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Idées - Page 113

  • La légende noire de l'histoire de l'Eglise

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    Que de fois il ne nous faut pas entendre répéter les mêmes poncifs contre l'Eglise, ressassés par les médias, et qui servent si souvent d'alibis ou de prétextes aux reniements et aux abandons. L'histoire de l'Eglise est très souvent invoquée par des gens qui ne la connaissent pas vraiment mais qui brandissent l'arsenal habituel: croisades, cathares, inquisition, Galilée, Pie XII, etc. Dan Brown (comme de nombreux autres) fait ses choux gras de cette légende noire et beaucoup de gens prennent cela pour argent comptant. Peu de sites, sur l'internet, fournissent des données historiques fiables pour faire la part des choses et rendre justice au rôle positif que l'Eglise a joué à travers notre histoire. Un site fournit une synthèse honnête même si, à nos yeux, certains points mériteraient d'être nuancés, notamment en ce qui concerne l'histoire récente :

    "Appréhendons d'abord l'Église comme une réalité historique. Cette institution, vieille de 2000 ans, est parvenue jusqu'à nous à travers de nombreuses vicissitudes où le meilleur a coexisté avec le moins bon. Retenons d'abord le meilleur, ce n'est que justice, car nous risquons de l'oublier. Mais nous reviendrons sur le moins bon aussitôt après. Il nous faut aussi prendre conscience que les Français (toujours eux! ndbelgicatho) d'aujourd'hui sont souvent habités par une sourde agressivité à l'égard de l'Église catholique, tout simplement parce que celle-ci a été prépondérante en France (comme chez nous, ndB.) pendant des siècles, qu'elle a exercé une forte influence sur le pouvoir politique et qu'elle a donné prise à l'accusation de cléricalisme.

    Nos commentateurs (de plus en plus nombreux et de plus en plus intéressants) sont invités à nous faire part de leurs réactions sur notre site...

  • Monseigneur Rey, un évêque entreprenant et atypique

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    Nous trouvons ici ces extraits d'un article de l'Homme Nouveau consacré à l'évêque de Fréjus-Toulon :

    "L’Homme Nouveau a tracé un portrait de Mgr Dominique Rey, évêque actuel du diocèse de Fréjus-Toulon, qui pourrait être nommé prochainement à un poste plus prestigieux :

     Mgr Rey est né à Saint-Étienne en 1952. Il a fait des études très pointues de fiscalité et d’économie (maîtrise en économie politique, doctorat en économie fiscale), et a été inspecteur des finances durant trois ans. II s’est alors orienté vers le sacerdoce et est entré au séminaire de Paris, comme membre de la Communauté de l’Emmanuel, au cours de ce qu’il est convenu de qualifier « les années de plomb ». C’est le couvent des dominicains de la rue du Faubourg-Saint-Honoré qui l’a accueilli, avec d’autres séminaristes de même « profil ». Il obtint une licence de théologie et un diplôme en droit canonique (il obtiendra plus tard un doctorat en Droit canonique) à l’Institut catholique de Paris, et a été ordonné en 1984 par le cardinal Lustiger, pour le diocèse de Paris. D’abord aumônier à Stan (le lycée Stanislas, rue Notre-Dame-des-Champs), il devint ensuite vicaire à Sainte-Marie-des-Batignolles. Puis il quitta Paris de 1986 à 1988, pour devenir supérieur des chapelains de Paray-le-Monial, sanctuaire confié à sa Communauté. Il est ensuite rappelé à Paris, pour devenir curé de la très vivante paroisse de La Trinité, elle aussi confiée à l’Emmanuel, de 1995 à 2000.

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  • Pourquoi je crois au christianisme ?

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    G.K. Chesterton, dans "Orthodoxie", répond de la façon suivante :

    La doctrine catholique et sa discipline sont peut-être des murs ; mais elles sont les murs d’une aire de jeux !

    Si on me demande, de façon purement abstraite, pourquoi je crois au christianisme, je ne peux que répondre : “J’y crois pour la même raison qu’un agnostique intelligent ne croit pas au christianisme” : j’y crois plutôt rationnellement, sur la base d’une preuve. Mais la preuve dans mon cas, comme pour notre agnostique intelligent, n’est pas réellement dans telle ou telle démonstration : c’est plutôt une énorme accumulation de petits faits allant tous dans le même sens. On ne doit pas blâmer l’homme du monde parce que ses objections au christianisme ne sont que des détails et ou parce qu’elles sont parcellaires : c’est précisément ces mêmes preuves parcellaires qui arrivent à convaincre l’esprit. Je veux dire qu’ un homme peut être moins bien convaincu d’une philosophie par quatre livres que par un livre, une bataille, un paysage et un vieil ami. Le fait que ces choses sont de nature différente renforce l’importance du fait qu’elles désignent toutes la même conclusion. Maintenant, pour lui faire justice, le non chrétien moderne d’éducation moyenne s’est presque toujours forgé une opinion à partir de ces expériences vagues mais vivantes. Je peux simplement dire que mes preuves de la véracité du christianisme sont de la même trempe que celles qui sont contre lui : vivantes et variées. Mais lorsque que je regarde ces vérité anti-chrétiennes variées, je découvre tout simplement qu’aucune d’elles n’est vraie : j’ai découvert que la véritable direction de tous ces faits part en sens opposé.

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  • Le Vatican plus à gauche qu'Obama ?

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    Sandro Magister, sur www.chiesa.espressonline.it, titre: "Occuper Wall Street". Le Vatican sur les barricades

    "À la veille du G20, le Saint-Siège appelle de ses vœux une autorité politique universelle qui gouvernerait l'économie. Pour commencer, il demande l'introduction d'une taxe sur les transactions financières

    ROME, le 24 octobre 2011 – Si l’on en croit le père Thomas J. Reese, professeur à la Georgetown University de Washington et ancien directeur de l’hebdomadaire des jésuites de New-York, "America", le document publié aujourd’hui (lundi) par le Saint-Siège "n’est pas seulement plus à gauche qu’Obama : il est également plus à gauche que les démocrates "liberal" et plus proche des idées du mouvement 'Occuper Wall Street' que de n’importe quel membre du congrès des États-Unis".

    En effet, le document publié lundi 24 octobre par le conseil pontifical Justice et Paix appelle de ses vœux l'avènement d’un "monde nouveau" qui devrait avoir comme pivot une autorité politique universelle." lire la suite ici : http://chiesa.espresso.repubblica.it/

    consulter le document en question ici : http://www.zenit.org/

  • Le pape pourrait-il sauver le monde de la crise économique ?

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    ...Le pape "ne va certes pas dicter aux spécialistes des règles miraculeuses permettant d’assainir le système monétaire et financier, voire de le reconstruire. A chacun sa spécialité. La sienne, c’est de faire connaître aux hommes un être, à la fois humain et divin, qui s’est identifié à la vérité. C’est de faire connaître un livre, la Bible, qui montre comment les hommes ont pris progressivement conscience du respect qu’ils se doivent les uns aux autres comme enfants d’un même Père. Or le respect du prochain, l’amour du prochain, requièrent la recherche de la vérité. Il se trouve que le Pape actuel, Benoit XVI, a justement écrit un beau texte à ce sujet : « La charité dans la vérité ».

    Jésus, et les Papes qui lui ont été fidèles, n’ont jamais rien imposé : le respect de la liberté de l’homme est un principe pour lequel Jésus a accepté le supplice de la Croix. Mais ils proposent aux hommes une forme de changement qui vient de l’intérieur : la conversion. Le monde de la finance a besoin de se convertir."

    Cet extrait d'une note parue sur Atlantico.fr sous la plume du trés sérieux Jacques Bichot montre que l'éclairage de la doctrine sociale de l'Eglise sur l'économie mériterait d'être davantage connu et médité.

  • Mais qui sont ces "indignados" ?

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    Dans la Bussola Quotidiana, Massimo Introvigne, propose cette analyse publiée en français sur le site de notre amie Béatrice (14/X/2011) :

    "Mais qui sont les "indignados" qui descendent dans la rue en Espagne, en Grande-Bretagne, aux Etats-Unis, en Italie et dont la protestation semble être impossible à arrêter?
    Le nom provient d'une brochure publiée en 2010 par un petit éditeur, en France (Indigènes, éditions de Montpellier) qui est devenu un succès mondial, "Indignez-vous! (Pour une insurrection pacifique)" - le livre a été traduit en italien, mais apparemment dans toutes les langues! - du vieil (93) ancien militant de la Résistance française, Stéphane Hessel, ambassadeur et politicien. Ce nouveau «livre rouge» d'une révolution bricolée est largement surestimé. Hessel attaque ce qu'en Italie nous appelions la «caste» (ndt: j'hésite à trouver un équivalent français, cer l'"établissement" est trop connoté!) - politiques, industriels, Église -, mais ses détracteurs soulignent qu'il en a toujours fait partie. Et son lien politique avec Dominique Strauss-Kahn est devenu une source d'embarras après les incidents à arrière-plan sexuel impliquant l'ancien directeur général du Fonds monétaire international..."

    découvrir la suite ici : http://benoit-et-moi.fr/

  • "Le Gender démasqué" sorti en librairie sera envoyé à 1000 leaders d'opinion français

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    Nouveau succès de mobilisation chez nos amis français; Dieu sait qu'on les envie!

    Thierry Boutet, directeur des publications l'AFSP se réjouit: son objectif est atteint grâce aux dons effectués par les amis de l'Association pour la Fondation de Service Politique.

    "...Le livre d’Elizabeth Montfort « Le Gender démasqué » sort aujourd’hui en librairie.

    1000 de ces livres seront expédiés dès demain  aux élus, parlementaires, ministres, responsables politiques et leaders d’opinions. 1000 leaders d’opinion vont enfin pouvoir se faire une juste idée des conséquences de l’arrivée du « Gender » dans notre société.

    Et nous allons encore plus loin : Mardi 25 octobre, sur ce même thème, nous organisons une grande Conférence de Presse à l’Assemblée Nationale, avec le concours du député de la Drôme Hervé Mariton. A cette occasion, 300 députés et sénateurs recevront le livre d’Elizabeth Montfort.

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  • Les PRINCIPES NON NEGOCIABLES

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    Il est de plus en plus fréquent d'invoquer "les principes non négociables" que les catholiques, mais aussi les non-catholiques, ne devraient jamais perdre de vue dans leur engagement dans la Cité. Ces trois principes ont été mis en avant dans le dicours que le pape Benoît XVI a adressé aux participants d'un Congrès promu par le Parti Populaire Européen, le 30 mars 2006. Il s'agit du

    • respect de la vie
    • respect de la famille
    • respect des parents à l’éducation de leurs enfants

    Eminents Parlementaires,
    Mesdames et Messieurs,

     

    Je suis heureux de vous recevoir à l’occasion des Journées d’étude sur l’Europe, organisées par votre groupe parlementaire. Les Pontifes romains ont toujours accordé une attention particulière à ce continent. L’audience d’aujourd’hui le démontre une nouvelle fois, et s’inscrit dans une longue série de rencontres entre mes prédécesseurs et les mouvements politiques d’inspiration chrétienne. Je remercie M. Pöttering des paroles qu’il m’a adressées en votre nom, et je lui présente, ainsi qu’à chacun de vous, mes cordiales salutations.

    Actuellement, l’Europe doit faire face à des questions complexes de grande importance, telles que la croissance et le développement de l’intégration européenne, la définition toujours plus précise de politiques communes au sein de l’Union et le débat sur son modèle social. Pour atteindre ces objectifs, il sera important de s’inspirer, avec une fidélité créative, de l’héritage chrétien qui a apporté une contribution tout à fait particulière à la formation de l’unité de ce continent. En tenant compte de ses racines chrétiennes, l’Europe sera capable de donner une orientation sûre au choix de ses citoyens et de ses peuples, elle renforcera sa conscience d’appartenir à une civilisation commune et elle consolidera l’engagement de tous dans le but de faire face aux défis du présent en vue d’un avenir meilleur. Par conséquent, j’apprécie la reconnaissance accordée par votre groupe à l’héritage chrétien de l’Europe, qui offre de précieuses orientations éthiques dans la recherche d’un modèle social qui réponde de manière adéquate aux questions posées par une économie déjà mondialisée et par les mutations démographiques, en assurant la croissance et l’emploi, la protection de la famille, l’égalité des chances pour l’éducation des jeunes et la sollicitude pour les plus pauvres.

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  • Un pays en pleine déchéance

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    Il est de plus en plus désespérant d'habiter ce pays. La mesquinerie linguistique hypothèque le "vivre ensemble" et accapare les énergies des politiques alors qu'il y a tant d'autres urgences. L'économie belge est menacée par les agences de cotation qu'inquiète notre instabilité chronique. L'immigration massive déstabilise peu à peu certaines régions. L'insécurité gagne du terrain et les actes d'incivilité deviennent monnaie courante.

    Mais ce qui nous inquiète le plus, c'est que, dans notre pays, aucun homme ou femme politique ne se fait entendre pour défendre les valeurs non négociables : le respect de la vie humaine de la conception à la mort naturelle, la défense de la famille fondée sur l'union entre un homme et une femme et ouverte à l'accueil de la vie, la liberté d'éducation où les parents sont considérés comme les premiers responsables de l'éducation de leurs enfants. Alors qu'en France, en Italie (même à gauche), en Espagne... des hommes politiques relaient ces valeurs, nous n'en trouvons aucun chez nous. C'est comme si notre pays avait contracté une espèce de sida mental et était devenu incapable de résister à toute forme de mal susceptible de dégrader le climat politique, social, culturel et moral. Toute voix qui se ferait entendre pour contester ce processus de délitement généralisé est aussitôt dénoncée, stigmatisée, condamnée sans appel.

    Au milieu de ce processus de dégradation, l'Eglise ne fait malheureusement pas exception. Ses institutions ("piliers") ne sont plus chrétiennes que de nom, ses pasteurs sont muets; seuls sont entendus ceux qui contestent l'institution et se singularisent par des prises de position subversives. Mgr Léonard est le seul qui ose faire entendre un discours différent mais on voit le sort qui lui est réservé tandis que ses confrères restent "planqués". Ce qui arrive à notre archevêque confirme étrangement les théories de René Girard selon lesquelles une société en proie à tous les facteurs de dissociation peut tenter de retrouver une cohérence en se réunissant dans le même rejet du bouc émissaire.

  • De Duve : de l’art d’amalgamer les choses

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    pict_367494.jpgGuy Duplat, un ex du « Soir » passé à sa consoeur « La Libre » a eu ce week-end un coup de cœur pour la pensée « humaniste » de Christian de Duve, professeur émérite (94 ans) de biochimie à l’Ucl.

    Ce dernier, ancien prix Nobel de médecine (1974), ne s’est en effet pas contenté de découvrir les structures du lysosome et du peroxysome  mais il a consacré (voici deux ans) un livre à la « génétique du péché originel » (sic) : nous y apprenons, paraît-il, que la sélection darwinienne a amené au triomphe de l’homme, par son intelligence mais aussi par sa particularité de protéger son groupe tout en étant fort agressif vis-à-vis de l’Autre. Mais cette particularité de nos gènes qui fit son succès devient sa condamnation, conduisant à une Terre surpeuplée, dévastée, annonçant des conflits dramatiques. Conclusion : « nous avons  besoin d’un urgent sursaut mondial qui passerait par des mesures antidémographiques et un message nouveau qui lutterait contre celui, agressif, de nos gènes ».

    L’éminent biochimiste propose aujourd ‘hui le remède dans un « surprenant » petit livre paru chez Odile Jacob "De Jésus à Jésus en passant par Darwin ». Attention : « Pas le Christ qui parle "en vérité", ni celui qui captive par des "miracles". Non, de Duve apprécie l’homme Jésus, le philosophe qui s’élève contre les rejets, les dogmatismes, les exclusions. Il parle aussi d’un message à dégager de toute l’interprétation qu’en a fait l’Eglise dont il dénonce aujourd’hui, à côté de prêtres remarquables, "un petit cénacle autoperpétué de vieillards célibataires et misogynes, engoncés dans leur pourpre, leurs rites, leurs certitudes et leur présomption de légitimité". La réaction, continue-t-il, ne viendra pas des Eglises, mais bien de la base, des croyants comme des libres-penseurs de toute obédience qui peuvent pousser ce message-là de Jésus. De Duve est-il croyant ? Dans un chapitre, il dit croire en la méthode scientifique et ses résultats, mais aussi dans une "ultime réalité qui nous touche par l’émotion artistique ». Le tout ici : De Duve en appelle au message de Jésus

    Prix Nobel de médecine peut-être, pas de philosophie ni de théologie. Que d’indigence et d’amalgames. Une belle application du principe de Peter.

  • Vatican II continue de susciter de vifs débats

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    C'est Sandro Magister qui en rend compte sur www.chiesa.espressonline.it

    "Le cardinal Cottier, le juriste Ceccanti, le théologien Cantoni défendent les nouveautés de Vatican II. Mais les lefebvristes ne cèdent pas et les traditionalistes accentuent leurs critiques. Les derniers développements d'une controverse enflammée. La controverse relative à l'interprétation du concile Vatican II et aux changements dans le magistère de l’Église a connu de nouveaux développements ces dernières semaines, y compris à haut niveau..."

    Découvrir la suite ici : http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/1349865?fr=y

  • Les indignés : conformistes, contradictoires et sélectifs

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    Dans "Valeurs Actuelles", le 29 septembre dernier, Chantal Delsol proposait son analyse sous le titre "Si conformes “indignés”

    "... Les “indignés” ressemblent très peu à leurs parents soixante-huitards. Ils sont souvent chômeurs ou intermittents. Leur stabilité dans la vie est aléatoire, qu’il s’agisse des sentiments ou de la profession. Ils ont peu de projets à long terme, peu d’ambition. Ils ne rêvent pas de s’enrichir, car ils ont eu dans leur enfance à peu près tout ce que l’on peut désirer...
    Les indignations des “indignés” sont à la fois contradictoires et sélectives. Où l’on peut repérer à la fois leur multiplicité et leurs tendances. Mais dans l’ensemble, ils sont terriblement les fils de leur temps, et si politiquement corrects que peu de médias les désavoueraient. Ils réclament à la fois un État très providentiel, distributeur de prestations et de nouveaux droits créances, et le retrait des avantages des fonctionnaires ; ou bien, le développement des services publics et la fin de la dette… Ils récusent les centrales nu­cléaires et la corruption politique, les désastres écologiques. Ils réclament des droits pour l’animal. Ils sont tellement comme tout le monde que, sur la place de la Bastille, ils brandissent une pancarte “L’alcool non merci”, et à Madrid finissent par se dissoudre dans les procès pour harcèlement sexuel… tout cela est si peu original, si “comilfo”, si désespérément conforme ! ..."

    Lire la suite ici : http://www.valeursactuelles.com/