête de laisser croire aux parents qui ont le souci d'éduquer leurs enfants en cohérence avec leurs principes chrétiens que ces écoles sont encore des lieux conformes à l'Evangile, où les cours sont donnés dans cet esprit, et où le climat éducatif préserve les élèves des dérives de notre société? Poser la question, c'est y répondre. Ne serait-il pas temps de retirer le label "catholique" à ce réseau et d'ouvrir des écoles entièrement libres, basées sur un projet éducatif vraiment conforme aux valeurs chrétiennes?

  • Un discours pontifical insistant dans une Europe prostrée...

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    Lors de l'audience générale de ce mercredi, le pape a développé le message du prophète Elie, invitant à la pénitence et à se détourner des idoles. Le pape a insisté sur l'actualité de ce message. Il est évident que l'homme moderne, en particulier dans notre Occident déchristianisé, ne discernant plus le seul bien suprême et transcendant, est condamné à sacrifier aux idoles modernes que lui propose le consumérisme ou à s'en remettre à des idéologies incapables de tenir leurs promesses et de rendre l'homme véritablement heureux.

    On remarquera que ce discours est assez récurrent et que le pape dénonce sans cesse l'athéisme pratique de notre société, insistant sur la nécessité de réévangéliser un monde qui a tourné le dos au Christ et à l'Eglise. On y est presqu'habitué...

    Cela nous interroge, évidemment, car nos habitudes d'adhésion et de pratique chrétiennes ne suffisent manifestement plus. Il faudrait qu'en voyant vivre les chrétiens, on soit séduit par leur joie d'être "sauvés" et d'être libérés des illusions et de la peur. Nietzsche nous en faisait déjà le reproche et il faut bien reconnaître que cela reste plus que jamais de saison.

    Il suffit de considérer un pays comme l'Italie où le christianisme sociologique est encore bien vivant mais où l'on se marie de moins en moins et où la procréation semble être en panne, comme s'il n'y avait plus d'espérance ni de pari sur un avenir porteur. Et que dire d'un pays comme le nôtre d'où sont partis tant de missionnaires et où l'on a du mal aujourd'hui à assurer un minimum de vie religieuse?

    On peut se demander s'il ne faudrait pas recourir à des moyens exceptionnels, à la hauteur de cette situation exceptionnelle, pour nous convertir d'abord nous-mêmes et ensuite pour tourner nos familles, nos milieux de vie, notre société vers Celui "sans lequel on ne peut rien faire".

    Notre archevêque va consacrer son diocèse au Sacré-Coeur après être parti en pèlerinage à Montmartre. Mais pourquoi le seul diocèse de Malines-Bruxelles? Pourquoi pas la Belgique, l'Europe toute entière? Et pourquoi ne pas divulguer crûment le contenu des messages mariaux de Fatima? Pourquoi ne pas inviter à la repentance, à la réparation, à l'héroïsme des saints?

    Bien loin de tout cela, on a l'impression de végéter dans des communautés "enfouies" dont la lumière est loin de briller sur les sommets, des communautés "où l'on gère" l'indigérable! Les préoccupations de l'heure sont aux restrictions, aux restructurations, aux fermetures d'églises et de maisons religieuses, sous couvert de tailler à notre Eglise "de nouveaux habits paroissiaux"!

    Qu'attendons-nous pour aller hurler sous les fenêtres des palais épiscopaux notre faim et notre soif d'attitudes et de paroles fortes qui soient vraiment dignes des successeurs des apôtres? Faudra-t-il attendre que les pierres se mettent à crier?