Foi - Page 427
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Temps pascal en confinement; feuillet du vendredi (24 avril) de la 2e semaine du temps pascal : le trésor caché
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Pandémie : la foi des catholiques chinois toujours plus fervente à l’issue d’un long confinement
Du site des Missions Etrangères de Paris :
Malgré la pandémie, la foi des catholiques chinois toujours plus fervente à l’issue d’un long confinement
24/04/2020
Durant la période de confinement strict, qui a duré du 23 janvier jusqu’au mois d’avril en Chine, les fidèles chinois ont rencontré de nombreuses difficultés avec l’impossibilité de suivre la liturgie physiquement, à travers non seulement 40 jours de carême mais aussi 80 jours d’isolement. Malgré tout, nombre d’entre eux ont également expérimenté une croissance spirituelle, grâce à la prière en famille et aux diffusions en direct via Wechat (le Whatsapp chinois). Cette période a notamment pu être bénéfique pour les jeunes – en Chine, selon les Nouvelles règles sur les activités religieuses de 2018, l’éducation religieuse des moins de 18 ans est interdite. Le confinement et l’utilisation des réseaux sociaux a permis de contourner ces règles.
« Christ est ressuscité, il est vraiment ressuscité ! » : la proclamation de la liturgie de Pâques exprime parfaitement l’enthousiasme ressenti après non seulement 40 jours de carême, mais aussi 80 jours d’isolement en raison de la pandémie. À travers cette période, les fidèles catholiques chinois ont rencontré de nombreuses difficultés, mais beaucoup d’entre eux ont également expérimenté une véritable croissance spirituelle. Durant plusieurs semaines, la plupart des prêtres du pays ont célébré la messe en privé. Le dimanche et les jours de fête, ils ont malgré tout essayé de diffuser la liturgie en direct via Wechat (une application locale très répandue, équivalente à Whatsapp), et les fidèles suivant les célébrations à distance se comptaient par centaines de milliers. Cela s’est produit ainsi dans de nombreux diocèses chinois : Ningbo, Zhengding, Shanghai, Ningde, Pékin, Shantou, Jinzhou… De nombreux catholiques chinois ont également suivi les messes célébrées en direct depuis Hong-Kong, Macao, Taïwan, les Philippines ou la Malaisie. Beaucoup d’entre eux ont également pu suivre les célébrations de la semaine sainte et du triduum pascal diffusées depuis le Vatican et présidées par le pape François. Durant la période de confinement, qui remonte au 23 janvier en Chine et qui a duré jusqu’en avril, tout le pays est resté bloqué. Cela a bien sûr eu des conséquences sur les activités pastorales des prêtres chinois, qui ont été nombreux à diffuser via Wechat afin de permettre à plusieurs milliers de fidèles de suivre leurs vidéos : messes, homélies et lectures bibliques…
Cette période était également bénéfique pour les familles et l’éducation religieuse des enfants – en Chine, selon les Nouvelles règles sur les activités religieuses établies en 2018, l’éducation religieuse des mineurs de moins de 18 ans est interdite. La crise sanitaire et l’utilisation des réseaux sociaux a donc permis de contourner cette règle. En l’absence de liturgie en semaine, de nombreuses familles se sont davantage réunies pour prier, avec des partages d’Évangile, des hymnes chantés et des lectures bibliques. À plusieurs reprises, des familles ont organisé des lectures bibliques quotidiennes – les livres bibliques les plus lus par les catholiques chinois semblent être le Livre de la Sagesse et les quatre Évangiles. Plusieurs familles ont fait part de leur enthousiasme en voyant leurs enfants étudier et approfondir leur foi directement par les lectures bibliques et la liturgie. Durant la semaine sainte, la quarantaine s’est allégée et les prêtres et religieuses ont pu à nouveau rendre visite aux malades et entendre les confessions (en continuant de respecter les mesures sanitaires et en portant un masque). Avant le dimanche de Pâques, les prêtres ont béni des œufs de Pâques en demandant aux catéchistes de les distribuer aux fidèles à domicile. Avec Pâques, les fidèles Chinois ont donc recommencé à espérer malgré la pandémie qui continuer de marquer le reste de la planète.
(Avec Asianews, Shanghai)
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Face au modernisme actuel, où sont les intellectuels catholiques à la hauteur du débat ? (lettre d'un lecteur)
A propos de "Du modernisme à la crise de l'Eglise" : un mot sur le manque d'actualisation du catholicisme anti-moderniste, face au modernisme d'aujourd'hui.
Bonjour et merci beaucoup pour ceci : http://belgicatho.hautetfort.
com/archive/2020/04/16/du- modernisme-a-la-crise-de-l- eglise-un-debat-eclairant- entr-6230338.html Voici de quoi il est question ici : si une vision catholique anti-moderniste, non seulement anti-conciliaire, mais aussi voire surtout anti-postmoderne, ne s'actualise pas, au contact du modernisme d'aujourd'hui, aussi dominant ou influent celui-ci soit-il, au sein de l'Eglise catholique, cette vision, aussi éclairante, exigeante, orthodoxe et réaliste soit-elle, et surtout aussi utile soit-elle, au bénéfice de l'Eglise et des fidèles, dépérira puis disparaîtra.
Bien des catholiques conservateurs ou traditionnels doivent beaucoup à Jean Madiran, même s'ils n'en sont pas restés à sa vision des choses, et il serait dommage, pour ne pas dire tragique, qu'aucun philosophe ou théologien catholique d'aujourd'hui n'essaie de réfléchir, dans le sillage de cet auteur, au contact du modernisme d'aujourd'hui, celui-ci, depuis le début de l'avant-Assise, sous Jean-Paul II, semblant vraiment être de moins en moins essentiellement "philo-conciliaire", au sens strict du terme, et de plus en plus évolutivement "philo-postmoderne".
En effet, ce modernisme d'aujourd'hui semble vraiment plus partisan qu'opposé à la conception selon laquelle le catholicisme est porteur de stéréotypes philosophiques et théologiques infondés, propices à des discriminations injustes, non seulement entre la foi catholique et les confessions chrétiennes non catholiques, et entre la religion chrétienne et les religions non chrétiennes, mais aussi entre les couples mariés et les couples non mariés, entre les hétérosexuels et les homosexuels, entre les laïcs et les prêtres, et entre la morale chrétienne et les morales non chrétiennes.
Aussi, il serait curieux de connaître la place qui est effectivement accordée à Dei verbum, à Lumen gentium, à Sacrosanctum concilium et à Ad gentes, dans la pensée et dans l'action de bien des évêques "inclusivistes périphéristes" qui ne tiennent manifestement pas, ou pas particulièrement, à ce que les fidèles catholiques pensent et vivent en Jésus-Christ,
- non seulement “en connaissance de cause” sur les fondements et le contenu de la foi catholique, de la morale chrétienne, de la liturgie et des sacrements de l'Eglise, et sur la différence de nature entre la religion chrétienne et les religions non chrétiennes,
- mais aussi dans la vigilance et la résistance, face à l'hégémonie diversitaire et humanitaire, culturellement et sociétalement correcte, de l'égalitarisme ou du relativisme et du libéralisme ou du subjectivisme, en matière religieuse et en matière morale.
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Le coronavirus nous ferait-il retrouver la mémoire ?
D'Aymeric Pourbaix sur le site de France Catholique :
La mémoire retrouvée ?
mercredi 22 avril 2020
- Reliques de St Benoît. Portail nord de l’abbaye de Fleury.
- © Fred de Noyelle / Godong
La pandémie qui se prolonge, si elle éreinte les résistances et nous pousse à bout de souffle, semble aussi avoir la vertu de nous faire retrouver la mémoire. Confinés, il nous faut puiser dans nos ressources propres, dans les trésors enfouis dans l’épaisseur des siècles, pour alimenter notre conversation intérieure, et parfois même notre espoir.
Lire la suite sur le site de France Catholique
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Temps pascal en confinement; feuillet du jeudi (23 avril) de la 2e semaine de Pâques : la dévotion au Précieux Sang
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Un péché "contre la Terre"
Du Pape François lors de l'Audience Générale (Bibliothèque du palais apostolique), le mercredi 22 avril 2020 :
"Frères et sœurs, nous célébrons aujourd’hui la 50ème Journée Mondiale de la Terre, une occasion pour renouveler notre engagement à aimer et protéger notre maison commune. L’homme est tiré de la terre, mais Dieu a mis en lui un souffle vital. Créés à l’image de Dieu, nous sommes appelés à respecter toutes les créatures, à en prendre soin, et, à l’exemple de Jésus, à avoir compassion pour tous nos frères et sœurs, en particulier les plus faibles. Par égoïsme, nous avons manqué à notre responsabilité de gardien et d’administrateur de la création. Nous l’avons polluée et pillée commettant ainsi une faute contre la terre, contre notre prochain, et contre le créateur qui, cependant, pourvoit à chacun et veut que nous vivions ensemble, dans la prospérité. Pour retrouver un rapport harmonieux avec la terre et l’humanité, il nous faut considérer de manière nouvelle notre maison commune : non plus comme une ressource à exploiter. La Bible affirme la bonté du monde naturel créé par Dieu pour soutenir l’humanité. Nous devons opérer une conversion écologique qui s’exprime par des actions concrètes et communes, non seulement au niveau international, mais aussi personnel : chacun de nous peut apporter son indispensable contribution."
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La pénurie des sacrements voulue par les instances ecclésiales n'est pas sans risques
De l'Abbé Jean-Marie Perrot ( dans Res Novae sur le site de l'Homme Nouveau :
Les risques futurs d’une pénurie des sacrements voulue par les instances ecclésiales
Le jour de l’Annonciation, l’auteur de ces lignes regarda le chapelet diffusé en direct de Lourdes. Il se trouvait dans son lit, atteint par le virus covid-19. Pour lui, rien de plus grave qu’une grippe assez bénigne ; ce qui se traduisait ce jour-là par une difficulté à fixer son attention, notamment pour prier. Pourquoi alors ne pas recevoir de l’aide, et celle particulière que la Conférence des évêques avait signalée, conjointement à la sonnerie des cloches plus tard dans la journée, à 19h30 ?
À 15h30 donc, devant le petit écran de son téléphone portable, il se trouva en compagnie du recteur du sanctuaire, Mgr Ribadeau-Dumas, et d’un chapelain. Sans doute, des milliers d’autres catholiques étaient-ils « connectés » ; mais une impression saisissante fut celle produite par la solitude : du malade dans son lit, des deux prêtres à Lourdes, eux et lui séparés par une distance que symbolisaient les esplanades terriblement vides du sanctuaire ; et ce quoi qu’il en soit des grâces sensibles reçues lors de cette prière.
Les fidèles éloignés des ministres du culte ?
Le curé d’une paroisse d’une ville moyenne que je suis, se trouvait ainsi comme préparé à l’appel téléphonique reçu le lendemain. Un jeune père de famille appelait pour le baptême de sa fille nouveau-née. Le prêtre prévu pour le baptême lui avait déclaré, sans surprise, ne pouvoir se déplacer et avait, comme il se doit, conseillé au père d’ondoyer son enfant si un prêtre local ne pouvait le remplacer. Avant qu’il ne me l’ait dit, je lui proposais la même démarche, lui déclarant quel était mon état de santé et mon indisponibilité temporaire par mesure de prudence. La réponse fut celle-ci :
« C’est déjà très difficile de vivre sans les sacrements, sans la messe. Si, en plus, il faut se passer de prêtre pour les baptêmes !... »
Il n’est sans doute pas à craindre que, chez cet homme, se développe une distance assumée, voire revendiquée, vis-à-vis des ministres de l’Église. Sa réflexion, expression d’un sensus fidei revenu en force dans la réflexion théologique sous l’impulsion du pape François (1), témoigne plutôt du contraire.
Elle est pourtant symptomatique – le mot est choisi à dessein – de ce mal récurrent qu’est une certaine distanciation entre pasteurs et fidèles, voire de la méfiance qui en serait le fruit le plus amer. Les occasions de cette perte de confiance, durant ces dernières années, relevaient d’options théologiques ou morales, sociétales plus récemment, ce qui n’est pas rien. Dans la situation présente, le terreau est plus basique, en deçà des options et des débats, et donc plus douloureux quand il est remis en cause : il s’agit des sacrements et des ministres des sacrements ; non pas de la validité des sacrements (question qui a pu se poser autour de ce qu’on a appelé pudiquement les abus liturgiques) ou de l’indignité des ministres (sujet récent, mais indépendant de la situation présente, au moins à vue humaine) ; mais de la possibilité de les recevoir et, conjointement, du courage ou du zèle à les donner.
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Temps pascal en confinement; feuillet du mercredi (22 avril) de la deuxième semaine de Pâques : récits et expériences eucharistiques (A. Bessières s.J.)
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Coronavirus : l'Estonie consacrée au Sacré-Coeur de Jésus
De Vatican News :
Mgr Philippe Jourdan, administrateur apostolique en Estonie, en la cathédrale de Tallinn.
Covid-19: l’Estonie consacrée au Sacré-Cœur de Jésus
Dans de bien moindres proportions que ses voisins européens, l’Estonie est le pays balte le plus touché par la pandémie de Covid-19, avec 1 535 cas confirmés et 40 décès au 20 avril 2020. L’île de Saaremaa, la plus grande de l’archipel estonien, est au cœur de la propagation du virus dans le pays, abritant la moitié des patients hospitalisés de ce pays d’1,5 millions d’habitants.Entretien réalisé par Devin Watkins – Cité du Vatican
C’est une réponse spirituelle à la crise que l’Estonie, l’Europe et le monde traverse. L’administrateur apostolique dans le pays, Mgr Philippe Jourdan, en poste depuis le 1er avril 2005, a consacré la nation au Sacré-Cœur de Jésus, dimanche 19 avril 2020, dimanche de la Miséricorde Divine.
En cette terre traditionnellement protestante, la mission de cette consécration est double: prier pour la fin de la pandémie et aider la population à transformer ce temps éprouvant en occasion de conversion personnelle. «Dieu ne souhaite pas de mauvaises choses, il veut que nous les utilisions pour se convertir», affirme l’évêque franco-estonien.
La consécration a eu lieu Dimanche de la Miséricorde Divine, fête très populaire dans les pays baltes; plusieurs apparitions du Seigneur à sœur Faustine Kowalska se sont en effet produites en Lituanie.
Accès aux sacrements
La situation sanitaire en Estonie diffère entre l’île de Saaremaa, épicentre du virus, confinée intégralement, et le reste du pays, où les églises sont ouvertes à la prière individuelle devant le Saint-Sacrement ou à la confession. La vie sacramentelle est en quelque sorte encore possible.
Les rassemblements de plus de deux personnes sont toutefois prohibés dans le pays, et la police opère des rondes pour vérifier qu’aucune messe n’ait lieu. D’après Mgr Jourdan, le gouvernement a été d’une grande aide dans l’équipement sanitaire des églises, distribuant masques et gels hydroalcooliques.
Les messes sont diffusées en ligne pour ceux qui préfèrent rester à domicile. La quête dans les églises n’a plus lieu, mais les catholiques estoniens donnent de manière généreuse, se réjouit Mgr Jourdan, saluant les initiatives de solidarité intergénérationnelles.
Les écoles et crèches doivent rouvrir le 15 mai prochain en Estonie.
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Séoul : les églises sont rouvertes
Du site des Missions Etrangères de Paris :
Les églises ouvrent à nouveau à Séoul : seulement 13 nouveaux cas en 24 heures en Corée du Sud
21/04/2020
Le nombre de nouvelles infections confirmées continue de diminuer de jour en jour en Corée du Sud. Ce lundi 20 avril, Séoul n’a compté que 13 nouveaux cas, dont 7 personnes revenant de l’étranger. Le nombre de nouvelles infections quotidiennes reste inférieur à 20 cas depuis trois jours dans le pays – on en comptait seulement 8 le 19 avril. Les lieux publics comme les églises, les gymnases et les bars sont à nouveau ouverts, et les examens et entretiens d’embauche sont à nouveau possibles, malgré le maintien de mesures de précautions sanitaires exceptionnelles par les autorités.
Le nombre de cas positifs au coronavirus Covid-19 continue de baisser en Corée du Sud. Hier, lundi 20 avril, les autorités de Séoul ont dénombré 13 nouvelles infections, dont 7 patients revenant de l’étranger. Le bilan quotidien des nouvelles infections reste inférieur à 20 depuis trois jours – seulement 8 infections avaient été rapportées la veille, le 19 avril. Le pic de l’épidémie dans le pays remonte au 29 février, avec 909 nouvelles infections en 24 heures. En tout, 10 674 personnes ont été infectées par le virus en Corée du Sud, dont 236 sont décédées ; 1 006 d’entre elles revenaient de l’étranger. Près de 90 % des personnes infectées dans le pays sont des citoyens sud-coréens. Le gouvernement a étendu les mesures de distanciation sociale imposées jusqu’à fin mai, tout en assouplissant certaines décisions. Ainsi, les lieux publics comme les églises, les gymnases et les bars peuvent rouvrir, et les examens scolaires et les entretiens d’embauche sont à nouveau possibles. Toutes ces décisions sont prises tout en maintenant les recommandations sanitaires. Ainsi, la ligue nationale de baseball, un sport très populaire dans le pays, pourra également redémarrer, bien que sans spectateurs dans un premier temps. La Corée du Sud est saluée comme un modèle exemplaire dans la lutte contre la pandémie : une alternative démocratique, avec Taïwan, à la stratégie draconienne adoptée par la Chine. Selon les experts, l’un des principaux facteurs attribués à ce succès est la réaction rapide du gouvernement sud-coréen, dès les premiers signes de la crise, avec un grand nombre de tests de diagnostic effectués, avec des mesures de quarantaine strictes, et avec la collaboration et l’investissement efficaces de la population.
(Avec Asianews, Séoul)
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Report des prochaines JMJ et de la Rencontre mondiale des Familles
De Nicolas Senèze sur le site du journal La Croix :
20/04/2020
Les JMJ au Panama, le 24 janvier 2019.
Le pape François a tiré, lundi 20 avril, les conséquences de la pandémie de coronavirus sur les grands rassemblements internationaux prévus à l’agenda de l’Église. Il a décidé de reporter aussi bien la Rencontre mondiale des familles de juin 2021 que les Journées mondiales de la jeunesse d’août 2022.
« À cause de la situation sanitaire actuelle et de ses conséquences sur les voyages et les rassemblements de jeunes et de familles, le Saint-Père, en collaboration avec le Dicastère pour les laïcs, la famille et la vie, a décidé de reporter d’un an la prochaine Rencontre mondiale des familles prévue à Rome en juin 2021 », a annoncé lundi le directeur de la Salle de presse du Saint-Siège.
La Rencontre mondiale des familles se tiendra donc à Rome en juin 2022.
Les JMJ reportées à 2023
Le pape ne pouvant pas enchaîner deux grands rassemblements la même année, les Journées mondiales de la jeunesse programmées en août 2022 à Lisbonne sont elles aussi déplacées d’un an et reportées à août 2023.
Lors de l’angélus du dimanche des Rameaux, le 5 avril, le pape avait déjà annoncé que le traditionnel passage de la croix des JMJ des jeunes de Panama à ceux de Lisbonne, qui devait avoir lieu ce jour-là, se fera fin novembre, le jour du dimanche du Christ-Roi.
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Temps pascal en confinement; feuillet du Mardi (21 avril) de la 2e semaine de Pâques : Le conte du Bon Dieu et de saint Pierre aux champs (Henri Pourrat)
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