Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Actualité - Page 291

  • 7 choses à savoir sur Giorgia Meloni, la probable nouvelle première ministre catholique d'Italie

    IMPRIMER

    D'Edie Heipel et Jonah McKeown sur Catholic News Agency :

    7 choses à savoir sur Giorgia Meloni, la probable nouvelle première ministre catholique d'Italie

    26 sept. 2022

    À l'issue des élections nationales italiennes du 25 septembre, Giorgia Meloni, une mère catholique, est en passe de devenir la première femme Premier ministre du pays. 

    Lors de ces élections anticipées, convoquées après l'effondrement du gouvernement d'union de l'ancien premier ministre Mario Draghi en raison de tensions économiques et militaires, le parti des Frères d'Italie de Giorgia Meloni a obtenu le plus grand nombre de voix, soit environ 26 %, contre 4 % environ il y a quatre ans. 

    Avant et pendant la victoire électorale de son parti, les opinions de Meloni ont été décrites dans les médias comme étant "d'extrême droite" et même "fascistes". Voici ce que vous devez savoir sur elle :

    Elle n'est pas encore Premier ministre

    Il convient de noter que, bien que le parti de Mme Meloni ait recueilli le plus de voix lors des récentes élections, il n'est pas encore certain qu'elle devienne Premier ministre de l'Italie. Il appartient au président italien Sergio Mattarella de nommer un membre de la coalition gagnante au poste de premier ministre, un processus qui pourrait prendre plusieurs semaines. Il est probable que la personne désignée soit Meloni, qui sera alors chargée de réunir une majorité au Parlement. Frères d'Italie était le principal parti d'une coalition de centre-droit qui doit maintenant former une alliance pour gouverner. 

    Mme Meloni est issue de la classe ouvrière romaine. Elle a occupé divers emplois, notamment en tant que serveuse et nounou, avant de devenir une femme politique à plein temps. En 2008, le Premier ministre Silvio Berlusconi l'a nommée ministre de la jeunesse du pays, la plus jeune personne à être nommée à ce poste. 

    Elle a fait de sa foi un élément majeur de sa campagne.

    Mme Meloni s'est décrite dans ses discours comme une chrétienne et a exprimé publiquement son admiration pour le pape Jean-Paul II. Elle garde une photo de Jean-Paul II et de Sainte Thérèse de Calcutta sur son bureau et a exprimé son désir de rencontrer le pape François en personne - une quasi-certitude si elle devient Premier ministre. 

    "Je suis une femme, je suis une mère, je suis italienne, je suis chrétienne, et vous ne pouvez pas m'enlever cela", a déclaré Meloni dans un discours en 2019. 

    Meloni - qui a été élevée par une mère célibataire à Rome - a maintenant une fille avec son partenaire Andrea Giambruno, bien que les deux ne se soient jamais mariés. 

    Elle soutient plusieurs politiques pro-vie et pro-famille.

    Dans un discours prononcé devant le parti Vox en Espagne au début de l'année, Mme Meloni a résumé sa plateforme pro-vie et pro-famille : "Oui aux familles naturelles, non au lobby LGBT, oui à l'identité sexuelle, non à l'idéologie du genre, oui à la culture de la vie, non à l'abîme de la mort."

    Lire la suite

  • Ce 27 septembre à Bruxelles : présentation du Manuel de Bioéthique

    IMPRIMER

    unnamed.png

    unnamed (1).png

    unnamed (2).png

  • Le pape François déplore la perte de sens spirituel dans la vie de nombreux jeunes d'aujourd'hui

    IMPRIMER

    D'Hannah Brockhaus sur Catholic News Agency :

    Le Pape François : Les jeunes manquent du "capital spirituel" qui donne un sens à la vie.
     
    24 septembre 2022

    Le pape François a déploré samedi la perte de sens spirituel dans la vie de nombreux jeunes d'aujourd'hui - un manque qui est souvent remplacé par une attention excessive aux biens matériels, a-t-il déclaré.

    "Les êtres humains, créés à l'image et à la ressemblance de Dieu, sont des chercheurs de sens avant d'être des chercheurs de biens matériels. C'est pourquoi le premier capital de toute société est le capital spirituel", a-t-il déclaré lors d'une conférence internationale sur l'économie à Assise, en Italie, le 24 septembre.

    "Les jeunes souffrent particulièrement de ce manque de sens", a déclaré le pape. "Face à la douleur et aux incertitudes de la vie, ils trouvent souvent leur âme épuisée des ressources spirituelles nécessaires pour traiter la souffrance, la frustration, la déception et le chagrin."

    "Regardez le taux de suicide chez les jeunes, comment il a augmenté", a-t-il ajouté.

    "La technologie peut faire beaucoup : elle nous apprend le 'quoi' et le 'comment' : mais elle ne nous dit pas le 'pourquoi', a-t-il dit, et ainsi nos actions deviennent stériles et n'apportent pas d'accomplissement à la vie, même pas à la vie économique."

    Le pape François a parlé de l'importance de la spiritualité dans une allocution prononcée devant les participants à The Economy of Francesco, une conférence organisée du 22 au 24 septembre à l'intention de jeunes économistes, entrepreneurs et chercheurs du monde entier.

    Cette initiative faisait suite à l'appel lancé par le pape François aux jeunes pour qu'ils construisent "un autre type d'économie" fondé sur une plus grande attention aux pauvres et à l'environnement.

    François s'est rendu à Assise pour la dernière journée de la rencontre, le 24 septembre. Avant de s'adresser aux participants, le pape a regardé un sketch basé sur Isaïe 21:1-12, suivi d'une méditation sur la signification de ce passage de l'Écriture.

    Il y a également eu un spectacle musical, des présentations, une vidéo des deux premiers jours de la conférence et des témoignages de participants économistes, ainsi que de militants pour l'environnement, les droits des femmes et les questions sociales d'Italie, du Bénin, d'Argentine, de Thaïlande, du Kenya, d'Afghanistan et de Pologne.

    Je compte sur vous

    Tout au long de son discours, le pape François a insisté sur la nécessité pour les jeunes adultes de mettre leur énergie et leur créativité à profit, de manière pratique, pour construire une économie plus juste.

    "Vous les jeunes, avec l'aide de Dieu, vous savez ce qu'il faut faire, vous pouvez le faire", a-t-il déclaré.

    Lire la suite

  • Meloni "néo-fasciste" ? Une étiquette dépassée

    IMPRIMER

    Un article de Victor Gaetan, posté à la veille des élections italiennes, sur le National Catholic Register :

    Faisant campagne en tant que mère catholique, Giorgia Meloni pourrait être la première femme Premier ministre d'Italie

    ANALYSE DE LA NOUVELLE : Considéré par ses détracteurs comme ne représentant qu'une frange extrémiste, le parti politique des Frères d'Italie de Giorgia Meloni est aujourd'hui en tête des sondages réalisés avant les élections nationales du 25 septembre.

    22 septembre 2022

    Il peut sembler blasé de souligner qu'une politicienne italienne de 45 ans est une mère catholique, mais cette identité a été un élément central de la campagne de Giorgia Meloni - et de son attrait - alors qu'elle mène le parti politique conservateur Frères d'Italie (Fratelli d'Italia, connu sous l'acronyme FdI) à une victoire anticipée aux élections nationales du 25 septembre. 

    La déclaration de Meloni lors d'un discours à Rome, "Je suis Giorgia ; je suis une femme ; je suis une mère ; je suis italienne ; je suis chrétienne" est un tel élément de signature qu'elle a été remixée sous la forme d'un morceau techno-dance qui compte plus de 12 millions de vues sur YouTube.  

    Les DJ qui l'ont réalisé avaient l'intention de se moquer d'elle ; au lieu de cela, ils ont contribué à renforcer sa popularité. 

    Un leader précoce

    Le succès du FdI cette année est synonyme de la personnalité charismatique de la candidate : ses yeux bleus perçants se détachent des affiches de campagne qui promettent "Pronti a risollevo l'Italie ! (Pronti a risollevare l'Italia !).  

    Mais Meloni est bien plus qu'une figure de proue blonde de la télévision : Elle fait partie des cercles politiques conservateurs depuis l'âge de 15 ans, d'abord dans son quartier populaire de Rome, puis, à 29 ans, en tant que membre de la Chambre des députés italienne.  

    Lorsque le Premier ministre Silvio Berlusconi l'a nommée ministre de la jeunesse en 2008, elle est devenue la plus jeune personne de l'histoire nationale à occuper un poste ministériel.  

    Aujourd'hui, Silvio Berlusconi est à la tête de Forza Italia, l'un des deux partis de centre-droit qui forment une coalition avec le FdI. L'autre est la Ligue (Liga), dirigée par Matteo Salvini.  

    Les récents sondages nationaux donnent le FdI à 25%, la Liga suivante, avec 13%, et Forza Italia, à 7%. Les trois partis ont convenu que celui qui arrive en tête choisira le prochain premier ministre si leur coalition remporte le vote du 25 septembre.   

    "Les gens réagissent vraiment à elle, à Giorgia, parce qu'elle est si crédible, féroce et, surtout, parce qu'elle a maintenu Frères d'Italie en dehors de toute coalition impliquant la gauche", a déclaré par téléphone au Register un candidat parlementaire du FdI, qui a demandé à ne pas être nommé.

    Lire la suite

  • Guerre Russie-Ukraine : le pire est à venir

    IMPRIMER

    De Riccardo Cascioli sur le Daily Compass :

    Guerre Russie-Ukraine : le pire est à venir

    25-09-2022

    L'espoir d'un accord de paix semble de plus en plus éloigné, la recherche d'une solution au conflit de plus en plus difficile, ce qui ne signifie pas pour autant que les tentatives de résolution du conflit sont sans valeur. Dans une interview, l'archevêque catholique de Moscou, Monseigneur Paolo Pezzi, expose l'extrême gravité de la situation et l'urgence de la négociation.

    A en juger par les images, les premières personnes à s'opposer à la décision du président russe Vladimir Poutine de rappeler un certain nombre de réservistes pour reconstituer les troupes engagées en Ukraine sont les citoyens russes eux-mêmes directement concernés. Les protestations, les tentatives de traverser les frontières pour éviter la guerre, ne sont certainement pas des signaux rassurants pour Poutine, même si le président russe a au moins reçu le soutien de Kirill, patriarche de Moscou et de toute la Russie : "Allez courageusement accomplir votre devoir militaire", aurait-il dit dans un message aux soldats, "et souvenez-vous que si vous donnez votre vie pour votre pays, vous serez avec Dieu dans son Royaume qui vous donnera la gloire et la vie éternelle".

    On ignore dans quelle mesure ces paroles ont touché le cœur des soldats russes et des personnes appelées à rejoindre l'armée, mais elles font certainement frémir ceux qui se soucient d'une solution pacifique à ce conflit. Tout comme les décisions annoncées il y a deux jours par Poutine, qui, outre l'appel aux armes des réservistes, incluent le référendum pour l'annexion des provinces ukrainiennes conquises par la force militaire, qui a déjà commencé.

    "C'est une situation inquiétante", a déclaré le 21 septembre à l'agence de presse SIR l'archevêque catholique de Moscou et président de la Conférence épiscopale russe, Monseigneur Paolo Pezzi. Et il a raison : l'escalade en cours ne peut laisser personne serein, pas même ceux d'entre nous qui continuent à regarder sans savoir ce qui se passe, s'inquiétant surtout des conséquences sur les prix de l'énergie. Et les analyses de la faiblesse de Poutine, qui serait à l'origine de sa décision de hausser la barre dans le conflit en cours, et de sa perte de popularité en Russie, qui pourrait également conduire à sa chute, ne sont d'aucune consolation. En supposant que ce soit effectivement le cas, toute instabilité en Russie ne pourrait être moins dangereuse que son unité derrière Poutine.

    On ne peut pas rester calme. Alors que le conflit continue de s'intensifier, comme c'est le cas depuis sept mois, nous voyons toujours l'opinion publique et les hommes politiques divisés comme des partisans rivaux ou instrumentalisant le conflit en Ukraine pour des raisons de politique intérieure, comme cela se produit dans un certain nombre de pays. C'est comme si la question ne concernait que les habitants de l'Ukraine et de la Russie, sans se rendre compte qu'un incendie qui se déclare dans une pièce, s'il n'est pas éteint immédiatement, est destiné à se propager à tout l'appartement, puis au bloc d'appartements et progressivement à toute la ville.

    Lire la suite

  • Espagne : les centres d’avortement condamnés pour avoir fait de la publicité mensongère en prétendant que l’avortement est une pratique sans risque

    IMPRIMER

    D'iFamNews Spain :

    La Cour suprême condamne les centres d’avortement espagnols pour avoir fait de la publicité mensongère en dissimulant les séquelles de l’avortement.

    REMIS. La Haute Cour confirme la sentence de l'Audience provinciale d'Oviedo qui condamne l'ACAI, l'organisation patronale qui regroupe 32 centres d'avortement espagnols, pour avoir assuré que l'avortement est une pratique qui ne comporte pas de risques.

    26 septembre 2022

    La Cour suprême confirme le jugement de l’Audience Provinciale d’Oviedo qui condamne l’ACAI, l’association patronale des centres d’avortement, pour avoir fait de la publicité mensongère en prétendant que l’avortement est une pratique sans risque.

    La Haute Cour donne ainsi raison à la Fondation espagnole des juristes chrétiens, qui dénonçait l’ACAI pour avoir caché aux femmes les conséquences de l’avortement.

    Aujourd’hui, la Cour suprême confirme la sentence de l’Audiencia qui a condamné l’ACAI à payer les frais de procédure et à publier la sentence sur son site web.

    Il convient de rappeler que l’ACAI regroupe la plupart des centres accrédités pour pratiquer des avortements en Espagne. Dans la Communauté de Madrid la Clínica Dator, El Bosque, Pacífico, Isadora, Callao, Policlínica Retiro et Sergine Médica ; en Catalogne la Clínica Sants, Tutormédica, Casanova, et Centro Médico Aragón ; en Andalousie à Clínica Ginealmería, Ginegranada, Ginesur, Ginesur, Ginecenter, Clínicas El Sur, Gynetrisur, Poliplanning et Clínica Triana ; en Castille la Clinica BuenaVista ; dans la Communauté de Valence la Deia Médica ; en Aragón la Clínica Actur ; dans les Asturies la Belladona et la Buenavista ; en Castille de La Manche la Clínica Cire et la Iris Ginecológica ; en Galice la Clínica Arce et en Murcie la Clínica Ginemur et la Deltamédica.

    La présidente de Juristes Chrétiens, Polonia Castellanos, annonce que “…”. Compte tenu de la gravité de la sentence, nous enverrons le jugement à tous les départements de santé espagnols afin qu’ils résilient tout contrat avec les centres d’avortement concernés”. “.

    Elle exhorte la ministre de l’égalité, Irene Montero, à “…”.prendre position sur cet arrêt qui condamne les centres d’avortement pour avoir menti aux femmes. “.

    M. Castellanos insiste sur le fait que “les subventions et l’argent public doivent être retirés à ces entreprises qui mettent en danger la vie des femmes pour faire des affaires”.

    Il se félicite que “justice ait enfin été rendue contre une organisation qui, par appât du gain, a menti à de nombreuses femmes en les encourageant à avorter comme si elles étaient exemptes de graves séquelles“.

    Arrêt SUPREMO : https://drive.google.com/file/d/1dKs3mZnUHj4OMFK0Zn3qTJjkhdBOaCFg/view?usp=sharing

    Arrêt de la COUR PROVINCIALE : https://drive.google.com/file/d/1u78WDXg9oZEuL-x6gsEtgJ5vqCe2RrGr/view?usp=sharing

  • Neuvaine pour les futurs évêques de Belgique - mise à jour

    IMPRIMER

    Correction du communiqué de jeudi 22/09/22

    La visite ad limita est reportée en novembre.
    La neuvaine continue et propose des moyens additionnels de s’y associer (voir ci-dessous)
     
    Neuvaine pour les nouveaux évêques de Belgique
     
    Récemment deux évêques ont atteint la limite d’âge et ont remis leur démission au Saint-Père. Il s’agit de Mgr Jean-Luc Hudsyn, évêque auxiliaire pour le Brabant wallon, du cardinal Jozef De Kesel, archevêque de Malines-Bruxelles. Deux autres évêques vont atteindre la limite d’âge en 2023, il s’agit de Mgr Guy Harpigny, évêque de Tournai et de Mgr Pierre Warin, évêque de Namur.
     
    Il revient à présent à Mgr Franco Coppola, nonce apostolique près le Royaume de Belgique, de proposer des candidats au pape François pour leur succéder dans ces quatre diocèses.
     
    Il s’agit de décisions importantes qui vont orienter la vie de nos diocèses pour les années à venir.  Des fidèles de ces différents diocèses proposent de prier spécialement à cette intention afin que l’Esprit Saint éclaire tous ceux qui travailleront au choix de ces quatre successeurs des apôtres.  
     
    A ce titre, ils seront docteurs de la foi, chargés de l’enseigner et de la transmettre avec fidelité.  Ils dispenseront aux croyants les sacrements, ils guideront le peuple de Dieu. Ils donneront à de nouveaux membres par le sacerdoce, la charge de porter l’Evangile à tous.

    Que Dieu, par son Eglise, donne les pasteurs dont notre pays a tant besoin.  
     
    Concrètement, ils proposent à tous les fidèles qui le souhaitent de prier  une neuvaine à cette intention pendant. La neuvaine a commencé le vendredi 23 septembre et  se terminera le 1er octobre.
     
    En pratique, chaque jour les participants à cette neuvaine recevront chaque jour un texte biblique, un petit commentaire, une oraison et la prière à l’Esprit Saint (du Cardinal Mercier, ancien cardinal et primat de Belgique).
     
    Ceux qui veulent se joindre à cette prière, peuvent le faire de plusieurs façons :
    1. Le site Hozana : https://hozana.org/communaute/11192-pour-les-futurs-eveques-de-belgique
    2. Un groupe WhatsApp :  https://chat.whatsapp.com/D0hPwhLz7wC4yl7VorpW73
    3. Un groupe Signal : https://signal.group/#CjQKIAE1udHe7RZ_Q4aR7YOjUQEyngsceLE9ygdZGKdXvSSKEhBk_hG7BAP4UbdHYwQ3GLD7
    4. Un groupe Telegram : https://t.me/+i27QH-Jxk-g5Nzk8
    5. Par email : neuvaine.eveques@gmail.com
    Christian Boland, Braine-l’Alleud
    Pieter en Maylis Laureys, Brussel
    André et Claire Bourguignon, Marche-en-Famenne
    Wivine Muret, Bruxelles
    Christophe et Aude Plumier, Ath
    Bernard de la Croix, Bruxelles
  • Un "appel à la prière pour l’Église flamande schismatique"

    IMPRIMER

    Lu sur le Forum Catholicum :

    L’Église catholique flamande s’est formellement mise dans une situation schismatique avec son approbation officielle de la bénédiction des relations homosexuelles. Pour les catholiques qui souhaitent rester fidèles à la doctrine continue de l’Église, il s’agit d’une situation sans précédent à laquelle ils doivent essayer de trouver la réponse appropriée. Dans l’appel de prière suivant, nous exposons également en détail notre position à ce sujet, en terminant par quelques suggestions préliminaires.

    Appel à la prière pour l’Église flamande schismatique

    Alea iacta est. Les dés sont jetés. Les évêques flamands n’ont pas pu résister à leur désir de donner au monde l’exemple d’une inclusivité contemporaine cohérente. Les relations sexuelles peuvent désormais être bénies, avec l’approbation épiscopale officielle. Un homosexuel pratiquant religieusement a même été nommé pour « coordonner » la demande pour cela. Il est difficile de déduire exactement en quoi consiste sa tâche à partir des communications à ce sujet. Quoi qu’il en soit, il doit veiller à ce que tous ceux qui ont une préférence non hétérosexuelle ne se sentent pas seulement les bienvenus dans l’Église flamande (ce qui a en fait toujours été l’attitude ecclésiastique correcte), mais se sentent aussi définitivement libérés de tout sentiment troublant de péché dans ses actes sexuels.

    Probablement la plupart des chrétiens (et peut-être même les évêques impliqués ?) ne se rendent pas compte que cette décision signifie la fin de l’Église catholique en Flandre. La logique élémentaire et l’amour de la vérité ne peuvent que conduire à la conclusion que l’Église flamande a déraillé et se trouve dans une position schismatique. Après tout, « catholique » signifie universel. Mais comment pouvez-vous prétendre être « universel » si vous adoptez une position qui est en contradiction formelle avec ce qui est mondialement considéré comme la morale catholique, avec toutes les déclarations officielles connues à ce sujet de la part des plus hautes autorités ecclésiastiques, avec l’enseignement continu de l’Église depuis le début du christianisme et avec les directives bibliques et les condamnations indubitables en la matière ?

    Cela ne peut être fait qu’en violant la vérité et en manipulant et en réinterprétant la Bible et le catéchisme de l’Église catholique jusqu’à ce que l’on arrive finalement à des conclusions qui sont à l’opposé de ce qui est dit littéralement. De préférence on invoque dans ce cas l’exhortation post-synodale  Amoris Laetitia du pape François.  Sur ce sujet Mgr Bonny  a prétendu devant la VRT : « Si le pape parle d’accompagner, d’intégrer et d’une Église qui doit être ouverte à tous, alors cette décision est tout à fait dans la même ligne ». Qu’une  autorité ecclésiastique éminente développe un tel raisonnement manipulateur est très préoccupant. Le Christ lui-même était « ouvert » à tous les pécheurs et leur montrait son pardon. Mais, bien sûr, Il n’a jamais approuvé leurs péchés, et encore moins les a « bénis ». Sa position était claire : « Celui qui rejettera un seul de ces plus petits commandements, et qui enseignera aux hommes à faire ainsi, sera déclaré le plus petit dans le royaume des Cieux» (Mt 5:19).  Également dans Amoris Laetitia, il n’y a aucune trace d’approbation pour une telle bénédiction ecclésiastique, ou quoi que ce soit qui puisse objectivement être interprété comme l’élimination de  la nature essentiellement pécheresse des relations sexuelles qui ont lieu en dehors du mariage hétérosexuel. (Voir CEC :  Nos 2357 à 2359).

    Amoris Laetitia contient littéralement la déclaration suivante, enregistrée au Synode sur la famille (de 2014) : « en ce qui concerne le « projet d’assimiler au mariage les unions entre personnes homosexuelles, il n’y a aucun fondement pour assimiler ou établir des analogies, même lointaines, entre les unions homosexuelles et le dessein de Dieu sur le mariage et la famille. »  (AL 251). En contraste frappant avec cela est l’un des principaux arguments avec lequel on tente de justifier ce déraillement fatal de la morale ecclésiastique en Flandre.  Il est basé  sur la supposée « durabilité pour la vie » de la promesse de fidélité mutuelle du couple gay qui souhaite être béni. Dans le mariage chrétien, cette  durabilité  n’est pas une obligation religieuse dénuée de sens, mais une condition fondamentale pour accomplir notre mission humaine de reproduction saine et d’éducation dans les meilleures conditions psychologiques et biologiques.  Dans une relation qui ne peut pas en soi conduire à la procréation, on peut bien sûr aussi faire une promesse similaire, mais cela doit être justifié par d’autres arguments, qui  sont moins décisifs et beaucoup plus subjectifs ou émotionnels par nature, tels que « l’amour » mutuel, « l’amitié », ou  « le désir de prendre soin les uns des autres ». Tant qu’il reste au moins un lien  symbolique  avec la fertilité fondamentale qui caractérise  le  mariage chrétien authentique, on peut encore parler d’une analogie acceptable (par exemple en cas d’infertilité non désirée d’un couple hétérosexuel). Mais cette analogie est complètement perdue dans les relations où il s’agit de la satisfaction de désirs homosexuels, au détriment de la fertilité potentielle des partenaires impliqués.  Dans certains cas, ces relations peuvent s’accompagner d’un besoin mutuel de « fidélité à vie ».  Cependant, les chiffres statistiques montrent que  cette dernière  est une fleur extrêmement rare au sein de la communauté gay, dont l’existence est remise en question par la plupart des homosexuels eux-mêmes. (1)

    Lire la suite

  • Mgr Rey et le motu proprio « Traditionis custodes »…en attente des nouvelles de Rome.

    IMPRIMER

    Lu dans l’hebdomadaire « Famille chrétienne » sous le titre "Affaire de Fréjus-Toulon : Mgr Rey annonce des mesures radicales"

    Près de trois mois après la suspension des ordinations, Mgr Dominique Rey a rencontré 150 prêtres le 15 septembre pour échanger avec eux et déployer plusieurs grandes mesures pour le diocèse de Fréjus-Toulon. Parmi elles, la suspension de l’accueil de nouvelles communautés.

    Mgr Rey a proposé aux prêtres du diocèse de les rencontrer pour « échanger » sur le sujet de la suspension des ordinations et de l'avenir du diocèse. 

    Comme les séminaristes, de nombreux prêtres peinent à voir clair pour l’avenir de leur diocèse, après avoir été totalement pris de court début juin par l’annonce brutale de la suspension des ordinations. Pour apaiser ce « climat d’incertitude », Monseigneur Rey a organisé une rencontre de 150 prêtres du diocèse, le 15 septembre dernier, indique le diocèse dans un communiqué du 20 septembre. Ils se sont retrouvés dans un lieu très symbolique : le séminaire de la Castille, où les futurs prêtres et diacres commencent tout juste leur année.

    À lire aussi

    À Toulon, les séminaristes toujours dans l’attente

    Visites et suspension de l’accueil de nouvelles communautés

    « Aucune nouvelle information n’est parvenue de Rome et le Diocèse ne sait toujours pas quand pourront de nouveau être ordonnés prêtres et diacres », informe d’abord le texte. Avant d’expliquer que la démarche proposée par Mgr Rey aux prêtres était surtout d’« échanger sur le sujet » avec eux. Lors de cette rencontre, il a d’abord « repris en détail le déroulé des événements », puis « exposé les décisions transmises à la Congrégation des évêques. »

    À lire aussi

    Fréjus-Toulon : pourquoi Mgr Rey a-t-il tardé à annoncer la suspension des ordinations ?

    Quatre grandes mesures ont été prises. D’une part, la suspension de l’accueil de nouvelles communautés, alors que la « politique d’accueil du diocèse » était l’un des points de vigilance évoqué par Rome pour justifier la suspension des ordinations. D’autre part, « l’accueil de nouveaux prêtres sera désormais soumis à la décision du Conseil presbytéral », indique le communiqué. Le diocèse prévoit aussi l’ « établissement d’un état des lieux des communautés présentes dans le Diocèse avec des visiteurs pouvant porter différents regards (canonique, pastoral, spirituel) ».

    Dernière mesure annoncée : « La mise en application de la charte Saint-Léonce dans le respect du Motu Proprio Traditionis Custodes, avec une visite systématique des groupes concernés sous la responsabilité du référent nommé. » Cette charte de Saint Léonce avait été élaborée par le diocèse dans l’année précédant le motu proprio Traditionis Custodes, pour permettre de « bien articuler l’accueil et l’intégration de ces prêtres et communautés » attachés au rite ancien, indiquait Mgr Rey dans un communiqué après le fameux Motu proprio.

    À lire aussi

    Toulon : Mgr Rey reconnaît des « erreurs » et annonce de premières mesures

    Gratitude et soutien envers l’évêque

    « J’ai reconnu des erreurs d’appréciation et de discernement dans l’accueil et le suivi de certaines communautés, mais j’ai aussi mis en valeur les fruits missionnaires et la fécondité des différents charismes et initiatives pastorales du Diocèse. J’ai tenu compte des remarques, des erreurs commises, sans remettre en cause le travail de communion missionnaire à bâtir ensemble », a expliqué l’évêque aux 150 prêtres présents.

    Lire la suite

  • Union homosexuelle dans l’Eglise en Flandre : qu’en penser ?

    IMPRIMER

    D'Arnaud Dumouch :

    21 sept 2022 : Union homosexuelle dans l’église en Flandre : qu’en penser ? (28 mn) 

    https://youtu.be/9iihBDOzIbQ  

    Une tribune ferme d’Arnaud Dumouch 

    Certes le pape Benoît XVI nous demandait en 2011 de recevoir avec un premier regard ouvert les initiatives pastorales dans l’Eglise. Mais il faut aussi regarder le rapport à la vérité. Les quatre évêques de Flandre en Belgique ont publié ce mardi 21 septembre un document sur la « proximité pastorale avec les personnes homosexuelles », qui comprend une cérémonie pour la bénédiction publique à l’église des couples de même sexe. Devant la gêne des fidèles, ces évêques ont ensuite protesté pour bien distinguer cela du mariage. Il n’empêche que le texte de la bénédiction qui parle « d’amour béni, de fidélité et de foyer » est en contradiction directe avec l’interdiction de ce type de liturgie ambigüe par la Congrégation pour la Doctrine de la Foi en 2021. 

    Au même moment, en Allemagne, le chemin synodal a fait voter à main levée, pour éviter, comme dans la période Trotskiste, la dissidence du vote secret, l’acceptation de « l’homosexualité comme un mode de sexualité à l’égal de la sexualité dans le mariage, l’ordination sacerdotale des femmes, la théorie du changement de sexe ». 

    Il va falloir que la prochaine génération d’évêques en revienne fermement à la fidélité de la foi. 

  • La mort d'Elizabeth II ou quand la monarchie fait rêver la France et l'Occident

    IMPRIMER

    De sur le site "l'Incorrect" :

    MORT D’ELIZABETH II : QUAND LA MONARCHIE FAIT RÊVER LA FRANCE ET L’OCCIDENT

    La mort d’Elizabeth II a fait l'objet d'une étonnante fascination dans tout l'Occident, à commencer par la France. C'est que la monarchie, et c'est son grand avantage, est le régime de la légitimité, de l'unité et du sacré. De quoi nous donner des idées ?

    Quelle étonnante cérémonie que celle que dont nous furent témoins jeudi dernier. Saisi d’effroi, un pays tout entier se trouvait suspendu aux fragiles respirations de sa monarque. Toutes les activités étaient arrêtées net, les journalistes déjà se paraient de noir, la BBC ouvrait son canal à l’international pour partager les derniers instants de la femme la plus célèbre au monde. Et avec la Grande-Bretagne, c’est l’Occident tout entier qui retenait son souffle, transi d’émotions et tout en prière pour la royale mourante, qui s’interrogeait sur ce que serait le monde demain, car, non qu’Elizabeth soit indispensable, mais personne ou presque n’a jamais vu ce monde sans elle. Tous avions conscience d’assister à la fin de l’un de ces miracles de perpétuité et de majesté que seule la monarchie peut offrir. Tous comprenions qu’une page de l’histoire vieille de 96 ans était sur le point d’être tournée, page qui débuta quand Vincent Auriol et Edgar Faure gouvernaient la France, page qui dura près du tiers de l’histoire américaine et qui fut parcourue par les plus illustres noms de l’histoire contemporaine, page essentiellement marquée par l’ère de paix et d’abondance issue de la Seconde Guerre mondiale dont on sait qu’elle est en train de s’éteindre. Tous assistions au fond à la rupture du dernier grand lien qui nous arrimait au siècle précédent.

    Émotion et gravité universelles donc, pour la royale défunte. Pluie d’hommages en tout genre et issus de tout rang. Inédit à pareille échelle, le phénomène est merveilleux, au pied de la lettre, tant il échappe comme nul autre phénomène à la politique légale-rationnelle que la modernité croyait imposer à la terre entière alors même qu’elle n’épouse pas le quart du phénomène politique en son entièreté. Car cette séquence nous rappelle – par-delà la caducité politique du roi de Grande-Bretagne – que la tradition et le sentiment, l’invisible et l’imaginaire sont des données essentielles de la vraie et grande politique. Et la cérémonie funéraire qui s’annonce exceptionnelle – deux semaines de deuil national, quatre jours de veillée funèbre qui devraient voir défiler près de 500 000 sujets, processions réunissant le million de personnes, funérailles en grande pompe qui plongeront le pays dans un silence total – et qui sera suivi sur tout le globe, ne fera que le confirmer : il est décidément dans le politique quelque chose qui dépasse de très loin le constructivisme rationnel, et que la monarchie incarne mieux qu’aucun autre régime.

    Petite leçon de légitimité

    Car n’ayant jamais versé dans le contractualisme républicain à la française, et c’est heureux pour elle, la monarchie britannique peut se prémunir d’une légitimité toute traditionnelle, selon les catégories de Max Weber. Et l’on a pu en admirer les fruits : tirant sa légitimité de l’hérédité et de la prescription, et fort de la juste place accordée à l’étiquette, à la pompe et au mystère, le monarque est doté d’une espèce de majesté qu’on peine à définir mais qui n’a pas besoin de l’être car personne ne peut la méconnaître. Et de fait, le plus fieffé des progressistes s’est ému devant ce morceau d’histoire qui s’éteignait.

    Et ce sont bien les institutions, plus que la personnalité de la reine en question, qui sont en jeu. Marquées du sceau de l’immémorial et de l’éternel, parées des mille mérites de la famille à leur tête, les institutions monarchiques produisent en propre de la légitimité, et ce d’autant qu’elles s’imposent sans que personne n’ait prise sur elles. Ainsi Novalis expliquait dans l’opuscule Foi et Amour (1798) : « C’est la distinction caractéristique de la monarchie de reposer sur la foi en un homme de naissance supérieure, sur la libre adhésion à un personnage idéal. Parmi mes égaux, je ne puis me choisir un supérieur ; je ne puis en rien m’en remettre à quelqu’un qui en est au même point que moi. Le système monarchique a ceci d’authentique, de vrai, qu’il s’attache à un centre absolu, qu’il est lié à un être n’appartenant pas à l’État, mais à l’humanité. Le roi est un être humain élevé au rang de fatum terrestre ». Au fond, la politique est une affaire de pure autorité, et c’est alors seulement qu’elle se pétrit de sacré – qui n’est pas le résultat du décorum, comme certains ont pu le répéter, car si la République s’y connaît en faste, elle n’a versé que dans le mauvais pastiche dès qu’elle s’est essayée à la transcendance.

    Lire la suite

  • L'accord du Vatican avec le Parti communiste chinois ignore les réalités négatives

    IMPRIMER

    D'Edward Pentin sur le National Catholic Register :

    Les analystes de la Chine affirment que l'accord du Vatican avec le Parti communiste chinois ignore les réalités négatives

    Le pape François et son secrétaire d'État, le cardinal Pietro Parolin, soutiennent le renouvellement de l'accord malgré l'absence d'avantages tangibles pour les fidèles locaux.

    22 septembre 2022

    Alors que le Saint-Siège se prépare à renouveler son accord provisoire avec la République populaire de Chine, les récentes remarques du pape François et de son secrétaire d'État, le cardinal Pietro Parolin, ont été critiquées par les observateurs et les experts de la Chine comme étant naïves et déconnectées de la réalité à laquelle sont confrontés les catholiques en Chine et à Hong Kong. 

    La semaine dernière, le pape a déclaré aux journalistes, alors qu'il rentrait du Kazakhstan, que le dialogue bilatéral entre le Vatican et le gouvernement communiste chinois "se déroulait bien", mais "lentement, car le rythme chinois est lent, ils ont une éternité pour avancer", et parce qu'ils sont un peuple "d'une patience infinie". Le pape a également déclaré qu'il "n'avait pas envie" de caractériser la Chine comme "antidémocratique parce que c'est un pays tellement complexe, avec ses propres rythmes."  

    Le Saint-Père a évoqué le cas du cardinal Joseph Zen Ze-kiun, âgé de 90 ans, qui a été jugé cette semaine à Hong Kong, accusé avec d'autres personnes de ne pas avoir enregistré un fonds de soutien pro-démocratique. Le pape a commenté de manière ambiguë que le cardinal Zen "dit ce qu'il ressent, et vous pouvez voir qu'il y a des limites." Et le Saint-Père a notamment omis d'offrir des mots d'encouragement ou d'empathie pour le cardinal, qui a plaidé non coupable, et a souligné qu'il essaie lui-même de "soutenir la voie du dialogue." , 

    Le pape a appelé les fidèles à ne pas "perdre patience", ajoutant qu'il faut beaucoup de patience "mais nous devons poursuivre le dialogue." 

    Des experts chinois et d'autres personnes ont exprimé leur perplexité face aux remarques du pape. À propos de son commentaire selon lequel la Chine se déplace lentement et de son appel à la patience, Benedict Rogers, fondateur de Hong Kong Watch, une organisation caritative qui promeut les droits de l'homme, les libertés et l'État de droit dans le territoire administré par la Chine, a souligné que le Parti communiste chinois "peut se déplacer rapidement quand il le souhaite."  

    "La rapidité et l'intensité du génocide des Ouïghours, et la répression à Hong Kong, montrent qu'il peut agir remarquablement vite lorsqu'il décide d'une ligne de conduite particulière", a déclaré Rogers, qui a lui-même été interdit d'entrée dans le pays en 2017 en raison de son travail en faveur des droits de l'homme.  

    Le pair catholique britannique Lord David Alton a interprété l'appel à la patience comme un "apaisement" et a rappelé les conséquences d'une telle approche à l'approche de la Seconde Guerre mondiale et la politique d'après-guerre du Vatican envers le communisme soviétique, l'Ostpolitik.  

    "Nous savons à quelles conséquences épouvantables l'apaisement a conduit", a-t-il déclaré.  

    Le vice-président des groupes parlementaires multipartites sur les Ouïghours du Royaume-Uni est également révolté par le silence du Vatican face à l'oppression des Ouïghours par le PCC, une approche fondée sur le dialogue que Lord Alton a qualifiée d'"incroyable". 

    Lire la suite