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Idées - Page 115

  • "Le Gender démasqué" sorti en librairie sera envoyé à 1000 leaders d'opinion français

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    Nouveau succès de mobilisation chez nos amis français; Dieu sait qu'on les envie!

    Thierry Boutet, directeur des publications l'AFSP se réjouit: son objectif est atteint grâce aux dons effectués par les amis de l'Association pour la Fondation de Service Politique.

    "...Le livre d’Elizabeth Montfort « Le Gender démasqué » sort aujourd’hui en librairie.

    1000 de ces livres seront expédiés dès demain  aux élus, parlementaires, ministres, responsables politiques et leaders d’opinions. 1000 leaders d’opinion vont enfin pouvoir se faire une juste idée des conséquences de l’arrivée du « Gender » dans notre société.

    Et nous allons encore plus loin : Mardi 25 octobre, sur ce même thème, nous organisons une grande Conférence de Presse à l’Assemblée Nationale, avec le concours du député de la Drôme Hervé Mariton. A cette occasion, 300 députés et sénateurs recevront le livre d’Elizabeth Montfort.

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  • Les PRINCIPES NON NEGOCIABLES

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    Il est de plus en plus fréquent d'invoquer "les principes non négociables" que les catholiques, mais aussi les non-catholiques, ne devraient jamais perdre de vue dans leur engagement dans la Cité. Ces trois principes ont été mis en avant dans le dicours que le pape Benoît XVI a adressé aux participants d'un Congrès promu par le Parti Populaire Européen, le 30 mars 2006. Il s'agit du

    • respect de la vie
    • respect de la famille
    • respect des parents à l’éducation de leurs enfants

    Eminents Parlementaires,
    Mesdames et Messieurs,

     

    Je suis heureux de vous recevoir à l’occasion des Journées d’étude sur l’Europe, organisées par votre groupe parlementaire. Les Pontifes romains ont toujours accordé une attention particulière à ce continent. L’audience d’aujourd’hui le démontre une nouvelle fois, et s’inscrit dans une longue série de rencontres entre mes prédécesseurs et les mouvements politiques d’inspiration chrétienne. Je remercie M. Pöttering des paroles qu’il m’a adressées en votre nom, et je lui présente, ainsi qu’à chacun de vous, mes cordiales salutations.

    Actuellement, l’Europe doit faire face à des questions complexes de grande importance, telles que la croissance et le développement de l’intégration européenne, la définition toujours plus précise de politiques communes au sein de l’Union et le débat sur son modèle social. Pour atteindre ces objectifs, il sera important de s’inspirer, avec une fidélité créative, de l’héritage chrétien qui a apporté une contribution tout à fait particulière à la formation de l’unité de ce continent. En tenant compte de ses racines chrétiennes, l’Europe sera capable de donner une orientation sûre au choix de ses citoyens et de ses peuples, elle renforcera sa conscience d’appartenir à une civilisation commune et elle consolidera l’engagement de tous dans le but de faire face aux défis du présent en vue d’un avenir meilleur. Par conséquent, j’apprécie la reconnaissance accordée par votre groupe à l’héritage chrétien de l’Europe, qui offre de précieuses orientations éthiques dans la recherche d’un modèle social qui réponde de manière adéquate aux questions posées par une économie déjà mondialisée et par les mutations démographiques, en assurant la croissance et l’emploi, la protection de la famille, l’égalité des chances pour l’éducation des jeunes et la sollicitude pour les plus pauvres.

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  • Un pays en pleine déchéance

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    Il est de plus en plus désespérant d'habiter ce pays. La mesquinerie linguistique hypothèque le "vivre ensemble" et accapare les énergies des politiques alors qu'il y a tant d'autres urgences. L'économie belge est menacée par les agences de cotation qu'inquiète notre instabilité chronique. L'immigration massive déstabilise peu à peu certaines régions. L'insécurité gagne du terrain et les actes d'incivilité deviennent monnaie courante.

    Mais ce qui nous inquiète le plus, c'est que, dans notre pays, aucun homme ou femme politique ne se fait entendre pour défendre les valeurs non négociables : le respect de la vie humaine de la conception à la mort naturelle, la défense de la famille fondée sur l'union entre un homme et une femme et ouverte à l'accueil de la vie, la liberté d'éducation où les parents sont considérés comme les premiers responsables de l'éducation de leurs enfants. Alors qu'en France, en Italie (même à gauche), en Espagne... des hommes politiques relaient ces valeurs, nous n'en trouvons aucun chez nous. C'est comme si notre pays avait contracté une espèce de sida mental et était devenu incapable de résister à toute forme de mal susceptible de dégrader le climat politique, social, culturel et moral. Toute voix qui se ferait entendre pour contester ce processus de délitement généralisé est aussitôt dénoncée, stigmatisée, condamnée sans appel.

    Au milieu de ce processus de dégradation, l'Eglise ne fait malheureusement pas exception. Ses institutions ("piliers") ne sont plus chrétiennes que de nom, ses pasteurs sont muets; seuls sont entendus ceux qui contestent l'institution et se singularisent par des prises de position subversives. Mgr Léonard est le seul qui ose faire entendre un discours différent mais on voit le sort qui lui est réservé tandis que ses confrères restent "planqués". Ce qui arrive à notre archevêque confirme étrangement les théories de René Girard selon lesquelles une société en proie à tous les facteurs de dissociation peut tenter de retrouver une cohérence en se réunissant dans le même rejet du bouc émissaire.

  • De Duve : de l’art d’amalgamer les choses

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    pict_367494.jpgGuy Duplat, un ex du « Soir » passé à sa consoeur « La Libre » a eu ce week-end un coup de cœur pour la pensée « humaniste » de Christian de Duve, professeur émérite (94 ans) de biochimie à l’Ucl.

    Ce dernier, ancien prix Nobel de médecine (1974), ne s’est en effet pas contenté de découvrir les structures du lysosome et du peroxysome  mais il a consacré (voici deux ans) un livre à la « génétique du péché originel » (sic) : nous y apprenons, paraît-il, que la sélection darwinienne a amené au triomphe de l’homme, par son intelligence mais aussi par sa particularité de protéger son groupe tout en étant fort agressif vis-à-vis de l’Autre. Mais cette particularité de nos gènes qui fit son succès devient sa condamnation, conduisant à une Terre surpeuplée, dévastée, annonçant des conflits dramatiques. Conclusion : « nous avons  besoin d’un urgent sursaut mondial qui passerait par des mesures antidémographiques et un message nouveau qui lutterait contre celui, agressif, de nos gènes ».

    L’éminent biochimiste propose aujourd ‘hui le remède dans un « surprenant » petit livre paru chez Odile Jacob "De Jésus à Jésus en passant par Darwin ». Attention : « Pas le Christ qui parle "en vérité", ni celui qui captive par des "miracles". Non, de Duve apprécie l’homme Jésus, le philosophe qui s’élève contre les rejets, les dogmatismes, les exclusions. Il parle aussi d’un message à dégager de toute l’interprétation qu’en a fait l’Eglise dont il dénonce aujourd’hui, à côté de prêtres remarquables, "un petit cénacle autoperpétué de vieillards célibataires et misogynes, engoncés dans leur pourpre, leurs rites, leurs certitudes et leur présomption de légitimité". La réaction, continue-t-il, ne viendra pas des Eglises, mais bien de la base, des croyants comme des libres-penseurs de toute obédience qui peuvent pousser ce message-là de Jésus. De Duve est-il croyant ? Dans un chapitre, il dit croire en la méthode scientifique et ses résultats, mais aussi dans une "ultime réalité qui nous touche par l’émotion artistique ». Le tout ici : De Duve en appelle au message de Jésus

    Prix Nobel de médecine peut-être, pas de philosophie ni de théologie. Que d’indigence et d’amalgames. Une belle application du principe de Peter.

  • Vatican II continue de susciter de vifs débats

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    C'est Sandro Magister qui en rend compte sur www.chiesa.espressonline.it

    "Le cardinal Cottier, le juriste Ceccanti, le théologien Cantoni défendent les nouveautés de Vatican II. Mais les lefebvristes ne cèdent pas et les traditionalistes accentuent leurs critiques. Les derniers développements d'une controverse enflammée. La controverse relative à l'interprétation du concile Vatican II et aux changements dans le magistère de l’Église a connu de nouveaux développements ces dernières semaines, y compris à haut niveau..."

    Découvrir la suite ici : http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/1349865?fr=y

  • Les indignés : conformistes, contradictoires et sélectifs

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    Dans "Valeurs Actuelles", le 29 septembre dernier, Chantal Delsol proposait son analyse sous le titre "Si conformes “indignés”

    "... Les “indignés” ressemblent très peu à leurs parents soixante-huitards. Ils sont souvent chômeurs ou intermittents. Leur stabilité dans la vie est aléatoire, qu’il s’agisse des sentiments ou de la profession. Ils ont peu de projets à long terme, peu d’ambition. Ils ne rêvent pas de s’enrichir, car ils ont eu dans leur enfance à peu près tout ce que l’on peut désirer...
    Les indignations des “indignés” sont à la fois contradictoires et sélectives. Où l’on peut repérer à la fois leur multiplicité et leurs tendances. Mais dans l’ensemble, ils sont terriblement les fils de leur temps, et si politiquement corrects que peu de médias les désavoueraient. Ils réclament à la fois un État très providentiel, distributeur de prestations et de nouveaux droits créances, et le retrait des avantages des fonctionnaires ; ou bien, le développement des services publics et la fin de la dette… Ils récusent les centrales nu­cléaires et la corruption politique, les désastres écologiques. Ils réclament des droits pour l’animal. Ils sont tellement comme tout le monde que, sur la place de la Bastille, ils brandissent une pancarte “L’alcool non merci”, et à Madrid finissent par se dissoudre dans les procès pour harcèlement sexuel… tout cela est si peu original, si “comilfo”, si désespérément conforme ! ..."

    Lire la suite ici : http://www.valeursactuelles.com/

  • Un aveu inédit de l'abbé Pierre, sur les droits de l'homme

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    abbe-pierre1.jpgDepuis mon adolescence, je n’ai pu me retenir de colère, le plus souvent, beaucoup trop souvent gardée au fond du cœur et non exprimée (à la fois sans doute par manque de courage mais aussi par timidité, par sentiment d’incompétence face à d’illustres « experts », politiques, moralistes ou juristes), je n’ai pu m’empêcher de ressentir jusqu’à la colère l’évidence de l’absurdité de prétendre espérer le respect de ces droits du seul fait de leur « proclamation », puis de leur abandon aux fragiles arbitraires et de gouvernants et d’opinions publiques incapables, pour le plus grand nombre, de dire tout simplement « pour quoi être homme »?

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  • Entre catholiques et musulmans : un rapprochement dicté par la nécessité ?

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    « Bon carême » m’a dit un jour avec un grand sourire une collègue musulmane visiblement ravie de découvrir qu’un Gaulois pouvait s’astreindre lui-aussi à ce qui ressemblait pour elle à un ramadan chrétien. « Bonne Pâque » m’a dit une autre un peu après qui, à défaut d’en connaître la signification, l’avait identifié comme l’équivalent de l’Aïd el Fitr, la fête de clôture du ramadan. Et quand elles ont découvert que je faisais le pèlerinage des maris et des pères de famille, là aussi ça leur a parlé ! Ces petits signes de connivence, discrets dans un univers professionnel hostile à toute expression du fait religieux, sont révélateurs d’une recomposition des clivages au sein de notre société qui, pour être discrète n’en est pas moins irréversible. Comme la tectonique de plaques...

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  • Pour nos amis français : "Les enjeux sociétaux des élections de 2012"

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    Mercredi 19 octobre 2011
    Paris, Espace Bernanos, 19h-20h30

    Table ronde

    Les enjeux sociétaux des élections de 2012
    Vie, éthique, travail...

    Le Sénat qui bascule à gauche, la primaire socialiste, le retour des grèves, la campagne des élections de 2012 est lancée. Les candidats s’affronteront dans les discours sur la gestion de la crise, mais affronteront-ils l’essentiel ? Les principes fondateurs de la société ? Le sens de la vie, de la mort, de la liberté ? Les valeurs qui créent l’unité d’un peuple ? La cohérence morale des élus ?
    Le poids pris par les enjeux sociétaux donne pourtant la clé d’une élection réussie. Quels seront ces enjeux en 2012 ? Éducation, famille, bioéthique, santé, travail, drogue, pornographie, liberté religieuse… Ce sont ces questions qui façonneront la société de demain, et qui d’une certaine manière orienteront l’économie…

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  • La fin du capitalisme ?

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    C'est en ligne sur le site du Vif (les entretiens du Vif) :

    "Paul Jorion : "Sans révolution, ce sera la chute de l'Empire romain"

    Considéré comme un gourou de l'économie sur Internet, il avait prédit, dès 2004, avec une précision étonnante, la crise des subprimes. Ce fils d'un haut fonctionnaire belge socialiste (tendance chrétienne) a été trader dans une banque française, avant de s'installer aux Etats-Unis, en 1998, où il est devenu expert dans la validation des modèles financiers. Ayant quitté le monde bancaire, il vit aujourd'hui en Bretagne. Ami de Jacques Attali, il est également reçu à l'Elysée. Depuis quatre ans, son blog fait mouche et connaît un succès retentissant : cet anthropologue parvient même à en vivre grâce aux contributions des internautes. Dans son dernier ouvrage, il prédit la fin du capitalisme, remettant en question des dogmes qui perdurent depuis plus d'un siècle. Forcément et nécessairement dérangeant...."

    Découvrir ici la suite de cet article interpellant : http://www.levif.be

  • Assise 2011 : Benoît XVI va-t-il remettre les pendules à l’heure ?

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    La commémoration du 25e anniversaire du grand pow-wow interreligieux initié par Jean-Paul II, c’est dans moins de trois semaines, le 27 octobre. Sur son blog, Jean-Marie Guénois, rédacteur en chef adjoint du Figaro note :

    Basilica_nella_nebbia._Assisi_1957.jpg« Regardant vers le clocher de Saint François beaucoup se réjouissent de voir Benoît XVI emboiter "enfin" le pas de son prédécesseur sur le chemin ardu du dialogue interreligieux.

    Mais pointant vers le même phare de pierres blanches d'autres formulent des critiques acerbes. Notamment dans les milieux intégristes pour lesquels il est "sacrilège" de voir le Pape s'abaisser au niveau des autres religions.

    On ferait toutefois bien de se méfier du cru Assise 2011. Tel un vin affiné par la maturation du temps, il va surprendre.

    Les uns pourraient être fort déçus par la prudence de Benoît XVI sur le dialiogue interreligieux, en tant que tel. Dialogue sympathique dans son esprit mais sans issues théologiques sérieuses.

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  • La culture rock, un anti-culte ?

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    « La musique « rock » et ses dérivés, en particulier aujourd’hui la techno, qui sont les vecteurs de passions élémentaires et qui, dans les grands festivals, développent un caractère culturel, jouant même le rôle d’un anti-culte par rapport au culte chrétien. Pris dans le mouvement de la foule, soumis à l’ébranlement du rythme, du bruit et des effets de lumière, les participants se sentent pour ainsi dire libérés d’eux-mêmes. Dans l’extase provoquée par l’annihilation de toute barrière et la chute de toute inhibition, ils déchaînent en quelque sorte les forces élémentaires de l’univers, dans lesquelles ils finissent par se faire engloutir »

    C'est à découvrir sur citeetculture.com; fil des septs contributions sur ce sujet : http://www.citeetculture.com/categorie-12048726.htm