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  • Pour une Eglise papotante

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    187770_61762457656_280455_n.jpgL’agence interdiocésaine Cathobel fait la pub du Conseil interdiocésain des laïcs. En ces termes : "cela fait plusieurs années que le Conseil interdiocésain des laïcs (CIL) est engagé dans une démarche d’écoute de la base. Très vite, une convergence notable est apparue entre les différents témoignages recueillis, que ceux-ci émanent de pasteurs, de fidèles ou d’experts. Globalement, les catholiques sont plutôt insatisfaits de l’état actuel de l’Église en Belgique francophone. Et ils dénoncent des déficiences ou des dérives dans les pastorales qui y sont mises en œuvre. Le livre que le CIL vient de publier aux éditions Fidélité sur base de ce long travail d’écoute ne se contente pas de décrire ou de dénoncer ce qui ne va pas; il propose également des lignes pour l’action. Lire la dépêche entière  ici :Le CIL à l’écoute du peuple de Dieu

    Bis repetita placent : un membre de la connexion médiatique en avait déjà parlé dans « La Libre Belgique » du 11 octobre. Extraits :

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  • Loin de Rome...

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    181109_mgr_pozzo.jpgNonobstant les instructions et autres «  motu proprio » par lesquels Rome s’efforce maintenant de libéraliser l’usage de la forme traditionnelle de la liturgie, rien n’y fait : les évêques restent les maîtres absolus de celle-ci dans leurs diocèses respectifs et le font bien voir : ainsi, dans tel évêché de Belgique autrefois fort libéral à l’égard de l’usus antiquior, les choses sont paradoxalement devenues très difficiles aujourd’hui, alors que dans tel autre diocèse du même pays la situation  s’est au contraire débloquée comme par enchantement, à l’arrivée du nouvel évêque. En fait, Rome est loin et sans autorité réelle sur le terrain. En charge du dossier, sa commission « Ecclesia  Dei », même dotée de pouvoirs juridictionnels pour contraindre les récalcitrants, redoute d’affronter ceux-ci et laisse traîner les recours.

     Restent les belles paroles que l’administration pontificale s’entend à prodiguer. La Lettre de Paix Liturgique  vient, par exemple, de traduire les propos tenus récemment (3 octobre 2011)  par secrétaire de cette commission « Ecclesia Dei » , Mgr Guido Pozzo (photo) sur  Gloria TV : On peut y lire notamment ceci :

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  • Wikipedia bloque la publication d'informations scientifiques contre l'avortement

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    L'agence AICA rapporte que le site en anglais de l'encyclopédie en ligne Wikipedia a bloqué la publication d'informations scientifiques contre l'avortement, malgré les efforts persistants d'un groupe de jeunes qui ont essayé de donner aux utilisateurs l'accès aux études de sites prestigieux sur le syndrome post-avortement.

    Selon l'AICA, un groupe de jeunes étudiants universitaires du Collège  Mallinckrodt
    de Buenos Aires, motivés par la recherche au cours de biologie sur le syndrome post-avortement (SPA), a constaté que la Wikipédia anglophone, nie que la SPA soit reconnu par certaines "organisations médicales ou psychologiques et que leur risque de dépression ou de suicide n'est pas reconnu par la littérature scientifique. "

    http://www.aciprensa.com/noticia.php?n=35032

  • Apprécier les choses humaines participe à la beauté du christianisme

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    Le 25 juillet 2007, lors d'une rencontre avec des prêtres italiens, Benoît XVI a tenu des propos qui en étonneront sans doute plus d'un mais qui sont dans le droit fil de la vision catholique de l'existence où les choses d'ici-bas ont toute leur consistance :

    (ZENIT.org) – Le secret de la beauté du christianisme réside aussi dans le fait d’apprécier les choses humaines car nous vivons « les pieds sur terre et le regard tourné vers le ciel », a déclaré Benoît XVI.

    Le pape a rencontré, hier, mardi, quelque 400 prêtres des diocèses de Belluno-Feltre et Trévise, dans l’église de sainte Justine martyre, près de Lorenzago di Cadore où il poursuit ses vacances jusqu’à vendredi. Il a répondu aux questions posées par dix d’entre eux.

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  • Ce que le pape recommande aux évêques australiens

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    Le pape s'est adressé aujourd'hui aux évêques australiens séjournant à Rome:

    "Votre mission pastorale - a-t-il dit à ses hôtes - a souvent été rendue difficile par les erreurs du passé ou les manquements de certains, prêtres et religieux. Mais maintenant vous avez la charge de réparer ces fautes avec honnêteté et esprit d'ouverture, de manière à reconstruire un avenir positif pour qui a été blessé. Je vous encourage donc, en tant que pasteurs des âmes, à aller de l'avant avec vos prêtres dans l'amour de la vérité et pour le bien du troupeau qui vous a été confié. Maintenez le sain et conduisez le humblement et de manière irréprochable sur les chemins de la foi". Puis le Pape a recommandé aux évêques d'être attentifs à la liturgie: "La nouvelle traduction du missel romain, fruit de l'excellente collaboration entre Saint-Siège, évêques et experts du monde anglophone, se propose d'enrichir les louanges que son peuple adresse à Dieu. Aidez vos prêtres à accepter ce résultat positif, pour qu'ils s'adaptent à ces textes revus. Nous savons tous combien la liturgie et ses formes sont fortement inscrites dans le coeur de tout catholique. Faites donc tout votre possible pour aider aussi les catéchistes et les chorales à célébrer plus dignement le rite romain dans vos diocèses, en étant dignes du Seigneur et enrichis spirituellement". (VIS 20111020 (340)

  • Après Kadhafi, une Libye laïque ?

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    Que nenni! Le 16 septembre dernier, "Maghreb émergent" soulignait déjà le caractère islamique de la Libye après Kadhafi malgré toutes les déclarations faites à Paris par des représentants du C.N.T. pour flatter et amadouer les naïfs qui rêvent d'installer une "démocratie à la française" de l'autre côté de la Méditerranée. L'avenir nous dira si l'engagement de l'OTAN dans cette aventure douteuse fut vraiment une bonne idée.

    "Malgré leurs déclarations au printemps en faveur de l'instauration d'un régime civil, le CNT vient de confirmer que la loi islamique serait la principale source de législation en Libye. L’information ne surprendra (et ne dérangera) que les naïfs et les intrigants, pour qui il existe en Libye un courant politique d’envergure se réclamant de la laïcité à la française. Mardi 13 septembre, le président du Conseil national de transition (CNT) Mustafa Abdel Jalil a mis les choses au point. Il a ainsi confirmé que l’islam serait la principale source de législation dans la Libye post-Kadhafi. Dans le même temps, sur Al Jazeera et d’autres chaînes satellitaires arabes, plusieurs responsables du CNT ont adopté le même discours, expliquant que la Charia (la loi islamique) servirait de base à l’élaboration des nouveaux textes fondamentaux et qu’il était hors de question de mettre en place une séparation du religieux et du politique. Déjà, en août dernier, le CNT avait rédigé une ébauche de Constitution où était rappelé le caractère «arabe et musulman» du peuple libyen. Ce texte (PDF), mis en ligne par l’hebdomadaire français L’Express, affirme que la Libye «est un État démocratique indépendant où tous les pouvoirs dépendent du peuple. Tripoli est la capitale, l’Islam est la religion, la Charia Islamique est la source principale de la législation»."

    http://www.maghrebemergent.com/

     

  • "Anges et démons" sur nos petits écrans : un film cathophobe

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    Le 6 mai 2009, le Salon Beige mettait cette note en ligne sous la signature de Michel Janva :

    "Anges & Démons : un film cathophobe"

    Dans un dossier de 5 pages, L'Homme Nouveau décrypte le film Anges & démons, qui sort bientôt au cinéma. On y lit notamment cette révélation du père Bernard O’Connor, prêtre canadien qui travaille à la Congrégation pour les Églises orientales et chroniqueur régulier du magazine américain Inside the Vatican, dans lequel il a raconté être allé se mêler à l’équipe d’Anges et Démons à Rome :

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  • Les PRINCIPES NON NEGOCIABLES

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    Il est de plus en plus fréquent d'invoquer "les principes non négociables" que les catholiques, mais aussi les non-catholiques, ne devraient jamais perdre de vue dans leur engagement dans la Cité. Ces trois principes ont été mis en avant dans le dicours que le pape Benoît XVI a adressé aux participants d'un Congrès promu par le Parti Populaire Européen, le 30 mars 2006. Il s'agit du

    • respect de la vie
    • respect de la famille
    • respect des parents à l’éducation de leurs enfants

    Eminents Parlementaires,
    Mesdames et Messieurs,

     

    Je suis heureux de vous recevoir à l’occasion des Journées d’étude sur l’Europe, organisées par votre groupe parlementaire. Les Pontifes romains ont toujours accordé une attention particulière à ce continent. L’audience d’aujourd’hui le démontre une nouvelle fois, et s’inscrit dans une longue série de rencontres entre mes prédécesseurs et les mouvements politiques d’inspiration chrétienne. Je remercie M. Pöttering des paroles qu’il m’a adressées en votre nom, et je lui présente, ainsi qu’à chacun de vous, mes cordiales salutations.

    Actuellement, l’Europe doit faire face à des questions complexes de grande importance, telles que la croissance et le développement de l’intégration européenne, la définition toujours plus précise de politiques communes au sein de l’Union et le débat sur son modèle social. Pour atteindre ces objectifs, il sera important de s’inspirer, avec une fidélité créative, de l’héritage chrétien qui a apporté une contribution tout à fait particulière à la formation de l’unité de ce continent. En tenant compte de ses racines chrétiennes, l’Europe sera capable de donner une orientation sûre au choix de ses citoyens et de ses peuples, elle renforcera sa conscience d’appartenir à une civilisation commune et elle consolidera l’engagement de tous dans le but de faire face aux défis du présent en vue d’un avenir meilleur. Par conséquent, j’apprécie la reconnaissance accordée par votre groupe à l’héritage chrétien de l’Europe, qui offre de précieuses orientations éthiques dans la recherche d’un modèle social qui réponde de manière adéquate aux questions posées par une économie déjà mondialisée et par les mutations démographiques, en assurant la croissance et l’emploi, la protection de la famille, l’égalité des chances pour l’éducation des jeunes et la sollicitude pour les plus pauvres.

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  • Lettre ouverte à Mgr Jousten, évêque référendaire pour l'enseignement

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    Monseigneur,

    Depuis plusieurs jours, on n'entend plus parler que de Monseigneur Léonard, votre frère dans l'épiscopat, en raison des quelques mots qu'il a consacrés, dans les Pastoralia de Malines-Bruxelles, à des conseils pastoraux adressés aux personnes qui ne vivent pas en conformité avec les préceptes moraux de l'Eglise, en particulier dans leur situation matrimoniale. Il leur déconseille notamment d'exercer des responsabilités de directeurs dans l'enseignement catholique ou de professeurs de religion. Il n'est nulle part question de leur interdire quoi que ce soit puisque, selon la loi belge, l'Eglise n'a plus le droit d'exercer un contrôle sur l'embauche ni de renvoyer un directeur ou un professeur pour des motifs relevant de leur vie privée. Il ne s'agissait donc que de placer ces personnes face à leur conscience. Le primat de Belgique a-t-il été excessif dans la formulation de ces conseils pastoraux? Mérite-t-il d'être condamné sans appel par le Segec ou les associations de parents? A-t-il fait autre chose que de rappeler ce que n'importe quel évêque catholique est censé professer?

    Alors, comment se fait-il qu'il soit livré seul au déferlement médiatique et politique? Où sont ses frères dans l'épiscopat? Où a-t-on vu l'évêque référendaire pour l'enseignement intervenir pour assurer son confrère de son soutien et prendre fait et cause pour les positions de l'Eglise sur ce chapitre? Comment interpréter ce silence de l'épiscopat belge face à un tel acharnement?

    Au moment où le "parlement" de la "fédération Wallonie-Bruxelles" vient de condamner les propos de Mgr Léonard, nous osons espérer que ce silence n'est qu'un temps de réflexion préludant à une déclaration courageuse et que personne ne pourra interpréter cette temporisation comme une lâcheté ou une dérobade.

    C'est animés par cet espoir que nous vous adressons, Monseigneur, l'assurance de nos sentiments filiaux et respectueux,

    au nom de l'équipe de Belgicatho,

    Yves Willemaers

  • Prendre la mesure de la gravité de la situation

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    formatage-masques-malko.jpgLorsqu'on se rend sur des blogs et des sites d'information étrangers, ils ne semblent pas s'intéresser à ce qui se passe réellement chez nous et la récente affaire concernant Mgr Léonard et ses conseils pastoraux adressés aux laïcs exerçant des responsabilités au sein de l'école ne paraît pas avoir retenu leur attention. Pourtant, la situation est grave et il ne s'agit pas d'un quelconque accident de parcours.

    Si l'on devait tirer des conclusions de cette affaire, il faudrait, me semble-t-il, relever celles-ci :

    - le primat de Belgique ne dispose pas du droit à l'expression même dans le cadre d'une réflexion pastorale publiée dans une revue diocésaine; ses propos sont immédiatement déformés, dénoncés et condamnés sans appel;

    - le primat de Belgique n'a pas le droit d'exercer son influence sur l'enseignement catholique en rappelant l'enseignement de l'Eglise;

    - le primat de Belgique est seul; ses frères dans l'épiscopat restent retranchés dans leur mutisme et ses collègues référendaires pour l'enseignement se gardent bien d'intervenir;

    - l'enseignement catholique (SEGEC) prend publiquement ses distances par rapport à ce qu'il est censé représenter, rejette les directives de l'archevêque et est suivi en cela par les organisations de parents qui marquent leur désapprobation;

    - il n'y a plus de réel pluralisme au sein de l'opinion publique belge (francophone, mais c'est la même chose au Nord); un consensus y règne, conditionné par la RTBF, RTL-TVI, les grands quotidiens (Le Soir, La Libre) et même par les médias catholiques (où l'on voit l'hebdomadaire "Dimanche" titrer : "Mgr Léonard sème le trouble dans les écoles");

    - la distinction entre la sphère religieuse et celle du politique n'est plus respectée dans notre pays comme en attestent les prises de position de la classe politique (tous partis confondus) pour stigmatiser les propos de Mgr Léonard, certain allant même jusqu'à inciter des fidèles à boycotter des offices religieux. Lorsque la distinction entre le politique et le religieux disparaît ainsi, on évolue alors dans un contexte totalitaire qui ne dit pas son nom;

    - en-dehors de Belgicatho (entre 650 et 800 visites par jour), il n'y a guère de voix qui se soit fait entendre pour tenir un discours différent; la dictature du politiquement et culturellement correct est solidement établie; quelle sera l'étape suivante pour étouffer les voix discordantes?

    On le voit, la situation est bien plus grave qu'il n'y paraît et presque tout le monde semble s'y être résigné. Lorsqu'insensiblement un système démocratique glisse vers une forme de démocratie totalitaire, on peut être légitimement inquiet en pensant aux mesures que préconisait Rousseau dans son Contrat Social à l'égard de ceux qui n'accepteraient pas de se rallier à la "volonté générale"...

  • Des erreurs dans les tests de dépistage prénatal entraînent des avortements injustifiés

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    La synthèse de presse quotidienne de généthique.org fait état de ce constat :

    Le 13 octobre 2011, la revue Ultrasound in Obstetrics and Gynecology* a publié la synthèse d’études, réalisées par des chercheurs britanniques, sur les trop nombreuses erreurs de diagnostics prénatals (DPN) qui conduisent à des interruptions de grossesse (IVG). Ce constat alarmant fait suite à 4 études, menées par des chercheurs de l’Imperial College London, du Queen Charlottes and Chelsea Hospital et de la Leuven University (Belgique), sur l’utilisation de l’échographie en début de grossesse. Lors de ce premier examen, la mesure de l’embryon, qui ne fait que 5-6 mm à peine, sert à déterminer la viabilité de la grossesse ou le risque de fausse-couche. Les obstétriciens se fient au diamètre moyen du sac gestationnel quand l’embryon lui-même ne peut être vu et à la longueur de l’embryon, si aucun battement de cœur n’est détecté.

    Si les directives varient et si les critères qui permettent de détecter une grossesse dite "à risque" diffèrent d’un pays à l’autre, les chercheurs ont estimé qu’il pourrait y avoir près de 400 erreurs de diagnostic chaque année, rien qu’au Royaume-Uni.

    Ils ont donc cherché à établir des "valeurs limites universelles utilisables en toute confiance pour détecter une grossesse à risque". En "assouplissant légèrement" les critères déterminant la non viabilité d’une grossesse, les chercheurs observent qu’ "il n’y a plus aucun cas d’une grossesse viable diagnostiquée comme non viable". Afin d’éviter ces erreurs trop nombreuses, ils suggèrent l’application de ces nouveaux critères apparemment plus fiables et recommandent de renouveler l’échographie pour les cas "limites".

    *Ultrasound in Obstetrics and Gynecology, “Gestational sac and embryonic growth are not useful as criteria to define miscarriage: a multicenter observational study” Y. Abdallah,A. Daemen,S. Guha,S. Syed,O. Naji,A. Pexsters,E. Kirk,C. Stalder,D. Gould,S. Ahmed,C. Bottomley,D. Timmerman,T. Bourne 13/10/11

  • Promouvoir un alter-humanisme fondé sur l'image du Christ

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    "La sollicitude de l’Eglise pour le développement intégral de la personne humaine lui fait un devoir de discerner ce qui est bon et mauvais pour l’homme dans le monde et d’ainsi participer à la promotion du nouveau modèle économique qui tend à se mettre en place aujourd’hui.

    Ce modèle doit mettre l’homme au sommet des préoccupations et faire du Bien Commun le véritable enjeu de l’économie de marché. Pour cela, une réforme profonde des marchés est nécessaire, mais plus encore une réforme de la vision que l’on a actuellement du marché et de la finance. Il s’agit, à l’appel de Benoît XVI, de passer à l’économie du don, c’est-à-dire du service gratuit. Entendons par là que même si le travail est rémunéré, il est d’abord un service rendu et mis à disposition du Bien Commun. Ce qui signifie que tout produit qui ne participe pas au Bien Commun, à savoir au développement intégral de tout l’homme et de tout homme, n’a pas de raison d’être. Il perd sa gratuité puisqu’il cherche en lui-même son propre intérêt.

    A l’alter-mondialisme et à l’impasse actuelle il y a une alternative chrétienne qu’il faut promouvoir, l’alter-humanisme, fondé sur l’image du Christ."

    Cyril BRUN (directeur de l'Observatoire socio-politique du diocèse de Fréjus-Toulon)

    Voir ICI