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Belgique - Page 404

  • 17 septembre : fête de saint Lambert, patron du diocèse de Liège

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    Buste-saint-Lambert.png(Saint) , LANDBERTUS, LANTPERTUS, LANDEBERTUS, naquit à Maestricht pendant le second quart du VIIe siècle. Ses parents, qui étaient riches et chrétiens de longue date, semblent avoir fait partie de l'aristocratie de cette ville. Un remaniement de sa première biographie donne à son père le nom d'Aper, et à sa mère celui de Herisplendis ; mais le texte primitif de ce document ne nous a pas conservé leurs noms.

    Lorsqu'il eut atteint l'âge des études, son père le confia aux soins de saint Théodard, alors évêque de Maestricht, qui, comme tous les prélats de l'époque, dirigeait l'éducation des jeunes clercs de son diocèse. La cour royale siégeait parfois à Maestricht. Lambert eut l'occasion d'y vivre dans l'entourage du roi et d'y être remarqué de lui. On ne sait ce qu'il faut croire de l'assertion d'un écrivain du Xe siècle, d'après lequel son premier maître aurait été un prêtre romain du nom de Landoald (voir ce nom), qui aurait vécu quelque temps avec son disciple à Wintershoven, dans une ferme de ses parents, où des miracles auraient fait éclater les vertus de l'enfant.

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  • Abus sexuels: une plainte collective déposée contre l'Eglise belge et le Saint-Siège

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    L’agence Belga annonce qu’une plainte collective contre les évêques belges, ainsi que les plus hautes instances de l'Eglise belge et du Saint-Siège, a été déposée ce vendredi matin devant le tribunal de première instance de Gand par un groupe de victimes d'abus sexuels cléricaux. L'affaire avait été reportée car le dossier devait être renvoyé devant une chambre composée de trois juges.

    La défense des évêques belges estime que cette assignation en justice n'est pas valide et demande que la convocation soit déclarée nulle. La plainte collective a été introduite par le cabinet d'avocats Van Steenbrugge, Van Acker & Mussche au nom d'un groupe de victimes.

    Actuellement, une septantaine de personnes ont déclaré avoir été victimes d'abus sexuels au sein de l'Eglise. Le cabinet d'avocats a reçu l'autorisation du barreau de Gand pour l'introduction d'une plainte collective.

    L'objectif de la plainte est dans un premier temps de faire reconnaître la responsabilité des évêques belges, de l'Eglise belge et du Saint-Siège dans ces affaires.

    Nous ne connaissons pas les termes de cette plainte déposée devant une juridiction civile. A priori il convient de remarquer que l’immunité  judiciaire dont bénéficie le Saint-Siège est un obstacle à la recevabilité de l’ assignation de celui-ci. Sur le fond, il faudrait aussi démontrer la faute ainsi qu’ un lien de causalité entre l’attitude présumée fautive du Vatican, des évêques (et des supérieurs majeurs des ordres religieux s’ils sont inclus dans cette plainte) et les dommages moraux ou corporels causés aux victimes par des clercs abuseurs : il n’y a pas de faute présumée, sauf à appliquer l’article 1384 du code civil qui concerne les « maîtres et commettants » d’un  subordonné agissant dans le cadre de sa fonction. Jusqu’ici la jurisprudence belge n’a jamais reconnu l’existence d’un tel lien de subordination entre un clerc et son évêque ou son supérieur, ni a fortiori le Saint-Siège…

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique du 15 septembre

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    images (4).jpgBulletin de l'IEB - 15 septembre 2011

    Sommaire

  • Le patrimoine religieux objet de concupiscences socialistes ?

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    Ce Communiqué de presse émanant du PS, transmis par l'Attachée de presse du Groupe PS au Parlement wallon ; Parlement de la Communauté, n'est pas sans arrière-pensées :

    "La Présidente du groupe PS au Parlement wallon, Isabelle Simonis : "restaurons et réaffectons nos églises classées en Wallonie"

    Parmi les 2.800 biens classés en Wallonie, plus de 700 sont destinés à l'exercice d'un culte, avec les répercussions financières que l'on sait sur les pouvoirs publics tant régionaux que locaux. 380 églises sont classées comme monuments et 200 chapelles bénéficient de la même protection. Parmi ces 380 églises protégées, 38 sont sur la liste du Patrimoine exceptionnel de Wallonie.

    A côté de ces monuments faisant l'objet d'une mesure de protection, s'ajoutent les édifices non classés, afférents également au culte catholique, qui se chiffrent à plus de 1.900 en Wallonie. En vingt ans, 120 millions d'euros ont été investis dans ces monuments classés. Pour l'année 2010, près de 5 millions d'euros ont été exclusivement consacrés à la restauration des édifices classés ouverts au culte.

    Rien qu'en citant ces chiffres impressionnants, on comprend les enjeux majeurs qui se trouvent derrière l'entretien de ces biens. Comment les pouvoirs publics et les établissements cultuels vont-ils faire face aux coûts d'entretien et de grosses réparations de ces édifices ? Le tout dans un contexte de déclin des pratiques religieuses.

    Soucieuse du problème, la Présidente du groupe PS au Parlement Wallon, Isabelle Simonis, vient de déposer, avec le député wallon Daniel Senesael, une proposition de décret visant à réaliser un cadastre des monuments classés affectés à l'exercice d'un culte en Région wallonne. Le but : disposer d'une photographie de la situation existante et d'une base objective nécessaire à toute décision raisonnée, tant en termes de restauration que de réaffectation.

    Isabelle Simonis et Daniel Senesael considèrent que les biens classés doivent être évalués sur des critères liés à leur état de conservation ainsi qu'à leur taux de fréquentation. Ainsi, les autorités compétentes disposeront d'un outil de choix afin d'opérer une planification des travaux de conservation et de restauration et de mener une réflexion concertée sur le devenir des édifices relevant de l'exercice d'un culte. Il s'agit donc avant tout de mener une réflexion sur le devenir des édifices de culte et sur leur éventuelle nouvelle affectation, sans remettre en cause l'opportunité d'octroi des subsides qui est acquise, s'agissant de monuments classés."

  • Installation du Chanoine de Beukelaer comme curé-doyen au centre de Liège

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    Nous prenons connaissance de ce COMMUNIQUE DE PRESSE :

    Liège – Installation du chanoine Eric de Beukelaer comme curé-doyen au centre de Liège. Ce samedi 24 septembre à 16h30, en la collégiale Saint-Jacques, Mgr Aloys Jousten, évêque de Liège, installera officiellement l’abbé Eric de Beukelaer comme curé de l’Unité pastorale Saint-Lambert (cœur de Liège), ainsi que comme doyen de Liège rive-gauche. L’évêque lui confiera donc la tâche d’être le responsable pastoral des églises du centre de Liège (Saint-Jacques, Saint-Christophe, Saint-Denis, Sainte-Catherine, Saint-Jean et Saint Barthélemy) – qui forment l’Unité pastorale « Saint-Lambert-au-cœur-de-Liège ». L’abbé de Beukelaer ne fera donc pas tout, tout seul : il travaillera en équipe avec les nombreuses communautés de catholiques qui y vivent : dominicains, San Egidio, bénédictines… ainsi que tous les paroissiens. En le nommant chanoine (prêtre attaché à la cathédrale), Mgr Jousten souligne, en outre, la place centrale qu’occupe la cathédrale au cœur de la cité ardente. Comme doyen, Eric de Beukelaer aura pour mission d’accompagner et de coordonner les autres unités pastorales de la rive gauche de Liège.

  • Ouf ! et reprenons tous en choeur (Leterme y compris) : "Bloei, o land, in eendracht niet te breken..."

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    armoiries_royales.jpgSans être encore vraiment sortie de l'impasse, il semble que la Belgique ait évité la crise majeure et l'éclatement que d'aucuns jugeaient inéluctable. Tout n'est pas gagné comme vous le découvrirez dans la "presse généraliste", mais le pire a pu être évité cette nuit avec un nouveau compromis sur cette pomme de discorde que représente la scission de l'arrondissement de Hal Vilvorde : une scission que les partis flamands ont enfin obtenue tandis que les francophones se consolent avec diverses garanties qui leur ont été octroyées.

    Cela démontre que par delà les clivages lingistiques et communautaires et malgré les intérêts contradictoires des partis engagés dans la négociation, personne n'a voulu endosser la responsabilité de mettre fin à l'existence du pays et que l'on s'est rendu compte que l'on ne pouvait en courir le risque dans les circonstances que l'Europe traverse actuellement avec les menaces qui pèsent sur son économie et sa monnaie.

    Et pour ceux qui trouvent que le maintien de la Belgique est une mauvaise solution, la démonstration est faite qu'on n'en a pas de meilleure. Il reste maintenant à voir si nos tristes politiciens vont se mettre d'accord sur les autres points de la négociation mais il semble que le plus dur soit fait.

    Quant à nous qui sommes convaincus du bienfait que représente une Belgique solidaire et qui pensons que toutes ces réformes et tous ces compromis constituent un mauvais chemin qu'il faudra rebrousser tôt ou tard, il nous reste à travailler pour convaincre les citoyens lambda du bienfait que représente l'existence de la Belgique. Cela suppose qu'on apprenne à se rencontrer, à comprendre (au moins passivement) la langue de l'autre, à développer les complémentarités trans-linguistiques (scaldiennes à l'ouest, entre Liège, le Limbourg et Anvers par ailleurs, etc.).

    On peut rêver aussi d'un vrai fédéralisme qui ne soit pas un fédéralisme de division et de dissociation, mais d'un fédéralisme d'union entre une multiplicité d'entités fédérées comme dans tout état fédéral digne de ce nom : pourquoi pas un fédéralisme unissant des provinces, voire des arrondissements? Mais pour cela, il nous faudrait une autre classe politique, non pas constituée de gens qui défendent d'abord les intérêts de leurs partis respectifs, mais des gens capables de se hisser au niveau de l'intérêt commun et des conditions nécessaires au bien-être de tous les citoyens de "ce pays".

  • Refusons, sous le couvert de l'instauration d'un cours d'éducation sexuelle dans nos écoles, le dévoiement de nos enfants

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    C'est ici, dans la Libre : http://www.lalibre.be/actu/belgique/article/685106/imposer-des-cours-d-education-sexuelle-a-l-ecole.html et vous pouvez participer à un sondage sur le sujet. (Nos adversaires se sont déjà mobilisés de façon efficace.)

    Il faut bien se rendre compte que l'introduction de tels cours, imposés dans les écoles, constituerait un véritable endoctrinement de nos enfants, banalisant les pratiques sexuelles dès le plus jeune âge. On se rend compte, en lisant ce genre de littérature, qu'il ne s'agit évidemment pas d'éduquer à une vie affective et amoureuse dans le respect de son corps, du corps de l'autre, et en développant le sens des responsabilités. Il s'agit, au contraire, d'initier les jeunes à des pratiques sexuelles, à des techniques de contraception, etc., qui leur permettront de suivre leurs pulsions sans la moindre référence à des valeurs éthiques en vue de constituer des couples durables et des familles équilibrées. La masturbation, l'amour libre, les relations homosexuelles, le recours à l'avortement, ... tout cela fait partie de ce que ces centres de planning familial proposent aux jeunes dans le cadre des informations qu'ils diffusent, et l'on voit bien où ce laxisme généralisé conduit notre société.

    Enfin, il faut que soient respectés les choix éducatifs des familles et que l'on ne vienne pas torpiller à l'école les valeurs que les parents responsables s'efforcent de transmettre à leurs enfants.

  • C'était le 4 septembre : la fête des familles à Koekelberg

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    C'est sur le site de l'Eglise catholique de Bruxelles :

    La basilique de Koekelberg a accueilli de nombreuses familles, le 4 septembre 2011. En ce 23ème dimanche ordinaire, Monseigneur André-Joseph Léonard a présidé la première messe des familles du diocèse de Malines-Bruxelles. Nombreux sont les chrétiens à avoir répondu à l’invitation de Mgr Léonard. La fête des familles commence dès 15h00. Plusieurs activités ont lieu sur le parvis de la basilique. Une septantaine d’associations sont présentes. À l’intérieur de l’édifice, des prêtres proposent le sacrement de réconciliation.

    Familles et prêtres
    La messe débute à 16h00. L’Archevêque de Malines-Bruxelles remercie les familles d’être présentes en si grand nombre, car lorsque « les familles vont mieux, les prêtres vont mieux. Et, quand les prêtres vont mieux, les familles vont mieux ». À ses côtés, Mgr Jean-Luc Hudsyn (Évêque auxiliaire du Brabant wallon) et le vicaire épiscopal pour Bruxelles, Herman Cosijns (curé-recteur de la basilique de Koekelberg). Le Cardinal Danneels est également présent. Les thèmes du couple, de la sexualité et du corps sont abordés par Mgr Léonard. « L’Église et le monde ont besoin de votre témoignage, explique-t-il, de la superbe beauté de l’amour humain. »
    Durant la célébration, les couples sont invités à renouveler le Oui de leur mariage. Par après, les femmes enceintes ainsi que les enfants nés récemment ont la possibilité de recevoir une bénédiction. La première fête des familles du diocèse de Malines-Bruxelles s’achèvent dans la joie et la bonne humeur. Les activités continuent devant la basilique. Cette première édition est une réussite !

    Marie Pulinckx

    Pourrions-nous avoir le texte de l'homélie prononcée par notre archevêque à cette occasion?

  • Monsieur Leterme, un peu d'héroïsme que diable !

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    Monsieur le Premier Ministre,

    Ainsi, il paraît que vous voulez nous quitter pour devenir secrétaire-adjoint de l'OCDE, poste auquel vous entreriez en fonction au mois de décembre prochain. Même si, on peut vous l'accorder, vos confrères politiciens font preuve de stupidité et d'absence totale de sens du bien commun, pouvez-vous ainsi quitter la barre d'un navire qui risque de s'échouer pour de bon? Dans les circonstances que traverse la Belgique, l'Europe, le monde, est-ce bien le moment de se débiner et d'opter pour une fonction sans doute plus gratifiante mais où votre présence est nettement moins indispensable? Nous vous sommes évidemment reconnaissants d'être resté au poste pendant tous ces mois écoulés et durant lesquels nos politiciens ont donné au monde le spectacle surréaliste d'une crise interminable et toujours non résolue. Grâce à vous, nous avons vécu une période de tranquillité au point de penser que la formule idéale serait de gérer les affaires courantes et d'interdire aux politiciens d'aborder l'"institutionnel". Aujourd'hui, nous nous rendons compte que le bloquage est complet : les partis autour de la table craignent de perdre la face et surtout de perdre des électeurs : le MR appréhende de perdre son électorat FDF, le CDNV ne veut pas risquer de voir son aile nationaliste le quitter au profit de la NVA...

    Alors, qu'est-ce qui prévaut d'abord? Allez! Un effort! Un peu de sens du sacrifice, et votre nom restera dans l'histoire comme celui d'un homme qui aura sauvé ce pays de l'éclatement.

  • Conférence à l'occasion du 30e anniversaire de l'encyclique 'Laborem exercens'

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    images.jpg"Le travail humain est une clé, et probablement la clé essentielle, de toute la question sociale, si nous essayons de la voir vraiment du point de vue du bien de l'homme. Et si la solution (...) de la question sociale, (...) doit être cherchée dans un effort pour «rendre la vie humaine plus humaine» , alors précisément la clé qu'est le travail humain acquiert une importance fondamentale et décisive." Laborem exercens

     A l'occasion du 30e anniversaire de l'Encyclique sociale Laborem Exercens

    vous êtes invités à assister à une Conférence

     LABOREM EXERCENS

    La place centrale du travail dans l’économie sociale de marché européenne

    Mercredi 21 septembre 2011

    14h30 - 17h30

    au Parlement européen, salle JAN 2Q2

    Conférence présidée par

    M. le Député Othmar Karas, Vice-Président du Groupe PPE

    M. le Député Gianni Pittella, Vice-Président du Parlement Européen, Groupe S&D

    Intervenant principal

    Cardinal Peter Turkson,

    Président du Conseil pontifical "Justice & Paix"

    Interprétation simultanée en anglais, français, allemand, italien, espagnol

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  • Journées du Patrimoine : investir dans le durable

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    P2220093.JPGDans le dernier numéro de l’hebdomadaire « Famille Chrétienne », Aymar Pourbaix écrit à propos des « Journées du Patrimoine » qui se développent un peu partout en Europe : « Le succès des journées du patrimoine ne se dément pas. Mais suffit-il de le restaurer pour préserver le bâti religieux ? Que seraient ces pierres sans la foi qui leur donne une âme ? contempler la richesse de notre patrimoine, en particulier religieux, ne suffit pas. L’avenir de toutes ces vieilles pierres n’a finalement qu’un intérêt limité, car après tout, le véritable temple n’est-il pas spirituel, et la véritable adoration, « en esprit et en vérité » ? La question n’est pas anodine, quand beaucoup de nos églises sont laissées à l’abandon, voire recyclées en musée, en discothèque, ou tout simplement détruites parce que trop coûteuses à entretenir (…). Il existe aujourd’hui de multiples initiatives pour faire vivre ce patrimoine religieux, et il faut les soutenir. Mais le faire vivre, c’est aussi visiter ces églises pour y prier, pour y adorer, pour y recevoir les sacrements, pour y lire le mystère de notre foi par les tableaux, les vitraux, les sculptures ». L’article est ici : Journées du patrimoine : investir dans le durable

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  • Chronique d'un dimanche ordinaire (le 24ème)...

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    Pluie et grisaille ; dans l’église, les fidèles têtes chenues, et quelques autres (souvent noires, celles  de frères africains) sont là, comme d’habitude. Il fait sombre et tout paraît terne.

    Le prêtre fait son office, invité par le curé de l’unité pastorale à un dépannage qui nous épargne une ADAP. Il fait son job honnêtement, comme un bon préposé, même s’il nous ressort, grosso modo, l’homélie prononcée lors du dernier dépannage. Les lectures sont fortes mais on dirait que tout est fait pour en atténuer la portée ; c’est une prouesse parce que, quand même, être invité à pardonner 77 fois 7 fois, ce n’est pas ordinaire ! Et être appelé par saint Paul à vivre et mourir avec le Seigneur, ce n’est tout de même pas si évident. Mais qu’importe, le prédicateur nous invitera à être des « producteurs de transcendance » comme ces enfants, lors d’une émission culinaire, qui ne se résignent pas à la mort du lapin que l’on va mettre à la casserole sans entourer cet évènement d’une symbolique à même d’en souligner la gravité…

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