Médias - Page 49
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L'Eglise est-elle encore autorisée à parler de sexualité ?
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Le film "Bella" : un autre regard sur le choix
De gènéthique magazine :
[Film] Bella : un autre regard sur le choix
12 février 2021A New-York, José, devenu cuisinier, était un joueur de football prometteur ; Nina est serveuse dans le restaurant du frère de José. Enceinte, elle est renvoyée pour un retard de trop. José, que les épreuves de la vie ont buriné, sans préméditation, lâche tout pour l’accompagner au long d’une journée pas ordinaire. Pour ces deux êtres blessés, affrontés à leurs responsabilités, c’est le début d’un itinéraire qui les conduira au-delà des vestiges du passé.
Avec une infinie délicatesse, Bella aborde le thème de la grossesse non désirée. Quand tout raisonnement semble affirmer que l’enfant n’est pas le bienvenu, quel choix réel reste-t-il à la femme ? Bella est un film sur la culpabilité, la responsabilité et la résilience, qui laisse entrevoir d’autres chemins possibles.
Le film d’Alejandro Monteverde distribué par Saje Distribution sortira en e-cinema le 9 février. Les inscriptions sont possibles jusqu’au 28 février à partir de ce lien.
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Une femme nommée sous-secrétaire du synode des évêques et voilà le petit monde médiatique en émoi
Du Père Christian Vénard sur aleteia.org :
Dans l’Église, tout pouvoir est un service
09/02/21
Dieu est davantage présent dans le cœur de chaque baptisé que dans les structures de pouvoir de l’Église.
Une femme nommée sous-secrétaire du synode des évêques à Rome. Voilà le petit monde médiatique en émoi pour nous expliquer qu’enfin l’Église s’ouvre à la modernité, qu’enfin elle accepte la parité, que l’ouverture au monde et au progressisme vient de franchir une étape décisive, etc. Il n’est pas question de diminuer les mérites de la sœur xavière choisie par le Pape, ni même — puisqu’il s’agit en effet d’une première — la portée d’une telle décision. Mais pourrait-on raison garder ? Il est amusant de noter sous certaines plumes, d’habitude fort enclines à condamner « l’Église surplombante », des réjouissances pour une nomination dans une institution particulièrement « surplombante » !
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"Time Magazine" divulgue la coalition qui a favorisé la victoire de Joe Biden
De Ludovic Lavaucelle sur La sélection du Jour :
9 février 2021
« TIME MAGAZINE » RÉVÈLE LA COALITION QUI A FAVORISÉ LA VICTOIRE DE JOE BIDEN
Il y a bien eu une « conspiration » pour battre Donald Trump explique – pour s’en féliciter – la journaliste Molly Ball, pour le magazine « Time ». S’il n’y est pas question de fraudes, cet article fait grand bruit aux Etats-Unis tant il dévoile la puissance des forces qui se sont liguées contre Trump depuis l’automne 2019. Il fallait d’abord sceller une alliance avec les « Big Tech » pour gagner la guerre de l’information. Ensuite, fédérer les organisations de « droits civiques » pour maximiser la participation des communautés les plus favorables au camp démocrate. Enfin, et ce fut sans doute la réussite la plus étonnante, obtenir le soutien du monde des affaires.
1. Les « Big Tech »
En novembre 2019, Mark Zuckerberg, patron de Facebook, invita à dîner chez lui 9 responsables de mouvements de droits civiques. Le contrôle du contenu sur le réseau social était au menu des échanges. On note la présence parmi les convives de l’avocate Vanita Gupta, présidente du « Leadership Conference of Civil and Human Rights ». Joe Biden l’a depuis nommée Haut Conseiller auprès du Ministre de la Justice, en charge notamment de la lutte « antitrust ». Leur hôte les assura de son soutien et les autres grands acteurs GAFAM suivirent le pas. En mars 2020, l’épidémie du COVID-19 convainquit les activistes que l’abstention risquait d’être massive. Une campagne de financement d’ampleur eut lieu pour aider les États à s’équiper en prévision d’un mode de scrutin où le vote par correspondance prendrait une part majeure. Une fondation philanthropique, « The Chan Zuckerberg Initiative », versa 300 millions de dollars pour soutenir cet effort.
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"Ceci n'est pas un complot" : un documentaire sur la crise de la Covid qui interroge
De Vincent Dubois sur le site de l'Avenir :
VIDÉO | «Ceci n’est pas un complot», le docu qui va faire un Ramdam
Initialement, l’avant-première mondiale du film était programmée pour la 11e édition du Tournai Ramdam Festival dont on sait qu’elle a, comme tant d’autres activités, été, elle aussi, sacrifiée sur l’autel des mesures imposées dans le cadre de la crise sanitaire.
Voici la bande-annonce du docu, le film complet peut être visionné gratuitement via le lien repris en fin d’article:
La sortie sur grand écran se fera attendre mais tout un chacun peut désormais visionner le docu sur la Toile, via les plateformes Youtube ou Vimeo. Il serait dommage de s’en priver car la qualité de la réalisation est à la hauteur du travail déployé durant 36 semaines par le journaliste-réalisateur.
Deux ans à Tournai, deux ans à Mons et un tour du monde…
Le verviétois Bernard Crutzen connaît bien la ville de Tournai pour avoir étudié à l’IHECS, alors que l’école avait encore ses quartiers à Ramegnies-Chin. Il y effectua deux années entrecoupées, de 1981 à 1982, par sa participation à la Course autour du monde qui l’amena à découvrir de nouveaux horizons et à s’ouvrir à d’autres cultures.
Sa caméra reste son moyen d’expression de prédilection…-
Comme beaucoup d’Ihecsiens à l’époque, c’est dans la Cité du Doudou qu’il a terminé ses études.
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Faire face à l'expansion massive de la "postvérité"
De Bernard Dumont sur le site de la revue Catholica :
Franchir le mur de la postvérité
6 Fév 2021La première condition pour qu’une sociabilité humaine puisse exister réside dans la véracité du langage, elle-même jugée par la réalité : si tout est ruse, l’homme devient pour l’homme au moins un renard, sinon un loup. Il est plus que jamais difficile de croire sur parole ceux qui sont placés en situation de pouvoir ou d’influence politique[1]. En outre, ce que nous connaissons de ce qui se passe dans le monde nous arrive quasi exclusivement par les médias, c’est-à-dire par un mode de connaissance par témoignage, lequel ne vaut que si le témoin est crédible. Mais dans les conditions actuelles, il est difficile de discerner le vrai du faux, sauf à mener de véritables enquêtes pour tenter de comprendre certains faits, ce qui n’est donné qu’à un petit nombre doté d’aptitudes et de temps, et parfois sans garantie de pouvoir jamais aboutir. La déculturation opérée massivement sous l’effet de la subversion des méthodes d’enseignement, la perte du bon sens élémentaire, l’impact socialement dominant des philosophies du doute et de la déconstruction, la manipulation idéologique de l’histoire, le mimétisme envers les processus artificiels de traitement de l’information, le nominalisme qui transforme les mots en signes conventionnels au sens mutable, tout cela contribue à accroître le désarroi. Le résultat en est l’éclosion d’un scepticisme de masse qui rend indifférent à l’idée de vérité. Le néologisme postvérité exprime cet état de fait. On pourrait dire que la postvérité fait pendant à l’athéisme pratique, qui a cessé tout simplement de se poser la question de Dieu et même rendu inapte à comprendre qu’une telle question puisse présenter quelque intérêt.
Il n’est pas étonnant que la postvérité puisse s’instaurer là où domine le libéralisme, puisque celui-ci associe, au nom de la liberté de pensée, la réduction de la vérité à l’opinion, et sa théorisation philosophique prétendant impossible de dépasser la connaissance des seuls phénomènes. Tout cela sans oublier que nous sommes sous le règne du positivisme juridique, qui autorise de transformer du jour au lendemain, par le moyen de la contrainte légale, une version des faits ou une conclusion historique en « récits » conformes à l’utilité qu’y trouvent les derniers en date des possesseurs du pouvoir.
Les événements récents ont illustré cette expansion massive de la postvérité, qu’il s’agisse de la pandémie et de l’ensemble des déclarations, justifications politiques, jeux d’influence et contradictions qui n’ont cessé de l’accompagner, en France et ailleurs. L’épisode électoral américain est venu ajouter de l’eau au même moulin. Il s’agit là de faits très significatifs d’un changement d’échelle dans l’ordre du mensonge ordinaire, un changement que l’on perçoit comme brutal bien qu’il se soit établi progressivement, et depuis longtemps, brutal et donc hautement perturbateur d’un rapport au monde conforme à la nature des choses.
Nous n’aborderons ici que quelques aspects du problème, tout d’abord en profitant d’une étude très systématique des interventions militaires et diplomatiques occidentales effectuées dans la dernière décennie, puis en prêtant attention au conspirationnisme (ou complotisme) comme double résultat d’une réaction spontanée et maladroite face aux mensonges et comme argument récupéré pour mieux diffuser ces derniers.
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Voltaire : pas aussi tolérant qu'on le dit !
Lu sur Herodote.net (archive mai 2015):
Un Voltaire pas si « tolérant » que ça !
Après les attentats islamistes de janvier 2015 à Paris, le magazine Lire a souhaité rappeler les vertus de la tolérance en consacrant un hors-série dithyrambique et sans nuances au dieu Voltaire.
Pour Marion Sigaut, romancière et historienne du XVIIIe siècle, la référence à cet écrivain est tout à fait inappropriée...
« Faire de Voltaire un ami des hommes est un contresens. Son mépris du genre humain est insondable : « Portez-vous bien ; éclairez et méprisez le genre humain » écrit-il à son ami d’Alembert en février 1757 avec cette ironie qu'il manie à la perfection. « La patience soit avec vous ! Marchez toujours en ricanant, mes frères, dans le chemin de la vérité »« Ce monde-ci… est un composé se fripons, de fanatiques et d’imbéciles, parmi lesquels il y a un petit troupeau séparé qu’on appelle la bonne compagnie ; ce petit troupeau étant riche, bien élevé, instruit, poli, est comme la fleur du genre humain ; c’est pour lui que les plaisirs honnêtes sont faits ; c’est pour lui que les plus grands hommes ont travaillé… » (*).
« … la populace… est en tout pays uniquement occupée du travail des mains ; l’esprit d’une nation réside toujours dans le petit nombre, qui fait travailler le grand, est nourri par lui et le gouverne » (*).
Cet ordre des choses étant admis, il ne faut pas perdre son temps à éduquer la populace. Pour quoi faire ? « Je crois que nous ne nous entendons pas sur l’article du peuple, que vous croyez digne d’être instruit. J’entends par peuple la populace, qui n’a que ses bras pour vivre… Il me paraît essentiel qu’il y ait des gueux ignorants… Ce n’est pas le manœuvre qu’il faut instruire, c’est le bon bourgeois, c’est l’habitant des villes », écrit-il à son ami Damilaville le 1er avril 1766. L'argument servira d’ailleurs à justifier de se débarrasser des jésuites, incorrigibles éducateurs du peuple.
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Liège : enregistrée et diffusée depuis l’église du Saint-Sacrement en direct ce matin du dimanche 7 février 2021 à 10h, la messe traditionnelle (missel de 1962) du dimanche de la Sexagésime:
Célébrant : Abbé M.-A Dor, Recteur
Chants grégoriens : propre de la messe « Exsurge, Domine »; Kyriale de la messe XI « Orbis factor » (XIVe s.); Credo I (XIe s.);
Orgue : Patrick Wilwerth
Pour suivre la messe, cliquez ici :
« Exsurge, quare obdormis Domine? Exsurge et ne repellas in finem Domine » : lève-toi, pourquoi dors-tu, Seigneur. Lève-toi et ne nous repousse pas pour toujours. Tiré du psaume 43, l’Introït de cette messe est une prière très simple dans laquelle le peuple Juif, écrasé sous l’épreuve et se croyant abandonné de Dieu sans raison, lui demande de revenir et de le sauver.
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Bientôt deux papes émérites ?
Des rumeurs récurrentes... mais quel en est le réel bien fondé ?
De RTL actu (Thomas Sotto) :
Vatican : Frédéric Mounier ne serait "pas étonné" que le pape François démissionne en 2021
INVITÉ RTL - Le souverain pontife "n'a pas pris un jour de vacances depuis qu'il a été élu il y a déjà sept ans", souligne Frédéric Mounier, correspondant du quotidien "La Croix" à Rome, qui estime que le pape de 84 ans "est peut-être arrivé jusqu'au bout".
Après sept ans de pontificat, le pape François est au cœur d'une vaste enquête, menée à Rome et ailleurs par le journaliste Frédéric Mounier, ancien correspond du quotidien La Croix, en Italie. Son ouvrage au titre évocateur, Le pape qui voulait changer l'Église, tire le portrait de ce pape de 84 ans qui "est peut-être aller jusqu'au bout".
En prenant les commandes du Vatican, le pape François avait misé sur un pontificat assez bref et pourtant "il est déjà plus long que celui de Benoit XVI", souligne Frédéric Mounier, qui rappelle que le souverain pontife est "ce qu'on peut appeler aujourd'hui un octogénaire co-morbide fragile : il lui manque un petit bout de poumon, il boite, il a une sciatique et il mène une vie de chien", relève le spécialiste des religions qui précise que François "n'a pas pris un jour de vacances depuis qu'il a été élu il y a déjà sept ans".
"C'est un homme qui travaille énormément. Il se sent en cage aujourd'hui au Vatican parce qu'il ne peut plus sortir", indique le spécialiste des religions au micro RTL avant d'ajouter : "Il est peut-être allé jusqu'au bout et je ne serais pas étonné que dans l'année 2021 le pape François en arrive à démissionner", admet-il.Réorganiser le fonctionnement de l'Église catholique
Toutefois, si le pape François est toujours là, "c'est parce qu'il s'est vu confier une mission en trois volets : la première c'est d'éloigner la mafia des murs du Vatican, je pense qu'il y est arrivé. La deuxième c'est de réorganiser le fonctionnement de l'Église pour lui donner peut-être plus de démocratie, plus de place aux femmes, plus de place aux laïques. Enfin la troisième c'est la place des femmes dans l'Église et là-dessus je pense qu'il a beaucoup avancé également", souligne Frédéric Mounier.
En effet, début janvier, le souverain pontife a fait un pas de plus vers le diaconat féminin en autorisant, via un décret, l’admission des femmes pour les lectures de la messe et l’apport au prêtre du pain et du vin lors de l’office religieux.
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Des professeurs pour éclairer la lanterne des évêques de Belgique
De Vatican News :
L'Église de Belgique se penche sur ses défis pastoraux
Au cours d'une rencontre virtuelle de deux jours, les évêques belges ont passé en revue les nombreuses questions d'actualité qui sont posées aujourd'hui à l'Église: des défis de la communication au témoignage pastoral en période de pandémie.Vatican News Service
La session annuelle du mois de janvier des évêques belges s'est tenue cette année en ligne en raison des restrictions sanitaires. Organisée sur deux journées, elle a permis de balayer de nombreux sujets qui touchent aux défis de l'Église dans le monde contemporain. Les évêques ont invité des professeurs à venir donner une conférence sur une thématique qu'ils avaient choisie en amont. La première journée a ainsi porté sur le défi de la révolution numérique, qui pousse l'Église belge à exploiter de nouvelles voies de communication.
Le professeur Emmanuel Tourpe a donné une téléconférence sur les opportunités et les écueils de cette révolution numérique pour l'Église. Docteur en philosophie et spécialiste reconnu des médias, Emmanuel Tourpe, par ailleurs directeur adjoint des programmes de la chaine Arte a expliqué en quoi le numérique consistait en un «changement de paradigme», à l'instar des révolutions copernicienne ou darwinienne. Lors de son exposé, le spécialiste de communication a dressé un parallèle entre cette révolution numérique et la diffusion rapide de l'Évangile au temps des premiers chrétiens, grâce à l’organisation de l’Empire romain et à la koinè (la langue commune). «Si l’Eglise veut saisir cette opportunité et en éviter les dangers, elle doit s’adapter, apprendre à penser et à agir aussi de manière numérique» a t-il expliqué en substance.
Les évêques ont également présenté l'ébauche d'un projet de stratégie de communication, fruit d'un questionnaire posé aux diocèses belges, au Secrétariat de la Conférence des Évêques et au Centre Interdiocésain.
L'Église de demain
La deuxième journée de réflexion s'est articulée autour d'une réflexion sur les conséquences de la pandémie et des défis pastoraux qu'elle soulève. Deux experts ont été convoqués à cette occasion pour nourrir la réflexion: le théologien Arnaud Join-Lambert, professeur à l'Université catholique de Louvain et le philosophe Guido Vanheeswijck, professeur à l'Université d'Anvers. Arnaud Join-Lambert a rappelé combien le confinement avait pesé sur la vie des l'Église et les fidèles, évoquant aussi la souffrance et la détresse de nombreuses personnes y compris des agents pastoraux. Dans le même temps, la pandémie a poussé l'Église belge à des trésors d'inventivité, a t-il souligné.
Le professeur de théologie, qui a beaucoup réfléchi sur l'Église domestique, a ainsi rappelé que les défis pastoraux passaient aussi par de nouvelles formes pour proposer l'évangile, n'hésitant pas à rappeler les mots du Pape François invitant à «oser rêver».
Le philosophe Guido Vanheeswijck a pour sa part souligné dans son exposé que le coronavirus obligeait «à regarder les choses en face»: nous ne maitrisons pas tout. «Nous devons vivre en gardant conscience de notre vulnérabilité» a t-il rappelé. Le professeur flammand s'est enfin interrogé sur comment rester proches des autres dans un monde «post-catholique», et livré quelques pistes: en poursuivant le dialogue, en s’opposant à la polarisation ou en prônant la douceur.
https://www.cathobel.be/2021/02/etre-eglise-aujourdhui-et-demain/
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L’incroyable succès d’une vidéo sur les moines bénédictins de Fontgombault
Plus d’1,5 million d’internautes ont déjà visionné le magnifique « teaser » de Fons Amoris, le documentaire réalisé par Marc Jeanson sur les moines de Fontgombault. Il faut dire que la pureté des images et le chant grégorien s’avèrent bouleversants dès les premières secondes de cette bande-annonce.
L’abbaye de Fontgombault, fondée il y a plus de 1000 ans, est une abbaye bénédictine de la congrégation de Solesmes, située dans l’Indre. Elle comprend aujourd’hui une soixantaine de moines vivants, selon la règle de saint Benoît, dans le silence, alternant prières, travail manuel et offices dans la liturgie traditionnelle.
« Mystère que toutes ces vies cachées au long des siècles, consumées derrière des murs. Mystère insondable et qui, pourtant, à travers les interrogations qu’il éveille au coeur des hommes du monde, peut conduire chacun, selon des voies diverses, aux portes d’un Mystère plus grand encore, celui devant qui seul le silence est éloquent… », souligne le commentaire dès le début du documentaire.
Voici la bande-annonce de ce documentaire français sur l'abbaye bénédictine de Fontgombault : un documentaire diffusé depuis 2016, avec un succès international, aussi massif que mérité :
Ref: L’incroyable succès d’une vidéo sur les moines bénédictins de Fontgombault
JPSC
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Où en sont les films SAJE ? Etes-vous abonnés à sa plateforme ?
Chers amis,
Vous vous demandez peut-être " Où en sont les films SAJE " dans cette période compliquée? Malheureusement la confirmation que les salles de cinémas ne réouvriront pas de sitôt, nous a obligé à décaler nos sorties Cinéma.
Mais la mission continue et nous avons beaucoup de propositions pour vous !Première nouvelle
La reprise des séances de E-cinéma avec le film Bella !
A partir du 9 février, découvrez le nouveau film d'Alejandro Monteverde, réalisateur de Little Boy !Synopsis : Ancienne gloire du football, aujourd’hui cuisinier dans le restaurant mexicain de son frère, José s’est retiré du monde mais quelque chose l’intrigue chez Nina, une jeune serveuse à qui il tend la main. Au cours d’une longue journée ordinaire à New York, ils vont non seulement affronter leur passé, mais découvrir comment le pouvoir de guérison d’une famille peut les aider à embrasser l’avenir.
Deuxième Nouvelle
Vous avez toujours rêvé d'un "Netflix" Chrétien ! SAJE l'a fait !
Une plateforme consacrée à toute la famille et un abonnement qui vous permet d'accéder à + de 100 films à partir de 6,99 euros par mois !Troisième nouvelle
Vous rêviez que vos projections privées pour vos institutions reprennent?
Avec SAJE, c'est désormais possible ! Nous vous proposons plusieurs options pour proposer des séances à distance !
Proposez des séances gratuites ou payantes pour vos invités, en E-cinéma ou via notre plateforme VOD !Toutes nos offres pour vos séances privées ici !
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Soyez assurés de nos prières et à très bientôt !
L'Equipe Programmation et Animation Réseau de SAJE DistributionLien permanent Catégories : Actualité, Art, Culture, Eglise, Ethique, Films, Foi, Médias, Société, Spiritualité 0 commentaire